08/11/2012
"LA SOCIETE TELLE QU'ELLE EST"
Prendre la société telle qu'elle est, s'pas. Ne pas faire l'hypocrite, admettre sereinement la réalité, qu'elle plaise ou pas. Représenter avec égalité tous ses segments, quand bien même leurs choix ou leurs comportements nous paraîtraient bizarres (roulez les yeux, agiter les mains, faire ouuuuh pour foutre la honte aux rétrogrades que y aiment pas la différence).
Que l'argument puisse réellement séduire des gens moyennement intelligents, ça donne envie de se bourrer de rillettes à la kétamine jusqu'à devenir plus con qu'un babouin comateux. Un argument conservateur incroyable dans la bouche de gens qui, depuis plus d'un siècle, se sont donnés pour mission de transformer scientifiquement la société, s'affranchir des vieux carcans, renverser toute tradition, ne rien accepter qui existe juste parce que ça existe depuis longtemps... Et les ouacistes, les xénophobes, les anticrouilles, les judéophages, les zomophobes, qui sont nombreux, faut les accepter aussi parce qu'ils existent ? Ou comme par hasard, tout ça est à rééduquer, engoulaguer ?
Ne pas chercher, encore une fois, leur cohérence : elle est là, dans la recherche de l'extermination des structures familiales et culturelles BLANCHES uniquement. Ils s'accommoderont de tous leurs équivalents exotiques, voire des pires ! Voyez la jonction des marxistes avec les islamistes, eux qui dynamitaient des églises pour en faire des piscines vont maintenant à la mosquée se plier à des rites cent fois plus cons et contraignants que chez les cathos les plus rigides ! Il n'y a pas de sacrifice trop grand, pas de contradiction trop absurde, pas de bassesse trop humiliante pour atteindre leurs buts originels, ceux qu'ils maintiennent envers et contre tout, génération après génération de militants.
Toubab ordinaire, apolitique, pas-prise-de-tête, qui ne me lit pas : tu es prévenu. Tu es la cible. C'est après toit qu'ils en ont. Tu ne t'en rends pas forcément compte sans qu'on te mette le nez dedans, mais c'est toi l'ennemi, parce que tu es traité comme secondaire, comme vient-ensuite, comme la toile blanche sur laquelle les traîtres et les salopards viennent étaler leurs salissures néopuritaines. C'est ton malaise, ta maladresse, ton incertitude, ton manque de confiance en toi qu'ils exploitent, qu'ils cultivent, qu'ils noient d'engrais et de fortifiants. C'est ta honte imbécile qui te rend vulnérable.
Des millions de barbus foutent le feu aux amassades de TON continent parce qu'un gribouilleur, quelque part, se permet de chahuter leur prophète de mes deux dans ses mièvres crobards. Et ça te paraît peut-être un peu outré. Toi, tous les jours de ta vie, tu viens brouter de l'excrément dans la mains de tes maîtres qui te vomissent et condamnent ta descendance à la prostitution, la repentance quotidienne, la soumission aux êtres les plus vils de tout le parcous humain, et tu t'en contentes, tu t'en félicites, tu paies pour ça, tu t'agaces que quelques zéros anonymes dans mon genre s'en offusquent.
Dans l'histoire, ceux qui sont vivants et dignes, si sales, sauvages et repoussants qu'ils puissent être, ce sont encore ces putains de barbus. Toi, tu n'es déjà plus qu'un putain de cadavre.
15:39 Publié dans Marées Noires | Lien permanent | Commentaires (0)
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