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31/03/2016

COMPRÉHENSION MON CUL

[Insérer allusion perso ici] N'en déplaise à mon hools kalvingradois préféré (est-il seulement encore de ce monde?), je mêle dans un égal mépris tout ce qui a trait au futbal et à la nouvelle "étiquette" anglo-saxonne pour qui tout ce qui est exotique doit être pris avec des pincettes en mousse emballées dans des gants peluchés.

J'entends bien qu'il existe des gens relativement sains pour qui des millionnaires en shorts s'agitant autour d'un jouet constituent un divertissement honorable. J'entends également que l'étude des moeurs allogènes et de susceptibilités étrangères n'est pas complètement sans attrait. J'affirme toutefois y être imperméable, et leur réserver le tiroir de mon esprit portant l'étiquette "Que de la merde". (Ironisez sur l'absence de tout autre tiroir dans ma tronche, et je vous jette un sort qui mollit la bite.)

Ce grotesque préambule pour que l'on soit bien au clair : qu'un foutchebaliste de renom offre une paire de ses godasses à un pays de criquets, je m'en touche. Que ledit pays de criquet s'en étouffe dans son jus de dattes, j'y vais à deux mains plus les pieds. Affaire entendue.

Affaire qui nonobstant révèle ce qui devrait être une évidence : l'empathie est aux toubabs ce que la dépanocytose est aux nègues. Un marqueur. Un signe génétique distinctif.

Je m'épargne la franche souffrance de parcourir le vouaibe à la recherche des excuses pourries que les relativistes trouveront aux criquets concernés. On connaît par coeur avant même notre naissance : faut comprendre. Chez eux ceci. Chez eux cela. Faut pas juger. Tu dirais quoi si un type venait chier dans ton assiette, convaincu que c'est, comme chez lui, le signe du plus haut respect.

Je ne parle pas aux progressistes et évite au maximum leur présence physique, qui m'est urticante. Je dois toutefois me tatouer quelque part de leur poser la question : en quoi nos frères humains criquets sont-ils si différents de nous pour qu'ils puissent prendre comme une offense personnelle ce qui n'était qu'un geste d'amitié ?

Un Mauvais Citoyen tel que mézigue a sa réponse. Elle est désobligeante, hiérarchique, discriminante. Je vous l'épargne, vous la devinez tous seuls, comme des grands.

M'intéresse plus la hernie mentale qu'une telle question inflige au Charlie de base et au cosmopolite ardent. Parce que trouver la moindre espèce d'excuse à un si mauvais accueil face à un cadeau, ça suppose une vision du monde où l'Autre est officiellement reconnu comme un putain d'handicapé ou une tête de noeud. Ca suppose de diviser le monde entre les Blanchettes progressistes, capables d'empathie envers leurs frères du Grand Ailleurs, et lesdits frères, cons à bouffer des briques et qui ne peuvent pas, fut-ce une seconde, se mettre dans les babouches d'autrui pour essayer de comprendre ses faits et gestes.

Ca n'empêche pas le nazi de dormir, ça doit sacrément chatouiller le démocrate.

Notons que pour se revendiquer encore d'une si dégueulasse étiquette, il faut avoir un cuir de rhinocéros. La corne symbolisant le cocufiage, il y a comme qui dirait une sorte de justice esthétique là-dedans. Mais je m'égare.

J'insupporte définitivement tout raisonnement qui s'articule sur le "deux-poids-deux-mesures" qui afflige le monde Blanc, et qui incarne l'horizon ultime de la non-pensée réactionnaire. Vous en avez plein les pages de la presse de droâte légaliste, ça ira comme ça. Ca ne rend pas moins révoltante l'incohérence intrinsèque du discours xénolâtre: ne faites pas à autrui ce qu'il vous fait, parce qu'il ne peut pas comprendre, n'étant pas encore aussi progressiste que nous, ses frères humains et égaux en tout. Question d'éducation. De persévérance diabolique. De subsides étatiques. Continuons de ne pas broncher sous les coups de pieds et les crachats, ils finiront par comprendre qu'on les aime.

Il faut espérer que les conquérants de l'Europe, eux, iront jusqu'au bout du dégoût que notre aplaventrisme doit leur inspirer, et qu'ils remplaceront les crucifix de nos cimetières par des godes, nos morts enterrés le cul à l'air. Seule une éternité d'humiliation est susceptible de racheter notre capitulation massive.

30/03/2016

LES MOUTONS EMBRASSENT LE COUTEAU DE L'EGORGEUR

Quant à Michel Visart, journaliste économique à la RTBF qui a perdu sa fille dans l'attentat du métro Maelbeek, il considère qu'on va dans le mur. Mais il ne parle pas du même mur que vous et moi (la guerre civilo-ethnique) :

« Je ne suis pas naïf, je sais très bien et je comprends qu'aujourd'hui la sécurité est indispensable. Mais je pense qu'en construisant des murs de l'exclusion, en cultivant la haine, on va dans le mur. Pour le futur, si l'on veut un monde différent, il faut ce respect et cette tolérance. Je ne veux pas faire du pathos, mais il faut de l'amour. C'est comme cela qu'on pourra faire un autre monde. »

Ta fille appréciera Michel. Comme toutes ces filles de notre race dont les géniteurs sont des couilles molles, des faibles, des traîtres à l’Europe et à leur race de par leur lâcheté et leur renoncement à tout bon sens.

Vos messages d’amour, ils vous disent depuis des décennies de vous les mettre bien profond ! Et vous continuez à vous goder le fion !

Merci à Rüdiger

27/03/2016

SPARADRAP

Je puis me tromper, ne connaissant pas la vie du bonhomme jusque dans ses moindres détails de l'Hist . Mais je serais fort étonné que Robert Faurisson ait jamais consenti à s'humilier publiquement en se collant une croix de sparadrap sur la tronche, en signe d'indignation de la censure subie. C'est pourtant un spectacle auquel on a presque fini par s'habituer: une coutume qui rassemble scientologues, gauchistes universitaires, Où-est-Charlies, et toute espèce d'étron vertical qui monopolise le pavé dès qu'il ne se sent pas intégralement apprécié par n'importe qui.

L'ami Faurisson, qui s'est pris des procès, des torgnoles, des insultes et des emmerdes sans nom depuis avant ma naissance, n'a pas quémandé la pitié du passant face à son sort. Il n'a pas cherché, avec deux bouts de scotch et une gueule d'enterrement, à extorquer de la compassion au chaland.

C'est la différence entre prendre la parole et la demander.

C'est à elle que l'on reconnaît aussi ceux qui baisent et ceux qui se prennent des râteaux, ceux qui mangent et ceux qui se plaignent que le plateau-repas ne leur est pas livré à 12h01.

25/03/2016

PREMIER DEGRÉ

En-dehors de faire vendre n'importe quelle merde, sait-on encore accomplir quoique ce soit de simple, franc et direct en Occident ?

Partout l'ironie à deux balles, le ricanement facile, la morgue adolescente pas même consciente de sa propre immaturité, de son abyssal manque de profondeur et de culture. Une pollution généralisée d'un second degré devenu réflexe pavlovien.

Même les solennités obligatoires à base de jus d'Ochouitze puent la singerie, l'apprentissage laborieux, le conditionnement quasi-militaire. Il faut adopter telle tronche, tel langage corporel, farcir ses phrases de clichés transparents d'usure, parodiques à force d'abus. On n'a pas été si coincé depuis le puritanisme victorien, qui au moins avait la décence et la cohérence de ne pas baigner la plèbe dans une atmosphère de harcèlement porno permanent. L'homme blanc d'Après l'homme blanc ? Un obsédé du cul qui craint de dire "merde" et préférerait crever que de sortir de chez lui mal coiffé.

Si l'ironie était une épice, imaginez bouffer matin et soir des plats recouverts de mauvais curry doux. Voilà où nous en sommes, agités façon Parkingson d'un ricanement aigrelet.

"Amour ? Création ? Désir ? Etoile ? Qu'est cela ? Ainsi demande le dernier homme, et il cligne de l'œil." Nous y sommes. Pleinement. Pas même besoin de se déchirer la comprenette à interpréter la chose : c'est tout simplement ça. Le règne du second degré de masse. L'ironie emballée sous vide. Le relativisme qui relativise jusqu'à son propre concept.

Même les criquets pyrotechniques commencent à s'y mettre. L'humour-plus-fort-que-la-haine, n'est-ce pas.

 

24/03/2016

DES TRUCS AVEC OU SANS RAPPORT AVEC L'ACTU DU JIHAD EN EX-EUROPE

Quand les catins parlementaires et les salopes ministérielles nous parlent de "guerre", elles ont raison sur un point : leurs administrés en sont les cibles et les victimes directes. Mais seul un camp mène activement cette guerre, l'autre y répondant par des dessins à la craie, des chialeries de groupe, des cercles de silence, des manifestations pour accélérer la météquification du continent, des clous enfoncés dans son propre cercueil. Le discours dominant qui se profile depuis quelques semaines, c'est qu'il faut accepter comme une fatalité le risque d'être pulvérisé sans prévenir dans une gare, un bistrot ou une salle de concert.

C'est comme ça, on n'y pourrait rien, il faudrait faire confiance à nos gouvernants, serrer les fesses, et prier laïquement et oecuméniquement pour ne pas faire partie de la prochaine livraison de sacrifiés. Nous sommes quelques-uns assez peu émoustillés par ce beau programme. Chacun fait comme il veut et peut: de mon côté, en toute humilité, je continue à assimiler péniblement quelques techniques de combat basique, j'agrandis la famille pour que les guerres futures ne manquent pas de soldats blancs par ma seule faute et j'entretiens ma haine comme un bonzaï de ronces et de belladone.

 

* * *


Les barbus explosifs ne font pas la guerre à notre modèle social et  économique : ils n'en ont rien à foutre, voire y prospèrent avec la plus complète décontraction, que ce soit à l'étage des petits dealers ou à celui des pétromonarques. C'est ce modèle social et économique qui nous fait la guerre, qui EST la guerre, qui permet qu'on puisse la mener sur nos territoires en complète impunité, avec l'assentiment geignard de toute une partie de la populace. La démocratie consumériste héberge des jihadistes dans la même mesure qu'un cadavre accueille des parasites nécrophages.

Dans une France ou une Belgique saine et méritant de survivre, il ne se serait pas passé trois heures après les attentats avant que des émeutes ne retournent les quartiers occupés où se planquent l'armée ennemie. Les rédactions où on leur fabrique des excuses depuis un demi-siècle seraient déjà en cendres, en ruines les parlements qui les financent indirectement, méconnaissables les bureaux d'ONG où l'on renforce leur mépris de l'autochtone. Tout exotique raserait les murs en bégayant des prières de téléportation au bled face à la furie blanche écumant les rues. Mais Monsieur Moyen a définitivement perdu sa capacité à se foutre dans une rogne aveugle, animale, vigoureuse, absurde, sanguinaire et poétique.

Aux coups réels qu'il en caisse, il réagit par des clics, des allégories, de la larmiche ivre de sa propre moralité cosmopolite. Il a déjà admis la défaite, au point de ne pas même envisager que c'en est une : il n'y a pas eu de combat, pas d'ennemi, pas de conflit identitaire, pas même de malentendu, ne faire que se laisser aller à l'imaginer serait déjà fellationner le cadavre d'Oncle Adolf. Nouvel évangile: Si ta main t'entraîne au péché de ouacisme, surtout pour te défendre contre un Différent agressif, coupe-la. Nouvelle moralité politique : plutôt le cul en sang et la gueule pleine de glaviot que de passer pour à peine un chouïa ouaciste sur les bords à la lune montante.

Nos remplaçants continentaux doivent se taper des priapiques douloureuses face à tant de larbinitude collective.


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Même si le "ouacisme antiblanc" était reconnu et dénoncé au même titre que les autres, ses victimes resteront largement laissées à leur sort, pas protégées, pas reconnues : parce qu'une immense part dudit ouacisme est PASSE DANS LES MOEURS MEDIATIQUES. Des pans entiers du mépris et de la rancoeur que suscite la race blanche "va de soi" pour les prescripteurs d'opinion.

Le travail de sape théorique réalisé par les anglo-saxons ne s'exportera pas facilement. Au Yankiland comme à la City, on a peu de souci à parler de questions raciales : on est planqué moralement parce qu'on s'affiche toujours CONTRE la blanchitude, ne serait-ce que tacitement. La francophonie minaude plus rude : il lui faut composer avec sa propre diabolisation du terme en soi, et sa toute aussi grande obsession de Correction des Injustices passées, sa haine viscérale de l'Arrogance Blanche enfin à terre, comme un torero qui passerait sa vie à planter des piques dans la carcasse d'un taureau mort trois siècle plus tôt. Un type comme
Trump est donc une bénédiction pour eux : miracle ! enfin un Blanc riche, ridicule, vulgaire, grande gueule, et qui s'assume pleinement en tant que tel ! Des lustres qu'ils attendaient cette manne céleste ! On a presque de la peine pour eux, à les imaginer aussi frustrés que le faf de base, famélique au point de se ruer sur cet erzats pourri de parvenu basique, auquel même l'étiquette de poujadisme ferait trop d'honneur.

Qu'importe : in fine, quand les toubabs seront effectivement une minorité, il n'est pas impossible que l'égalitarisme aille jusqu'au bout de sa logique officielle, et condamne aussi sévèrement le viol d'une Blanche par un Noir que le manque d'enthousiasme d'un Blanc face à un tel spectacle.  Ce que ça changera ? Que pouic : sincère ou non, le discours antiouaciste n'aura servi qu'à démoraliser, diviser, saloper et durablement ostraciser Monsieur Toubab sur ses propres terres, à lui faire douter du simple concept d'avoir des terres où il est majoritaire de toute éternité. Le mal est fait, le poison est digéré, il est bien temps, putain ! d'en dénoncer les effets et la dégueulasserie de qui nous l'a vendu.


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Il n'importe donc pas que les merdiats distribuent des mouchoirs par wagons entiers à certaines victimes, et en rajoute en glaviots dans la gueule de certaines autres. Nous ne voulons PAS être reconnus en tant que victimes. Parce que nous ne voulons pas ETRE des victimes. Parce que la pleurniche en guise d'identité transmise de mère en fils, c'est un truc un poil trop vétérotestamentaire à notre goût.

Il y a un fossé entre ce "nous autres" et nos contemporains. Les Charlies, les Tintins-qui-pleurent, et tous les avatars grotesques qui fleuriront sur les prochains attentats, ne sont PAS nos semblables. Leur notion de collectivité, de nation, de culture, est à des années-lumières de la nôtre.

Il sera toujours laid et bas de se réjouir de leurs souffrances, plus insane encore d'espérer qu'ils en "apprennent" quoique ce soit. Le sac à foutre catho qui a ironisé sur les victimes du Bataclan, venues célébrer le démon du rock et justement bouffés par ce dernier, incarne à la perfection le contre-exemple d'une attitude digne. Mais se voit-on participer pour autant au barnum mortuaire à base de coeurs en peluche, accolades citoyennes et paluchades en cercle sur la valeur morale des bistroquets pour bobos ?

En 2001, le New York Times a déjà tenu ce discours à ses lecteurs : pour vaincre le terrorisme, payez-vous une comédie musicale à Broadway. Surtout, ne changez rien. Prenez un leasing, un crédit, n'importe quelle forme de dette, conservez votre calme et ne modifiez en rien vos minables habitudes, vos accoutumances humiliantes, vos routines de déracinés, vos prétentions à "ne pas suivre la masse" tout en singeant les pires saletés que l'hyperclasse vous fourgue via MTV et autres collecteurs d'égouts médiatiques. Sacrifiez-vous pour votre propre décadence. If you love your fun, die for it.