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13/07/2012

Black People Are Not Oppressed

Commentaires

et tout cela est d'ailleurs parfaitement applicable aux femmes
non pas en termes d'incapacité, mais de moyens et de choix d'orientation
on pourra mettre des milliards dans la sensibilisation, la publicité et l'information vers telle ou telle filière scolaire ou universitaire, l'écrasante majorité des femmes se dirigeront d'elles-mêmes vers les mêmes secteurs classiques : secrétariat, bonniche, hôtesse, puériculture, vente, infirmière, instit' etc.
la voie royale restant bien évidemment, oui oui en 2012 un scandale, le secteur de "femme-mariée-à-un-homme-qui-gagne-bien"
on voit pas des masses de femmes matheuses, informaticiennes, plombiers (y a même pas de féminin, plombière c'est un fruit confit), garagistes, routiers
ça existe hein, j'en ai vu, mais c'est très à la marge
et pourtant on est tous foutrement égaux en tous points n'est-ce pas
on peut également plaquer pour les femmes l'antienne "on ne nous a pas donné les moyens de nous exprimer depuis 850 000 ans"
déjà historiquement c'est un point (passionnant d'ailleurs) à étudier car beaucoup moins évident qu'il n'y paraît
ensuite les femmes ont désormais deux générations post-années soixante, toutes fraîches, pour s'être émancipé de l'abominable dictature phallocrate
ça ne suffit pas ? c'est trop tôt ? ok ! alors on va faire comme pour les noirs et je vous fiche mon billet que dans 150 ans les résultats seront absolument identiques
normalement quand les comportements reviennent sur des siècles on est en droit de se poser de légitimes questions
après, tout existe : un noir brillant, une femme docker, un juif honnête :)
on s'arrêtera donc aux ratios, qui parlent plus que les exceptions
les vérités pas bonnes à dire et encore moins à entendre sont pourtant "crystal clear" : *certains* ne semblent pas inclinés au travail ou à l'utilisation du contenu (?) de leur boîte crânienne ou encore à la remise en question
en ce qui me concerne c'est la raison pour laquelle je place tout naturellement le génie européen au-dessus de tout le foutu reste : aucune civilisation au monde (et dans l'histoire ?) n'a jamais réussi à se dépasser elle-même au point de conceptualiser les outils de sa propre critique jusqu'à envisager sa propre destruction
le résultat aujourd'hui est certes funeste mais je constate ici le tour de force psychologique, culturel et technique et non son fruit fût-il pourri
les moins nuls dans le reste du monde, genre faces de citron, sont très sûrs de leur fait et décomplexés par rapport à leur mode de vie qu'ils jugent supérieur à tout le reste sans l'ombre d'un doute
c'est techniquement la meilleure méthode pour perdurer bien sûr, mais intellectuellement c'est un stade inférieur à celui qui ne doute tellement plus de sa puissance qu'il peut s'autoriser à en douter
je ne sais pas si vous me suivez
sinon le commentaire et la voix sont hilarants
allez adishatz les amis

Écrit par : GAG | 13/07/2012

Je vous la pique.

Écrit par : Anthony | 13/07/2012

Dans le même genre vous avez aussi Race, politique et économie de Thomas Sowell : http://www.amazon.com/The-Economics-Politics-Race-International/dp/0688048323

et également:
http://www.lewrockwell.com/sowell/sowell42.1.html

Écrit par : daredevil | 14/07/2012

@ Stag : "tout cela est d'ailleurs parfaitement applicable aux femmes" ... là, il faudrait être plus prudent;
Il n'y a rien qui distingue les hommes de tout sexe (je ne m'intéresse pas au troisième); la différence tient à la "pratique" historique et la société post-chrétienne qui a solutionné bien des problèmes d'existence : l'appel à la mine et aux champs n'a pas créé le même engouement pour l'égalité.
Dans un monde où le statut de "bac+n" offre (apparemment) des débouchés, la scolarisation des individus (tous sexes confondus) ne produit pas de différence notable.
J'ai lu quelque part que les mathématiques produisent des sélections, ce fût vrai (en 1960, quatre filles sur quarante dans ma classe de Math-Elem). Si aujourd'hui, il peut rester des différences, elles proviennent plus de l'ambition des parents que du fait des enfants.
Anecdotiquement, un "chercheur" a fait l'étude des prénoms des 6% de bacheliers reçus avec mention TB (approximativement, le ratio de mentions AB en 1960 sur ue population sélectionnée par un examen d'entrée en 6ème !). Allez y voir : en gros 25% des Camille, ... 1% des Kévin, epsilon des Mouloud; vous saisissez la signification ...
Amicales salutations, Stag

Écrit par : René de Sévérac | 14/07/2012

Pour mémoire, Guillaume Faye...

L'Afrique noire, quant à elle, n'a pas d'autre avenir que de coloniser l'Europe par le bas, comme une fuite d'eau. Sur place, sur le continent noir, il n'y a rigoureusement rien à faire ni à espérer pour construire une société de type technoscientifique ; elle géopolitiquement périphérique ; elle contribue pour moins de 4 % du PNB mondial ; elle est composée d'Etats artificiels incapables d'acquérir la moindre puissance, en proie aux guerres tribales intestines, à d'incessants massacres, à une corruption phénoménale, où la productivité du travail est nulle. Ce fut une erreur majeure que d'avoir voulu, du temps du colonialisme, les convertir à notre civilisation. Sans les pays du Nord, l'Afrique noire retournerait au néolithique en moins d'une génération. Sa seule force contemporaine est celle, biologique, des ventres (grâce à la médecine européenne et à nos aides). Retournement de l'histoire : par ce biais, elle nous colonise.

Le seul avenir pour l'humanité, au XXIe siècle, comme je l'ai déjà exprimé dans d'autres ouvrages, ce serait, au terme d'un chaos guerrier, de remettre chaque aire de civilisation sur son espace autocentré propre, chacun à son rythme. Ce qui suppose la fin du modèle occidental de la modernité ou de la mondialisation, et une vision archéofuturiste du monde. Car le mélange, dans l'onirisme d'une civilisation planétaire, de nations, de races, de cultures, de religions totalement différentes est une impossibilité historique. Ce modèle est voué à un effondrement prochain. La recomposition de l'humanité ne pourra s'accomplir, au terme d'une crise terrifiante et salubre, que verra le XXIe siècle, que par la juxtaposition d'"aires" civilisationnelles et ethniques, relativement cloisonnées. Une utopie ? Non, la loi naturelle, qui se rétablira après la petite parenthèse entamée au XVIIe siècle par l'idéologie des Lumières - celles qui attirent les mouchent.

Guilaume Faye, L'erreur passée du colonialisme et le mythe de l'exploitation néocoloniale actuelle. Extrait du livre "Avant-Guerre".

guillaumefayearchive.wordpress.com

Écrit par : Danny | 14/07/2012

René de Sévérac
Ce n'est pas Stag qui écrivait cela, mais moi !
Quant à votre remarque sur les femmes, vous semblez oublier plusieurs paramètres :

1) il est peu étonnant que dans l'indifférencié et productivement inutile tertiaire les femmes se coulent dans le moule ; cela va d'ailleurs dans le sens de mon analyse précédente ;

2) les études et les diplômes contemporains sont des hochets bas de gamme qui ne supporteraient pas la comparaison avec leurs homologues d'il y a seulement 25 ans, alors remonter aux années 60 est encore plus hasardeux ;

3) je maintiens : quelle part de femmes dans les sciences dures ? Quelle part dans les fumisteries du genre psychologie, sociologie, lettres modernes, histoire de l'art ? Si le delta était aussi anecdotique que vous semblez l'exprimer, pourquoi aller chercher des femmes par la peau des fesses pour satisfaire au quota des 50% de politiciens ?

4) l'ambition des parents : elle est unisexe me semble-t-il, et encore, il me semble qu'aujourd'hui on garde plus d'attente envers le petit héritier qu'envers sa sœur... du coup à catégorie sociale égale il reste un fossé entre le premier qui deviendra électricien et la seconde qui "choisira" caissière. J'aurais pu prendre d'autres exemples mais on va me dire qu'il s'agit de travaux de forces (plombier, déménageur, docker, garagiste, etc), ce qui nous ramène de toute façon aux différences !

"Il n'y a rien qui distingue les hommes de tout sexe" : eh bien précisément, si : presque tout distingue les humains des deux sexes... et l'histoire le hurle depuis des millénaires.

C'est cette caractéristique que je mettais en avant à partir de différences d'autres ordres, raciales dans le billet initial.

Quand les Japonais ont été contraints de s'ouvrir au commerce international à coups de pieds au cul au milieu du XIXe siècle, ils vivaient dans un environnement parfaitement féodal très en retard techniquement. Quelques décennies plus tard ils infligent une défaite aux Russes et un peu plus tard encore ils constituent un des adversaires les plus redoutables de la guerre moderne, avec notamment la construction du plus grand cuirassé jamais construit.
Pour être tout à fait équitable : quelque doués qu'ils sont, les Japonais n'ont fait que reprendre la technologie occidentale sans laquelle *eux non plus* ne seraient rien, mais il serait insultant d'oser les comparer avec des peuplades plus rustaudes pour lesquelles des milliards d'euros, des décennies de transfert de compétence, des armées de délégations d'experts ne suffisent jamais.
Il n'y a absolument rien à tirer de ces populations ; c'est bien sûr également valable pour les Arabes (les "vrais", pas les Maghrébins), qui riches à milliards restent infoutus de sonder leur propre sous-sol, d'en raffiner le produit et d'en investir les bénéfices pour les natifs cf. plans d'architectures monumentaux entièrement réalisés par des Occidentaux ou des Japonais et main d'œuvre massivement étrangère jusqu'à représenter la majorité de la population selon pays.

Écrit par : GAG | 16/07/2012

@ GAG, pardon pour la confusion.
Concernant votre point 2) entre ce que vous appelez "hochets bas de gamme" et que je nome "bac+n", il n'y pas de différence substantielle. La baisse de niveau est indiscutable. Quant à la comparaison entre les 50s et le XXIème siècle, notez que nous étions 200 mille au bac avec 70% réussite, 6% mentions AB, alors qu'en 2012 les postulants étaient 700 mille avec 85% réussite et 6% de mentions TB.
Il s'agit d'une époque fondamentalement différente. Ivan Illich résume cela en disant "l'école ancienne avait vocation à dégager une élite de 20%, l'école moderne se fixe l'objectif de dégager 20% de cancres" (citation approximative).
Cette remarque ne règle pas la question de départ.

Sur le point 3), je confesse avec vous que "femmes dans les sciences dures" ne font pas des flammes. Mais la réponse était dans ma remarque sur les "rôles traditionnels" que propage d'idéologie dominante et donc l'éducation.

Sans polémique, j'ai bien compris ce que "l'histoire le hurle depuis des millénaires", mais il serait préférable d'observer l'histoire du dernier demi-siècle.
Personnellement, je n'ai pas suffisamment de billes pour entrer plus avant.

Au fond, j'aime trop mon prochain (avec une faiblesse manifeste pour sa partie de sexe faible) pour lui ôter cette notion d'identité ("Il n'y aura plus ni Juif ni Grec, ni maître ni esclave, ni homme ni femme" -Saint Paul), donc incapable d'objectivité.

Amicalement.

Écrit par : René de Sévérac | 16/07/2012

Monsieur de Sévérac :)
Justement je pense que la pierre d'achoppement dans notre discussion réside dans ceci :

"Mais la réponse était dans ma remarque sur les "rôles traditionnels" que propage d'idéologie dominante et donc l'éducation."

Je fais partie de ceux qui pensent que l'éducation est évidemment fondamentale mais pas déterminante ; peu ou prou il semble malgré tout exister une sorte de "destin" (faute de meilleur terme) pour qui est femme, noir, blanc, catholique, juif, chinois, etc.
Il y aura pour chaque "catégorie" une partie sur laquelle on peut infléchir, elle sera marginale pour la majorité et majoritaire pour la marge !
Enfin, il me semble illusoire de croire que des différences d'ordre physiologique n'ont pas d'incidences sur les identités des uns et des autres.
L'histoire du dernier demi-siècle est justement de très loin la partie la moins intéressante qu'on puisse étudier : c'est précisément cette époque qui a créé ces mythes du "tous égaux dès la naissance", ce que l'on sait faux depuis tant de temps.
Je ne dis pas que c'est bien ou mal, je dis juste que c'est comme ça et que ce n'est pas près de changer.
Serviteur !

Écrit par : GAG | 16/07/2012

@GAD, Pour conclure,
Nous n'arriverons pas à nous mettre d'accord, et pourtant je suis convaincu que nos désaccords ne sont pas si fondamentaux.

Anecdotiquement, il ne vous viendrait jamais à l'idée d'appeler "Monsieur de Vinci" ce merveilleux Léonard. De même je n'ai aucun titre nobiliaire justifiant votre apostrophe.

Écrit par : René de Sévérac | 16/07/2012

@GAD, Pour conclure(2),
Yahoo.fr apporte une conclusion provisoire :
"Mais au fil des décennies, les femmes auraient bénéficié du « plein effet de la modernité » selon les déclarations de James Flynn, accordées au Sunday Times de Londres. Pour lui, les femmes ont un potentiel plus élevé car leur cerveau est soumis à plus d’exigences du fait que ces dernières sont amenées à concilier davantage le travail et la famille."
Ca permet au moins de conclure que les tests de QI sont une collection d'absurdités, thèse que j'ai développée ailleurs suite à l'observation de quelques exemples étonnants.

Écrit par : René de Sévérac | 18/07/2012

Monsieur de Fursac (1)
Vous savez, le "potentiel" hein... les noirs ont un sacré potentiel, bon ils ne l'ont jamais utilisé ces 50 000 dernières années mais vous allez voir ce que vous allez voir !
La raison évoquée me semble également spécieuse ; à ce compte-là des classes sociales entières conciliant traditionnellement le travail et la famille auraient dû se révéler pleinement après leur accès à la modernité et ce n'est pas le cas.
Quant aux limites du test de QI elles sont réelles mais ce dernier constitue une base d'étude intéressante car indépendante de nombreux aspects culturels.
On dispose d'études intéressantes de Rushton sur des jumeaux noirs américains, l'un resté dans le "ghetto" l'autre adopté par une famille de blancs aisés ; les tests de QI donnent des résultats identiques même après 10 ans de séparation. Avouez que c'est troublant !

(1) Ça c'est pour m'avoir appelé deux fois GAD !

Écrit par : GAG | 19/07/2012

Je vous parle de ma propre expérience en tant que femme, bien que tout un chacun peut vérifier facilement mes constations. Je visite et je poste des commentaires sur plusieurs sites politiques, économiques ou financiers. J'y suis toujours la seule femme, même si, parfois mais très rarement, une autre femme vient poster.

J'en ai tiré la conclusion que ces domaines n'intéressaient absolument pas les femmes. Car s'il y a bien un domaine où la liberté existe (encore) et où les gens ont la faculté incroyablement facile de se regrouper en communautés par affinités, c'est bien internet.

Par contre, elles sont nombreuses, en effet sur les sites de psycho, de santé, de voyance (le pendant féminin des sites porn masculins) de cuisine, de beauté, de mode etc... C'est pourquoi ces histoires de quotas pour "réserver" des postes aux femmes est un non-sens, ces quotas ne reflétant pas la société au niveau des intérêts que peuvent porter ses membres à certains domaines.

Si un jour il prend l'envie et le désir aux femmes de faire de la politique, de l'économie ou de la finance, elles seront tout à fait capable d'y arriver toutes seules. Seulement, voilà, ça les enquiquine !

Écrit par : Pascale | 05/08/2012

@ Pascale

L'Histoire européenne montre assez d'exemple de feniaules qui ont pu exercer un pouvoir politique, économique et militaire absolu avec d'assez bons résultats. La laïus réac sur ce qui "convient" ou non à leur "nature" est connu et lassant, la litanie des contre-exemples moins connue mais plus assommant encore, bastons si vous le voulez bien.

La bourgeoisie contemporaine se pique de renverser les modèles imposées par l'ancienne, participer de près ou de loin à ces touillages d'excrément philosophique est déshonorant, parce que tous ces modèles sont faux. Le réac qui se croit très malin de s'y prêter n'imite jamais que les satanistes et leur messe inversée. La belle affaire !

My point is : tout est permis mais/parce que tout se mérite. L'égalitarisme - le nivelisme devrait-on dire - est une obscénité de l'esprit, parce qu'il établit une hiérarchie héréditaire de bourreaux et de martyres. Couillu ou fendue, quiconque le sait et le rejette est bienvenu dans le chantier de sa démolition.

Écrit par : stag | 05/08/2012

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