Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/05/2010

C'EST QUAND MÊME PLUS FORT QUE L'HUMANISME

Commentaires

Artaud a écrit une belle lettre à Hitler. Si je la retrouve sur le net....
Ce saligaud scatodrogué était sacrément réac en vérité. Il ne supportait pas la saleté Communiste déjà. Et il écrivait bien. Récupéré par toute l'avant-garde postmoderne, il survit néanmoins à ça, et revient de nos jours toujours plus pervers scato-junky. Sympa :)

Écrit par : Hegel | 11/05/2010

C'est Freudien?...

Écrit par : Sébastien | 11/05/2010

C'est artaldien. Bordel, ces fachos alors....(hihi)

Écrit par : Hegel | 12/05/2010

Le jeune Denys-Paul Bouloc, 25 ans à l'époque, poète ruthénois et éditeur, est un ami du médecin. Il a fondé la revue Méridien qui publie des textes de García Lorca, revêtus du visa de la censure vichyssoise. Plus tard, il aidera à l'impression de nombreux journaux clandestins dont Combat, de Camus. Bouloc a reçu comme un éblouissement le «théâtre de la cruauté» et les films d'Artaud. Pendant quelques mois, il va l'accompagner lors de promenades thérapeutiques dans la vieille ville. «C'est dans son appartement de fonction que Ferdière m'a présenté Artaud, raconte Denys-Paul Bouloc. Il m'a proposé de lui tenir compagnie, de nous balader en ville, pour lui changer les idées. Mais il m'a mis expressément en garde contre toute allusion que je pourrais faire à la situation présente, c'est-à-dire à la guerre et aux désastres qu'elle entraînait.» Artaud, en effet, a prié Hitler de déchaîner le feu de l'Apocalypse pour régénérer le monde.

Écrit par : Hegel | 12/05/2010

Les commentaires sont fermés.