12/03/2011
DISPARAÎTRE
Of course, blacks and liberals will scoff at the notion that we live under a regime of black supremacy. And they are right in the sense that blacks remain at the bottom in terms of various socio-economic indicators. But in terms of the rules and arrangements governing the interaction of the races, it is another story. When it comes to the behaviors allowed to black and the behaviors forbidden to whites; when it comes to endemic black on white violence combined with the total silence of whites about such violence; when it comes to black racial preferences combined with the silencing of whites about such preferences, when it comes to the glorified portrayal of blacks in the media combined with the portrayal of white men as evil and neurotic, we are most certainly living under a rule of black supremacy and white inferiority.
Ils ne sont pas contents, et c'est normal : leur culture domine les médias, leur taux de mélanine emplit les blanchettes d'un mélange de panique et d'admiration, MAIS rien à faire : leurs quartiers sont dégueulasses, leurs carrières confinées à des emplois subalternes, leurs efforts pour s'intégrer ne donnent aucun résultat tangible et aucune reptation des leucos ne pourra jamais guérir leur sentiment d'être mis de côté, traités comme indésirables.
Imaginez qu'on organise une grande fête en votre honneur, avec d'immenses portraits à votre gloire, mais que personne n'ait jamais sérieusement songé à vous y inviter, parce que vous êtes décidément trop ingérable ?
Le Blanc se hait en tant que Blanc, il renie sa propre culture, exalte celle du premier métèque venu, mais quelle peine il a à lui faire une place ! C'est ce plancher de verre dans la descente au fond de la fosse commune qui enrage les antiouacistes et apporte à leur moulin merdique l'eau boueuse qui le fait encore tourner. Si l'abâtardissement met si longtemps à s'accomplir, pensent-ils, c'est qu'il y a un complot nazi quelque part en coulisse. Au mieux, il y a du ouacisme inconscient chez les beaufs, manipulé discretosse par de riches banquiers du Kukuklan.
Que faire ? Les vitrines des banquiers doivent être cassées une fois par an, et le ouacisme inconscient criminalisé, publiquement insulté, dénoncé comme une tare dégueulasse jusqu'à ce que Monsieur Blanchouille ait assez honte de lui-même pour rejoindre le rang des epurateurs.
Cette méthode est appliquée depuis trente ans, génération après génération, avec les résultats que l'on constate : des toubabs toujours plus pleurnichards, des métèques toujours plus enragés et frustrés d'un règne qu'on leur promet depuis trop longtemps, et une domination des banKKKiers qu'aucun mauvais théâtre de rue ne semble pouvoir ébranler, ô mystère et injustice !
A l'autre bout du fouet, nous avons des Pâles qui voient bien que tout ce qui marche plus ou moins en matière de politique, d'économie, de culture, d'organisation sociale et de logistique, tout ce qui a un peu de grandeur et de noblesse, n'existe que parce que des gens qui leur ressemblent – ou agissent exactement comme eux – sont aux commandes. Pourtant, aucune reconnaissance, pas même de la simple existence de ces semblables qu'il ne faut pas nommer, encore moins que la tribu casher, c'est dire !
Le toubab est transparent, absent, inconnu, un soutier qui n'a pas sa place sur le pont, et qu'on enjoint de rester discret. S'il fait du bruit, on saura bien lui rappeler qu'il a inventé l'esclavage, la guerre industrialisée, le génocide, le capitalisme fanatique et autres joyeusetés. La carte de son Club héréditaire lui donne le droit de s'humilier en public pour expier les péchés de ses honteux ancêtres, et à travailler en silence.
En fait, Monsieur Blanchouille ne veut pas vraiment faire aux bronzés toute la place qu'il leur promet dans sa démocratie post-raciale : ce qu'il veut, c'est devenir Divers lui-même. Se barbouiller la gueule de cirage comme au XIXè, ça ne lui suffit plus, il chercher la dilution complète de toute son histoire dans un bain de mélanine et de jus de savane. Il veut renaître Autre, comme ces barjots de néochrétiens, baptisés à la chaîne dans des rivières. Il ne veut pas faire l'expérience de Sainte Diversité autour de lui, mais carrément en lui.
Il ne veut pas de Diversité du tout, il ne veut que disparaître.
09:57 | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Oui, et nos femmes travaillent très bien à cela. Je dis que c'est une chance, car elles font de facto de la place à nos enfants monochromes, éduqués selon des principes monochromes, qui domineront immanquablement les leurs: ils sont arrivés à la vie avec un cerveau plus développé, c'est un fait scientifique.
70 de QI en moyenne chez l'Africain. Une moins grande capacité crânienne et des connections neurologiques plus lentes.
Cela en moyenne, mais la science, les faits et l'histoire nous donnent raison.
La raison contre l'utopie. La raison gagne toujours.
Le mélange, nous irons contre en éduquant nos enfants, en surveillant leurs fréquentations et leur culture.
Après, que Kevin, Jennifer et Bryan se mélangent avec du brun, j'appelle cela la sélection naturelle...
Écrit par : Brun-brun | 12/03/2011
"Le déclin d'une civilisation ne commence que lorsque sa racine génératrice d'en haut n'est plus vivante, que lorsque sa "race de l'esprit" est prostrée ou brisée - parallèlement à sa sécularisation et à son humanisation. *
Quand elle est réduite à cela, les seules forces sur lesquelles peut encore compter une civilisation, sont celles d'un sang qui porte en soi ataviquement, par race et instinct, l'écho de l'empreinte de l'élément supérieur désormais disparu. Ce n'est que dans cette optique que la thèse "raciste" de la défense de la pureté du sang peut avoir raison d'être - sinon pour empêcher, du pour retarder l'issue fatale du procès de dégénérescence. Mais prévenir vraiment cette issue est impossible dans un réveil intérieur.
* On peut prendre ici en considération la thèse de A.J. Toynbee (A study of History, 1941), selon laquelle, à de rares exceptions près, il n'y a pas de civilisations qui ont été tuées, mais seulement des civilisations qui se sont sucidées. Partout où la force intérieure subsiste et n'abdique pas, difficultés, dangers, environnement hostile, agressions et même invasions finissent par servir de stimulus, de défi qui oblige cette force à réagir de manière créatrice. Toynbee n'hésite pas à voir là, en règle générale, la condition de l'affirmation et du développement des cultures."
Julius Evola, Révolte contre le monde moderne.
Voilà où nous en étions en 1934. Et aujourd'hui, "la racine génératrice d'en haut", on ne sait même plus ce que ca veut dire. Quant à la race, son échos et sa conséquence sur le plan physique, elle est maintenant niée par la "science". Fatalité. Que faire ?
Écrit par : HAAL | 12/03/2011
Guillaume Faye, Pourquoi nous combattons, Manifeste de la résistance européenne, L'AEncre, 2001. (quelques très courts extraits, guillaumefayearchive.wordpress.com)
- Aucune décadence ne doit être considérée comme irréversible. Il faut cultiver l'optimisme tragique de Nietzsche. (Décadence)
- La dévirilisation, qui est également liée à l'individualisme narcissique et à la perte du sens communautaire, paralyse toute réaction envers les menées des colonisateurs issus de l'immigration et du parti collaborationniste. Elle explique la faiblesse de la répression envers la délinquance immigrée, l'absence de solidarité ethnique des Européens face aux allogènes et la "peur" pathologique qu'ils éprouvent devant eux.
(...)
La virilité d'un peuple est la condition de son maintien dans l'histoire. (Dérilisation)
- (...),l'idéologie des droits de l'homme est aujourd'hui un moyen stratégique de désarmer les peuples européens en les culpabilisant dans tous les domaines. Elle est la légitimation du désarmement et de la paralysie. Les droits de l'homme sont une sorte d'assomption perverse de la charité chrétienne et du dogme égalitaire selon lequel tous les hommes se vaudraient. L'idéologie des droits de l'homme est l'arme centrale actuelle de destruction de l'identité des peuples et de la colonisation allogène de l'Europe. (Droits de l'homme)
- La conviction intime d'être supérieur et d'être dans son bon droit est indispensable à l'action et au succès dans la lutte pour la survie. (Ethnocentrisme)
Écrit par : Danny | 13/03/2011
"il renie sa propre culture"
C'est ce genre de réflexion qu'on trouve même sur le meilleur de la fâchistie web qui me fait lâcher un "pfffff" devant mon écran...
Je ne sais pas où vous vivez, quelle sorte de gens vous rencontrez mais moi je ne vois personne qui renie quoi que ce soit, car pour renier encore faut-il avoir ingéré, compris, assimilé quelque chose. Pour briser la chaîne encore faut-il en avoir été à un moment un maillon, un élément de transmission. Pour être beaucoup plus cru : pour chier, il faut avoir mangé.
Or la plupart des gens (un sacré foutu paquet, pas juste la majorité) ne renient rien : ils se foutent juste de tout tant qu'ils peuvent aller au Super U, au KFC, au cinéma, en boîte, cramer leur salaire minable en gadgets électroniques en plastique, sortir-le-week-end et partir-en-vacances.
C'est une erreur de croire qu'ils agissent, pour ou contre : ils n'existent pas, c'est beaucoup plus simple et en même temps bien plus inquiétant comme diagnostic.
Écrit par : GAG | 14/03/2011
Ils n'existent pas, mais leur absence d'être envahi tout. Le paradoxe moderne...
Remarquable diagnostique GAG.
Écrit par : Restif | 16/03/2011
GAG a évidemment raison, les rats débiles d'aujourd'hui ne renient rien, car ils n'ont rien à renier. Ni les bougnouls et négroides non plus. Les bicotnégros sous nos lattitudes sont parfaitement intégrés, c'est bien ce que le fafounette-branlette de base de comprend pas. Le biconégro est matérialiste-capitaliste au dernier degré; c'est d'ailleurs pourquoi il est là/ou veux venir ici : ça brille, y'a de la marchandise,de la bouffe, des néons, et plein de connerie à la Tévé etc. C'est ça qui fascine les raclos de la planète entière + le cul offert de nos blanches PAN (cons comme des balais). Je dirais même que l'Occidental accompli aujourd'hui, c'est le biconégro avec sa pute blanche au bras. Ca c'est de l'Occident. Avec la raclure sémito-protestante mondiale, on a fait le tour.
Ce sont les fachos aigris, haineux, québlo sur la "question raciale" qui ne sont pas Occidentaux - ce sont des pourris-débiles eux, des nègres en gros.
Non, non, non. C'est à VOUS les blancs pédés de VOUS intégrer totalement à l'Occident - et non aux "zimmigrés" qui eux sont occidentaux de facto puisque ils ont CHOISIT de venir ici tellement ils sont fascinés.
Oui, je pense que nous avons perdu la guerre culturelle, si c'était la question.
Écrit par : neo-con | 16/03/2011
Parce qu'ils doivent mourir...
"La culture française, en tant que conception de la vie, consacre le nivellement des valeurs humaines à ce qu'elles ont de plus bas; elle propage la morale des esclaves; elle se fait une règle et une gloire de mépriser la force.
(...)
Cette tourbe humaine qui roule sur la France doit son aspect répugnant au fait qu'elle représente un conglomérat d'espèces à l'agonie. L'individu y a renoncé à vivre : il ne veut plus travailler, il ne veut plus lutter, il a peur de se battre. Il a renoncé à la vie. son mode d'existence, ses conceptions philosophiques sont celles d'êtres épuisés, incapables de créer. L'homme de gauche rêve d'être un fonctionnaire sans soucis d'avenir dans un monde pacifique composé d'autres "lui-même"; l'homme de droite veut conserver un bien qui lui procure une vie douillette. Il adhère aux "ligues" par peur des convulsions sociales qui l'écraseraient. Il veut un état armé non pas pour faire la guerre, mais pour ne pas avoir à mettre le sac au dos, espérant que la vue des canons seuls découragera ses ennemis éventuels. Mais chez l'un comme chez l'autre on trouve le même renoncement à la lutte pour la vie, le sommeil, la mort. Lorsqu'on me parle de "France" j'aperçois un gigantesque charnier où grouillent asticots et inquiétantes mouches vertes.
Le cas "français" se rattache à l'Histoire de la décadence des races du Sud dont il n'est qu'un épisode.
(...)
A.K."
STUR n° 10 Juillet 1937. Tribune des lecteurs de STUR.
propos.sturiens.over-blog.com
La mentalité de cloportes.
La décadence vient de loin... suivi de l'effondrement inéluctable bien connu de nos contemporains.
De fait on ne peut pas perdre une guerre que personne n'a jamais sérieusement cherché à mener.
Il faut dire, - et ce n'est pas une excuse, il n'y a rien à excuser - que de "bonnes fées" se penchent et veillent sur notre destinée avec la bienveillance et la constance qu'on leur connaît.
"Le meilleur est qu'il y ait désormais interdépendance accrue de chacun et de tous, nations, communautés, individus sur la planète Terre, et que se multiplient symbioses et métissages culturels en tous domaines, en dépit des processus d'homogénéisation qui ailleurs tendent à détruire les diversités. Le meilleur est que les menaces mortelles et les problèmes fondamentaux communs aient créé une communauté de destin pour toute l'humanité. Le meilleur est que la globalisation ait créé l'infratexture d'une société-monde."
Edgar Morin, (de son vrai nom Edgar Nahoum, sociologue et philosophe bien connu du Parti de la Communication) La Voie, 2010.
Une "bonne fée" légitimée par la Société spectaculaire, parmi tant d'autres, et qui a l'esprit de suite, elle.
Écrit par : Danny | 17/03/2011
en bref : niggers are Parasiten .
J `enseigne les mathes dans une "école" allemande .
Impossible d `enseigner les niggers , ils comprenent rien du tout ; ils restent sur un niveau d`imbécile .
( Eysenck un juif allemand en Angleterre faisait des traveaux sur l`intelligence des bläck ; peut surprénant : ils sont incapable ) .
born stupid , consommateur des biens produit par les ouvriers européens
Écrit par : VRIL | 19/03/2011
@Stag, GAG, neo-con et Danny
Combo kick ultra violent.
La planète faf est sur la tapis.
Écrit par : Saint Haineux | 19/03/2011
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