26/03/2010
LE FEMINISME BIEN COMPRIS
Avons-nous vraiment cru au modèle bourgeois XIXè, à base de Papa-ramène-le-fric & Maman-torche-les-gniards ? Dans une certaine mesure, oui : parce que nous nous sommes laissés fourguer le parallèle abusif avec Cro-Magnon : moi ramène Mammouth, toi cuis entrecôte devant la grotte.
Ca semblait aller de soi, répondre à notre besoin d'une organisation familiale claire, de rôles sociaux et sexués incontestables, qui nous permettaient de regagner notre respect de nous-mêmes et de guérir notre haine-fascination-accoutumance de la Femme-Mère.
Et puis on a essayé de vivre un peu, de durer la moindre, de voir ce que donnait la cohabitation avec une femelle sur le même territoire. Et nous avons pu balancer toutes ces saloperies dans les cagoinces de l'histoire de la pensée.
Avec un constat simple : nous n'accepterons pas, comme nos pères, de foutre en l'air notre santé, notre âme, notre coeur, notre rage de vivre, pour un patron. Pas le choix de ramener deux salaires pour ne pas se faire sodomiser par les usuriers ? On fera avec, en en foutant le moins possible, en trichant systématiquement, en fauchant tout ce qu'on peut comme fourniture, comme temps de pause, comme rendez-vous bidons à l'extérieur. On assurera le show, on fera profil bas. On jouera à l'enclé présentable et économiquement viable.
Mais que se présente la première occasion d'embrasser une carrière d'Homme au foyer, et c'est à pleins poumons que nous hurlerons : PRESENT !
Pour des raisons absolument basiques :
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je m'occupe des gosses et je leur transmets MES valeurs, pas celles de salopes négrophiles et de maniaques du suicide culturel de masse. Il n'est plus possible de faire confiance à une gonzesse pour éduquer correctement nos gamins, il faut la considérer comme un élément sine qua non, avec lequel il faut composer, mais dont la nature et l'obsession profonde de ne pas faire différemment du voisinn la pousse à pourrir la tronche à sa progéniture si c'est socialement valorisé. Père de famille, c'est un boulot d'inspecteur des travaux salopés, nous aspirons à être des chirurgiens reconstructeurs, limitant la casse et réparant les dégâts causés par les premières cibles et victimes du Monde Moderne : nos femmes;
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ces dames ne savent même plus cuire un oeuf au plat sans potasser un article de Fémina; leur déléguer quoique ce soit revient à se condamner à bouffer de la merde. Cours donc après tes promotions et tes formations, pendant ce temps je m'occupe de la becquetance. Côté pinard, faut rien leur demander non plus, à part de nous aider à vider les topettes. Je visite les caves et m'occupe du carbu pendant que tu tricote tes alliances stratégiques devant la Nespresso, si elle n'est pas en panne ;
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des kilomètres chaque jours dans les bouchons de l'autoroute pour rejoindre l'usine à emplois fictifs qui a bien voulu de toi comme Ressource Humaine ? Si ça t'éclate, ma pauvre, fais-toi plaisir ! J'irai promener Kévin? Mouloud? Adolf? Primus et Secundus le long du Léman entre deux lessives, et c'est pas d'avoir de la merde sur les doigts qui me fera passer le goût du chocolat. Le goût de l'effort et du sacrifice, par contre, faut pas fréquenter un patron pendant cinquante ans pour en être écoeuré à vie.
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le monde du travail est mon ennemi; elles veulent se foutre en l'air en ayant l'impression de « s'épanouir » pour des enculés qui ne les traiteront jamais selon leur mérite véritable ? TANT MIEUX ! Va bosser,grande ! Moi je fais le Roi De La Jungle et j'attends que tu ramène la bidoche que tu serais pas foutue de cuire correctement. Vive le Lion, animal flamboyant qui attend que sa grognasse revienne de la chasse pour lui faire vite-fait quelques lionceaux avant la prochaine sieste.
21:34 Publié dans Autopsie de la Dissidence | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Je suis d'accord sur le fond (même si je pense que cet article a un petit côté provocateur :p) en tout cas je réussi petit à petit à désintoxiquer ma copine du travail. Au début c'était contre elle même : je l'incendiais quand elle acceptait de faire des heures sup' pour "pas froisser le chef", j'allais moi même terroriser le petit patron quand il faisait des difficultés pour accepter un accident du travail, etc. Aujourd'hui d'elle même elle déteste travailler "pour un autre", et si elle avait le choix elle aimerait être mère au foyer. Je suis assez fier de moi. Elle qui voulait être célibataire pour parcourir les mers en tant qu'esthéticienne sur des yacht... elle est cuisinière à mi-temps juste pour finir de rembourser notre premier et dernier prêt. L'important n'est pas de ne pas travailler, c'est surtout de travailler (c'est une obligation, faut bien composer avec) mais sans trouver ça "cool". Un homme sain veut bien se faire enculer si c'est nécessaire, pourvu qu'il le sente!
En tout cas, qu'il fait bon vivre avec une femme radicalement anti-féministe, qui veut à tout prix au moins un enfant et qui exige de l'élever avec "un père ferme et présent" qui l'éduque suffisamment bien pour que le fils -une fois le père devenu vieux- puisse prendre la relève et défendre la famille.
Nos pères n'auraient jamais dû abandonner notre éducation aux femmes. Même les meilleurs d'entre-nous mettent des années à retrouver leur virilité naturelle. Moi je n'ai pas encore fini et ça m'a coûté cher en sac de frappe.
Écrit par : Julien | 26/03/2010
Article amusant, mais le monde du travail n'est pas monolithique. Si le salariat est bien l'esclavage, l'entrepreneuriat c'est la liberté!
La vraie virilité c'est d'être chef de clan, chef de guerre, et chef d'affaire! Stag, devenez votre propre patron! :)
Écrit par : Sébastien | 27/03/2010
Cette idée est entrée en moi il y'a déjà quelques années, et elle n'en est toujours pas ressortie...
Nous refusons de perdre notre vie à la gagner,
Nous refusons d'échanger la certitude de pouvoir s'acheter ce que nous voulons, contre le risque de mourir d'ennui...
Si les femmes veulent aller au casse-pipe salarial qu'elles y aillent.
Mais faire des gosses (un max) et les élever pour en faire de bons pères qui eux mêmes engendreront d'excellents guerriers, tel doit être l'unique objectif de nos vies...
Nous reconquerrons l'Occident, par le ventre fécond de nos laborieuses femmes... et si elles ne sont pas contentes, suffit d'en retrouver d'autres et de leur faire des enfants, et si elles divorcent, à nous la pension!!!
Écrit par : Occident Oxydé | 27/03/2010
"La vraie virilité c'est d'être chef de clan, chef de guerre, et chef d'affaire! Stag, devenez votre propre patron! :)"
Comme Bin Loden !
Écrit par : Hegel | 27/03/2010
"ça m'a coûté cher en sac de frappe"
Et en gueule de bois !!!!
Écrit par : Hegel | 27/03/2010
Jamais touché à l'alcool mec. Pas que je sois un hygiéniste à deux balles, mais j'aime garder ma haine intacte. Me lever avec, me coucher avec... alors la gueule de bois.
Écrit par : Julien | 27/03/2010
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