05/06/2011
POURQUOI POURRIA BOUGE-DE-LÀ EST PARFAITE
Elle est parfaite parce qu'elle personnifie l'irrépressible besoin réac d'un ennemi absolu, synthétisant toutes ses allergies, un pack génialement démoniaque, un tout-en-un dont la complétude et l'ingéniosité ridiculise le couteau suisse. (Oui, Xyr n'écrit plus, mais il a encore ouvert un nouveau blogue.)
° d'abord, il semblerait que ce soit une gonzesse. Or il règne dans nos milieux un mélange étonnant de frustration sexuelle, de misogynie et d'incompréhension fondamentale de ce qu'est une femme et de comment cette bête-là peut bien fonctionner. Un traître mâle suscite une haine simple et directe, une traîtresse provoque quelque chose de bien plus profond, malsain et animal, chez la génération Kévin, élevée dans le culte de Big Mama et l'évanescence de toute figure paternelle.
° ensuite, c'est une crouillette. Eut-elle été bêtement casher que personne ne se serait formalisé : trop convenu, trop clichesque, trop difficile à souligner sans passer pour un un archéonazi. Or le discours d'estremdrouate tente un spectaculaire ravalement de façade, en épongeant les dettes colossales de la tribu à Moshe, pour les transférer sur les compte de Kader et ses frères. Pourria est donc farpaitement dans l'air du temps, pour donner la réplique à Finkie et Zemmour.
° de plus, elle ne se contente pas d'exalter son propre peuple ou d'insulter le nôtre à demi-mots, par métaphores. Dans son film, Asmar encule Azur et lui fait dire "merci, encore". Le discours est clair, compréhensible par n'importe quel imbécile, l'insulte radicale, la mauvaise foi assumée avec un rarissime aplomb. Pas besoin de lire entre les lignes, elles vous sautent à la gueule et vous chient sur les lunettes. Jusqu'alors, il fallait s'infliger la lecture de lyrics hip-hopeux vaguement underground, là c'est du live, heure de grande écoute, sans besoin de sous-titres pour les sous-chiens. Effort intellectuel à fournir : 0.
° enfin, malgré la clarté de son discours, son atypicité intégrale apporte quand même un torrent d'eau bourbeuse aux moulins de la parano du Cui Bono(bo) Club. « Une telle constance dans la caricature, c'est impossible, c'est louche, c'est de la provocation, c'est téléguidé, forcément ! Libres penseurs à moi ! Ne tombons pas dans le piège grossier ! Dénonçons l'opération de propagande et l'imposture ! CIA, Mossad, Bilderberg, quelqu'un est fatalement dans les coulisses à tirer les ficelles de ce pantin sur mesure ! »
Mamy Pourria, les nazis lui disent merci !
09:56 | Lien permanent | Commentaires (12)
Commentaires
Bouria est une salope c’est entendu. Une répugnante crevarde.
Sa place est sous un voile en Algérie, parmi les siens : les ratons , dont la dignité de soumis congénitaux à rallah lui importe tant (menteuse, vilaine menteuse, exploitatrice d’hommes à barbe, lesbienne).
L’antidote à cette harpie mauvaise c’est Déesse-k, que j’ai presque envie de mettre sous ma protection : qu’il gagne son procès et revienne en France (venger son honneur bafoué hi hi) humilier toutes ces immondes sous-putes de féministes.
Écrit par : Paraben | 05/06/2011
DSK représente le blanc incompris comme son confrère Madoff. Les 2 sont juifs.
Le statut ontologique du blanc est d’être juif.
Bon courage les blancs sachant qu’il n’y a absolument rien dans le mot juif
(ce dont ce DSK et Madoff doivent se douter contrairement à la niaise et grosse Anne Sinclair)
Écrit par : Paraben | 05/06/2011
On se demande ce que deviennent la civilisation et la culture sans le mot juif.
Didier Bourjon est sommé de répondre malgré ses innombrables activités.
Renaud Camus ferait bien de bouger son gros cul d’homosexuel.
Écrit par : Paraben | 05/06/2011
Pourriture de negro
allez vous faire enculer
Écrit par : Paraben | 05/06/2011
Au cas où le têtard aryen se perdrait en diatribes de plus en plus anti-juives - pour les raisons que tous nous connaissons -, le réac atlantiste aux yeux barbouillés de merde judéo-chrétienne ne manquera pas de lui rappeler SON combat, Sa croisade, et il faut dire qu'avec Houria d'un côté et Renaud C. de l'autre c'est du velours.
Les signes extérieurs du chancre qui nous ravage sont OUVERTEMENT à l'oeuvre, il n'y a pas de concombre masqué. " Nous avons bien sûr d'excellentes raisons de transformer le passé des aryens selon NOTRE perception et NOS intérêts, qui le changent " se disent en catimini et en se croyant finauds les sémites juifs et arabes, aidés en cela par le réac atlantiste aux yeux barbouillés de merde judéo-chrétienne. C'est aussi là leur faiblesse.
Le réac atlantiste aux yeux barbouillés de merde judéo-chrétienne - pour qui le temps est linéaire - n'est que réac, sans plus, et il le restera.
Pour les frères aryens, la nuit contient toujours en germe la promesse de l'aube comme le drapeau noir frappé de la croix celtique, la promesse d'une renaissance. Tout le reste, ce ne sont que bagatelles et péripéties... et ce n'est pas peu il est vrai.
Écrit par : Danny | 06/06/2011
Si le plaisir est un droit naturel inaliénable, si Houria fait des émules, y compris chez les Blancs, elle ne passera pas par moi... elle ne vaut pas même pour son cul même en période de dèche.
A la beauté blanche je resterai fidèle, seuls les loqueteux bandent pour Houria.
Écrit par : Danny | 06/06/2011
Seuls les loqueteux bandent pour Houria ou Rebecca.
Écrit par : Danny | 06/06/2011
OUI, défendons la race banche! Attali, Sarkozy et maître Lévy !
Je constate avec un certain bonheur que vous appliquez la technique du "je suis naïf mais je me soigne".
Question subsidiaire: est-on obligé de choisir entre la peste et le choléra?
Écrit par : Sébastien | 07/06/2011
La race blanche, pour moi, c'est bien plus Kafka, Pissaro ("art juif dégénéré" selon les nazis. Quand on connait un peu l'influence capitale de Pissaro...),Henri Heine, Suares, Marcel Schwob, Proust, Husserl que Duhamel (Georges), Jules Romains, Brasillach (pas terrible Brasillach hein. "La conquérante", c'est mauvais comme tout. Bon, il y a Les lettres à la provinciale, exquises, un ton perdu depuis Courrier.) Urbain Gohier et tant d'autres (Gohier in Le pilori, histoire de citer l'un de ces noms glorieux qui bavaient à dénonce-que-veux-tu dans les feuilles lamentables de l'occupation. Voire les listes de proscription -demandes d'arrestation de Je suis partout : "le juif un tel n'est pas encore arrêté", "comment se fait-il qu'on ait vu Jeanson à Paris, ce voyou anti-allemand" etc- . Voir aussi la bafouille ignoble de Céline sur Desnos -ce qui ne m'empêche pas de recommander son Pléiade de "Correspondance" évidemment).
Je suis fatigué de ces balivernes concernant la soi-disant non blancheur des juifs. Comme si Kafka n'était pas blanc, d'esprit, de corps, occidental comme pas un. Et Spinoza, influençant Diderot plus qu'aucun, Spinoza poursuivi par la synagogue, mis au banc des juifs de Hollande. Non, vraiment, c'est lassant. Les juifs ont laissé une trace profonde et enrichissante dans la pensée occidentale. Sans aller jusqu'à parler avec Bloy de Salut par les juifs, je donne tout Zo d'Axa, éditorialiste médiocre, écrivain sans génie, pour 2 pages de Maurice Sachs. Même Rebatet (en 1970 environ) trouvait l'antisémitisme totalement dépassé, et ce n'était pas hypocrisie de sa part. En plus, comme c'est contre-productif. Tenez , moi qu'énervait la défense de Strauss Kahn par deux Lévy, un Kahn, un Finkelkraut, un Cambaélis -enfin celui-là, ce sont ses ambitions qui partent en fumées.Ah, ces crématoires ney yorkais! -, si démangé d'irritation par ce côté "famille à la rescousse" que je m'en sentais un urticaire à Kippa galopant, il suffit d'un com comme celui de Danny pour casser les bras à ce bouton hébreux qui tournait goitre. D'ailleurs toute velléité d'arianisme hyperbolique m'a toujours paru ridicule achevé; "les petits aryens jaunes" de Brasillach pour parler des Japonais m'a toujours fait rigoler.comme si nous n'étions pas infiniment plus proche des juifs allemands d'avant guerre que des jaunes.(D'avant guerre : précision vu qu'il n'en reste pas bezef because on sait why-quel gaulois!. Y aura eu Celan quand même, Paul, le poète, et quel poète). Finalement, les bêlements pro bouc DSK cela tient plus d'une solidarité de classe, comme l'a bien montré le billet foireux de Jean Daniel,cette vieille médiocrité française .
Il y a des "Rebacca" qui valent autrement plus intellectuellement que nos Louise, Antoinette et Radegonde -une Simone Weil y suffit.
Je ne comprendrais jamais cette démence qui veut qu'un Husserl ne soit pas "blanc". C'est bien gentil la Bhagavad gita, mais lorsqu'on voit la médiocrité de ce que l'Inde a fourni à l'humanité au cours des 8 derniers siècles...Leurs seuls écrivains de valeur usent de l'anglais -et je pense surtout à Naipaul.D'ailleurs, cet orientalisme qui a servi de tailleur initiatique à des imbéciles suprêmes comme Guénon m'apparait comme un piège, n'en déplaise à l'ombre aimée de Daumal.
Nous avons avec les grecs et les latins déjà bien de quoi faire.
Quand même, je m'étonne qu'un garçon intelligent rabâche encore les mêmes antiennes qu'au temps de Gogenot (sic) des Mousseaux. Oh, je désire qu'on élimine toutes les lois qui interdisent l'expression de telles pensées, elles sont de tradition française, de Proudhon aux Goncourt sans oublier Léautaud (Dreyfusard pourtant! mais ce n'est pas le seul.Cf "Les dreyfusards sous l'occupation" d'Epstein). C'est simplement qu'elles m'étonnent.Qu'on oublie un Heine ou un Kafka si facilement me stupéfie. Il ne s'agit d'ailleurs pas d'outrer l'apport des juifs, on serait bien en mal d'en trouver dans les 17, 18 voire 19 siècle français (Schwob mis à part, ce Schwob dont le souvenir à lui seul fit basculer hors du camp de l'antisémitisme le grand Léon Daudet, cf ses Souvenirs), et Bergson ne m'a jamais paru transcendant. Et il y aurait long à dire sur combien s'est détaché de l'esprit de l'Ancien testament et de sa marque dans le nouveau toute la théologie européenne. Un Duns Scot n'a plus rien à voir avec l'affreux Saint Paul. Mais enfin, entre outrer l'influence et carrément sortir les juifs de l'occident,haïr(! on dirait presque en tous cas. Obsessionnel). il y a un abîme. Enfin, si Nietzsche lui même n'a pu opérer certaines cervelles, à l'intéressant fonctionnement pourtant, de leurs préjugés, moi chétif que viens-je me mêler stupidement de parler? C'est qu'encore une fois, je reste absolument ébahis. É-ba-his.
Écrit par : Restif | 08/06/2011
@ Restif:
C'est sans doute parce que, une fois encore, le vieux juif est utilisé comme moyen de diversion par des aryens de bande dessinée qui, ce faisant, se dégagent de toute responsabilité quant à l'origine de leur dégénérescence.
C'est simple comme bonjour, à la portée du dernier des païens et surtout, ça fonctionne.
Écrit par : Crozak | 09/06/2011
Pour ceux qui veulent suivre xyr, il est là maintenant :
http://traitementludovico.blogspot.com/
Écrit par : android | 09/06/2011
Non ici :
http://labetehilare.blogspot.com/
Écrit par : android | 12/06/2011
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