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26/04/2010

PROFANATEURS

Les pédalocrates, les post-bolchos, les promoteurs de tous les ouacismes sauf le blanc, tous les dégénérés de la gauche autogénocidaire ne renoncent toujours pas à l'ivresse usurpée de leur provocations éculées. Casser les codes, déprogrammer les comportements, échanger les rôles entre mâles et femelles, se faire plus nègre qu'un Senghor à capuche et verlan, voilà leur gloire, et ils s'enivrent de ces pauvres attaques contre ce qu'ils croient encore être la morale bourgeoise et l'ordre établi.

N'essayez pas de leur expliquer que le patriarcat sourcilleux et coincé du cul est mort depuis longtemps. Les plus cons ne vous entendront pas, les plus cyniques le savent pertinemment. Leur véritable nature est celle de charognards, de pillards de tombe. Ils sont des profanateurs et s'en félicitent depuis longtemps, depuis la guerre civile espagnole où les républicains raffinés déterraient des cadavres de bonnes soeurs pour les exposer contre les ruines des églises incendiées.

Bientôt un siècle plus tard, ils n'ont pas changé de mentalité. Ils ne défient pas un Goliath néolibéral tout-puissant, qui chercherait à les normaliser pour le bien du Marché : ils sont l'équivalent activiste des têtes de bite qui vont renverser des stèles et taguer des slogans analphabètes sur des sépultures. C'est en cela qu'ils ne sont pas même des ennemis, mais de la vermine. Nous ne sommes que trop généreux de leur vouer une haine franche et sanguinaire, parce qu'ils n'en sont pas dignes. Le fou d'Allah crasseux et halluciné qui appelle à nous égorger au nom du Coran est plus noble et plus respectable qu'eux tous réunis.

 

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