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24/12/2010

CECI N'EST PAS UN BILLET DE NOËL

 

La conquête de l'espace se fait sans l'apport inestimable des Bananias et la Nasa s'en dit bouleversée.

 

La viticulture amerloque manque de bras bronzés, au point que certains se demandent si l'industrie du pinard ne serait pas ouaciste sur les bords, des fois, et ce qu'il convient de faire pour enfin produire du Château Cheval Noir.

(Signalés par le logorhéique et délectable SBPDL)

 

Quand les traîtres vous disent que la couleur des gens n'a pas d'importance, ils mentent – elle est POUR EUX d'une suprême importance, bien plus que pour nous autres ouacistes officiels. Les fantasmes de guerre raciale et de nettoyage ethnique, ça n'existe pas que chez les nazebroques, c'est même conceptualisé et appliqué chez leurs plus virulents ennemis. Une « guerre tranquille » qu'ils mènent avec « des armes silencieuses », dans un esprit très perversement chrétien : les derniers arrivés en Europe seront les premiers à sa tête.

Quand ils vous disent que tenir compte de la couleur des gens est indigne d'un Citoyen majuscule, ils se foutent de la gueule du monde – ils sont tout au contraire, ABSOLUMENT OBSEDES par la colorisation du monde ex-Blanc, à marche forcée s'il le faut. Dans leur logique d'extermination suave de tout ce qui peut avoir l'air occidental, ils n'accordent aucune primauté aux actes ou à la réussite, seules comptent les bonnes intentions. Et c'est bien compréhensible : pourquoi ces égalitaristes hallucinés deviendraient-ils soudain sensibles à la notion fasciste par excellence de mérite ? Il leur faut autant de mesures qu'ils trouvent de poids, histoire de ne pas discriminer à coups de balance.

Mieux vaut pisser dans un Stradivarius que de leur expliquer ces choses élémentaires. Peut-être certains entendront-ils vos arguments, prenant fugacement conscience de la formidable contradiction qu'opposent leurs actes à leur pensée. Mais on ne raisonne pas avec des individus en plein déni, encore moins quand ce déni est collectif, culturel, clanique. Ils savent ce qu'ils font, même s'ils ne sont pas sûr du pourquoi. Ils tirent une fierté immaculée de participer à l'ethnocide à l'échelle de leurs misérables moyens.

Qu'a-t-on à foutre de qui ou quoi a pu les convaincre de passer à l'acte ? Le fric, le prestige, la trouille de sortir des rangs, la paresse intellectuelle, la naïveté, rien n'excuse la décision de passer à l'ennemi. Quand on a pigé ça, on gagne un place folle dans sa bibliothèque, en foutant loin toute la littérature qui t'explique que c'est la faute à léjuiffes ou à la grande Loge des Reptiliens.

Le mal est fait, le sida mental injecté, les défenses immunitaires toubabs en marmelade. Qui a tenu la piquouse ? Sincèrement, rien à foutre. Rien n'interdit de faire la liste des supplices qu'on lui fera subir, mais l'urgence serait de trouver une trithérapie qui fonctionne. Les Docteurs Vaudous identitaires sont de suite moins loquaces sur ce point particulier; beaucoup semblent croire qu'en taguant le nom des empoisonneurs sur tous les murs, l'infection va reculer toute seule. «La vérité rend libre», ce genre de belles histoires...

La vérité, les toubabs moins jobards que la moyenne la connaissent parfaitement. Ils ne savent pas quoi en faire, c'est tout. De temps en temps, ils se lâchent dans l'isoloir, comme ils vont couler un bronze, puis ils reprennent leur routine, soulagés d'avoir vidé le trop-plein et s'attelant à se remplir à nouveau. Mais il te sers a à quoi, ton "vote extrême", quand tu es la seule Face-de-craie de l'immeuble ? Quand tes gamins peuvent réciter les yeux fermés toute l'oeuvre de Bob Marley ? Quand ta cousine hésite entre Moussa et Sékou pour nommer son énième bâtard ? Quand tu es cerné par les vendus, les relativistes, les P.A.N., les cyniques, les imbéciles et que ton choix est entre bosser avec eux ou opter pour une vie de clodo ? Quand tout ce que la dissidence locale te propose, c'est de porter du Fred Perry et d'acheter des galettes de sous-AC/DC avec pochette à slogans, de rejoindre une tribu urbaine pas moins ridicule ni moins impuissante que toutes les autres ?

Commentaires

Toujours aussi gai, aussi enjoué, aussi facétieux. Un curieux professeur d'énergie ! Tu as cette particularité de ne chercher ni passé ni avenir. Tu détestes ce présent et tu sembles t'y complaire...


"Tu me diras : il y a la guerre... Bien sûr, il y a la guerre. Et puis après ? Là où je serai demain matin, il n’y aura plus de guerre, il n’y aura plus de patrie, ni même d’humanité... Elle continuera sans moi, la guerre, elle n’a besoin de personne en particulier, ça lui est bien égal, celui-ci ou un autre... Et puis je vais te dire une bonne chose : Au fond, il n’y a qu’une vraie guerre, c’est la vie. Et à cette guerre-là nous serons tous vaincus ! Oh, bien sûr, l’invasion, l’ennemi sur notre sol, ça m’embête, moi aussi, j’aimerais mieux autre chose, mais que faire ? Napoléon, faut pas qu’il se trompe, il mourra, lui aussi, ses victoires ne lui serviront à rien. D’ailleurs, il est foutu, Napoléon ! »

Pierre Gripari

Écrit par : Ivane | 24/12/2010

Très bon, comme d'hab. Ça m'a fait penser à ça :

http://www.hordalf.com/2010/12/raciste.html

On est d'accord.

Écrit par : hordalf | 24/12/2010

ça suffit les jérémiades, on est pas à la chie-na-gog ou au mur des lamentations, bordel de cul

Écrit par : Ultime Pédé | 24/12/2010

Moui, faut arrêter avec les marques prétendument fachaudes.
Il ne se passe pas une semaine sans que je croise dans la rue un lambda en Lonsdale et les deux seules fois de ma vie où j'ai vu quelqu'un arborer du Fred Perry, c'était un sac de sport porté... par un noir (vi vi, les deux fois, pas le même jour, pas le même lieu, pas le même hominidé).
En outre dans le monde anglo-saxon ces marques-là sont aussi "nazies" que Lacoste chez nous.
Sinon tu as parfaitement résumé la situation avec cette phrase -> "Quand tu es cerné par les vendus, les relativistes, les P.A.N., les cyniques, les imbéciles et que ton choix est entre bosser avec eux ou opter pour une vie de clodo", c'est malheureusement l'abjecte vérité et le prix de l'indépendance est de nos jours hors de portée.
Du coup, encore une fois : joyeux Noël, bande d'enculés !
Je sens que 2011 va cartonner sa mère et sera une PUTAIN D'ANNÉE DE MERDE DE PLUS :D

Écrit par : GAG | 24/12/2010

Mouais, on doit pas vivre dans la même suisse alors, parce que dans la mienne, ça choque personne d'évoquer un nettoyage de la rue de bourg au fass90, il n'y aucun bâtards parmi les enfants de mes anciennes camarades de classe, les filles trouvent les noirs lourds et repoussants, et même les squatteurs sont ouverts aux idées racialistes.
En fait, vous devez être juste un peu plus vieux que moi, parce qu'il est vrai que le basculement entre une jeunesse gauchiste et une jeunesse complètement tsygue c'est fait récemment.

Sans compter que les représentant des associations anti-racistes passent aux moins pour des emmerdeurs.

Sur ce, ne vous abimez pas trop les lombaires en déneigeant.

Écrit par : LeCalmar | 24/12/2010

"les filles trouvent les noirs lourds et repoussants, et même les squatteurs sont ouverts aux idées racialistes."

c'est noel tous les jours en suisse !

Écrit par : Fiottasse | 24/12/2010

C'est depuis 1945, depuis la victoire mondiale du Plastique, que les Français et les Européens devinrent des immigrés dans leur propre pays sous le mode de la domination médiatique du Parti de la Communication. L'aliénation, durant cette période, y a atteint des degrés de sophistication inégalés auparavant, une puissance d'anéantissement des peuples incomparable, des transferts de populations jamais vus.

"Nous nous sommes faits américains. Il est normal que nous trouvions ici tous les misérables problèmes des USA, de la drogue à la Mafia, du fast-food à la prolifération des ethnies. Nous avons ici les ennuis de l'Amérique sans en avoir la force. Il n'est pas sûr que le "melting-pot" américain fonctionne encore longtemps. Mais il est tout à fait sûr qu'il ne peut fonctionner ici. Parce que c'est aux USA qu'est le centre de la fabrication du mode de vie actuel, "le coeur du spectacle", qui étend ses pulsations jusqu'à Moscou et Pékin. Ici, nous ne sommes plus rien : des colonisés qui n'ont pas su se révolter, les béni oui-oui de l'aliénation spectaculaire. Les immigrés ont perdu leur culture et leur pays, très notoirement, sans pouvoir en trouver d'autres. Et les Français sont dans le même cas, et à peine plus secrètement."

Guy Debord, Note sur la question des immigrés.

Qu'est-ce que j'peux faire ? Y'a rien à faire ! disait l'autre perdue sur la grève. Toujours à chercher un maître, incorrigible Bouboule.

Autodéfense, Autonomie, Autarcie. La démocratie nous le savons c'est la mort. Au jeu des élections, nous connaissons déjà les vainqueurs puisqu'ils sont, de facto, déjà élus.

Écrit par : Ns | 24/12/2010

J'adore les textes de dépressifs.

Bon à part ça, je viens de déménager dans un village de - de 2000 habitants (pour ne pas se coltiner la loi SRU), à majorité FN, avec une école indépendante et non-chrétienne pour coller mes 4 moutards.

On y trouve en outre un des rares stand de tir longue distance de France assidument fréquenté par tout bon FAF qui se respecte. Là bas, blancs ne fument pas, ne boivent pas, ont plus de 3 enfants, pratiquent l'évasion fiscale (on ne finance pas la CAF ici)...

Ah, et on a même une milice, au cas où.

Hélas, le village grossit à vue d'oeil grâce au white flight et il ne faut pas dépasser un certain nombre d'habitants sinon SRU > bamboulas. Du coup, on commence à faire des OPA sur les villages voisins histoire de répartir au maximum la fafitude.

Cette région nous change d'une l'Ile de France pourrie. On regarde, de loin, les bobos se faire enculer par les bonobos.

Là je rentre d'un pot entre voisins après la messe de minuit... ça se vanne assez entre cathos et païens germanistes mais la cohésion y est.

Sur ce, @+ les démoralisateurs professionnels !

Écrit par : Indo | 25/12/2010

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