08/11/2010
PORTRAIT
Grosse queue d'Aryen, Jean-Louis Costes, 2004
18:04 | Lien permanent | Commentaires (3)
Les Enfants de la Zone Grise
UN CERTAIN STYLE AU SERVICE DE LA HAINE
NATIONAL-ANARCHISME
- Fait chier de fouiller dans les archives pour retrouver les trados maison de propagande natio-anar ? Par ici la bonne soupe.
- A propos de la stratégie
- La mort de l'Empire, pt. 3
- La mort de l'Empire, pt. 1
- La mort de l'Empire, pt. 2
- Les anarchistes feraient bien de se bouger le cul
- " On a gagné " ?
L'Evangile de Sainte Colère
- Quelques raisons honorables de renoncer à l'Amour du Prochain
- Après l'Effondrement (extraits)
- Folie Drogue Trahison
- Kai Murros, discours de Londres, 2007
- L'Insurrection qui vient
- La Nef des Fous
- La société industrielle et son avenir
- Les Méfaits de l'Instruction Publique
- L'abîme se repeuple
- Notes & Morceaux Choisis, bulletin n°2
... pour foutage de merde méritoire
Commentaires
En parlant d'aryen énervé, on a retrouvé Xyr :
http://www.hordalf.com/
Écrit par : aryencolere | 09/11/2010
Vache, le portrait complet de toute la trucosphère en quelques secondes.
Écrit par : GAG | 09/11/2010
" Il fait noir Quai du Square. Je suis seul dans la piaule barricadé face à la rue dangereuse des bandes de beurs. La radio vomit des débats juifs éternels. Je me souviens en 1967. Je faisais hippy et Bon-Papa écoutait la guerre des Six Jours à la télé et tout le monde rigolait parce que les arabes avaient enlevé leurs chaussures pour s'enfuir. Comme des lâches ils fuient et comme des bêtes ils courent plus vite sans chaussures. Oui comme les biches, comme mon chat, les arabes et les noirs courent mieux sans chaussures. Et moi aussi, je coure sans chaussures Quai du Square à Saint Denis le premier janvier 2004. Je suis totalement défoncé. Je coure nu sans chaussures et j'effraye la racaille qui m'appelle Dingo, le sous blanc. Sous blanc effectivement je suis. Je suis pauvre, sans argent, sans ami. Je n'ai jamais réussi à panser la cascade de sang avec une femme et des enfants. J'erre la nuit dans Saint Denis comme Saint Denis en plein jour avec sa tête coupée. Le sang coule de ma tête comme le sang coulait de sa tête. Et je pense me suicider à l'endroit où il est tombé. "
Costes, Cancer! n°9 (le dernier), 2004.
Costes ! Costes ! criaient les cancéristes crâneurs au coeur de la nuit angevine... avant la grande débandade.
Écrit par : Ns | 09/11/2010
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