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Penser à notre propre mort en tant que mort de l'ipséité est ce qu'il y a de plus dur et de plus horrible. C'est l'expérience spirituelle par excellence. L'athée y échoue généralement, ce faux matérialiste qui réalise au dernier moment à quel point il n'est qu'un tas de merde (de néant). Cette fiotte appelle généralement "Jésus", ou sa "Maman". Minable, n'est-ce pas ?
C'est pour cela qu'il faut chaque matin savoir qu'au soir on va mourir, qu'on sera mort. Le sommeil, cet avant-gout (délicieux) de la mort comme disait l'autre drogué de Baudelaire.
Pédé athée, tu chies dans ton froc ? Pédé religieux tu crois (avec anxiété) que tu vas rejoindre les anges ?
Wait, wait & see !
Commentaires
Même pas, il n'y a qu'une chance sur un million.
Écrit par : Anthony | 04/01/2010
@ Anthony
Du coup, ça va nous faire le même scénario que celui de l'« Étoile mystérieuse ». Ça promet une apocalypse d'opérette. J'ai hâte.
Écrit par : Criticus | 04/01/2010
Penser à notre propre mort en tant que mort de l'ipséité est ce qu'il y a de plus dur et de plus horrible. C'est l'expérience spirituelle par excellence. L'athée y échoue généralement, ce faux matérialiste qui réalise au dernier moment à quel point il n'est qu'un tas de merde (de néant). Cette fiotte appelle généralement "Jésus", ou sa "Maman". Minable, n'est-ce pas ?
C'est pour cela qu'il faut chaque matin savoir qu'au soir on va mourir, qu'on sera mort. Le sommeil, cet avant-gout (délicieux) de la mort comme disait l'autre drogué de Baudelaire.
Pédé athée, tu chies dans ton froc ? Pédé religieux tu crois (avec anxiété) que tu vas rejoindre les anges ?
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Écrit par : Hegel | 07/01/2010
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