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08/04/2016

VOUS DEVEZ VOUS TRUMPER

Difficile choix, ces jours-ci, entre deux raisons parmi tant d'autres de se tuer au cognac en vingt-quatre heures non-stop : j'hésite entre le Scandinave labouré par un nègue sans qu'il en conçoive la moindre rancoeur, et le soutien dont Troumpe semble bénéficier non pas du raidenaique de base, mais de la Droite Alternative.

Voir des gens aussi posés et droits que Jared Taylor faire de King Moumoute le Lancelot de la cause blanche, c'est tout simplement assommant, au sens d'un immense coup de fatigue moral. Ils en sont là. Nous en sommes là. Donnez un teint plus orangé qu'excrémentiel au président Camacho, et servez sans tarder.

Un clown à a coupe de cheveux improbable, soutenu par la lie de la plèbe dans la course à la présidence et qui inquiète assez les apparatchiks pour qu'ils se sentent obligés de se mobiliser ouvertement contre lui... Je suis le seul à penser à l'épisode politique de Coluche ?

A quand le coup de camion ?

20/08/2015

REUNOI METAL et détails oubliables

C'est une véritable injustice historique et sociale que le black metal ne soit pas ce que son nom promet: dans un monde sain, le terme désignerait, à l'instar du black power, une sous-catégorie de rock pratiquée par des Afros pour des Afros. Tout serait plus logique, de la qualité pourrave des enregistrements (représentative de pays pauvres où l'on se démerde comme on peut avec ce qu'on a) à l'obsession christophage, puisqu'il n'y a plus guère qu'en Afrique Noire que l'église honnie représente encore quelque chose de quelque importance.

Mais voir, depuis plus d'un quart de siècle, des post-Aryens empiler les déclarations de guerre à l'encontre du Christ, dans un Occident où le catholicisme est à l'image des églises démolies ou vendues, c'est tout simplement impossible à avaler.

A la limite, il serait question d'encaguer le protestantisme judéolâtre que tout ce cirque serait quelques dixièmes de pourcent moins ridicule. Mais c'est systématiquement le catholicisme qui est visé, ses rites, ses symboles et ses pratiquants déclinants.

Peinturlurés de mes deux, encloutés de mes douze, question sincère: quel dangereux ennemi pensez-vous défier ? Quel puritanisme vous imaginez-vous chahuter ? Dans que putain de monde pensez-vous vivre ? Vous accomplissez l'exploit de surpasser les antifas sur le terrain de l'obsolescence, de la guerre de retard, et de l'autisme volontaire. Un picador embrochant un squelette de taureau dans une arène oubliée aurait un poil plus de classe: lui au moins risque de glisser et se faire mal en tombant sur une vertèbre.

Et tout ça dans un respect scrupuleux de la Correction : vous seriez au courant que la Torah est incluse dans la Bible (genre, vers le début), vous prendriez le temps d'en découper les pages avant d'y foutre le feu. Ce n'est que grâce à une stupéfiante inculture que vous flirtez avec la vraie provoc', à l'insu de votre plein gré - vous rachetant un supplément d'âme avec ces caractères hébreux dont vous farcissez vos logos sans même être trop sûrs de comment ils se prononcent ou dans quel sens ils se lisent.

Ceci précisé, Panzer Division reste une tuerie absolue - et toutes les galettes de Marduk pondues depuis ne lui arrivent pas à la semelle. Mais il m'est souvenance de débats internes comme quoi "ça" n'était pas vraiment du BM mais du pur bourrinage, machin, cul & commode. Ca voudrait dire que je n'y connais que pouic, et ça serait une excellente nouvelle.

 

* * *

Le fait de ne pas réussir à ne troncher qu'une seule et même feniaule au cours de toute une vie ? Biologie 1 - Morale 0. Que l'on consente à payer pour ça ? Eh ma foi, ça n'est pas une invention de la Forme-Capital, que je sache. Qu'on puisse se commander une pute par internet au même titre que des pompes ou un kebab, ça paraît difficilement scandalisable.

Qu'on puisse consentir à raquer, même une somme minimale, pour sous-traiter sa propre tendance à l'infidélité à un site faisant officiellement commerce de ladite tendance ? Ca constitue un sommet d'humiliation et d'impuissance, pour ne pas user du terme "handicap". Monsieur Moyen est si dégénéré qu'il n'est même plus capable de faire seul l'effort d'entreprendre sa secrétaire ou sa voisine: il est prêt non seulement à payer pour que des Shylocks le cornaquent au milieu d'un supermarché du cul, mais pire encore à prendre le risque de voir ses sordides et déprimantes histoires de fesse (tarifées entre non-professionnels!) étalées publiquement par des pirates informatiques qui n'ont que ça à foutre.

Bien fait pour la gueule de ceux qui se feront poisser, pas parce que l'infidélité est en soi répréhensible (si on ne veut pas ou qu'on ne peut pas être fidèle, on ne promet pas de l'être et on négocie entre adultes responsables), mais pour avoir voulu y céder en allant dans une sorte de macdrive de la baise. 

* * *

D'un bord à l'autre de la Merditerranée, c'est tous les jours Le Camp des Saints VI - Le Retour du Fils de la Vengeance. On en est au point que neuf personnes sur dix s'en foutent et que le reste s'en félicite, déguisant leur enthousiasme suicidaire sous de l'indignation puritaine quant aux conditions abominables dans lesquelles se déroule ce regroupement racial.

Passé l'agacement initial, on finit presque par rejoindre ces ordures sans nom dans leur joie délétère. Oui, c'est peut-être belle, bonne et excellente chose que de voir ainsi la non-forteresse Europe enfin prise un peu sérieusement d'assaut. Que cessent enfin ces interminables préliminaires et que le viol/meurtre de toute une civilisation soit mené à son terme pour de bon. Crever, soit, mais se voir disparaître au rythme d'une cellule par jour, dans une ambiance de réveillon au centre médico-social, c'est insoutenable. 

* * *

Le parti de Jean-Marie a viré Jean-Marie. Si ça ne vous apparaît pas comme un signe clair de l'arrivée de l'Apocalypse, alors vous êtes un mauvais chrétien et un réac en bourre de peluche. Autant vous faire juif ou musulman direct et, là aussi, passer enfin à autre chose de plus sérieux.

Ca, c'est pour le volet spirituel et mystique de la chose; le volet politique, lui, n'a bien entendu aucune espèce d'importance. A ce propos, l'hymne de la rentrée pour les militants FN est écoutable ici.

16/08/2015

LA BOUCHE EN CUL DE (PIL)POULE

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"Vous aussi, vous avez des superpouvoirs ! Balancez-vous sous un train, vous verrez que je vous raconte pas des craques !"

 

Connaissez-vous beaucoup de Blancs qui se sentent parfaitement bien en tant que tels, absolument pas travaillés par une forme plus ou moins virulente de culpabilité collective ? Comptez pour voir.

Oui, moi aussi une main me suffit comme dit la sagesse célibataire.

Un certain Jesse Benn pense que c'est une immense majorité, que tous les problèmes interculturels viennent de là, et que cette majorité doit commencer à souffrir sérieusement si l'on espère voir s'établir une justice raciale de notre vivant. Le gaillard parle d'ailleurs moins de souffrance que de blessure ("wounding"). En d'autres termes: Toubabs, vous pensiez avoir suffisamment reçu d'excrément dans la gueule ? Ca n'était qu'un petit échauffement: on n'attend pas de vous qu'un masque de merde accepté avec joie, l'idée est de vous noyer dedans.

Je serais tenté de faire remarquer, comme ça au passage, que le type se définit comme Blanc dans ce morceau de bravoure masochiste, et comme Juif sur touitaire. Mais ce genre d'insinuation serait déloyal, complotiste et hors-sujet donc je ne m'abaisserai pas à apporter une telle eau brunâtre à un moulin dont les ailes sont gammées.

Bastons les questions de pédigrée: une telle franchise est rafraîchissante. On apprécierait que beaucoup plus de métisseurs (pour les autres, bien sûr) et d'ethno-relativistes se montrent sous un tel jour, au lieu de se camoufler leur sectarisme halluciné sous des atours centristes et modérés.

J'ajouterais volontiers qu'on apprécierait de voir plus souvent un causeur Juif se définir exclusivement en tant que Blanc, et pas seulement au moment de réclamer telle ou telle forme d'ochouitzation culturelle pour ses tout nouveaux "semblables". Mais ce serait déloyal, complotiste, etc.

06/08/2015

RÉVISE TOUJOURS, TU M'INTÉRESSES

Faurisson et Atzmon évoquent l'Eau-Low-Cost sous l'angle du phénomène religieux:


Leur hypothèse est que la chose n'est pas seulement une simple extension du judaïsme traditionnel, mais une secte à part entière, qui se serait implantée  en Occident du fait d'un vide spirituel préalable. La capitulation des historiens aurait favorisé la chose :"Quand il y a du vide, Dieu vient s'y mettre".

C'est certainement pertinent, mais c'est peut-être accorder trop d'importance au phénomène.

Ce qui tue l'Occident n'est de loin pas que cette secte grotesque. Elle est pratiquée et prônée par nos amis casher, mais le goy de base n'en connaît que trois rudiments et deux prières. Au "latin d'église" d'il y a deux siècles répond le baragouin Ochouitzien actuel: fours-à-gaz, Hitler méchant, négationnisme affreux, amen, c'est l'heure de l'apéro. Que des millions d'abrutis accordent foi au mensonge historique est certes un fait, mais quelle est la profondeur de cette foi ?

Mon hypothèse est que la pratique se fait plus ostentatoire à mesure que l'on gravit les échelons du Spectacle: simple couillon ? Il suffit d'admettre la liturgie et de n'en jamais parler sans qu'on vous le demande expressément. A partir de sergent et lieutenant, il faut qu'on vous voie un peu plus souvent à l'église, et que vos supérieurs reçoivent des éloges sur votre assiduité. Des ambitions de colonel ? Va falloir faire pousser du cal aux genoux.

Mais quelle sincérité, à tous ces étages ?

Ce n'est pas que Monsieur Moyen trouve les Juifs formidables, c'est qu'il sait que ceux qui sont réputés ne pas les aimer, ou réputés être détestés par eux, sont des aimants à emmerdes. Et il est normal, voire sain, de se méfier d'individus ou de groupes si empressés de s'attirer des ennuis avec la police ou la presse. Basique instinct de protection.

De même, on peut poser que le péouse médiéval aimait moins Dieu qu'il ne craignait le Diable.

Les révisos se plantent s'ils croient que "tout tient" sur ce culte des morts des Autres. Ce que l'ennemi considère comme central peut fort bien n'être que très secondaire, et ne pas mériter qu'on y consacre trop d'énergie. Voyez les mahométans et leur supposée panique face au jambon ou la bière: c'est leur faire un effarant honneur que d'ériger, par contraste, ces produits par ailleurs très nobles en symboles politiques voire identitaires...

Religion officielle ? Oui, mais dans tous les sens du terme: les ouailles suivent mollement, pour ne pas avoir d'ennuis. Ceux qui montrent la plus grande ferveur, parmi ceux qui n'ont rien à y gagner, sont les sursocialisés pour qui les courbettes holocaustiques font partie du "pack" Correct: post-négritude, homophilie, discours anticlérical visant uniquement le Vatican, etc.

Et ce qui tient ce pack, son vrai tissu conjonctif, ce ne sont pas les ochouitzeries, c'est la HONTE BLANCHE. Le culte shoatique ne se superpose pas à elle, il s'y subordonne tout au contraire, n'en constitue qu'un volet, si colossal soit-il. La meilleure des preuves ? Voyez les plus bruyants hérauts de l'incroyance ochouitzeuse : ils n'ont absolument aucun problème avec le reste du pack. "Vive l'Ouverture! Vive l'abâtardissement ! Israël est une méchante chose parce que c'est ouacisse et dixriminatoire !" C'est précisément au nom dudit pack qu'ils justifient leur engagement... Vendu comme produit d'extrême-droite aux masses de mes deux, le révisionnisme n'est qu'une énième branche de la propagande gauchiste visant à déconstruire pour mieux démobiliser et démoraliser.

Reste une poignée de nazebroque venus à s'intéresser à ces questions, poussés par un antisémitisme si doctrinaire et couillon qu'ils acceptent de frayer avec des métèques pas moins cinglés, pas moins mystiques et pas moins dominateurs que les sionistes...  J'en sais quelque chose, ayant quelques temps frayé avec de tels individus. Ma mémoire reste mutilée par le souvenir d'une rencontre avec quelques vieux natios, dont un converti qui interrompait sa conversation en jetant ses bras en l'air et en braillant voilà-queue-barre à chaque fois que le nom de son putain de prophète y émergeait... Son sujet de prédilection ? Le grand moustique de Jérusalem, si brillant et clairvoyant qu'Oncle Adolf lui devait absolument tout...   

Qui se soustrait au chantage affectif de la grande repentance raciale n'en a plus rien à foutre, et ce qu'il s'agisse d'une vérité historique solidement étayée, ou de la plus grande fumisterie du monde dit moderne. Est-ce que vous passez tous vos week-ends à démonter, preuves à l'appui, que les miracles reconnus par l'église sont des hallucinations, et les saints des toxicos manipulateurs ? Evidemment non: la foi perdue, on passe sereinement à autre chose.

Enfin on devrait pouvoir.

Je me suis farci à la chaîne pas mal de "documentaires" sur la franc-ma-connerie ces derniers temps, et il est exaspérant de voir qu'une bondieuserie finit tôt ou tard par se substituer à une autre. Voyez cet interminable monologue de Pierre Hillard, tout récent. Un long moment, il semble factuel, détaché, précis, et à la fin de son intervention on retombe en pleine culbéniterie mystique, avec un homme apparemment sérieux et éduqué qui vous parle de la Vierge Marie comme si elle était assise à sa table. Outre le fait que je ne connaissais pas le personnage, je ne sais pas pourquoi ce délire théologique m'a autant surpris: à ce jour, je n'ai pas croisé un film ou un bouquin sur le sujet qui n'ait pas été soit écrit à charge par un catho ultra, soit comme plaidoyer sirupeux par un anticatho plus ou moins sataniste.

C'est net: Dieu adore le vide, il s'y pointe dès qu'on commence à être un peu à l'aise.

03/08/2015

CANDEUR OSSIFIÉE

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Chaque individu, selon son caractère plus ou moins inné, se blinde comme il le peut face à la laideur érigée en idole et à la stupidité élevée au rang de mètre-étalon de la pensée. Le cynisme et le tout-pour-ma-gueule semblent la norme, et de loin pas qu'à notre lamentable époque. Moi, c'est la candeur, une candeur qui ne passe pas, qui s'est calcifiée, alors que le temps qui passe et l'accumulation de spectacles abominables aurait normalement dû l'anesthésier.

La souffrance du scandale est intacte comme aux premiers jours où j'ai, bien malgré moi, rejoint les rangs de la Haine et de la Nauséabonderie. J'ai pu faire pousser juste ce qu'il faut d'épaisseur de cuir pour n'avoir plus rien à foutre d'être apprécié ou haï par mon entourage, mais les attaques contre la langue, la culture, la vérité historique ou le droit des peuples à ne pas se prendre pour du concentré de purin, rien à faire : ça fait toujours mal.

Je reste surpris et heurté par les reptations holocaustiques qui affleurent jusqu'aux notices d'emballages, alors que j'ai compris depuis longtemps que le cursus honorum contemporain suppose tôt ou tard une turlute à Mordechaï. La terreur des intellos de ne pas paraître suffisamment enamouré de la météquerie et de l'abâtardissement ? Je crois en connaître le moindre aspect, mais à chaque nouvelle manifestation j'en ressens la saleté comme une agression personnelle aussi inattendue qu'extraordinaire. Si je veux me concilier un auditoire, le sarcasme désinvolte vient aisément, mais seul, c'est l'insulte et la menace qui m'échappent, marqueurs d'un investissement émotionnel tristement intact.

Pour prendre un dérisoire exemple, je demeure années après années outré quand un journal parle de boyfriend dans une phrase en français pour causer du gode humain temporaire de telle ou telle célèbre pute. J'ai beau savoir que neuf quotidiens ou magazines sur dix relèvent à la base et ouvertement de la trahison pure et simple, et que la presse pipole (tiens! rien que le terme est horripilant), ce genre de détails microscopiques m'agace toujours à la limite de la crise eczémateuse.

En principe, une écharde qu'on ne parvient pas à extraire finit par s'encapsuler, comme un grain de sable finit par devenir une perle pour ne pas blesser l'huître où il s'est glissé. Pas chez moi. La sagesse populaire - ou va savoir quel célèbre plumitif - postule qu'on finit par ne plus sentir l'odeur de la merde si on la respire à pleins poumons assez longtemps. Ca impliquerait que je n'aie toujours pas eu ma dose, alors que je sature depuis un moment.

C'est d'autant plus épuisant qu'il n'existe aucun moyen sérieux de canaliser cette colère, d'en faire quelque chose de vraiment productif sur le long terme.

Les petits trucs qui fonctionnaient il y a quinze ou vingt ans ne me font plus d'effet non plus. M'acharner à la hache sur du bois ou de la pierre, cogner dans des murs ou des portes, tout ça ne me procure plus ce "flash" de soulagement, si éphémère soit-il. La calcification n'a fait son oeuvre qu'à ce niveau-là: le bref apaisement de l'explosion, ça ne marche plus. Elle n'autorise qu'une irritation supplémentaire, jusqu'à l'étranglement, le vertige qui seul force à se retenir un peu, et à attendre que ça veuille bien baisser d'un cran pour reprendre comme que comme le cours de la journée ou de la nuit. En boitant comme un infirme ou la main prise d'une boursouflure dont je n'ose avouer l'origine à personne.

Le verre à moitié plein, c'est que tout ce cirque conserve pure et vibrante une colère qui n'attend qu'une occasion pour être enfin utile. Le verre à moitié vide, c'est que ça va finir par me bousiller, bien plus vite et plus sûrement que tout ce qui la cause.

17/06/2015

LES HOMMES CREUX

Le deux poids-deux mesures médiatique qu'on observe au désavantage systématique du mâle hétéro blanc n'est qu'un symptôme, la surface des choses. Le dénoncer ne suffit pas, et on ne met pas le système en danger simplement en soulignant cette "injustice" : aux yeux des Correcteurs, elle est un mal nécessaire, le rétablissement de l'équilibre.
 
La culpabilité  ouaciste de Monsieur Moyen va de soi, elle n'est perçue comme injuste par personne, elle ne doit pas être contestée, elle ne doit pas même être discutée. Qui s'y risque est une chochotte, un égoïste stupéfiant qui se plaint de ses First World Problems avec la plus complète indécence. C'est d'ailleurs le SEUL moyen pour les progressistes de se laisser aller à leurs instincts machos et dominateurs, d'adopter un discours ouvertement cruel et viril : un homo qui s'imagine persécuté n'est PAS une tapette, l'hétéro dans la même situation peut en revanche s'attirer une telle insulte.
 
Le raisonnement est circulaire, des arguments rationnels n'en viendront pas à bout.
 
Idem avec l'invocation mystique du Reich: on voit bien que le bilan autrement plus abominable du bolchévisme ne tient pas une seconde face à l'image diabolique d'Oncle Adolf et consorts. La "comptabilité macabre" n'est donc pas en jeu et ne le sera jamais. Le national-socialisme est devenu l'Amman d'un nouveau Pourim perpétuel à vocation mondiale (mais réellement efficace en Occident uniquement, le reste de la planète y étant insensible).
 
Dénoncer le deux-poids deux-mesures ("Qu'est-ce qu'on entendrait si..."), c'est créditer - consciemment ou non - le régime d'une mauvaise foi honteuse, d'une hypocrisie qu'il redoute d'être exposée. Or sa foi est inoxydable et il ne craint pas les accusations qui proviennent du camp du Mal. Dans ce discours, l'Ennemi n'a pas de sens critique, aucune qualité rédemptrice, aucune humanité, aucune intention vaguement bonne.
 
Leucoderme et pas affligé de l'être ? Vous êtes disqualifié, n'avez pas voix au chapitre, et tout ce que vous direz devra être pris avec des gants très épais, écouté avec des capotes sur les oreilles.
 
La prétention d'objectivité et de neutralité républicaine de l'Etat et de la presse est un mythe. On ne fait que le renforcer en se contentant d'en critiquer l'artificialité. Nos dirigeants, nos parlementaires, nos réds-en-chefs, nos sociologues, nos philosophes, sont très majoritairement acquis à la cause de notre propre disparition en tant que peuple et à l'éradication de la culture native européenne.
 
Qu'ils le taisent n'implique pas qu'ils le cachent: n'espérez pas une seconde les prendre la main dans le sac ni leur faire honte: ils le savent et s'en tapent, ou l'ignorent et ne comprennent rien au film.
 
Une même faille sape d'entrée de jeu le discours identitaire - articulé en ces termes - et le discours révisionniste: la méchanceté supposée du messager prime à jamais sur le contenu de son message.
 
Les bonnes manières exigent que l'on "vive avec son temps", et que l'on aille dans "le sens de l'histoire". Ce qui s'est ou non passé en Polakie il y a septante ans n'intéresse personne, et il est normal de prêter de mauvaises intentions à qui se passionne pour cet étrange sujet.
 
Quant à la modification radicale de la démographie occidentale, Monsieur Moyen ne sait pas trop sur quel pied danser: tantôt on lui dit que c'est réel ET une excellente nouvelle, tantôt on lui explique que c'est archifaux, et qu'il doit se défier des tarés qui propagent ces glaireux mensonges.
 
En termes facebookiens, "c'est compliqué".
 
Et un peu glauque.
 
Et même si ça semble contenir un fond de vérité, on ne peut pas y faire grand-chose à l'échelle individuelle.
 
Et la gueule de ceux qui, ces dernières décennies, ont prétendu agir en groupe, n'est vraiment pas engageante.
 
En résumé : oui, une guerre est bel et bien menée contre les Toubabs et ce qu'il demeure de leurs traditions. Mais c'est une nouvelle et hallucinante Drôle de Guerre, où un camp mène des opérations brutales et où l'autre feint de ne pas les voir, refuse carrément l'idée de "guerre", s'arrache publiquement les yeux plutôt que d'admettre devoir choisir un "camp".
 
L'identité blanche contemporaine, c'est la jonction de la doctrine du Péché Originel et du Devoir de Mémoire. Vous enlevez ça à vos semblables, et les neuf dixièmes n'auront plus que leur patron, leurs frusques ou leur marque de bière pour se définir la moindre.
 
Les gens que vous prétendez "réveiller" ne dorment pas: ils sont bien éveillés, mais CREUX, vidés de toute substance spirituelle.

12/06/2015

LICORNE OR NOT LICORNE ?

Un richissime et célèbre androgyne, né mâle, s'automutile jusqu'à l'absurde pour ressembler à une feniaule. Ca lui vaut les ovations de la presse mondiale, voire du président des Stazunis. Si certains pouvaient encore concevoir le moindre doute à ce sujet jusqu'ici, un cheval à qui on greffe un coquillage sur le front est bel et bien une licorne (1). Ca vous choque ou vous fait ricaner ? Annoncez-vous de vous-mêmes aux urgences psy les plus proches, vous éviterez à la police de devoir vous amener avec des bracelets inconfortables.

Foutez-vous-le dans le crâne une fois pour toutes: l'identité, c'est souple et tout le monde est libre de choisir la sienne, qu'importe ses prétendues origines.

Une blonde se fait passer pour moitié-quart-dixième-millième Afro, qui plus est après des années de propagande afrolâtre et leucophobe ? Scandale, foutage de gueule, dissimulation honteuse, qui invalide tous les services rendus à la cause jusqu'ici.

On ne déconne pas avec la génétique, et si vous croyez qu'on peut fabriquer une licorne avec un poney, du scotch et un gode, les urgences psy les plus proches vous attendent avec impatience.

Pareil si tout ce qui précède vous paraît avoir le moindre sens.

 (1) Pour la plus parfaite honnêteté, qu'il soit dit que l'image de la licorne a été empruntée Taki ici.

02/05/2015

SALUTAIRE DISTRIBUTION DE MORNIFLES

Avis aux gaullistes : Jeanne d'Arc n'a pas fait de la résistance en se carapatant à l'étranger mais en prêtant son concours au souverain légal et légitime qu'elle a restauré en combattant sur le sol national.
Avis à Marine Le Pen : Jeanne d'Arc n'a pas contribué à sauver la terre de ses pères en commençant par tuer son propre père.
Avis aux démocrates républicains : Jeanne d'Arc était royaliste.
Avis aux laïcistes : Jeanne d'Arc n'a pas placé son combat sous la bannière de l'Etre Suprême, mais de Dieu.
Avis aux féministes : Jeanne d'Arc a pris l'armure avant que vous enleviez vos petites culottes.
Avis à l'Église : Jeanne d'Arc a été déclarée relapse, apostate et schismatique pour avoir défendu les valeurs traditionnelles de son pays et de sa religion.
Avis aux juges français : le cas de Jeanne d'Arc témoigne que l'influence de l'Étranger dans les prétoires ne date pas d'aujourd'hui.

Paul-Éric Blanrue

02/04/2015

UN OS

"Jusqu'à quarante ans, j'ai cru que c'était un os."
 
On a plus pathétique et poignant que cette citation, sans doute apocryphe, d'Henri IV, parlant de vous savez quoi. ll y a la Correction qui, par la voix de l'une de ses pitoyables boniches, crache le morceau : quand bien même punk's not dead, ce qui reste à prouver, sa version bérurienne qui "emmerdait le Front National" bande mou et n'arrive plus à le cacher.

Nostalgie dégueulasse, indécente complainte, étalage honteux d'un fantasme pourri. Oui, votre temps est passé depuis longtemps, et s'il vous restait la moindre trace de dignité, il serait heureux que vous l'acceptiez. Heureusement, c'est un souci que vous avez réglé depuis un moment.

Envie de lire une autocritique larmoyante de la gauche punk-à-chien sur son propre naufrage? C'est ici.

* * *

Pas de triomphalisme réac pour autant ! D'abord, il ne s'agit que d'UNE voix sur le vouaibe, à qui les porte-voix officiels n'accorderont pas l'importance qu'elle mérite et qui est déjà sans doute oubliée.

Ensuite, même s'il bande mou, un violeur reste un violeur, et Monsieur Moyen n'en est pas moins victime de ses assauts. Tout ça aura l'impact des aveux architardifs d'un Jospin sur le kabuki antifa: NADA.

Nous reste le minuscule délassement de constater la contagion dans les rangs de l'ennemi, de sa propre stratégie de démoralisation: eux aussi commencent à l'avoir saumâtre. C'est insuffisant, ça n'augure de rien ni bon ni mauvais, c'est juste une brève brise bienvenue (notez l'allitération, je devrais faire du ypop) dans notre irrespirable quotidien.

* * *

Que le FN soit un parti comme les autres, ce que déplore la morveuse signant le papier dont il est question ci-dessus, ça fait un moment qu'on n'en doutait plus. Et si nous avions trinqué comme des sauvages en 2002, ce n'était pas parce qu'il avait phénoménalement progressé, c'est au spectacle du trou de balle de ses concurrents les plus enragés, soudainement assoupli à la déchirure par cette savoureuse quenelle. On était encore assez jeunes, à l'époque, pour s'offrir une vraie bonne éclate avec si peu de choses. C'est ça la véritable supériorité de la jeunesse sur le grand âge: on n'a besoin de rien et on se marre avec trois sous.
 
Il s'en trouve qui allèguent qu'avec Marine, la chose est carrément devenue sioniste. C'est imaginable, mais que voulez-vous ? Pour les cent prochaines années, quoique ce soit d'officiel et qui réussira à se faire considérer sera soit bougnoule soit juif. Si un jour un mouvement européen PAR des Européens POUR des Européens constitué AU MOINS à 98% d'Européens commence à en imposer aux Etats et aux médiats, mon défibrillateur est rangé juste à côté de mon plumard, soyez gentils de m'en filer une décharge. En attendant, merci de me laisser savourer mon coma et mettez-moi ça en boucle dans les zoreilles:
 
 
 
 
 

31/03/2015

SOUS NOS MONTS, Y A PAS D'SOLEIL

Le citoyen chuiche est consulté quant aux paroles "modernes" d'un "nouvel" hymne "national" (plus de guillemets avant le prochain billet). Voyez si les essais vous amusent vaguement, moi je n'ai même pas essayé, c'est au-delà de mon endurance.

Je signale juste que l'original, qu'on se propose d'ainsi mettre au non-goût du jour, était à la base un chant d'église - d'où le terme de Cantique, hein. Ainsi que la pompeuse lenteur et la sucrosité insoutenable de la mélodie, bien faite pour que le plus pogol des membres de l'assemblée du dimanche arrive à suivre.

Si les paroles de la Marseillaise heurtent le Charlitoyen par leurs appels à la violence xaineaupheaubes, celles dudit Cantique ne causent pratiquement QUE de Dieu. Ô surprise. La Nation, c'est le truc évoqué ça et là, qui tremble dans la nuit et qu'est trop content de savoir que Jehovah se préoccupe d'elle.

Alors qu'une poignée d'allumés aux tripes confites dans du sirop se pique de ravaler cette abjecte façade avec un texte encore plus niais, plaqué sur la même indigeste musiquette... Comment vous résumer ça ? Disons que c'est vraiment très intéressant

De toute façon, rien ne dépasse l'hymne camerounais :


 

Sauf peut-être celui du Qatar: