24/05/2010
TOUT TRAVAIL MERITE SALAIRE
... et parfois, on se fait payer en nature :
Two weeks ago, on a Monday morning, I started to write what I thought was a very clever editorial about violence against women in Haiti. The case, I believed, was being overstated by women’s organizations in need of additional resources. Ever committed to preserving the dignity of Black men in a world which constantly stereotypes them as violent savages, I viewed this writing as yet one more opportunity to fight “the man” on behalf of my brothers. That night, before I could finish the piece, I was held on a rooftop in Haiti and raped repeatedly by one of the very men who I had spent the bulk of my life advocating for.
It hurt.
13:46 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (11)
Commentaires
Dieu merci, ça reste de la faute des méchants blancs wacistes qui oppriment les gentils noirs. Gageons que si des haïtiens avaient lynchés un soldat US ou un casque bleu venu les aider, cette dame aurait trouvé ça tout à fait compréhensible.
Lesdits gentils noirs n'ayant bien évidemment aucune responsabilité dans le fait que, 200 ans après leur indépendance, leur pays s'enfonce chaque jour un peu plus dans la merde, les seuls moments de relative prospérité étant quand il se retrouve sous occupation américaine.
Il n'y a pas à dire, c'est cool d'être noir, on reste un enfant toute sa vie.
Écrit par : Anthony | 24/05/2010
Impressionnant, j'ai cru à un gag au début... Le genre de texte à placarder dans tout Haïti, avec la mention "servez-vous, c'est le Blanc qui rince" apposée dessus.
Écrit par : Benway | 24/05/2010
Cette dame n'a toujours rien compris :
"Women are not the source of their oppression; oppressive policies and the as-yet unaddressed white patriarchy which still dominates the global stage are. Because women–and particularly women of color–are forced to bear the brunt of the Black male response to the Black male plight, the international community and those nations who have benefitted from the oppression of colonized peoples have a responsibility to provide women with the protection that they need."
Elle s'est fait violer par un Haïtien, mais c'est la faute des Blancs. Bien sûr. Qui d'autre ?
Je n'aime pas dire ce genre de choses, mais je crois qu'un second coup de bite s'impose.
Écrit par : Robert Marchenoir | 24/05/2010
Le cas de cette nana me semble vraiment relever du domaine de la psychiatrie lourde ...
Elle réussi l'exploit de trahir doublement sa propre cause primo en insultant toutes les femmes violées, lesquelles devraient - si l'on suit son exemple - trouver des circonstances atténuantes à leurs bourreaux, secundo en exonérant son violeur de sa responsabilité et ainsi renvoyer ce dernier à une irresponsabilité puérile archétypiquement "nègre", incapable de contrôler ses instincts qui sont obligatoirement surdéterminés par l'attitude qu'auraient les blancs à son égard.
De toute évidence, l'idéalisme n'a pas souffrir de la cohérence, seuls comptent la pose et le confort psychologique de celui qui l'adopte. En langage de bistrot : un bon gros foutage de gueule bien narcissique estampillé "progressiste".
Écrit par : snake | 25/05/2010
Et bien entendu, comme toujours chez les gauchistes, c'est une question de "moyens" (lire : le pognon des autres).
Cette fois-ci, c'est la faute des Blancs qui ont donné uniquement du pognon aux femmes haïtiennes (se conformant ainsi, sans nul doute, aux injonctions des féministes occidentales : faut donner le flouze aux gonzesses, parce qu'elles seules savent le dépenser sagement, tandis qu'en donner aux hommes, c'est perpétuer la dégueulasse domination patriarcale).
Bon, les salauds de Blancs obéissent, donnent le pognon, et voilà-t'y pas que notre vaillante militante féministe noire "étudiante en Malcom X" (authentique) se fait mettre sans son consentement par un Noir qui la gifle en lui disant de la boucler.
Conclusion : c'est la faute de ces salauds de Blancs. Il faut qu'ils donnent aussi du pognon aux hommes noirs. Il est évident que quand le pognon blanc atterrit dans la poche de leurs femmes, ces derniers deviennent fous de rage et se mettent à les violer (faut les comprendre).
A ce stade-là, évidemment, c'est désespéré.
Note : même les Haïtiens (enfin, certains d'entre eux) ont reconnu, après le tremblement de terre : OK, c'est bon, on a compris, on est incapables de nous gouverner nous-mêmes, maintenant il faut qu'une puissance étrangère vienne faire ça à notre place.
Écrit par : Robert Marchenoir | 25/05/2010
En image, c'est encore plus parlant ...
http://site.helpingourselves.us/images/0013052n2cz_c593.jpg
Écrit par : Le Bâtard | 26/05/2010
"et voilà-t'y pas que notre vaillante militante féministe noire "étudiante en Malcom X" (authentique) se fait mettre sans son consentement par un Noir qui la gifle en lui disant de la boucler."
On apprécie l'ironie de la situation, haha.
Écrit par : snake | 26/05/2010
"I was held on a rooftop in Haiti and raped repeatedly by one of the very men who I had spent the bulk of my life advocating for.
It hurt."
Il y a donc une justice en ce bas-monde.
Écrit par : Benjamin Binus | 26/05/2010
au bâtard : l'attitude colonialiste paternaliste progressiste n'a pas pris une ride. cette grosse pute considère les nègres comme des enfants qu'il faut aider, des victimes impuissantes à cajoler, des petits bambins à moitié débiles (c'est triste mais mignon) qu'il faut secourir car qui sauve un nègre sauve l'humanité n'est-pas, et puis les Blancs ces pourris de salauds capitalistes nazis sont des ordures, il faut bien que je rachète ma race. tout ça se voit dans la gueule de cette pouffiasse. c'est une image d'un masochisme racial absolument dégoûtant, et pour cette pute blanche, et pour ce pauvre négro (victimisé et consentant, mentalité de clochard, de mendiant, d'esclave). cette gauchiste névrosée plein à rabord de bons sentiments et de répugnante charité est plus raciste que moi, puisque elle n'admettra jamais consciemment qu'elle considère ces gens-là comme des inférieurs. le 19ème était moins hypocrite et jules ferry le disait tout net : "le devoir des occidentaux est d'apporter la civilisation aux races inférieures". de nos jours, c'est tout pareil.
Écrit par : Benjamin Binus | 26/05/2010
"Malcom X scholar" ne signifie pas "étudiante en Malcom X" Mais spécialiste de Malcom X".
A part ça rien.
Écrit par : Chrys | 01/02/2013
*"spécialiste de Malcom X"*
Écrit par : Chrys | 01/02/2013
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