03/06/2012
GUERRE EN DENTELLE ET GUERRE TOTALE
Zemmour saqué à RTl, on s'en émeut jusqu'en Chuiche. Dans Le Matin de ce dimanche Despot dénonce le danger liberticide de la gauche au pouvoir. Sur la même ligne, Decaillet s'était déjà formalisé quelques jours plus tôt.
Mais il n'est pas question de "liberté", il n'est question d'aucun principe universel, d'aucune "dérive" au sein d'une société stable où l'essentiel va bien sans qu'on se pose la question. Il est question d'un point de détail (j'aurais pu m'empêcher, oui) de l'histoire de la Troisième Guerre Mondiale, celle que les Epurateurs mènent aux Européens et descendants d'Européens partout sur le globe.
Oui, je ne vais pas très bien dans ma tête, mais non, je ne fais pas de Zemmour un combattant de la cause européenne. Je dis que même un Peuplélu qui se hasarde à faire la fine bouche sur certains éléments du discours antiblanc peut se prendre un coup de règle sur les doigts. C'est aussi arrivé à un Dieudonné, que son métissage - que nos Correcteurs devraient d'ailleurs rebaptiser "haute valeur raciale ajoutée" - et des années de loyaux services n'ont pas protégé de la mise sur la touche. Comme quoi, si le recours systématique à la Race Card ne vous convainc pas toujours, vous n'êtes même pas sûrs de pouvoir la jouer à votre avantage le cas échéant... On pourrait y voir une forme de "jurisprudence Zimmermann", cette alchimie ethnologique stupéfiante qui peut transformer en une seule nuit un bâtard chicano en "latino blanc".
Selon que vous nuirez ou non à l'éviction des toubabs, les jugements de cour vous rendront littéralement blanc ou noir.
Les "valeurs" dont se réclament les castrateurs du langage, les assassins de la VRAIE mémoire - la nôtre, pas celle de sectaires monothéistes shoahmaniaques - et tous les maîtres-censeurs NE SONT QUE DES OUTILS pour imposer leur pouvoir. Ils ne croient pas à la liberté, à la tolérance, à la diversité. Ce ne sont là que pieds-de-biche médiatiques pour désarmer l'adversaire, pour le forcer à ne pas se défendre quand ils l'attaquent. Entre les mains dudit adversaire, ces outils de chantage affectif deviennent subitement mauvais, fragiles, "détournés", cyniquement manipulés etc.
Je ne suis pas d'accord avec votre identité et je me battrai jusqu'à la mort pour qu'elle disparaisse. Les voilà, vos Voltaires modernes.
Ne leur reprochez pas leurs incohérences : ils sont au contraire d'une implacable rigueur, si l'on ne s'arrête pas à la surface, aux bruits de leurs vesses de bouche. Ils ne prêchent la tolérance, le relativisme, la décadence, l'ouverture que pour les EFFETS NEFASTES que ces choses entraînent sur une société qu'ils haïssent et qu'ils veulent renverser. C'est l'histoire de toutes les révolutions de type socialiste depuis deux siècles : une fois au pouvoir, ils pratiquent exactement l'inverse, parce qu'ils n'y ont jamais cru, parce qu'ils sont intrinsèquement totalitaires, parce que le vrai pouvoir ne se partage pas.
Leur complaisance coupable avec la négritude, "nazisme noir" qu'ils devraient dénoncer s'ils étaient le moins du monde intéressés par les idées et leur défense conséquente, ne s'explique QUE parce qu'il est un moyen de faire violence à l'identité européenne, de corrompre le toubab par ses femmes. Ils savent parfaitement le potentiel de dégoût et de rejet de ce qu'ils prônent, et ne le font QU'A CAUSE de ce potentiel. Eux-mêmes ne se reproduisent qu'entre eux, que ce soit sur la base de l'ethnie, du rang social, ou de l'appartenance au même réseau. Pareil pour leurs accointances avec les imams, alors qu'ils vomissent les curés depuis quinze générations de militants: une bondieuserie qui permet de saper les bases de la civilisation européenne est bonne à prendre. Au vu du nombre de mélaninolâtres qu'on trouve chez les chrétiens contemporains, on ne pige d'ailleurs pas très bien la vigueur de leur anticléricalisme, qui risque de froisser bien des alliés objectifs de leur gerbatoire entreprise.
Elément central de leur cohérence, le but auquel ils ne renonceront jamais, la ligne générale qui unit toutes leurs factions dissidentes, qui met subitement d'accord sionistes et islamistes, qui réconcilie la City et Occupy Wall Street, qui fait coucher chiens et chats ensemble, c'est l'élimination par tous les moyens de la domination du mâle blanc hétéro sur ses terres historiques.
Tout le reste est accessoire, poudre aux yeux, fichaises, décorum, langage automatique, bredouillis mongolien. La redistribution des richesses ? La préservation des ressources naturelles ? La lutte contre l'obscurantisme ? La dénonciation du néolibéralisme ? Secondaires, négligeables, à peine conceptualisés, amuse-bouche idéologiques. Leur haine folle culmine face au toubab qui ne s'excuse pas de l'être. C'est lui l'objet de toute leur rage. Rabattre son caquet, briser son arrogance, détruire son estime de soi, saccager son héritage, rien d'autre n'importe.
Contre cette guerre d'agression menée à tout ce que nous sommes, contre ces enculés assumés qui ne reconnaissent aucune innocence ni circonstance atténuante, ces fausses couches de chacal pour qui notre crime est simplement de vivre sous une peau de Blanc, il n'y a pas de grands principes qui tiennent. Aucun appel à la raison n'a de sens, aucun sermon, aucun rappel à la décence ou au respect de leurs propres mensonges. Autant espérer décourager un violeur en lui récitant du Simone de Beauvoir - ce qui à la réflexion pourrait même être plus efficace.
La droite classique s'imagine triompher dans un combat libre, où tous les coups sont permis et surtout les plus vicelards, en respectant strictement les règles du judo. C'est son fichu côté bien-comme-il-faut, sa belle, vaine et suicidaire aspiration à la rectitude. Elle se condamne donc à l'échec, à l'humiliation, au ridicule. A chaque coup de pied dans les tibias, chaque claque dans les couilles, chaque morsure, elle hurle en direction de l'arbitre, exigeant qu'il intervienne. Elle ne pige pas qu'elle se bat précisément contre l'arbitre, puisque la grille de lecture médiatique reste éternellement anti-conservatrice, anti-traditionnaliste, anti-toubab, aveuglément hostile à tout ce qui ralentit l'éviction définitive de Monsieur Moyen, sa négrification, sa cassure psychologique, sa repentence héréditaire.
Un commentateur de droite, ou simplement un poil sceptique face à l'infaillibilité des pontifes de la Grande Correction, c'est un poulet qui s'invite dans le terrier du renard avec un code de déontologie dans le bec.
* * *
“what they want is a quite deliberate double standard where blacks are allowed the racial consciousness whites are denied.”
I’ve said it before and I’ll say it again. Stop complaining about a double standard, and see the truth.
For the left, there is no “double standard”; there is a single standard, universally applied, and it is this:
Fuck you, whitey. No matter what the facts are, no matter what the circumstances are, just fuck you, whitey. Die, white man.
That is the core of their belief. They are not your loyal opposition, with whom you can argue in good faith. They are your deadly ENEMIES, who want you exterminated from the face of the earth. And they don’t care about any abstract principles, their only true principle is to exterminate YOU. They are more than happy to pretend that there are outside standards or principles of fair play, because so long as you believe that, then they have the advantage.
Remember: whenever a leftist/liberal/anti-racist opens his mouth, all he is really saying is: Die, white man. Fuck off and DIE.
16:47 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (15)
Commentaires
Le terme de "droite" me gêne, en tant que Français j'y vois des Juppé, Copé et autres immigrationnistes/métissolâtres. Je peux p)as m'empêcher.
Pour le reste tout ça est très juste, surtout cette phrase:
"c'est l'élimination par tous les moyens de la domination du mâle blanc hétéro sur ses terres historiques."
C'est une phrase qui a été dite quasiment mot pour mot sur la radio "France Culture" il y a quelques années maintenant je pense, par l'une des animatrices qui appelait très clairement et sans que personne ne s'en émeuve à chasser l'homme blanc hétéro de tout pouvoir quel qu'il soit. Sur e coup j'étais estomaqué, depuis j'en ai assez vu et entendu pour que ça me blase...
La seule question est: comment garder le moral alors qu'on est SURS de notre disparition prochaine (sauf à s'imaginer un grand soir blanc qui n'arrivera jamais)? Tout nous dirige tellement vers le néant que je ne vois personnellement pas la moindre lueur d'espoir. On est combien à avoir conscience d'être Blancs, à ne pas en avoir honte et à vouloir le rester? Quelques milliers, quelques centaines de milliers? Ca tiendra combien de générations? Trois, quatre maximum? Non, franchement, on ne peut avoir OBJECTIVEMENT aucun espoir.
Écrit par : Fayard du Nord | 03/06/2012
"Espoir" (Nous vainkrons ! Oï Oï!) et "Désespoir" (Il n'y a plus rien à faire alors portons de belles chaussures) sont les deux faces d'un même luxe dont nous n'avons plus les moyens. Une troisième voie ? Ma modeste suggestion : trouver du courage et de l'endurance dans la haine et l'obsession de vengeance. Notre extermination programmée, si elle ne peut guère être retardée ou inversée, ne doit en tous cas pas rester impunie. Les fils de chienne qui la promeuvent, qui en vivent, qui la minimisent, qui la relativisent, qui la sociologisent, qui s'en accommodent, doivent payer. Demain ou plus tard. D'une manière ou d'une autre. Il faut durer, faire des gosses, gagner un semblant d'indépendance, se maintenir plus ou moins en forme, conserver la patate, dans cet unique objectif. C'est notre Devoir de Mémoire : ne pas oublier ce qu'on nous a fait, qui nous l'a fait, avec quels outils, selon quels prétextes, pour quel salaire. Notre lignée condamnée doit être vengée. Elle doit, sinon pour ne pas disparaître, du moins par simple dignité, ne pas s'éteindre doucereusement. Le culte humble, discipliné, discret et inflexible de la revanche sur les enculés est une source d'endurance dont on n'a pas encore pleinement pris la mesure. Parce que c'est mytho. Parce que c'est pas présentable. Parce qu'il y a mille appelés pour pas un élu. Parce que tout ce qu'on veut. Rien à foutre. Voilà notre seul espoir pragmatique, usuel, utilisable quotidiennement sans trop se foutre en l'air. Pour notre génération, de toute manière, c'est clairement foutu. Et alors ? Tout ne s'arrêtera pas après nous. Nous devons donner à nos descendants de quoi tenir des épreuves bien pire, de manière à ce qu'eux-mêmes puissent forger l'âme guerrière de ceux qui, un jour, peut-être, quelque part, avec leurs pauvres moyens, laveront notre honneur perdu. Je n'ai rien d'autre à proposer.
Écrit par : Stag | 03/06/2012
"Le culte humble, discipliné, discret et inflexible de la revanche sur les enculés est une source d'endurance dont on n'a pas encore pleinement pris la mesure. [...] Voilà notre seul espoir pragmatique, usuel, utilisable quotidiennement sans trop se foutre en l'air."
t'avoueras quand même que le paradoxe est visible depuis l'espace, là...
ruminer dans son coin en espérant une Sainte Revanche ou le Grand Soir, ça se vaut, et c'est du chewing gum d'impuissant - je le sais, je fais pareil.
alors dans le genre "espoir pragmatique", tu repasseras...
que tu considères cela comme une rasade d'eau-de-vie qui aide à tenir, pourquoi pas, en sachant toutefois qu'à terme ce genre de médication fait plus de mal que de bien.
tout à fait honnêtement je pense que tu te racontes des histoires parce que tu as désormais déplacé ton centre de gravité et que lorsqu'on a un môme on est *obligé* de ne pas être totalement pessimiste.
réaction humaine tout à fait normale et saine, mais qui -je le crois- rend sinon aveugle du moins myope.
pour conclure sur une note personnelle, si je ne suis évidemment pas dans un trip d'espoir (pas ma nature), je ne suis plus non plus dans son inverse : disons que rien n'est jamais joué, mais que je n'y crois pas :)
Écrit par : GAG | 04/06/2012
GAG, pas sûr. Personnellement j'ai deux enfants (4 et 2 ans), j'espère en avoir d'autres. Pourtant je n'ai absolument aucun espoir que la race nord-européenne survive plus de quelques générations.
Tu vas me dire, pourquoi faire des enfants alors? Parce que j'ai une conscience "sacrée" de la famille et de la transmission de mon sang, c'est un devoir (philosophique, spirituel) et je m'y tiendrais.
Et on ne pourra pas dire que j'ai participé à notre déchéance et notre destruction: je mourrais la tête haute le jour venu.
Stag, la vengeance comme viatique, voilà un concept intéressant...
Écrit par : Fayard du Nord | 04/06/2012
Fayard du Nord
Vous avez raison ; mais il y a au moins deux manières de voir la perpétuation :
1) vous passez le flambeau à de nouveaux éléments sains : c'est la seule résistance réelle ;
2) vous donnez naissance à des robots supplémentaires qui seront au mieux passifs au pire acculturés volontaires.
On peut répondre à cela que deux devoirs suffisent, à savoir la procréation proprement dite et l'éducation, le reste n'étant pas dans vos mains.
Car vous êtes l'arc et votre enfant la flèche, et cette dernière peut manquer lamentablement sa cible, casser ou même glisser avant le tir, mais vous aurez fait votre boulot de lanceur.
Je n'ai pas d'avis là-dessus, car les deux avenirs sont possibles.
De toute façon j'ai de moins en moins d'avis sur quoi que ce soit :)
Écrit par : GAG | 04/06/2012
GAG, j'aime beaucoup la première manière de voir. Elle me correspond et j'y souscrit. De toute façon, par rapport à moi-même, ma philosophie et mes capacités, c'est de loin ce que je fais de mieux. Et contrairement à un opinion répandue chez ceux qui n'ont pas d'enfants: contribuer à mettre au monde des éléments sains (ne serait-ce que racialement) et les éduquer de façon à en faire des enfants équilibrés, intelligents, indépendants et sains d'esprit, ça n'est pas simple! Pour le moment je réussis, on verra l'avenir, comme vous dites le reste n'est pas dans les mains des parents...
Écrit par : Fayard du Nord | 04/06/2012
Sagesse.
Là où il n'y a le choix qu'entre lâcheté et violence, je conseillerai la violence... Je cultive le courage tranquille de mourir sans tuer. Mais qui n'a pas ce courage, je désire qu'il cultive l'art de tuer et d'être tué, plutôt que de fuir honteusement ce danger... Je risquerais mille fois la violence, plutôt que l'émasculation de toute une race.
Mohandas Karamchand Gandhi cité par Romain Rolland in Mahatma Gandhi. 1924.
------------------------------------------------------------------
Les règles du jeu classiques sont renversées par la propagande antiraciste dominante, les droites qui ont beaucoup oeuvré à leur destruction sont en retard d'une guerre, et la courtoisie est une règle rêvée par les victimes, qui ne peut plus tenir. C'est irréversible.
------------------------------------------------------------------
" Nous nous sommes faits américains. Il est normal que nous trouvions ici tous les misérables problèmes des USA, de la drogue à la Mafia, du fast-food à la prolifération des ethnies.
(...)
Ici, nous ne sommes plus rien : des colonisés qui n'ont pas su se révolter, les béni-oui-oui de l'aliénation spectaculaire. Quelle prétention, envisageant la proliférante présence des immigrés de toutes couleurs, retrouvons-nous tout-à-coup en France, comme si l'on nous volait quelque chose qui serait encore à nous ? Et quoi donc ? Que croyons-nous , ou plutôt que faisons-nous encore semblant de croire ? C'est une fierté pour leurs rares jours de fêtes, quand les purs esclaves s'indignent que des métèques menacent leur indépendance ! "
Guy Debord, Notes sur la question de immigrés. Rédigées en décembre 1985, ces notes furent communiquées à Mezioud Ouldamer, qui publiera en novembre 1986 aux éditions Gérard Lebovici "Le cauchemar immigré dans la décomposition de la France".
On ne peut évidemment pas en rester à cette apostrophe pertinente.
Écrit par : Danny | 05/06/2012
Bonjour,
Plutôt que de chercher à ruminer dans son coin, ce que j'ai fait trop longtemps, il y'a un autre moyen : Etudier l'histoire de son pays, de sa civilisation et celle des autres-notamment les points "centraux (WWII, résistance, collaboration, Inquisition, colonisation, esclavage, croisades, national socialisme, fachisme) et ne pas cesser de comparer lors de débats avec de vrais gens, et notamment des jeunes. Dans le meilleur des cas vous ébranlerez déjà l'édifice qu'on leur construit à l'éducnaze et dans le pire des cas vous les ferez taire.
C'est peu, mais c'est déjà beaucoup, surtout si vous rabachez systématiquement.
Autre chose, n'hésitez pas à revenir au sens originel des mots (racisme, humanisme, république, ect) et balancez le à chaque fois. Et dès que quelqu'un vous dit "les mots évoluent", rappelez la phrase de Goebbels sur le sens des mots.
Quand on vous parle d'union européenne, citez du Adolf.
Quand on vous parle d'islam, citez du Coran, du Adolf ou du Bénito.
Faites des réductio ad hitlerum de vos adversaires, en comparant.
Ne cessez jamais de rappeler, quand on vous traite de racistes, que vous êtes contre l'immigration de masse et la mise en place de normes étrangères, et que justement ça n'a rien à voir avec la race, simplement, si ça avait été de bons allemands blancs aux yeux bleus vous aurez dit merde aussi. Vous vous refusez simplement à collaborer à toute forme d'immigration, et donc d'invasion de votre sol.
Bref, soyez encore plus antiracistes que vos adversaires.
Déjà testé, et franchement, à défaut d'être efficace-encore que- c'est assez jouissif.
Écrit par : Vryko | 06/06/2012
"Ne cessez jamais de rappeler, quand on vous traite de racistes, que vous êtes contre l'immigration de masse et la mise en place de normes étrangères, et que justement ça n'a rien à voir avec la race, simplement, si ça avait été de bons allemands blancs aux yeux bleus vous aurez dit merde aussi."
Bien évidemment que ça a un rapport avec la race ; sans cette notion, comment expliquez-vous donc que vous refusez que la France devienne une casbah géante ou la patrie du tam-tam ?
Si vous vous arrêtez à la nation, étant donné que cette catégorie n'a plus aucun foutu sens en Occident, vous êtes rapidement à court.
En outre, même si toute occupation étrangère est odieuse, il existe une hiérarchie de légitimité et je place évidemment un "bon Allemand blond aux yeux bleus" largement au-dessus d'un cr*** ou d'un n***.
Il y a encore plus redoutable en termes rhétoriques que ce que vous décrivez : un raciste qui s'assume et qui argumente avec force exemples historiques.
Mon pote Augagneur est un champion dans cette catégorie :)
Quand on en arrive à claquer le beignet d'un connard à partir d'événements difficilement réfutables et connus de tous (ou sourçables facilement), le type se retrouve emmêlé dans ses propres contradictions. Exemple facile : l'anti-esclavagisme, en rappelant bien la traite transsaharienne et orientale d'une part et les razzias constantes de Blancs entre 1492 et 1830 (esclavage dit "de course") d'autre part.
La première a duré du VIIe au XXe (!) siècles et les secondes ont coûté la liberté et la vie à 1 500 000 Européens.
Mais bon, tout ça c'est dans le cas où on a de l'énergie à perdre à discuter avec des cons ; personnellement ça m'a passé.
Il y a très peu d'interlocuteurs valables : cela force au silence et au mutisme et au final ce n'est pas plus mal.
Écrit par : GAG | 06/06/2012
"Quand on en arrive à claquer le beignet d'un connard à partir d'événements difficilement réfutables et connus de tous (ou sourçables facilement), le type se retrouve emmêlé dans ses propres contradictions. Exemple facile : l'anti-esclavagisme, en rappelant bien la traite transsaharienne et orientale d'une part et les razzias constantes de Blancs ETC" (GAG)
Oui et non. Si le connard en question a parfaitement assimilé l'axiome de base que le Blanc est le mal, il ne verra aucune contradiction nulle part.
Je dis ça parce que ça m'a rappelé une discussion avec un cousin catalan (d'Espagne) mien (qui n'est d'ailleurs pas un connard^^ - quoiqu'un peu con quand même - qui plus est est natio catalan tout en étant ethnomasochiste-immigrationniste - allez comprendre !), qui jouissait ouvertement en voyant le déferlement de bougnes vers l'Europe via Lampedusa après la "révolution" tunisienne...
Il disait en substance : "ah les Européens voulait de la colonisation, toma colonización !" - bref, bien fait pour notre gueule, retour de bâton etc etc. J'ai bien sûr répliqué : " ah ben si tu vas par là, on peut dire que la colonisation du XIXème, les bougnes l'ont bien mérité, pisque le siège de Vienne, pisque la traite des blanches, pisque etc." J'ai rajouté une couche perfide d'arguments "antiracistes" : "tu serais pas un peu racistes à considérer les bougnes comme d'éternelles victimes qui ne ferait jamais de mal, bref comme des sous-hommes ?"
Réaction indignée du cousin, alors que j'employais les MÊMES arguments que lui, mais contre les bougnes. Pourquoi cette réaction ? Parce que l'axiome de base : c'est le Blanc qui fait le mal. Les autres peuvent le faire aussi, mais en réaction seulement.
Inclus là-dedans le fait même que s'attaquer aux bougno-muzz, même en employant les mêmes arguments avec lesquels on s'attaque aux blancos, c'est bien prouver que nous blancs on est méchants, et particulièrement hypocrites d'oser reprendre des arguments victimistes réservés... aux victimes par essence. Cercle vicieux.
A partir de là, le gars souvent non seulement ne se sent pas pris dans ses contradictions, mais c'est à vous -le comble- d'expliquer que cet histoire de Blanc toujours coupable n'est qu'un préjugé, un axiome indémontrable... et démonter un axiome indémontrable, et pas démontrable non plus, c'est plus ardu que démonter une théorie fausse. D'où nouvelle discussions interminables, et pour quel résultat ? Mais bref, comme vous, tout ça a fini par me fatiguer.
Écrit par : Gil | 06/06/2012
Cher Gil,
Tout cela doit être considéré sous les angles suivants :
1) vous perdez du temps et de l'énergie à discuter avec un con (désolé pour votre cousin) ;
2) le but n'est pas de convaincre ni de "convertir" ;
3) si vous êtes face à un axiome alors par définition rien n'est analysable ni justifiable ;
4) ne jamais recourir aux arguments "victimistes" comme vous dites, car le con a raison au-delà de ce qu'il croit : le Blanc est mauvais (dans le sens américain, "bad ass"), méchant, et certainement pas victime. Il ne va pas (ne doit pas, en tous cas) s'abaisser à faire la manche idéologique comme le font trop de communautés ; on n'est pas des romanos.
Bon naturellement je ne suis jamais contre une sucrerie de temps en temps : le plus amusant étant la bobotte qui devient hystérique et qui hurle au waciste. Dans ces cas-là lui en donner pour son pognon et continuer sereinement en sirotant son blanc sec. Non contractuel : lui claquer la gueule et/ou lui trouer le petit, ça la calme.
Écrit par : GAG | 06/06/2012
Gag,
"Ne cessez jamais de rappeler, quand on vous traite de racistes, que vous êtes contre l'immigration de masse et la mise en place de normes étrangères, et que justement ça n'a rien à voir avec la race, simplement, si ça avait été de bons allemands blancs aux yeux bleus vous aurez dit merde aussi."
Bien évidemment que ça a un rapport avec la race sans cette notion, comment expliquez-vous donc que vous refusez que la France devienne une casbah géante ou la patrie du tam-tam ?"
-
Evidemment que ce que je dis a un rapport avec la race, mais ce n'est pas à vous de vous en justifier en cherchant à démontrer que toutes les races ne se valent pas. En revanche, vous placez l'autre devant ses propres contradictions en parlant des vilains nazis blancs aux yeux bleus, surtout si vous placez l'occupation de la Ruhr par les troupes noires et le pillage et l'humiliation pour lesdits Allemands (et évidemment n'oubliez pas de parler d'Abetz, Touvier, Pétain, Laval, Déat, ect). Et quand vous dites que vous refusez les moeurs et coutumes étrangères, que je sache, le tam-tam en fait partie, comme l'islam, ect, et votre interlocuteur le sait, à vous de lui faire cracher le morceau...
Vous dites simplement "non" en vous plaçant au dessus de la race et vous pouvez moralement traiter votre adversaire de raciste et de collabo en l'obligeant à se justifier, et donc, pour les plus cons d'entre eux, les obliger à parler de races, ce qu'ils haissent par dessus tout.
La différence entre votre argument et le mien, c'est que vous vous vous défendez en essayant de montrer que les racistes ont raison. Moi j'attaque directement la personne en l'insultant de ce qu'il y'a de pire pour lui (racisme, collaboration-à l'antisémitisme notamment) et en l'obligeant à se défendre.
Le très gros problème de "l'extrême droite", c'est que vous êtes de bonne foi et que vous ne voulez jamais attaquer sous la ceinture. Vous croyez encore, finalement, à la justice.
Attaquez les gens sur leur racisme, ne vous inquiétez pas, ils savent très bien ce qui se passe et même les plus xénophiles savent très bien ce que valent les différentes populations, vous ne ferez que les mettre devant leurs responsabilités. Celle des collabos qu'ils sont. Et ne vous privez pas de le leur dire quand ils font semblant de se préoccuper de l'avenir de leurs enfants.
Ils savent aussi bien que vous ce qui se passe. A vous d'en tirer profit.
Écrit par : vryko | 06/06/2012
"La différence entre votre argument et le mien, c'est que vous vous vous défendez en essayant de montrer que les racistes ont raison."
vryko
J'ai dû diablement mal m'exprimer, car, croyez-moi, je ne me "défends" de rien du tout :)
Et d'ailleurs ce ne sont pas des arguments, non plus.
Écrit par : GAG | 06/06/2012
Gag, je réagissais tout de même à ce que vous disiez là : "Quand on en arrive à claquer le beignet d'un connard à partir d'événements difficilement réfutables et connus de tous (ou sourçables facilement), le type se retrouve emmêlé dans ses propres contradictions. Exemple facile : l'anti-esclavagisme, en rappelant bien la traite transsaharienne et orientale d'une part et les razzias constantes de Blancs entre 1492 et 1830 (esclavage dit "de course") d'autre part"
... ce qui n'et pas très loin de ce que j'ai tenté avec mon cousin spanish... et il ne s'agit pas tant de faire du "victimisme" blanc que de montrer que les autres non plus ne sont pas des anges.
Mais bref, puisque vous parliez de "sucreries", je crois que le mieux, si on se lance dans ce genre de discussion, est d'essayer de prendre son pied, que ce soit en s'affirmant superlativement raciste ou en renvoyant dans la face du gaucho ses arguments antiraciss... on aura au moins le plaisir de la rigolade, et finalement, qu'on y tienne ou pas, c'est la meilleure manière de convaincre... je pense qu'on sera au moins tous plus ou moins d'accord là-d'ssus.
Écrit par : Gil | 06/06/2012
"Ce ne sont là que pieds-de-biche médiatiques pour désarmer l'adversaire, pour le forcer à ne pas se défendre quand ils l'attaquent."
Woouahh merci pour l'info, ça fait quelques temps qu'on le sait.
En revanche, rien n'oblige quelqu'un de libre à ne pas se défendre.
Quand je lis les commentaires satisfaits de petits trouducs qui expliquent comment "répondre à des anti racistes et que c'est jouissif" je me dis qu'on a vraiment ce qu'on mérite. Même les français de souche soit disant assumés sont définitivement des esclaves geignant que l'Etat ne vient pas mettre un terme au multiculturalisme forcené.
C'est bien d'avoir de l'esprit les gars, mais au final, vos interlocuteurs n'y entendront jamais rien et c'est avec le caractère que ça bougera. Comme le rappelle fort justement Gustave le Bon, cité dans vos colonnes...
Tout ce qui est écrit sur ce blog l'a déjà été depuis un siècle et demi. Et je ne pense pas que leurs auteurs visionnaires, se sont cassés le cul juste pour voir les générations suivantes se contenter de les approuver.
Alors organisez-vous, et sortez enfin de vos gongs. La liberté et la dignité, ça se gagne.
Écrit par : skostiss | 27/06/2012
Les commentaires sont fermés.