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17/03/2013

VOUS AVEZ TOUT FAUX - CONTINUEZ COMME CA

Si je retrouve rapidement une aiguille à me planter dans la fesse, j'arriverai peut-être à verser une larme sur les déboires d'un footeux. Mais outre le légitime mépris que l'on peut réserver à cette répugnante sous-classe sociale, et en faisant brièvement abstraction de tout adolfisme, posons quand même rapidement les faits de manière brute et simple :

Je fais un geste avec le bras et dans les minutes qui suivent, je peux changer de métier. Ni mort, ni blessé, ni détournements de fonds, ni tricherie, ni insulte, ni viol d'aucun règlement. Une articulation qui se déplie, un membre placé à un certain angle, et paf - viré, honni, sali.

On peut faire une belle carrière de déPUTé européen en ayant admis s'être fait masturber par des enfants. On peut revenir aux affaires d'un pays en traînant au cul mille affaires de prostitution de mineures. On peut faire magiquement disparaître des milliards de milliards de francs et toujours être considéré par les chefs d'Etat et les journalopes comme un grand spécialiste de la phynance mondiale. On peut torturer, violer, tuer, et toujours trouver un avocat pour vous défendre, une pouffiasse pour vous marier en prison, une ordure post-catho pour organiser un cercle de silence en votre faveur. Mais il y a un angle de bras par rapport au corps qui, si vous l'adoptez pendant plus qu'une seconde d'inattention, vous dégage de la société des honnêtes gens.

Dans un monde un peu normal, des hordes de supporters auraient déjà parcouru les artères des plus grandes bourgades alentours, offrant des séances d'acupuncture gratuite à toute personne passant à proximité d'une batte cloutée. Mais souvenez-vous, bande de distraits canaillous : ce monde n'est pas normal.

Mais oublions ces remarques de vieux con avant l'âge.

Correcteurs professionnels, castrateurs démocrassouillons, Politkomissars à peluche rose, je vous conjure,

NE CHANGEZ RIEN

Continuez exactement comme ça.

Nous savons, de toute manière, que c'est une question de survie pour vous : dans une ville sans rats, personne n'a besoin d'un dératiseur. Or la seule chose qui vous sépare du suicide collectif face à la grisaille sans espoir de vos minables existences, c'est l'argent de poche que vous vous faites à pourchasser les rats de vos propres élevages.

Le ventre de la Bête Immonde, c'est vous. La Gestation Pour Autrui, ça fait depuis 1945 que vous la pratiquez à vous en fendre le bassin en deux. L'adolfisme mort, carbonisé et dispersé aux six cent soixante-six coins du cosmos, vous en avez conservé des hectolitres de foutre, vous en tartinant le cul à chaque fin de menstrues, pour pouvoir bouffer vos propres bâtards jusqu'à l'extinction des rares spécimens d'humains vaguement intelligents.

C'est dans vos serres putrides qu'ont germé les graines des futurs massacres interethniques. Je suis l'un de vos bâtards. C'est vous, votre saloperie, votre obsession, votre trouble obsessionnel compulsif déguisé en Demoire de Mévoire qui m'a inoculé cette Haine que vous passez votre vie à renifler, comme des eunuques qui se feraient embaucher dans une commission de censure, histoire d'être payé à mâter du porno sans bander. Vous faites pire encore que ces tribus grotesques des égouts de la planète, qui tannent la gueule de leurs gosses quand ils se chient dessus à l'âge où le contrôle du sphincter est physiquement impossible.

Merah et Breivik, c'est vous. Tous les Merah et tous les Breivik de notre gerbatoire avenir, c'est vous qui les avez conçu, élevés, nourris, nazifiés, holocaustocratifiés.

La sagesse populaire prétend qu'à quelques centimètres d'une plante toxique, pousse son antidote, à disposition de qui sait le voir. Nous autres, archétypes de tout ce que vous considérez comme ce qu'il se fait de pire à la surface du globe, nous sommes précisément cela : votre contre-poison.

Commentaires

Xyr, sors de ce corps.
PS : j'aime bien Xyr.

Écrit par : Sisyphe | 18/03/2013

J'ai toujours pas compris comment "ils" ont peuvent faire la différence entre un "salut nazi"(TM) et un "salut olympique" :

http://catalogue.drouot.com/images/perso/phare/LOT/21/5978/190.jpg

Cela se passe en Grèce, non ? Berceau de l'Olympisme ? Le football est un sport, non ?

Ben non, même là-bas, c'est nazi.

D'ailleurs, si vous chantez en allemand, vous êtes nazi.

Vous écrivez en allemand, vous êtes nazi.

Vous roulez en voiture allemand, vous êtes... heu... passons...

Écrit par : Cretinus Alpestris | 18/03/2013

(Désolé, j'ai la rage)
Le mardi 19 mars, sera célébrée la "journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie". C'est la date d'un cesser-le-feu ordonné à une armée qui avait vaincu sur le terrain. Est-ce vraiment la fin d'un conflit quand seul l'un des protagonistes baisse les armes et que l'adversaire n'en continue pas moins, et de plus belle, ses exactions sur des populations civiles désarmées ? Nous allons donc nous souvenir des victimes d'avant le 19 mars 1962, pas des 150 000 autres victimes d'après. Que cette date ait été choisie par des partisans de l'idéologie qui a fait périr 100 millions de personnes au XXème, voilà qui ne semble pas non plus perturber le Français moyen ou la ménagère de moins de cinquante ans.
Alors pourquoi ressasser ces querelles dites "mémorielles" , ces batailles de chiffres, ces doléances fatigantes, des cris de rage ? Parce que ceux qui ont vécu cette époque sont encore vivants et je refuse de croire que ceux des générations suivantes sont déjà morts. Les premiers ont vécu le temps du mépris, du mensonge et de la honte. Aux seconds de ne pas faire fructifier un tel héritage.

Écrit par : Sisyphe | 18/03/2013

*Capo Lasagno likes this*

Écrit par : Capo Lasagno | 18/03/2013

Que n'a-t-il levé le point gauche !

Écrit par : Paul-Emic | 19/03/2013

Non seulement c'est la salut nazi, mais c'est aussi l'olympique (comme rappelé plus haut) et surtout, le salut impérial romain (panem et circenses, ave, morituri te salutant etc) et même, des hoplites à leurs ennemis avant le combat...
Ce petit con de footeux ne le sait évidemment pas car il est aussi bête, paumé et inculte que les sous-merdes de César de bazar qui le condamnent.
De plus, il s'en est excusé en pleurnichant. C'est vraiment la honte de sa race, de son pays, de l'Occident et de tous les gladiateurs en herbe ou de sang.
Il devrait se reconvertir dans le volley-ball : c'est un geste efficace répété cent fois au cours d'une partie de ce sport.
Rompez.

Écrit par : Général Bol | 21/03/2013

L'avantage du salut olympique, c'est que tu peut bronzer sous l'aisselle droite, si tu fais bien le geste...
Le salut communiste ne te fait bronzer que sur les phalanges

Écrit par : kobus van cleef | 21/03/2013

Dites-donc Kobus, supputeriez-vous qu'il est indigne de bronzer sous les Hessel ?
Vous frisez le Panthéon (quelle horreur !), sinon le peloton, mon vieux. Reprenez-vous !
Pour vous apprendre à faire le mariole, je vous fous de corvée de chiottes pendant six mois. Dans ma grande clémence toutefois,je vous laisse le choix entre les WC des banques suisses et celles de l'assemblée nationale française. (D'aucuns diraient que c'est la même merde, mais bon, ce n'est pas tant une question de mauvaise langue que d'efficaces balayettes)
Je serais vous, je choisirais la Suisse dont la propreté n'est pas que virtuelle, elle au moins.
Des questions ?
Rompez.

Écrit par : Général Bol | 22/03/2013

si le salut nazi avait consisté à mettre les mains dans les poches on serait bien em ... aujourd'hui avec des pantalons sans poche.
Remercions le d’avoir su choisir un signe de reconnaissance relativement peu commun.

Écrit par : Paul-Emic | 22/03/2013

Remercions aussi les nazis d'avoir été allemands.
Si iteulère avait était mexicain, on se serait tapé du
"heil pepito!" à n'en plus finir...

Écrit par : Anton | 24/03/2013

@ général bol
pour les chichemanes des banques chuiches, accordez moi ceux de l'ubs, j'y serais en bonne compagnie, avec jérôme et tous les politicons venus placer leur pognon
des gens avisés, mine de rien....comme ils savent que l'union européenne se torche de ses grands principes ( au nombre desquels la liberté d'expression et la sécurité des dépôts bancaires) , ils prennent les devants et font en sorte de pas être spoliés....
pas cons les mecs
sur le plan pratique, quel type de brosse employer?
la brosse à reluire pour politiques vronzais de gauche ?
la brosse à étriller pour les dedroite et les affreux kapitalistes ?
d'autre part , bronzer sous la faisselle , ça me semble pas très hygiénique
une faisselle sous laquelle on a bronzé est une faisselle qui n'est pas restée au frigo , les bactéries ont dû proliférer dedans comme pas permis..


@ anton
on crierait "heil pépito" et en levant le bras ,on enverrait valser le sombrero
faudrait se pencher pour le ramasser, pas pratique...

@ paul émic

pensez à ce que serait l'existence aujourd'hui si le salut nazi avait consisté à se taire....
ho putain , le calvaire des muets !
et pas seulement eux !
les amputés de la tête , les malheureux ayant bénéficié d'une PLT (pharyngolaryngectomie totale ), d'une trachéotomie, les aphasiques ( de broca ou de vernicke , peu importe ), les taiseux !

au goulag , tous ces cons là !

Écrit par : kobus van cleef | 24/03/2013

Kobus,

Merde, j'y avais pas pensé.
Mais imaginez la scène, mort de rire! et même pas besoin de gaz hilarant (smiley qui sifflote en regardant ailleurs).

Écrit par : Anton | 25/03/2013

genre , le sturmbahnfhürer arrive en sifflotant, il est jouace , il vient de déporter des zandous ( indiens andins)
"pépito de mi amor
tchacatcha tchacatcha
tou es commo una flor
tchacatcha tchacatcha
pépito de mi amor..."
à cet instant se profile devant lui l'obersturmbahnfuhrer ( ober , donc au dessus de lui )
le sturmbahn claque des talons et hurle "heil pepito!"
l'oberst lui dit "allons allons, sturmbahn , le salut complet..."
et l'autre recule , puis se lance
"heil pepito!"
le bras droit tendu comme un braquemard de violeur dans un sofitel , il accroche le bord du sombrero , lequel tombe piteusement , plof
l'oberst , souriant lui dit
"très bien sturmbahn , tu peut ramasser"

Écrit par : kobus van cleef | 04/04/2013

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