29/04/2010
DE LA SOCIOLOGIE A COUPS DE MARTEAU
<< Le désir de vengeance de la majorité silencieuse est tel que si le Pouvoir donne l’autorisation, il y aura des lynchages, des bavures, des meurtres. Quand un môme de 12 ans insulte sa prof, on a tous envie de le corriger. Quand un autre la poignarde, c’est pire. Désormais, tout le monde se fout du contexte (famille monoparentale, chômage, banlieue, cité, exclusion, etc.), toute la bouillasse socialisante cucul la praline qui excuse tout.
Le temps de la sociologie est passé. >>
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08:41 | Lien permanent | Commentaires (10)
Commentaires
Super optimiste comme texte.
Écrit par : Anthony | 29/04/2010
Je suis beaucoup moins optimiste que l'auteur. Car de réaction, je ne vois point...
Écrit par : Criticus | 29/04/2010
Messieurs, messieurs !!
L'auteur décrit-il une réaction claire et présente ? Que non ! Il l'invoque, il l'espère, il la justifie, mais il ne la constate pas plus que vous ou moi. Mettez-vous donc dans la peau d'une recrue maigrichonne, tremblotante et humble de la caserne de Full Metal Jacket ! Imaginez-vous comme un apprenti "Prêtre de la Mort, implorant la Guerre" ! Voilà tout ce que nous sommes : des novices avec de la lactose plein les portugaises, ânnonant des psaumes maladroits et aigrelets à Sainte Ratonnade, patronne des nations bafouées, dans l'espoir d'attirer sur nous sa Miséricorde ! Pas question de prévision alambiquée ici, nous ne sommes pas dans l'analyse ou la prospective, nous sommes dans l'immense espoir d'avoir le choix d'être balayé dans un ultime flamboiement de violence insane et romantique, plutôt que de disparaître dans le bruit du coton que l'on broie.
Alors merde, à la fin.
Écrit par : Stag | 29/04/2010
C'était écrit.
Tout ce que nous faisons est du rabâchage et du radotage.
Et tout le monde savait.
Comme en 40. Putain, l'être humain est vraiment bouché jusqu'au trognon! Y'a rien à y faire.
Écrit par : Sébastien | 02/05/2010
Avec Nietzsche (hihi) il faut constater que l'Occident démocratique n'est que la décadence complète, inévitable, absolue et sans retour de ce qui fut l'Europe glorieuse et barbare d'avant cette immondice que l'on nomme (crachats dans la gorge) "christianisme". Le génie Européen a pu juguler cette saleté sémite (j'insiste et ne retire rien) à travers la dure hiérachié Catholique et Romaine, enfanter malgré tout les Chevalieres Teutonique et batir les Cathédrales.... mais, et toujours avec Nitezsche, tous ces phénomènes au fond n'étaient pas chrétiens. Le poison suicidaire et masochiste de la secte a mis du temps, mais elle est arrivée à ses fins, engendrant en Europe le délire messianique révolutionnaire et toute sa cohorte d'insanités : égalité, démoctarie, droits en tous genres, capitalisme, marché, enfin toute la chierie moderniste lamentable, dont nous crevons maintenant. Plus précisément, nous vivons la décomposition du cadavre, alors évidemment ça pue, ça schlingue, on en devient fou. Deniers hommes, nous ne supportons pas notre condition de sous-merdes absolues, d'esclaves revendicatifs. En nous devenons fous.
Écrit par : hegel | 04/05/2010
putain, pas relu, vive l'ortograf de sagouin ahah
Écrit par : Hegel | 04/05/2010
@ Hegel : justement, ne croyez-vous pas que la grandeur de la civilisation occidentale repose (reposait) sur l'équilibre entre la morale chrétienne et le droit romain ? L'aporie dans laquelle nous sommes aujourd'hui résultant, dans ce cas, du fait que la première a fini par détruire le second, rompant ainsi cet équilibre.
Écrit par : Criticus | 04/05/2010
C'est un peu ce que je dis, quand même....
Écrit par : Hegel | 04/05/2010
C'est plus qu'un peu ce que vous dites : c'en est la moitié.
Écrit par : Criticus | 04/05/2010
Amen.
Écrit par : Hegel | 04/05/2010
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