Si "l'autre" est meilleur, il ne peut pas être raciste. L'homme occidental est le seul bourreau tandis que l'"autre" est forcément la victime. C'est le dogme anti-raciste professionnel qui existe depuis le choc médiatique de la Shoah au tournant des années 70. Ce prêt-à-penser a conduit à la trahison du véritable anti-racisme par des associations anti-racistes professionnelles souvent inféodées à l'extrême-gauche. Ces dernières sont borgnes. Elles ne voient que le racisme des occidentaux, qui existe bien sûr, et occulte le racisme équivalent des orientaux. Le racisme est malheureusement la chose la mieux partagée du monde. On pourrait citer des exemples historiques occultés, comme la traite des esclaves barbaresques. Le véritable anti-racisme ne saurait avoir d'œillères. C'est cette hémiplégie intellectuelle qui empêche de traiter certains sujets, comme le racisme anti-blanc.
Il n'y a pas, il ne peut pas y avoir de "véritable antiracisme".
On peut choisir de ne pas tenir compte de l'origine et de l'hérédité des individus ou des groupes, on peut refuser le principe de persécuter les gens à cause de leurs ancêtres réels ou fantasmés, et reconnaître à tout le monde le droit à une certaine dignité, qui dépend avant tout de leur COMPORTEMENT.
Sera respecté qui se montre respectable.
Cette attitude n'est pas "antiraciste", elle est "a-raciste" : elle ne s'oppose pas frontalement au ouacisme, elle s'abstient de juger et refuse de persécuter. L'antiracisme "vrai", tel qu'il existe et tel qu'il est pratiqué concrètement depuis plus d'un demi-siècle, c'est une entreprise de démolition de la dignité blanche, une persécution intellectuelle, morale, culturelle, historique, esthétique de l'identité européenne. Un antiraciste est un homme qui hait les Blancs, pour qui tous les toubabs sont des nazebroques en puissance, à (ré)éduquer dès les premiers mois d'existence pour s'assurer qu'ils ne feront jamais de peine à un petit Divers.
L'athéisme, ce n'est pas l'anticléricalisme. Les mêmes blaireaux tendent à faire la même confusion, hélas. Le dégoûtant troupeau rassemble aussi des gens pour qui le "vrai communisme" n'a jamais existé et ne doit donc pas être jugé sur pièces (à l'inverse, le fâschzscÿsme et le national-socialisme tels qu'ils ont existé sont les seuls vrais possibles et doivent être condamnés comme tels, voyez ?)
Il n'y a R I E N de moral à être antiraciste, de même qu'il est antihistorique, anachronique et mongolien de considérer Adolf Hitler comme une monstruosité unique du parcours humain. On n'a "le regard de la connaissance" que du moment qu'on peut l'envisager sous le même angle qu'un Bonaparte, un César, un Charlemagne, voire un Tamerlan si on a vraiment le goût des récits de massacres pratiqués comme une forme d'art (lire les lignes enivrantes qu'écrit Benoist-Méchin dans A destins rompus).
Nous devons le dire et le répéter à toute personne de notre entourage dont l'entendement n'a pas été irrémédiablement étronifié. Craindre le fantôme de l'ombre d'Adolf, ou s'enchier les chaussettes à l'idée de boire en public la même marque d'eau minérale que lui, c'est le propre des trépanés volontaires. Quiconque ne considère pas le mongolisme comme une philosophie-de-vie enrichissante n'a pas à entretenir de telles trouilles infantiles. Foutez la honte à qui s'y hasarde quand même par confort intellectuel.
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Admettons qu'Ongles-D'or, cité ci-dessus, ne pose là que des principes universels, histoire de dire ce qui devrait être dans un monde parfait. Quand bien même il aurait raison, notre situation, à nous autres pâlichons sans valeur talmudique ajoutée, ne nous permet pas le luxe de telles précautions oratoires et autres raffinements philosophiques. Nous avons face à nous des hordes de métèques aussi hostiles que fertiles qui nous contestent notre territoire, assistés par des légions de traîtres à qui la peau blanche est ce que l'étoile jaune était aux SS (et hop ! moi aussi je peux faire dans l'allusion lourdingue, pas compliqué). Une position salomonesque, équilibrée, n'est tout simplement pas à notre portée.
Quand on est attaqué, quand un ennemi halluciné nous conteste jusqu'au droit de vivre paisiblement sur nos terres selon nos moeurs, on ne prend pas de gants, à part des gants plombés. UNE FOIS ET UNE FOIS SEULEMENT que l'ennemi sera exterminé et que les hordes métèques seront refoulées loin du "limes", alors nous pourrons nous amuser à être justes, à trier le bon grain.
"Un temps pour la guerre et un temps pour la paix". Nous ne sommes pas en temps de paix.
Nous n'avons pas à exiger que "tous les ouacismes" soient condamnés - et par quelle autorité supérieure, d'aileurs, par quelle entité qui échappe à sa propre identité ethnoraciale?
Il faudrait pour cela un dieu auquel nous ne croyons pas.
Commentaires
Vous vouliez dire plutôt un temps pour la paix et un temps pour la guerre ? non ? Sinon joli texte.
Écrit par : daredevil | 04/10/2012
Oups.
Merci.
Écrit par : stag | 04/10/2012
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