Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/03/2009

UNE AUTRE RATION DE PARASITES, S'IL VOUS PLAÎT

Latrahisonsepaiecash.jpgCes socialauds, quand même, quelle phénoménale gonflitude.

Eux qui depuis un siècle au moins conchient soigneusement toute forme de tradition véritable, écoutez-les promouvoir la submersion ethnique au nom de La-Suisse-Terre-d'Accueil ! 20 à 30 millions pour "se montrer solidaires"...  

On a beau avoir été soi-même gôchisse pendant longtemps, et avec la plus grande sincérité du monde, il vient un moment où l'on s'écrase le groin contre la logique des traîtres et des collabos.

Militer pour que l'on régularise des envahisseurs déjà présents sur le territoire, et qui peuvent justifier d'un vague sous-job indigne et dégradant, je veux bien. Enfin je ne "veux" pas, mais je comprends la démarche humaniste : nous y en a tous paweils, nous y en a tous dwoit au bonheur et à l'écran plasma, l'intégration c'est avoir un CDD et le même vocabulaire qu'un recalé de la Nouvelle Star, la chose est entendue.

A la limite, c'est une attitude pragmatique, qui veut faire avec la situation et les gens qui squattent, puisque les dégager manu militari n'est pas démocratique et que ne pas se préoccuper de leur sort serait pour le moins irresponsable. Mais en faire venir ? Estimer UTILE, JUSTIFIABLE, DESIRABLE d'alimenter la pompe à colons ? Et justifier ça au nom de la tradition ? Quelle différence profonde avec l'excision ou les mariages forcés, qui sont tout aussi "utiles" et "traditionnels" ? Peut-il y avoir la moindre honnêteté dans de telles recommandations ? La plus petite parcelle de conscience de leurs implications, ne serait-ce qu'en matière d'hostilité et d'éloignement entre les peuples ? Les plus lucides de ces enflés de gauchistes ont-ils seulement le courage d'admettre qu'ils poursuivent une politique de soin du mal par le mal ? Ou est-ce juste le poids des habitudes et des crampes mentales face aux problèmes démographiques ? Je n'en sais vraiment rien. Il faudrait peut-être aller leur demander directement.

En même temps, on a beau savoir que la coprophilie canine existe chez des humains d'apparence normale, et en comprendre assez mal les motivations psychologiques, ça ne donne pas envie d'aller boire une bière avec ses adeptes pour creuser la question. C'est la limite de la common dececy : les questions s'arrêtent là où commence l'apprentissage humble, long, ingrat et indispensable de la violence organisée.

"On a, ou on n'a pas, le sens de la hiérarchie des valeurs, et on ne discute pas avec ceux qui le nient.". E. von Salomon.

Les commentaires sont fermés.