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10/08/2012

DUPONT-LAHAINE

Bob Ménard (ça me fait penser à quelqu'un mais à qui ? Mort de chaï lol) donne la réplique à Lizzy sur le thème du machisme banlieusard absolument-pas-lié-à-aucune-communauté-stigmatisable.

Notons chez cette dernière l'aimable ironie qui s'incarne dans l'expression du "camp des Dupont-Lajoie". Et prions n'importe quel dieu de mes deux d'exister fugitivement, juste le temps d'exaucer ce simple voeu : que tous le Dupont-Lajoie du monde se donnent la main pour enfin former ce fantasme glaireux de tous les Correcteurs : la grande internationale des

DUPONT-LAHAINE

... qui explosera leurs rêveries mièvres par sa sauvagerie, sa cruauté gratuite, son imbécilité délibérée, son fanatisme néophyte, son goût retrouvé du cannibalisme, son refus animal de toute compréhension, de toute patience, de toute tolérance.

Etre enfin, ne serait-ce qu'une petite semaine, à la hauteur des insanes trouilles antiouacistes. Se permettre quelques jours, quelques heures, d'être aussi pourris, dégueulasses, inhumains, psychopathes, sadiques, irrécupérables, incontrôlables et génocidaires que ce qu'ils aiment nous imaginer. Un brève mise entre parenthèses de tout ce qui nous attache encore à l'idée de Civilisation, de droiture, d'honnêteté, de respect. 

Recevoir la Grâce, une seule et dernière fois, de s'abandonner à l'ivresse berserker dont nous prive pour toujours nos mollesses, nos compromissions, nos épuisements, nos lâchetés, nos bassesses, nos demi-mesures.

L'incarner pour de bon, cette putain de Bête Immonde, et lui laisser ravager pour de bon les ruines de l'Europe, pour que la vie, la vraie, un jour puisse y réapparaître.

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Commentaires

AINSI SOIT - IL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Écrit par : Chris | 11/08/2012

Gros scoop pour les cons : les plus orduriers, les plus répugnants, les plus agressifs, les plus violents sont extra-européens.
Il y a cependant un aspect de cette affaire qui demeure à leur décharge (comme quoi) : oui, effectivement, la jeune femme (et même plus seulement jeune désormais) occidentale a bien une conduite de pute et de salope.
Ce ne sont pas des mots très jolis-jolis, mais c'est la réalité ; c'est d'ailleurs toujours étonnant de trouver autant de femmes "libérées" formant des couples plus ou moins durables avec les représentants les plus brutaux de la partie d'humanité en question.
C'est comme pour les crimes passionnels ou "sexistes" : on ne vous montre que la fin du film, jamais le début. Les femmes fonctionnent via la basse intensité, provoquent, "cherchent" dirait-on familièrement. Il y a un véritable harcèlement sexuel à vivre dans un environnement aussi débraillé que notre monde moderne dans lequel absolument tout est montrable comme s'il n'y avait aucune conséquence.
Les femmes ont un pouvoir absolu sur nous mais le prix à payer est très élevé et elles l'ont simplement oublié dans un univers qu'elles croient à tort libéré des pulsions et de l'animalité. La galanterie avait été inventée dans un monde où les femmes étaient effectivement socialement presque inexistantes, il s'agissait d'une *compensation*.
On ne peut plus jouer à la pucelle effarouchée lorsqu'on passe ses journées à demie-nue, ceci ne rédimant évidemment pas le langage grossier et blessant des "regardeurs".
Simplement la différence -elle est de taille- réside dans l'expression : l'Occidental apprend à se contenir là où l'Oriental et l'Africain explosent.
S'abriter ensuite derrière le vocable galvaudé de "misogynie" est bien pratique et paradoxal : le respect mêlé de crainte du jeune Occidental moyen face aux femmes devenues viragos épouvantablement capricieuses est pris pour de la faiblesse et au final la violence de l'allogène est interprétée comme de la virilité.
Un "macho de la pire espèce" est juste un homme normal qui n'a pas -il est vrai- la pudeur de garder pour lui ce que ses yeux constatent.
Les arabo-musulmans et les noirs considèrent nos femmes comme des putes pour au moins deux raisons : ce ne sont pas les leurs et elles paraissent totalement dévergondées, ce de plus en plus jeunes.
Le problème est que ces deux constats sont exacts et que si l'on peut évacuer le premier facilement (par exemple personnellement je ne désire pas une seconde leurs femmes donc pas de conflit en vue) on ne peut faire l'économie du second.
Conclusion : le regard est injuste des deux côtés et tout le monde perd. Mais c'est logique quand on passe son temps à créer une société de demies-putes agressives d'une part et de métrosexuels délicats d'autre part.
Je pourrais également parler longuement du concept de liberté chez les femmes, qui le confondent généralement avec indifférence et abandon. Il semblerait que les femmes n'aiment ni la liberté ni le respect et qu'elles s'accrochent d'autant plus qu'on les cadre. Il y a donc fatalement une question de violence et de prééminence, mais morale, cérébrale : je ne parle pas ici de foutre des torgnoles. Si ce genre de considération est aujourd'hui misogyne alors brûlons toute notre littérature depuis au moins Euripide
Je ne m'attarderai même pas sur la reprise de la locution "Dupont Lajoie" pour qualifier les seuls Françaouis "horriblement machistes" ; on attendra en vain le même genre de périphrase adaptée à des origines plus méridionales.
Pour conclure je dirais que ce genre de billet révèle notre double acculturation (éternelle thématique) : par le bas via l'immigration-invasion qui souille nos modes de vie et africanise notre quotidien, et par le haut via une américanisation des rapports sociaux, économiques et sexués avec son cortège d'hypocrisie pudibonde mâtinée de la pire pornographie.

Écrit par : GAG | 13/08/2012

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