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07/03/2015

UN PROBLÈME INTERNE

Le métissage est un problème. La trahison raciale en est un autre, distinct. Le premier peut représenter une conséquence directe du premier, sans l'être systématiquement. Quant au second, il peut se produire dans un parfait contexte d'homogénéité ethnique.

Les toubabs qui choisissent la voie de la bâtardises méprisent ou oublient leurs propres racines. Ceux qui s'en félicitent glorifient la trahison en tant que telle, déguisant le crime en une grande avancée, un phénomène s'inscrivant dans le sens qu'ils ont prescrit à l'Histoire. Mais ils se foutent que l'Afrique devienne plus blanche ou l'Asie plus brune: tout ce qui leur importe est de noircir l'Europe. Ils ne croient même pas aux abstractions de leur propre discours: ils veulent un monde moins blanc, point final. Le reste ? Branlette.

Dans les deux cas, l'apport métèque n'est que secondaire. Il ne joue le rôle dominant qu'à la surface des choses, leur apparence spectaculaire. Comme dans le SM, c'est la victime qui mène vraiment le bal.

Il en découle que la crise identitaire européenne est - faut-il s'excuser d'énoncer les évidences quand on les lit si rarement, où qu'on regarde ? - un problème de Blancs, qui ne concerne qu'eux. Et si nous voulons le régler, c'est sur les Blancs qu'il faut agir, et pas uniquement en pensant "réveiller" ceux d'entre eux qu'on croit "endormi", mais en hâtant le long, très long sommeil de ceux qui, par leurs actes ou leurs paroles, ont choisi le camp ennemi.

Comme quoi le nettoyage ethnique, bien loin d'être la persécution généralisée des Pauvres Différents, c'est plutôt un truc à usage interne.

Commentaires

Le problème commence lorsque le suicide devient un credo et la trahison une morale. Il consiste à ériger un phénomème archi marginal (lequel demeure absolument innofensif tant qu'il le reste) en obligation collective afin d'imposer la-dite morale pour, à terme, concrétiser le-dit credo.

En effet, qui - en dehors probablement des parents - pourrait reprocher à la seule japonaise sur 988'345 de tomber amoureuse du seul économiste tanzanien employé chez Sony depuis dix-sept ans et que l'improbable couple finisse par donner naissance à quelques rejetons dont l'enfance sera sans aucun doute un cauchemar quotidien ?

Tant que la proportion demeure infinitésimale et sauf à vouloir une 'pureté raciale' pathologique et délirante (et en définitive criminelle), ce microscopique métissage finira totalement dilué dans la globalité après trois misérables générations.

Écrit par : snake | 08/03/2015

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