15/07/2012
FOUTREBALL
Football has played a key role in the great emasculation of the White working class. Not only did it provide a perfect conduit for channelling working class energy and interest into a politically sterile realm. It also helped condition the White working class to their ethnic replacement by encouraging them to root for multi-ethnic teams. Instead of seeing non-Whites as "The Other," as invaders and colonizers of their land, the White working class was conditioned to see the increasingly multiethnic teams they supported as part of their extended tribal family. Instead "The Other" became rival teams and their supporters, in other words, other Whites.
10:48 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Ces hallucinants regroupements de milliers de personnes ne se retrouvent aujourd'hui que dans le sport et les formes de musique populaire.
Concernant ces dernières il s'agit d'une nouveauté de notre monde moderne, en revanche la canalisation de l'énergie politique du peuple via le sport n'est guère récente, n'est-ce pas Spartacus.
Ce qui me fascine, c'est le temps et l'investissement personnels mis dans des connaissances ridicules et extrêmement pointues : Basile Bosile qui à la 47ème minute de Fwance-Argentine a mis le deuxième but dans la lucarne après un corner de Mohammed Benbasculante, c'était le 4 mai 1987, 3 jours après le début de la Coupe des Coupes de Vainqueurs de Coupes qui ont Gagné des Coupes.
Que de neurones stimulés pour rien ! Le connoisseur en question mettrait 10% de son énergie vers l'apprentissage de l'histoire de son propre pays il serait incollable et, bien plus important, serait autrement plus impliqué que via un sport de milliardaires débile et cosmopolite.
En ce qui concerne le pan "multicu" du billet, je crois qu'il s'agit là tout de même d'une conséquence de la mondialisation et non du but avoué du monde du spectacle : les équipes se sont noircies car le pays s'est noirci ; dans les pays dont les équipes restent 100% blancos, la ferveur stupide décrite ci-dessus est la même. Leurs équipes ont juste figure plus humaine, mais le vide reste identique.
Le football n'est plus un sport depuis belle lurette mais l'un des vecteurs les plus puissants de la globalisation culturelle : il représente à lui seul la quintessence du système, avec le déracinement (d'une part des équipes "nationales" emplies d'envahisseurs, d'autre part des transferts et un marché aux bestiaux mondial), des sommes d'argent insensées, un spectacle total et une formidable soupape de sécurité qui permet aux gens de sautiller avec leur petit drapeau qui ne vaut pas beaucoup plus qu'une marque commerciale affichée par un consommateur.
C'est d'ailleurs la seule fois (avec le 14 juillet) qu'on peut arborer les trois couleurs en France sans passer pour un fachaud, preuve ultime de l'insignifiance du symbole.
Écrit par : GAG | 16/07/2012
Cet article résume parfaitement ce que j'ai toujours pensé du foot, opium du peuple.
Écrit par : Fayard du Nord | 16/07/2012
Le jeu où le joueur est un professionnel n'est plus du jeu. Le sportif professionnel n'est qu'un bouffon débile appointé par le Spectacle qui régit la marchandise et influence l'époque, forcément multiculturelle. Et le footballeur professionnel, devenu grande star d'une époque laborieuse et démocratique, se plait à répéter qu'il a travaillé dur pour devenir ce qu'il est, un crétin milliardaire. En vérité il ne joue pas dans l'activité qui est pourtant considérée comme un jeu, il maîtrise un métier très bien rémunéré qu'il voudrait, mystificateur, faire passer pour du jeu. Il ne fait que nous vendre un spectacle truqué, pour spectateur domestiqué. Tout un symbole.
Écrit par : Danny | 16/07/2012
Bonjour,
Nous faisons parti de Terre et Peuple vivarais et nous tenons un blog personnel, seriez-vous intéressé par un échange de lien?
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Amitié.
Écrit par : europeanwolf | 17/07/2012
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