22/01/2011
NOTES SUR L'IMMORTALITE DU CULTE ADOLFIQUE AUPRES DES FUTURS DECEREBRES D'OCCIDENT
Démonstration de l'art difficile d'accommoder les restes littéraires, ce qui suit est réchauffé et délayé à partir de choses abandonnées récemment chez l'ami Todo.
Parmi les gens de la génération de mes parents, qui boivent des citernes d'Eau Low-Cost depuis cinquante ans au moins, une pointe d'exaspération tranquille commence à se faire jour. Ils sont, comme on dit, « plus près de la fin que du début » et ça doit aider à relativiser l'importance de la menace de mort sociale. Le discours typique qu'ils vous tiennent entre quat'zyeux est à base de « Ca finira bien par leur passer, les gens en auront marre tôt ou tard. » Cette tentative de détachement contemplatif est peut-être bien autre chose qu'une nouvelle forme de lâcheté, mais quelle importance ? Ils ont tort.
Quelle décence attendez-vous de vos ennemis ? Quelle naïveté crasse, quel espoir insensé vous fait penser qu’ils finiront par se lasser, ou par admettre qu’ils ont vraiment rajouté une couche de trop dans le foutage de gueule ?
Céline youtrophage, et hop ! Une couche de plus, des fois que des nouveaux-nés auraient échappé à cette polémique de buffet de gare !
Les Chuiches de 39-45, même tarif et zou ! Vous reprendrez bien une milliardième tranche de Mémoire cashère ?
Et un film sur les nazis, ça fait bien longtemps, vous allez pas faire la fine bouche ? En plus y aura un acteur super-bon et super-intelligent dedans !
J’en pique trois au hasard, je vous inflige pas les statistiques sur les programmes d’Arte ou Planète, vous avez pigé l’idée.
Vous pensez qu’ils auront jamais leur compte ? Tant qu’il restera un seul toubab sur terre, ils auront la niaque. Nécrophiles et priapiques jusqu’à la fin des temps. Une érection collective indébandable pour les photos de fosses communes en noir et gris. Le fétichisme dégueulasse le plus massivement promu de l’histoire contemporaine. Et vous voudriez qu’avec tous les avantages qu’on en retire, juste en pouvant justifier d’un arrière-grand-père avec la bonne longueur de prépuce, vous voudriez qu’ils aient un peu de décence ? Qu’ils arrêtent de se goinfrer ?
Vous trouvez un gadget tout simple, pas cher, qui fonctionne sans piles et qui vous permet A VIE d'être à l'abri de toute espèce de critique venant de qui que ce soit.
Et bien sûr, vous n'allez vous en servir qu'une fois ou deux, à bon escient, pour le bien commun, sans exagérer, sans vous vautrer dans votre impunité morale inoxydable.
Bien sûr.
Comme Berlu, tiens ! Avec ses frasques de vieux dégueulasse étalée dans la presse gauchiste, il va bien évidemment se calmer ! La mettre en veilleuse et derrière l'oreille ! Faire amende honorable ! Dire publiquement aux gens qu'il a effectivement poussé le bouchon un chouia loin ! Il ne va pas DU TOUT continuer à se goinfrer de jeunes salopes arrivistes, de s'envoyer les meilleurs pinards derrière la cravate, de se foutre de la gueule du monde avec un panache d'empereur romain décadent ! Décence ! Dignité ! Retenue ! Bonne éducation ! Exemplarité de l'élu ! Ca lui passera avant que ça m'reprenne...
La Culpabilité Blanche est une came qui vous rend accro à la première snifette, braves gens. Nous sommes face à des TOXICOS absolument ivres de leur pouvoir, le pouvoir d'abrutir, de rabaisser, d'humilier et de faire ramper dans leur propre merde les membres d'une culture qui a conquis toute la putain de planète d'une seule main. Une grande amicale cosmopolite qui s'unit pour venger tout d'une fois le ghetto, le champ de coton, le protectorat. Vous pensez que vous avez assez payé comme ça vos "privilèges" de blanchouilles ? On n'en est qu'au début de la facture, et ils ont plusieurs rouleaux de rechange pour y inscrire toutes les tourtes à l'étron qu'ils veulent encore vous voir bouffer.
Et quand Noah ou Tsonga seront considérés comme des canons de beauté typiquement caucasienne, vos descendants abâtardis n'en seront toujours pas quitte pour souffler un coup. Des clopes ! Le cirque est parti pour des lustres, c'est un mouvement perpétuel de trépanation collective de tout un peuple. Le sens disparaîtra mais les formes resteront. On en voit déjà les signes depuis quelques décennies. Il était normal que tout discours insuffisamment gauchiste soit stigmatisé comme porteur du germe nazi – tactique d'intimidation usée mais toujours efficace. Qu'un couillon aussi bien-pensant que Bush Junior ait pu passer pour un ouaciste était déjà cocasse en soit, mais on ne pas pas commencer à exiger des gauchiasses qu'ils manient le Joker Adolf avec parcimonie et bon sens, s'pas ? Il y a plus absurde encore.
Prenons déjà la notion de nazislamisme, particulièrement fendarde. Une religion cosmopolite, résolument aveugle à toute forme d'ethnocentrisme, prônant des interdits alimentaires cocasses, vous m'expliquez le rapport avec la choucroute adolfique ? Ach Ja, l'hostilité envers Israël et l'amour des ragots antijouifs. C'est suffisant. Obtenir son brevet d'antisémite est encore plus facile que de passer son bac en ex-France.
Une marche plus bas dans la spirale de l'encule mentale ? Les pancartes des opposants à Patraque Muzzhein au Yanquiland : Obama = Adolf ! La réforme du système de santé, c'est du socialisme, et le socialisme c'est le nazisme et Ochouitze ! A ce stade-là, on ne cherche même plus à établir des parallèles historiques ou idéologiques crédibles : on est dans l'insulte, la salissure, la rumeur idiote, le mouvement de colère du conducteur qui en traite un autre de pédé, sans savoir s'il se fait ou non bourrer le cul... On croise des nazis partout au XXIè siècle, comme on voyait l'ombre du Diable derrière chaque arbre il y a mille ans. Pour faire fuir le Démon, inutile d'avoir fait théologie pendant vingt ans : trois superstitions et deux formules magiques suffiront amplement. Pour combattre le nazisme, pareil, pas besoin de la moindre notion de science politique, c'est même un avantage d'être un parfait couillon à slogans pompés sur M6.
L'obsession des historiens judéocrates et de tous les non-pensants académiques est accomplie. Ils auront consacré une énergie hallucinante à faire de la Seconde Guerre en général et de son Plus-Gros-Détail en particulier quelque chose de supra-historique. Quand on évoque Ochouitze, l'Etoile Jaune, le Journal d'Anne Funk, on ne se réfère pas à des faits, on est loin de toute espèce de chronique sérieuse – on est dans la légende sacrée, un récit exaltant d'une portée comparable au cycle Arthurien ou à l'Iliade.
Ce qui est avéré ou non n'a plus d'importance. La culture populaire, la seule qui défie véritablement les siècles, a déjà consacré le caractère unique et satanique du troisième Reich. On trouve des bribes de cette nouvelle mythologie au cinéma, avec la figure du Soldat Allemand sans visage, vociférant, inflexible, inhumain de cruauté, un personnage que l'on retrouve décennie après décennie dans Les douze salopards ou Indiana Jones, dans des oeuvres comiques ou à prétentions historiques. Même le fantastique n'est pas épargné : le troisième volet de L'Exorciste est un cas d'école, avec une scène bouffonne de swastika gravée sur la peau d'un possédé. En littérature, en peinture, dans toute forme d'art, inclure une référence à Hitler équivaut à une garantie de succès, sinon commercial, du moins médiatique.
Le culte du pyjama rayé ne disparaîtra pas, il rejoindra un antique folklore et survivra à la culture occidentale, comme l'on voit de parfaits athées "toucher du bois." Oubliez le signe de croix que l'on fait pour sauver son âme : on fera désormais le signe de croix gammée pour damner autrui. On causera Oncle Adolf, Chambre-à-Pets et Saint-Ochouitze encore des centaines de lustres, mais sans plus trop savoir de quoi il s'agit. Ces références floues rejoindront, selon le cas, l'arsenal superstitieux laïcard ou la Sunna, y remplaçant un Shaitan dont même les ultimes satanistes auront perdu la mémoire. Les plus déglingués de nos descendants bâtards iront allumer des bougies Equitables dans les Espaces de Détente Ecocitoyens à minuit, invoquant Adofikler, gloubiboulga démoniaque à cornes, mèche et moustache, psalmodiant des prières mêlant le Hochdeutsch, le latin de cuisine et l'hébreu de boudoir.
Le matraquage a été trop violent, trop long, trop efficace, trop inédit, à une trop grande échelle. Dans le monde stupide de demain, plus personne ne saura ce qu'était le Reich, mais chacun en gardera un vague souvenir, comme nos contemporains les plus atteints conservent celui du Diable, à qui ils craignent de "vendre leur âme" en votant ou exprimant des convictions un peu trop à droite. Le Mal antique et le Mal moderne finiront par fusionner comme les dieux oubliés se sont mixés dans un indigeste "paganisme" que nos ancêtres n'auraient pas souhaité à leurs pires ennemis. Et l'épopée 33-45 apparaîtra - apparaît déjà largement - sous la même lumière froide, glauque et incertaine que le "bas Moyen-Âge" aux plus décultivés élèves de première.
12:24 | Lien permanent | Commentaires (17)
Commentaires
Je suis content que Céline continue à les emmerder. Tout ce qui pourra contribuer à leur vinaigrer l'indignation est bon à prendre. Et même si au fond ils en jouissent, en ont besoin, malgré tout ça les gratouille tout au fond, et pas en jouasse, l'idée que l'écrivain existe plus que jamais, que tous leurs exorcismes n'aient pas pu empêcher la pléiade, les thèses, la présence à l'agreg (comme Heidegger à celle de philo), c'est bien la preuve qu'ils ont échoué, qu'on ne les écoute pas tant que ça, de moins en moins même. "Des centaines d'années" exige le père Klarsfeld, rien que ça! des centaines d'années avant qu'on dise un bout de bien de Céline. Si c'est pas se ridiculiser ça, si c'est pas se buter à l'exagération... manque plus que des crocs et une cape noire à Céline. L'indignation devient caricaturale, grotesque, et ça se voit. De toute manière, je le préfère pas fréquentable que panthéonisé Ferdinand. Maintenir un interdit à franchir, c'est plutôt bon au fond. Ce sont les dévots qui donnent au souffre son parfum inimitable.
Écrit par : Restif | 22/01/2011
Céline, un Prophète !
Écrit par : robespierre | 22/01/2011
Céline, un Prophète !
Écrit par : robespierre | 22/01/2011
Dans tes illustrations, tu as oublié le cultissime et sexy "Nazi Moé"
http://adala-news.fr/fr/nazi-moe-le-fascisme-en-mode-sexy/
A part ça...
Écrit par : Indo | 22/01/2011
On sera tous morts bien avant, la France et le monde auront disparu.
C'est le mieux qui puisse arriver plutôt que de voir ou savoir que "ça" va survivre.
"I Will Survive" to Ochouist-titi World Fucking Tour.
sponsored by Ford Foundation & Enculaged, Morroco Quadiz and Ahmed Cola.
Écrit par : Sébastien | 23/01/2011
Et oualà ....la pensée qui écrit emmène toujours au dernier mot de la chute , le plus important : moyen age ...
Une bonne période d'obscurantisme ....trois / quatre siècles ....
Écrit par : chris | 23/01/2011
L'analogie avec la légende arthurienne est bien trouvée.
Je résumerais cette délicate affaire comme suit, en la décomposant par couches successives :
1) La réalité des faits. Aussi étonnant que cela puisse paraître c'est précisément cette strate qui subit le plus de dommages.
2) L'hypermnésie des faits. Débutée dans les années 1970, timidement d'abord puis relayée tant et plus pour aboutir à la canonnade soutenue que l'on connaît. On notera qu'entre 1945 et les années 1970, quasiment aucun ouvrage littéraire, cinématographique, radiophonique ou télévisuel ne s'empare de cette thématique.
3) La béatification des faits. On passe de leur narration à leur mythologie : panthéon intouchable, dualisme à la Mani, exégèse impossible sous peine d'excommunication sociale. Les victimes sont nées pures, bonnes, belles, touchantes ; les bourreaux sont nés odieux, mécaniques, durs et insensibles. La notion de victime, à ce stade, agit par capillarité sur l'ensemble du grand buvard juif : un descendant de Berbère converti en l'an mil arrivé en Europe il y a 40 ans ressent tout autant cette peur panique face au Teuton de génération n-2.
4) La réaction. La bêtise et le panurgisme étant ce que la planète offre de la manière la plus libérale, ont surgi çà et là de crypto-historiens prompts à réécrire le déroulé des faits. L'étude dépassionnée et scientifique (est-ce seulement possible) de l'histoire est bien évidemment à encourager, seulement voilà : ces aspirants ne s'attaquent qu'aux points 2 et 3 décrits supra, et bien rarement aux faits eux-mêmes. L'histoire est outil de propagande depuis toujours et à la mitraille pleurnicharde -qui se moque éperdument des victimes réelles, silencieuses dans 90% des cas- répond donc le sniper "réviso", les deux parties étant presque toujours soutenues par des puissances politique, étatique, religieuse et idéologique. Ce qui pose les bases mêmes du biais, de l'émotion et du calcul, donc qui ruine toute tentative historique sérieuse.
Au final, le politique, le médiatique, le journaliste qui capitalisent et spéculent sur cette méga culpabilisation pendant les siècles et les siècles ne valent pas mieux que les compulsifs révisionnistes dans la mesure où ces derniers ne font qu'égratigner les protagonistes réels sans nuire aucunement à la coterie de malins qui en vit ; d'ailleurs c'est même tout le contraire : chaque petit scandale ne fait que nourrir et légitimer la cohorte de pleureuses.
Je ne dis évidemment pas qu'il convient d'éviter ce large sujet de peur de ranimer la flamme de salopes qui ont symboliquement arraché plusieurs fois leurs dents en or aux morts, mais qu'il serait rudement bath que les personnes, associations ou labos qui s'en occupent ne traînent pas de calamiteuses casseroles derrière eux.
De toute façon là maintenant tout de suite, trop c'est trop, il faut attendre que ça retombe. Déjà les techniques classiques de diabolisation ne fonctionnent plus : il n'est que de zapper sur les divers plateaux tévé consacrés au nouveau règne de la Marine nationale, la rhétorique essoufflée avec cornes, soufre, trident et peur du croque-mitaine ne sonne même plus "comme au bon vieux temps". Au tocsin frénétique des années 80, 90 et 00 a succédé une misérable cloche de bois fendue qui ne fait plus beaucoup d'effet.
Écrit par : GAG | 23/01/2011
Bon texte, même si il s'emballe quelque peu.
Pourtant, c'est un fait:
- Que le parti nazi était un parti socialiste.
- Que nos amis barbus sont ses plus grands fans, qu'ils ont fourni divisions et que leur doctrine du dieu lune fascinait l'Autrichien.
- Que malgré le matraquage, cette histoire lasse, n'intéresse plus personne, s'essouffle et ne prend plus. Trop réchauffée et puant la charogne, les gens ouvrent leurs gueules face au tôlier de l'auberge crasse et casher.
- Que de notre côté, il est impératif de répondre qu'aujourd'hui, la nouvelle Weichmart c'est Tsahal et que le nouveau Auchwitz, c'est Gaza. C'est malhonnête mais très efficace, surtout face à nos amis gauchiasses.
Écrit par : Ben | 25/01/2011
En quoi se vautrer dans le discours assez typiquement gauchiste et islamophile de "Israël, pays méchant" est-il efficace ? Je connais un certain nombre de bolchos qui le tiennent sans rougir et qui s'offusquent qu'on confonde antisémitisme horrible et antisionisme légitime.
Écrit par : Stag | 25/01/2011
À propos de l'immortalité du culte adolfique, j'ai trouvé cette perle :
http://www.courrierinternational.com/article/2011/01/24/seuls-contre-les-neonazis
Écrit par : Criticus | 26/01/2011
Il est efficace face aux longues oreilles.
Face aux barbus et aux gauchiasses, il faut bien entendu défendre la légitimité du pays casher.
Défendre nos intérêts, et eux seuls.
Car ce sont tous des enflures, des frères ennemis qui sont culs et chemises.
Ne pas comprendre que l'invasion des uns a été en grande partie organisée par les autres, cela dans le but de venger quelque combustible, c'est ne pas cerner le problème dans sa globalité.
Déjà, lors de la traîte blanche par les Maures, c'était les longues oreilles qui s'en mettaient plein les poches du côté de Gênes. Leur association ne date pas de hier.
Écrit par : Ben | 26/01/2011
"Déjà, lors de la traîte blanche par les Maures, c'était les longues oreilles qui s'en mettaient plein les poches du côté de Gênes. Leur association ne date pas de hier."
Les rois du commerce triangulaire, les intermédiaires etc. Rien n'a changé. Toujours se méfier du Crochu - sutout s'il te veux du bien (là, carrément virer parano)- axiome de base.
Écrit par : neo-con | 27/01/2011
"Face aux barbus et aux gauchiasses, il faut bien entendu défendre la légitimité du pays casher."
Au rythme où vont les choses, le pays casher ne va pas faire de vieux os. L'Afrique du Sud, une fois définitivement lachée par la "communauté internationale" et ses soutiens anglo-saxons-ricains, ça a tenu combien de temps ? Les sionistes le savent parfaitement, c'est pourquoi ça s'active grave dans les chinagogues et les arrières salles.... allez, 50 ans de vie dans la vision "optimiste" (pour eux).... ça va redoubler d'activisme désespéré dans les prochaines années pour que les cons de goys fournissent matos, pognon et appuis internationaux....et plus.
Le ouacisme anti-blanc va trouver ses meilleurs dénonciateur chez Levy et Godlstein, ahah, et tout à l'avenant.
Allez shalom, les amis !
Écrit par : neo-con | 27/01/2011
"- Que le parti nazi était un parti socialiste."
Y'a guère que Strasser et Röhm (et encore !) qui ont cru à cette enculade... et on sait comment ça a terminé (demandez aux cocos allemands ce qu'ils en ont pensé, du socialisme de Dodolf). Allons, allons, on est pas sur Libertvox ou autre officine shabbat goy libérale ici tout de même...
Écrit par : neo-con | 27/01/2011
Mais qu'est-ce que j'ai à voir là-dedans?
Écrit par : TODOMODO | 29/01/2011
Texte conçu à partir d'un commentaire posté chez vous il y a quelques semaines, suite à votre article du 7 janvier. C'est peut-être une source d'embarras mais c'est comme ça.
Écrit par : Stag | 29/01/2011
Aaaaah oui Stag c'est vous. Votre commentaire touchait juste en effet.
Écrit par : TODOMODO | 30/01/2011
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