21/11/2010
PASSOVER SYNDROME
It is said that a conservative is a liberal who’s been mugged, but in its advanced stages, Passover Syndrome appears to be incurable. Witness the white activist who moved to Haiti and suffered an all-night brutal rooftop raping at the hands of one of her black “brothers,” only to blame it on “the white patriarchy,” members of whom were suspiciously absent during her assault. Or observe the eagerness to excuse a recent anti-white bloodbath by framing it within a context of unsubstantiated allegations that the gunman had endured racist jokes at work.
If a racial Doomsday ever comes in America, I doubt that the nonwhite marauders will ever draw fine distinctions between the “good” whites and the “bad” ones. I lived a half-block off Hollywood Boulevard during the 1992 L.A. riots, and I recall a member of rap group Boo-Yaa T.R.I.B.E. being quoted as saying that the rioters should quit looting South-Central L.A. and instead burn down Beverly Hills—home of the exact record executives who finance anti-white albums by ingrates such as Boo-Yaa T.R.I.B.E.
If a large-scale Day of Racial Reckoning ever comes, Passover Syndrome sufferers will find that when it comes to hating whites, nonwhites truly don’t discriminate. Rather than the sweet scent of compassion, those with the disorder emit the rancid smell of fear. If a real race war were ever to pop off in America, they’d be the first to perish.
The only mystery is which side would kill them first.
Le reste de l'analyse à la résidence secondaire de Jim Goad.
10:20 | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
« The only mystery is which side would kill them first. »
Vus les états respectifs des forces en présence, je crois savoir lequel.
Écrit par : Criticus | 21/11/2010
Le texte st intéressant, et le blog de Jim Goad vaut vraiment le coup d'aller clicker de temps à autre sur Lexilogos quand c'est nécessaire.
Je remarque que son analyse du "Passover syndrome" n'est pas sans rapport avec l'analyse par Kaczynski du "progressiste" (leftist). Dans les deux cas, le groupe social incriminé est principalement celui des blancs à hauts/bons revenus (T.K insistait sur l'université parce que c'est le bastion de la bête, mais à part cette précision il rejoint Goad), dans les deux cas, l'idéologie du progressisme (leftism chez T.K)) anti blanc est regardé comme une maladie et étudié en tant que telle. Cette haine contre son propre clan, sa famille, sa communauté (mettez les termes qui vous semblent les plus justes et précis) est une pathologie, et ce pour les deux hommes. Ce n'est pas sans rappeler ce bon vieux "sida mental" de Pauwels qui m'a-t-on dit fit beaucoup de bruit. Encore Pauwels dans sa célèbre phrase (il fit des excuses! le malheureux...Mon père pensait que c'était ses excuses qui l'avaient envoyé picorer les pissenlits quelques deux ans après) ne visait-il que "la jeunesse de ce pays". Pour nos deux ricains, la maladie est infiniment plus répandue, et depuis longtemps. Tient, ce pourrait se révéler intéressant de se demander quand à vraiment débuté la peste noire...
Bon, en tous cas, cette idée de maladie me semble juste. Je me demande si elle n'est pas à relier au développement de la technique qui nous a ôté la fierté d'agir de nos mains, qui nous a nanifié, qui a permis le vieillissement du monde blanc (ce qui est à mon sens l'une des grandes causes de l'apparition de cette pathologie. Qui n'est pas le seul facteur de la chute, il y aussi cette bonne vieille tendance moutonnière des hommes à suivre la pente de leur semblable).
Écrit par : Restif | 24/11/2010
Ps Il faudra bien un jour se poser la question de la technique en termes simples et accessibles à tous. Le thème est déjà là, central chez Heidegger et d'autres, voir Gunther Anders : "L'obsolescence de l'homme", ou même Hanna Arendt, "Conditions de l'homme moderne", et ce ne sont pas les seuls, loin de là (bien avant, Bloy a immédiatement détesté dès leur apparition la voiture, l'ascenseur, le téléphone). Je ne sais pas si un "djihad butlerien" comme celui évoqué dans Dune est possible, je sais combien nous sommes devenus dépendant de la technique. Il n'empêche qu'il serait bon que monsieur tout le monde (le monsieur moyen de notre hôte) se rende compte de ce qu'entraîne -et entraînera de plus en plus- de souffrances les avancées technologiques. Rien que la vieillesse. Un exemple : en France, un professeur n'a plus le droit de demander une mutation parce qu'il doit être sous le même toit que son vieux papa ou sa très âgée maman. Maladie, Alzheimer? A l'hospice! Avant, s'occuper d'un parent était une raison valable de mutation, dossier médical à l'appui, maintenant ce n'est absolument plus pris en compte (un enfant par contre, oh que oui! c'est un consommateur un enfant...). Ce qui en dit long sur ce que l'état pense de "ses" vieux...
(Je suppose que cela s'applique désormais aussi aux autres fonctionnaires).
Écrit par : Restif | 24/11/2010
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