11/01/2015
L'ISLAM CONNAIS PAS
Plus Monsieur et Madame Jihad font la bombe, plus nombreuse est leur descendance théologienne. Ils pondent en série des siamois qui se réclament de deux obédiences: celle des catins plumitives spécialisées dans le mot d'excuse, et celle des casques à boulons en mousse qui vous trouvent la recette du C4 dans la première sourate piochée sur gougle.
J'apprécierais follement que l'on prenne l'un pour l'enfoncer dans le duodénum de l'autre. En toute fraternité humaine, s'entend, mais à coups de maillet néanmoins.
Entre le muzz' offensé qu'on l'amalgamise et le Connu-des-Services-de-Police pris la main dans le sac, il y a comme un mimétisme des plus agaçants : "Ci pas moi chef !"
Comparons avec le toubab de base, très empressé de s'exprimer quand un type lui ressemblant vaguement commet quelque acte répréhensible: il ne va pas gueuler qu'il en a marre de voir tous les Blancs mis dans le même sac. Au contraire, il bramera sa honte d'appartenir au même groupe que le criminel en question. Le poids moral des Croisades, de l'Inquisition, de l'esclavage, du traité Sykes-Picot, de l'invasion de l'Irak, il l'endosse avec ravissement, en montrant sa repentance dans la rue comme si c'était un selfie de son zob.
La première attitude est plus saine que la seconde, la question ne se pose pas. Mais les gesticulations des mahométans qui font le ménage dans leurs rangs avec autant d'empressement que je me prépare à un lavement au champagne, c'est fatigant.
Ceux qui ne parlent que de Paix sont comme ceux qui ne causent que de cul: ce n'est pas d'eux qu'on s'attend à des actes, et ce n'est pas pour rien. Si le jihadisme est une usurpation de l'islam, alors il devrait faire gueuler bien plus fort - et agir bien plus vite - qu'une caricature pondue par un dessinateur qui ne se réclame même pas de la foi visée.
Quant à vous autres, réacs de gauche ou de droite, pour qui la vitrification de la Mecque réglera tous les problèmes imaginables, par pitié, laissez l'exégèse à ceux qui sont formés pour, vous êtes plus qualifiés pour parler de Mario Bros.
Tout le monde d'un peu équilibré se CONTREBRANLE du nombre de fois où apparaissent les mots "amour" ou "guerre" dans l'alcoran: on ne veut pas le lire, et on n'a rien à dire à ceux qui ne lisent rien d'autre. Qu'ils aient raison ou tort sur toute la ligne, qu'ils soient ultra-cohérents ou à des millénaires de la vérité, rien à secouer: tout ce qui nous importe est qu'ils en débattent entre eux au sud de la Méditerranée.
Au nord, il nous a fallu des siècles pour que les curetons nous lâchent la grappe, ça n'a pas été fait pour qu'on prenne des gants avec les imams et leurs troupeaux. Mais leur présence croissante sur nos terres n'est pas la cause première de nos problèmes: elle n'en est qu'une conséquence, un symptôme.
Les vers nécrophages, c'est plutôt rare que ça grouille sur un organisme vivant et sain.
Ce n'est qu'une fois notre estime de soi collective brisée que des identités concurrentes ont pu prendre racine en Occident, cette conne de Nature ayant horreur du vide.
Pour qu'il y ait "choc des civilisations", la moindre serait d'avoir au moins deux civilisations qui se rencontrent. Ce que vaut celle des nouveaux arrivants, je ne me prononce pas, je serais vulgaire. Mais ils ont sur l'Occident une supériorité que rien ne compense: l'orgueil, la détermination, l'estime de soi, la conscience de leur propre identité.
Pour contrer ça, de l'autre côté, combien de divisions ? Une seule, une division absolue, complète, au sens littéral du terme. Nous ne méritons pas l'honneur que nous fait l'ennemi quand il nous colle l'étiquette de "Croisés", parce que nous n'aurions pas été dignes de ramasser les miettes des colonnes en marche vers Jérusalem.
L'Occident, c'est la coke, les sex-toys, la glamourisation de l'usure, la Guépraïde, la malbouffe pleine d'additifs cancérigènes, les somnifères, le solarium, des gadgets hors de prix programmés pour casser en quelques mois. C'est Conchita Wurst, Nabila, Kim Krasse-de-chien, Ribéry et Justin Bieber. C'est le viagra, Indignez-vous et des bouddhas qui trônent dans les salons rutilants d'athées à moitié névrosés. C'est un terrain vague où les ordures et les déchets sont recouverts de swarovskis et de dorures bas-de-gamme. C'est une danse des morts d'autant plus obscènes que les danseurs se croient vivants.
C'est pour ça qu'il n'existe pas, votre putain de "choc" : un truc dur (même très con) qui fonce dans un truc liquide (même très complexe), ça fait plus d'éclaboussures que d'étincelles.
L'éloge funèbre de l'Europe, c'est un grand "plotch". Mais putain qu'il est long, ce générique de fin. Dans l'état où nous sommes, et au vu de l'aide phénoménale fournie par nos élites politiques et intellectuelles, il faut vraiment que nos conquérants soient les derniers des branquignoles pour mettre tant de temps à accomplir leur domination.
* * *
The real reason for the contempt Muslims have for Western society is not “xenophobia.” It’s the culture of “nothing sacred” that’s driven them to kill. Muslim fundamentalism still hold to a belief system that cherishes something above themselves, even their very lives. They believe in principles they deem sacred and are willing to give their lives (and take lives as well) for their faith. Western society offers no value system that in any way comes close to the power of radical Islam. The fact that a few militants were willing to calmly walk into an office in broad daylight, mow down several people, and battle police—all for the honor of their prophet—speaks volumes to the strength of this belief. The platitudes of “Liberty, Equality, and Fraternity” offer no substitute, and are no longer even practiced in France (or the West, for that matter). Where’s the liberty when nationalists face jail time for their beliefs? Where’s the fraternity when French society is increasingly becoming atomized and balkanized? Equality, of course, is still considered a value worth fighting for, but economic inequality is rising and a fact of life for both Muslims and working-class Whites in France.
Lu chez American Renaissance
14:41 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
C'est parfaitement dit !
Simplement, je me sens faire partie du reste encore un peu vivant à côté du cadavre ... merde, j'ai pas envie de crever
Écrit par : ahlala | 12/01/2015
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