Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/08/2010

ZAMALGAMS, LA LUTTE CONTINUE

Non seulement les drogués sont de sales parasites à cheveux longs et pas soignés, qui se truffent le creux du coude avec de vilaines substances qui les transforment en loques humaines – mais en plus, c’est rien que des ouacistes. Vous vous en doutiez, hein ? Des gens avec de si salingues habitudes et un tel mépris pour les règles de vie en société ne pouvaient que cumuler les défauts, tout particulièrement celui-ci. Hitler lui-même, à la fin de sa vie, se droguait copieusement, c’est dire. Et lui non plus ne quittait jamais son chien. Foutu punk à mèche.

 

Faire entendre raison aux ouacistes qui ne carburent qu’à la bière n’est déjà pas évident. Des décennies de harcèlement moral, de baston à dix contre un, de collaboration très œcuménique entre flics et bolchos n’ont pas changé grand-chose, chaque décennie produit son lot de nouveaux rats à poils ras (Faut que je pense à écrire des textes de rap, avec ce genre de calembours, j'ai visiblement du potentiel). Alors vous pensez bien que, face à des envapés qui pensent que tous les dealers sont noirs et inversement, la tâche est presque foutue d’avance.

 


Oui, ça doit effectivement être plus qu'agaçant de passer pour un pharmacien-des-rues juste parce qu’on a un taux de mélanine supérieur à la moyenne des autochtones. Si en plus on risque de se prendre un coup de lame, il y a de quoi virer furax.

 

 

drug-dealer-319-keys.jpg

Vous voyez bien que ça sert à rien de généraliser.

 

Mais la faute à qui ? Aux convictions d’extrême-droite des consommateurs ? On a vu l’UDC tracter dans les salles de shoot, ces dernières années ? Et les flics, ils sont censés faire quoi, procéder à des contrôles sur la base de CV anonymes, histoire d’être sûr de ne pas faire de zamalgams ? Tâchons de trouver des solutions un peu réalistes à ce problème.

 

Puisque nous sommes entre humanistes sincères, éliminons d'office l'option "Rentrer en Afrique". Certes, dans un environnement où tout le monde est foncé, les dealers se remarquent par des signes extérieurs un peu plus spécifiques, le risque de zamalgam est foutrement réduit. En plus de ça, en Afrique, vu qu’il y a de moins en moins de Blancs, il n’y a pratiquement plus de ouacisme. Juré-craché. Demandez au Tutsi, pour voir. Mais ça n'est pas envisageable, du moment qu'on est porteur d'un carnet délivré par l'Etat (et Dieu sait que nous respectons les autorités démocratiquement élues), qui garantit que vous êtes le compatriote d'Oskar Freysinger ou de feu Marcel Strebel. Quelles options nous reste-t-il ?

 

 

1) Faire la chasse aux dealers entre Noirs. Une manière de combiner l’utile (démontrer son excellente intégration et son scrupuleux respect des lois locales) à l’agréable (faire remonter la cote de popularité des Noirs auprès des Blancs qui pratiquent trop volontiers le zamalgam). Une sorte de Ku Klux Blax, qui ferait le ménage au sein de sa propre communauté, éliminant ses parasites et protégeant ses meilleurs éléments tant de la vindicte populaire que de la domination des caïds. Une telle organisation bénéficierait en plus du double standard appliqué par les journalistes blanchouilles, bien plus compréhensifs envers les violences collectives des jeunes mâles aux méthodes expéditives quand ils se réclament de Malcolm X plutôt que du Beau Léon. Quant au risque de se retrouver piégés par Les Infiltrés, il est plutôt minime : Harry Le-Mac-Rose est un peu grillé depuis une sombre affaire de covoiturage de méchoui.

 

 

2) Se mettre à vendre de la drogue pour de bon. Ben voui, pensez-y ! Au-delà d’une certaine pâleur, les soupçons infondés commencent à s’accumuler. sur vous, c'est  fatal. Regardez Barak Hussein :  il y en a qui croient qu'il a reçu une éducation mozelmane, juste parce qu'il n'a pas besoin de séances d'UV, faut-il être con ! Prouver son innocence est virtuellement impossible, à moins de se promener en slip et de hurler dans un porte-voix qu’on défie quiconque de trouver autre chose dans son rectum que de quoi fertiliser les plantes de l’hôtel de police. N’est-il pas préférable, quand on est condamné à traîner une détestable réputation, de chercher à en tirer au moins quelque avantage ? Voyez cela comme un dédommagement.

 


D’ailleurs, la flicaille devrait penser à délivrer à ce genre de victimes du toxico-ouacisme, des permis exceptionnels de dealer, en réparation des préjudices antérieurs, du temps où elles étaient vraiment innocentes.

 


En fait, il y a une flopée de discriminés envers qui les gardiens de la loi devraient pouvoir se montrer beaucoup plus souples,  et même dont il faudrait pouvoir encadrer ouvertement les activités compensatoires. La came n’est qu’un exemple parmi d’autres de cette hypocrisie générale, qui fait que des lois méprisées de facto sont maintenues de jure pour que dalle. La police, dont on sabote le travail, s’épuise et perd sa vocation. Le citoyen, qui se croit naïvement protégé, se prépare un douloureux réveil, le jour où il réalise que le système judiciaire fonctionne avant tout comme une pompe à fric branchée en permanence sur les rares couillons qui respectent les règles du jeux, tandis qu’il exonère les tricheurs et les cas sociaux.

 


Aussi, encore un effort, Toubabs, si vous voulez être Démocrates ! Distribuons dès aujourd’hui des autorisations de vol par nécessité, des cartes à points pour déprédation ludique, des dérogations pour mutilations rituelles justifiés par la tradition ancestrale ! Organisons des ateliers de camouflage intégral au nom de la pudeur venue d'ailleurs ! Donnons-nous de VRAIS moyens de vivre la Diversité au quotidien, et faisons en sorte que la loi respecte vraiment les moeurs et la nature des minorités. En Obamanie, une fois de plus, ils ont déjà tout compris en la matière : Frances Goldsheider, chochiologue de son état, propose rien moins que de passer une loi permettant aux pères absents de ne pas s'occuper de leurs gosses, moyennant accord préalable au coït avec l'infortunée future mère. Dans quel but ? Vraiment, vous ne devinez pas ?



I think it would primarily benefit men who do not want to be fathers," Goldscheider says, "and that's mostly those who are not ready, whether financially or whatever. And given the structure of inequality in this country, it should disproportionately benefit young black men.


 

Pas de demi-mesure dans la discrimination positive, bordel de dieu ! C'est à ce prix que nous conserveront la fabuleuse création de  richesses, la remarquable paix sociale, l'unique concorde entre les peuples qui règne en Europe et tous les innombrables bienfaits qui nous viennent exclusivement de la substitution ethnique ? l'immigration de peuplement ? l'évolution démographique parfaitement naturelle et désirable à laquelle nous assistons.

 

 

Enfin, à laquelle nous n'assistons pas, parce qu'il ne se passe rien de particulier, j'oubliais.

Commentaires

L'économie souterraine des citées, qui fait vivre des familles entières, a aussi l'avantage de renforcer les subventions que les municipalités de gauche réclament à corps et à cris.

Écrit par : National-Libertaire | 18/08/2010

> Oui, ça doit effectivement être plus qu'agaçant de passer pour un pharmacien-des-rues juste parce qu’on a un taux de mélanine supérieur à la moyenne des autochtones.

#####

Il est de notoriété que la meilleure drogue en Chine vient des dealers africains...

Et on peut pas dire que les congoïdes soient présents chez les Chinois en masse depuis une moitié de siècle, n'est-ce pas ?

Rats ? Vermine ? Parasites ? mais non...

Écrit par : Mr_Zlu | 19/08/2010

Jaime Semprun est décédé

Écrit par : Ritchie | 19/08/2010

Cette histoire de Suisse noir harcelé par la police est effectivement très rigolote. Il y aurait bien une autre solution, qui consisterait à ne pas accorder la nationalité suisse à des Africains, mais ce serait naturellement épouvantable, surtout pour une nation réputée ne naturaliser des étrangers qu'avec les plus grandes difficultés.

A noter que ce, hum, Suisse, est quand même un peu du genre casse-couilles, puisque la police lui a demandé, après l'incident waciste, pourquoi diable il n'avait pas dit qu'il était suisse.

En voilà un qui cherche à démontrer l'évidence : en Suisse encore plus qu'ailleurs, les trafiquants de drogue sont noirs, donc la police cherche en priorité les trafiquants chez les Noirs.

Mais c'est très rigolo de voir que les drogués sont eux aussi wacistes, puisqu'il harcèlent ce brave Lausannois dans la rue, en lui réclamant de la drogue puisqu'il est noir...

Décidément, la réalité est têtue...

Écrit par : Robert Marchenoir | 19/08/2010

J'aime beaucoup votre style, je ne connaissais pas vos idées. Je ne fais de fixation sur le taux de mélanine, mais je reconnais la validité de votre raisonnement. Je pense que vous devez vous sentir un peu seul, si jamais vous prévoyez un séjour en Israel, n'hésitez pas à me contacter, si vous avez écrit un livre, on peut peut-être faire plus pour votre accueil et organiser des conférences. Vous seriez probablement étonné de retrouver ici une situation qui par bien des aspects ressemble à celle que vous décrivez.

Salutation et amitiés respectueuses

François Joseph Amsallem Karavan

Écrit par : f j a k | 24/08/2010

Les commentaires sont fermés.