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13/09/2007

PROFS DE SURVIE

On a grand tort d'utiliser le terme de « Chance pour l’Europe » avec ironie, quand on parle du remplacement de population actuellement en cours et les dommages collatéraux qu'il entraîne.

 

 

Nos sociétés cacochymes, financiarisées, ramollies, ne sont absolument pas adaptées à ce genre de menaces, qu'un corps social sain aurait digéré depuis longtemps. Tout au plus pourront-elles, comme on dit chez les gochisses qui réfléchissent, gérer leurs nuisances pour les contenir de manière « productive » (favoriser leur autodestruction, maintenir Monsieur Moyen dans la trouille, renforcer l’appareil policier, doper le commerce de sécurité) mais jamais les écraser.

 

 

 

La transformation des mœurs que nous apportent des barjots dont le Tiers-monde ne veut plus (une transformation qui n'est peut-être qu'un simple retour à la normale), voilà où se trouve paradoxalement notre dernière chance de Rédemption.

 

 

Pas de grande question existentielle chez eux, pas de trouble bipolaire généralisé, pas d'angoisses métaphysiques, pas d'excuse bidon. Le discours est simple. On vient et on casse tout. Ou on s'installe tranquillement et on vous fout dehors, avec le sourire. Ou bien, plus simplement encore, on fait des gosses avec vous, parce qu'au finish, ils nous ressembleront toujours plus qu'à vous. Qu'importe la méthode. Vous dégagez, punkt schluss.

 

 

Certains justifieront cela par la volonté du Prophète, d'autres par la fatalité du Progrès sauce Benetton, d'autres encore par la revanche de l'ancien esclave sur l'ex-Toubab, d'autres enfin le feront sans se justifier. C'est égal. Le résultat sera le même.

 

 

Le boulot est déjà bien entamé. Et pendant ce temps, chez les culs blancs, ça barjaque. Ca cause budget de la police à droite, allocations aux brasseurs de peuples à gauche, street-parade anti-Bush chez les Alterimmondes, planque de fusil à moineaux en fafitude, votations/élections chez les arrivistes piochés parmi les pragmatiques de toute cette belle palette. Des hectolitres d'encre et de salive éjaculés à tous les vents pendant que la courbe des naissances rase le gazon - de l'autre côté de la civilisation, ça parle peu, ça pond beaucoup, et ça se prépare à prendre la relève.  

 

 

Ils nous apprendront à la dure et sur le long terme à retrouver nos instincts de cruauté, de solidarité instinctive, de paranoïa raisonnable, de cohésion familiale et clanique, d’éducation autoritaire, de répartition claire des rôles entre hommes et femmes. Ils seront nos répétiteurs, nos coaches de vie.

 

 

b46a1d2787aa33db8b0cf497f6a8d02c.jpgL’apprentissage sera abominable, martial, shaolinesque. Plusieurs générations de nos descendants en paieront le prix sans comprendre pourquoi ils en chient autant. Mais si nous survivons en tant que peuple à cette reprise en main, si nous ne nous sommes pas entre temps dilués dans un innommable Néo-Brésil anomique, alors l’Europe pourra s’offrir une seconde Renaissance, bien plus flamboyante que ne l’aura été la première du nom et épurée de toute foutaise humaniste.

 

 

Il faut voir en nos colonisateurs des professeurs, parce que c’est en les imitant puis en dépassant leur modèle que nous serons en mesure de les vaincre. Sûr, ça ne sera pas chevaleresque, ça n’aura aucune classe, ça supposera de s’abaisser à leur niveau puis de descendre encore plus bas dans la sauvagerie. Mais quoi ? La civilisation qui a construit la Chapelle Sixtine est aussi celle qui a mené la Guerre de Cent Ans ou survécu à la Peste Noire en y laissant peut-être la moitié de ses habitants.

 

 

L’histoire humaine, c’est la course entre les deux sœurs siamoises que sont l’Horreur et la Beauté , à jamais indissociables. Le stupide vingtième siècle et son écoeurant cosmopolitisme a voulu faire croire que l’Homme pouvait n’être que Lumière, et que sa part d’ombre n’existait que chez les régimes fascistes épargnés par les bombes démocratiques.

 

 

 

Il va falloir faire preuve d’humilité et de discipline au premier sens du terme, devenir les disciples de ceux qui veulent nous mettre à terre. Il est fort possible qu'en majorité nous y perdions notre âme, notre foi, toute forme de noblesse, pour ne garder qu'une colère froide qui se suffira à elle-même. On est encore loin, loin, loin du compte.

 

Visez le décalage ! Leurs "extrémistes" font péter des trains, détournent des avions, pratiquent le viol ethnique,13feac102db4ff7768ca3a64df07d600.jpg occupent le terrain par le harcèlement et l'intimidation, extorquent la repentance perpétuelle à coups de chantage affectif, imposent leurs références culturelles sur tous les canaux médiatiques. Les nôtres ? Ca tague des tombes, ca publie des caricatures, ça augmente le budget de la police, ça indexe le prix du passeport au poids du titre universitaire, ça dissèque des versets du Coran avec un scalpel féministe. Le match n'est pas encore fini, mais le score doit être de mille à zéro.

 

 

 

C’est le triste paradoxe de notre temps : pour retrouver notre Identité et lui retailler une place à sa mesure sur ce putain de continent, nous n'aurons pas le choix que de cultiver avec soin et beaucoup d’engrais ce qu’il y a de pire en nous.

 

 

Ex Tenebris Lux.

Commentaires

Oui. Une remarque cependant: quelque chose en nous s'accroche à l'idée que "l'homme de type européen" ne disparaîtra pas, ne *peut pas* disparaître. D'où votre argumentation, que je partage, mais à la réserve suivante près: qu'importe à l'univers qu'il y ait ou non des blancs sur notre vieille planète? Je n'en sais rien...

Écrit par : Palmyre | 13/09/2007

Oui excellent! Nous n'avons pas encore assez mangé. Mais ça viendra. Confiance! Le tout est que leur Grand Tout ne réussisse pas à castrer AUSSI nos hôtes... Pour que nous puissions nous mettre à leur école, encore faut-il qu'il demeurent des grands et beaux sauvages blo... euh crépus.
Là est le véritable danger. Que tous s'endorment dans le confort gris... Parce qu'il faut bien le dire: nos islamisistes sont bien décevants...

Écrit par : IVANE | 13/09/2007

L'univers se contrefout de tout, à plus forte raison de notre dilution dans le magma mondial. Même en admettant que des dieux existent et aient quoique ce soit à secouer des bipèdes, l'attitude des blanchouilles depuis deux siècles n'aura pu que les horripiler. Ces questions n'obsèdent qu'une micropoignée de pâlichons sans avenir. L'homme européen ne disparaîtra pas, c'est sûr. Simplement il aura la tronche à Yannick Noah et tout le monde trouvera ça parfaitement normal. Nous serons morts d'ici-là et je gage que ça nous sera donc relativement égal. C'est le temps qui nous sépare de cette ataraxie miraculeuse qui est effrayant, qui réduit le coeur en purée acide.

Quant à l'action du brassage sur la Relève continentale ? Ils sont tout autant menacés d'éburnage et de corruption, c'est évident. Le régime se maintient par sa faculté unique d'affaiblir, de recycler et de désamorcer les résistances les plus enragées. La nuance, c'est qu'ils n'ont jamais appris à haïr leur lignée et à ramper devant plus faible qu'eux. Ca leur permettra peut-être de faire un maximum de dommages avant le formatage et l'encasernement par leur propre bourgeoisie. Alors peut-être que les conditions sociales permettront à nos ultimes descendants de se retirer de la machine et de recommencer ailleurs.

Écrit par : Jean-Foutre 1er | 13/09/2007

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