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14/08/2010

ILS NE VEULENT PAS CE QUE VOUS AVEZ A LEUR OFFRIR

Vous voulez de la Diversité ? Vous pensez que l'Autre nous enrichit ? Vous prônez l'Intégration ? Alors deux options sont possibles, deux seules : vous bossez objectivement pour l'éradication de la culture blanche, ou vous êtes un gros con à la tête farcie de guimauve doctrinaire.

Aux premiers, nous n'avons rien à dire. Aux seconds, je déclare ceci: si vos idéaux valent plus que le papier qui m'a torché ce matin (et une alimentation riche en piments, ça coûte beaucoup d'arbres), vous n'avez qu'un seul moyen de ne pas finir complice du génocide des blancs : prôner l'Apartheid.

Un Apartheid raisonnable, humain, mais inflexibe.

Ce n'est pas comme si les nouveaux venus cherchaient à entrer dans le club pour profiter de ses avantages et réclamer l'honneur de se plier à ses lois. Ils veulent sauter de la blanche, bolosser du pâlichon, palper des chèques sans rien glander, caillasser la flicaille et s'en sortir avec des peines légères, imposer la chariah à tout le monde tout en la pratiquant, bien entendu, de manière très relax.

L'Europe, ce n'est pas la Déclaration des Droits de l'Homme et trois poèmes de communistes plus ou moins juifs pondus il y a soixante ans. L'Europe, c'est le rôti de porc et l'assemblage syrah-grenache-carignan. C'est la Sainte Chapelle et les remparts de Carcassonne. C'est le rock et la country. C'est le cynisme rigolard et la punkitude flamboyante. le Requiem de Mozart et les peintures de Lascaux. Des yeux couleur eau de roche, des courbes légères, un sourire arrogant, une féminité vengeresse et délicieuse, qui ni ne se camoufle ni ne s'étale – ni string ni-qab.

C'est l'amour du beau geste, de la parole qui claque, de la clémence envers l'ennemi courageux et vaincu. C'est le Colysée et le plafond de la Sixtine. C'est la brume du matin qui s'effiloche dans la forêt au moment de reprendre la marche jusqu'au prochain gîte. Les balcons fleuris de ravissantes bicoques en bois noirci et patiné par les siècles. Un art de vivre, un degré de confort conquis de haute lutte par des générations d'ancêtres pauvres et dignes, qui ont chié du sang pour que leur descendance la rote moins qu'eux.

C'est l'Alpha et l'Omega de toute la putain d'histoire intellectuelle, philosophique, technologique et artistique de la planète.

Tout cela, les métèques n'en veulent pas.

C'est ce qu'ils veulent éradiquer, salir, avilir, détourner, conchier, moquer, tourner en dérision, caricaturer, invoquer comme figure de l'Ennemi, du Croisé, du Colon, de l'Homme Blanc et son Fardeau. Tout cela les rappelle à l'humilliation de leur condition originelle, à leur faiblesse héréditaire, à leurs défaites systématiques face à l'archipel le plus minuscule de l'Eurasie qui a mis le globe à genoux pendant des lustres et a créé 90% des choses qui font que la vie mérite qu'on s'y attarde un peu et qu'on se batte pour la rendre moins laide, moins conne, moins désespérante.

Tout cela, ils n'en veulent pas, ils n'y entendent rien, ils se gargarisent de leur incompréhension, de leur mépris, de leur ressentiment d'esclaves mal affranchis.

Ils ne veulent rien de ce que vous prétendez leur offrir. Le souk, la crasse, la débrouille dégoûtante, la combine, la puanteur, l'imbécilité, l'inceste, les mutilations rituelles, la laideur décomplexée, la loi du moindre effort, le triomphe de la bassesse, voilà leur héritage, voilà leur force, voilà leur fierté, ils n'ont besoin de rien d'autre. Vous espérez de la tolérance en échange de votre ouverture ? Vous vous ferez rire au nez, cracher à la gueule, mettre bien profond.

Je pense que vous êtes beaucoup à le sentir, et à refouler ce vilain sentiment. Vous n'espérerez plus rien, ni de l'être humain en général, ni du potentiel révolutionnaire des minorités en particulier, mais vous vous laisserez crever plutôt que de renoncer à votre idéal. Parce que, dans vos tripes, vous êtes des curetons, des moralistes, des pisse-froids, et ce ne sont pas vos références libertaires qui y changeront quoique ce soit.

Vous voulez de la Diversité ? Vous DEVREZ accompagner ou planifier le Développement Séparé des cultures sur le territoire européen. Le divin métissage qui vous file vos plus belles érections, n'est qu'une étape, une corruption temporaire aux effets définitifs. Dans le monde brun que vous appelez de toutes vos pitoyables prières laïques, vous n'avez pas votre place. Une fois que les Toubabs seront une minorité parmi tant d'autres, les règles de vie en commun qui prévalent dans les prisons de haute sécurité vont s'imposer d'elles mêmes : chacun à sa place.

Tout au long du XXè siècle, il aurait été possible d'arriver à un tel résultat par des moyens légaux, pacifiques, humains, pleins de clémence et de sagesse. Votre folie, votre haine de vous-mêmes, cette mort cérébrale volontaire qui vous tient lieu de doctrine finira par produire les mêmes résultats, mais avec de la souffrance, du sang, des larmes, et le nivellement par le bas de la plus brillante civilisation de notre histoire connue. Et vous ferez tôt ou tard partie des victimes.

Commentaires

Gé-nial !!!

Écrit par : Rictus | 14/08/2010

C'est de la pure sémantique, mais le nom « Europe » a été détourné par l'Union européenne. Qu'on s'en réjouisse comme les cabris européistes ou qu'on s'en désole comme les vrais Européens, lorsque l'Européen moyen dit « Europe », il pense aux technostructures dirigées par Van Rompuy, Barroso, Ashton, Trichet.

C'est triste, mais c'est comme ça.

Le terme qui me sied plus, c'est celui d'Occident. D'abord parce que c'est le terme originel (l'Empire romain d'Occident, l'Empire d'Occident carolingien), ensuite parce que ceux qui l'utilisent parlent vraiment de ce que c'est : les Celtes, les Latins, les Germains et les Slaves armés de la science, de l'art et du droit. Et, accessoirement, lestés de la Bible, lorsqu'ils ont peur de la mort.

Écrit par : Criticus | 14/08/2010

Vous êtes en forme ce soir Stag.

Écrit par : Anthony | 14/08/2010

Un de vos meilleurs billets, stalag. Vous avez tout résumé !

Écrit par : pignouf | 14/08/2010

Très bien dit.
Il suffit de se balader à Paris dans les néo-quartiers "populaires" (sic) pour voir la tronche de l'avenir répugnant qui nous attends : crasse, misère putride, laideur, putanteur, tiers-monde infect, négros en pagaille, boubou, bourre-caca et grosses fatmas, racailles, odeurs de merde et de bouffe avariée, ... à faire fuir n'importe quel homme blanc digne de ce nom ! Les quartiers dominés par les chinetoques sont moins immondes certes, mais tout aussi peu "européens".
La seule solution, c'est l'auto-apartheid, gagner du pognon pour ne pas se retrouver piegé dans ces zones immondes, et fuir toute cette saloperie pour ne pas virer psychopathe ou suicidaire par dégoût (des autres puis de soi).
L'apartheid social décalque pour l'instant plus ou moins l'apartheid raciale, et c'est très bien ainsi ; mais ça ne durera pas toujours (les 20% de logements asociaux sont là pour y veiller : la plus petite bourgade aura sont lot de gros cul négro-bicot, et de tout le bonheur qui va avec).
Prévoir donc de terminer ses jours au Pôle Nord ou en Islande, parce que rien ne viendra entraver la Marche du Progrès (globalisation = marché + immigration totale)

Écrit par : Beau Brummel | 15/08/2010

Criticus
Ces questions concernant la définition des termes sont passionnantes et fort compliquées !
On a vraiment commencé à parler de l'Europe lorsqu'on a dû la distinguer du Nouveau Monde (des nouveaux mondes, plus précisément, mais ça aussi c'est un vaste débat !).
Avant le début du XVIe siècle on parle effectivement d'Occident chrétien. Mais on comprend rapidement que cette dénomination exclut au moins la moitié du continent... idem pour l'Asie : on parlait d'Orient, proche ou extrême.
Et pour brouiller encore plus les cartes, au temps du sac de Constantinople par exemple l'Orient c'est également l'Empire byzantin, qui était pourtant un état résolument européen (même si des composantes humaines et culturelles étaient clairement influencées par la Méditerranée orientale).
Les Slaves que vous mentionnez ont longtemps été considérés comme aussi étrangers aux traditions occidentales que les Arabo-Berbères... je pense que le caractère européen des Russes a été pleinement considéré à partir de Pierre le Grand, pas avant.
Finalement tout cela est assez logique et dicté par l'histoire, puisque tout commence en Méditerranée (Grèce antique puis Empire romain), continue à l'intérieur des terres plus à l'ouest et au nord (Wisigoths, Francs), se poursuit au cœur du continent germanique et en Angleterre pour finir avec les derniers arrivés dans le concert qui sont les Slaves et les Scandinaves (ces derniers étant, pour de multiples raisons, des peuples au mode de vie et à l'esprit insulaires).
Les frontières de l'Europe sont une création récente car en dehors de la mer et de l'océan les interpénétrations existent, par exemple l'Arménie qui n'est pas vraiment européenne mais qui n'est certainement pas asiatique. Il y a en outre la frontière ethno-raciale qui est parfois loin d'être aussi claire ; je pense ici aux Turcs, dont l'ADN (cf. haplogroupes) révèle qu'ils sont majoritairement beaucoup plus proches des Grecs que des Arabes ou des mongoloïdes dont une infime partie seulement constituait l'aristocratie originelle (origine elle-même à moduler car dans leur propre Turkestan originel il est aujourd'hui attesté qu'un vaste continuum europo-mongoloïde était déjà à l'œuvre, cf. héritage ethnique des Tokhariens).
Historiquement bien plus proche de nous : jusqu'aux années 1950 l'État australien considérait les Italiens et les Grecs comme à peine Européens et les séparait clairement des quotas de Britanniques...
Une pierre dans le jardin et des partisans du tout culturel (la réalité ethno-raciale existe et est souvent déterminante) et des laudateurs du tout inné (on peut opérer un renversement culturel total sur à peu près n'importe qui, individu ou peuple, cf. Janissaires, Mamelouks ou Turcs de Turquie qui ne sont au fond que des Indo-Européens acculturés et fusionnés : Thraco-Phrygiens, Grecs, Arméniens, Kurdes, etc avec en plus l'apport sémite).
Le rapport avec le billet ? Bah j'aime bien digresser un peu et puis il est capital de se rappeler ce qu'on est, ce qu'on n'est pas et ce qu'on ne veut surtout pas devenir. Parce que "devenir" (et non pas "être"), c'est le sens de l'histoire, et parfois le résultat est peu reluisant.
J'ai particulièrement apprécié la locution « débrouille dégoûtante » que je trouve immédiatement parlante et qui laisse une couche poisseuse sur les yeux.
Et un point fondamental est ici abordé : celui de l'égalité des chances de départ. C'est le genre de constat que personne ne peut refuser et y a "égalité" et "chances" dedans, donc le con est pris à son propre piège. Selon sa religion, c'est la même graine qu'on a semé ici, là et là-bas il y a des millions d'années mais les fruits sont ici savoureux, là pourris et là-bas restés à l'état de bourgeons.
Bon, c'est curieux. Ça doit être une question de temps (exprimé en ères géologiques certainement). Et de moyens (exprimés en milliards de milliards de dollars en pure perte). Et d'échange scientifique et culturel (le pire corniaud parvient à comprendre qu'il ne faut pas chier sur le tapis du salon et qu'il faut ramener la baballe).

Écrit par : GAG | 16/08/2010

@ GAG

Exactement, l'Europe n'existe en tant que telle que depuis que Christophe Colomb a posé le pied en Amérique. L'origine mythologique grecque du nom « Europe » n'empêche pas que celle-ci est une notion géopolitique récente.

D'ailleurs, la géographie n'a pas tant d'importance que cela. L'Albanie ou la Bosnie sont proches, et pourtant, un Européen s'y sentirait moins chez lui qu'au fin fond du Manitoba. C'est pourquoi dire que l'Occident a longtemps « oublié » l'Europe byzantine et orthodoxe, a peu de sens : même si les habitants de cet Orient sont blancs (et encore, les Russes sont un peu jaunes, il n'y a qu'à voir le bridage des yeux du plus connu d'entre eux...), il y a entre l'Occident et l'Orthodoxie des différences assez importantes. On le voit bien avec la stratégie actuelle de la Russie, qui se situe résolument à l'écart de l'Occident.

L'avantage du terme « Occident », c'est qu'il dépasse la géographie pour recouvrir une réalité culturelle (le partage de l'Empire romain, puis de la Chrétienté). Une nuance, cela dit : il ne faut pas confondre l'Occident des occidentalistes avec celui des atlantistes. Ces derniers n'ont aucune vision civilisationnelle, culturelle, identitaire, et parlent d'Occident pour désigner le mélange de capitalisme et de socialisme qui caractérise nos régimes actuels.

L'Occident des atlantistes doit plutôt être appelé « Ouest ». C'est celui de la Guerre froide, une époque où les conflits n'étaient pas civilisationnels, mais idéologiques. Les atlantistes ne s'y sont d'ailleurs pas trompés. Depuis la fin de la Guerre froide, ils parlent des « sociétés ouvertes », de la « civilisation » (laquelle ? mystère), des « démocraties libérales » (qui sont plutôt des social-démocraties, mais c'est un autre débat), plutôt que de l'Occident historique.

Les atlantistes sont les ennemis des occidentalistes, et c'est une autre défaite de l'Occident que les premiers aient pu ainsi usurper la propriété des seconds.

Écrit par : Criticus | 16/08/2010

Ce texte est parfait.
Clair, net et précis.
Bravo.

Écrit par : morsimmortalis | 16/08/2010

"ils se gargarisent de leur incompréhension, de leur mépris, de leur ressentiment d'esclaves mal affranchis."

Tout est dit. Parfait !

Écrit par : Rosco | 02/09/2010

Qu'avez-vous donc contre les strings ?

Écrit par : Ritchie | 05/09/2010

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