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27/04/2011

LA GAUCHE NE TOUCHERA JAMAIS LE FOND - ELLE EST LE FOND

 

Chez AltRight, Preston se réjouit des contradictions mortelles et toujours moins camoufables qui attendent la gauche rastaquouère ces prochaines décennies.  Objet de son inoxydable optimisme, la dernière « peignée » offerte à un ex-mâle yanqui blanc, par des êtres sombres ayant encore moins l'air femelles que lui. Chez les hexagonaux, on trouve ici un exemple moins violent mais plutôt parlant de cette compétition des pleureuses.

Comment les traîtres institutionnels vont-ils gérer ces contorsions ? Comme d'habitude, en laissant pisser, parce que le temps jouera en leur faveur encore un bon moment.

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Surmédiatisation et baisse radicale de l'intelligence se combineront pour que plus personne n'ait rien à foutre de telles contradictions : le néo-clergé restera en place, bien financé, intouchable, quand bien même plus personne ne pratiquera ni n'écoutera ses pestilentielles croyances.

Le gauche rastaquouère n'aura survécu que pour servir de lubrifiant à la bite brune, lui frayant un chemin dans le cul de l'Europe. Une fois l'enculade réalisée, elle crèvera. Elle est déjà moitié morte, mais son héritage est là, sa marque est indélébile. Ce qui constituait il y a encore un demi-siècle son corpus idéologique le plus provocateur est à présent considéré comme tristement mainstream : on demeure un interlocuteur crédible, un politicard respectable, un journaliste considéré, même si on prône l'adoption homo, la légalisation des pires cames, la repentance toubab éternelle. Un discours qui vous aurait flingué il y a un demi-siècle est de nos jours simplement bien-pensant.

La Cinquième colonne est vieille à présent et ce qu'elle pouvait accomplir de pire est visible aux yeux de tous. Autant collecter les pièces d'une bombe pour les enfermer dans un coffre : le mal est fait. La gauche n'a plus besoin d'être crédible. Elle a beau couiner contre la lepénisation des esprits ou les frasques d'un Berlu : moralement, nous vivons dans son monde idéal. Un monde où plus personne n'a vraiment besoin d'elle.

Toutes les races de victimes pourront bientôt se passer de ses services même si ses officines restent ouvertes; l'époque touchepaspotiste est déjà révolue, celle des partis néo-indigènes montre le bout de son mufle. Cela nuira certes au business des crasseux, qui se feront toujours plus malmener par leur ingrate clientèle. Un renouveau du mouvement White Panther, à l'image de l'original, est quasi impensable, alors que l'esprit Black Power est si présent qu'il a, lui aussi, fait son chemin dans les consciences toubabes. En fait, c'est l'immense majorité des leucos qui est, sans trop le comprendre, encartée de naissance chez les nouvelles panthères blanches, dévouées à la cause des humanoïdes tropicaux

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Si la gauche veut survivre, elle devra opérer un terrible recentrage de ses activités. Elle a tenté de rassembler tous les déchets de la planète sous sa bannière, tout spécialement depuis qu'elle peine à recruter chez les ouvriers. En se diversifiant trop, elle a perdu plus que son âme : son sens même. Son développement le plus probable, dont on voit des signes depuis quelques années, est une jonction entre obscurantistes pastèques et islam à Gillette et Ipad. Elle pourrait y retrouver quelques traces de sa pureté originelle, en se mettant au service d'un Lumpen presque intégralement mélaniné.

Avec le White Flight, l'abâtardissement et l'effondrement de la natalité blanche, l'essentiel des classes dites populaires sera bientôt beige – l'expression même de « quartier populaire » désigne déjà un endroit où l'on ne croise d'autochtones qu'en cherchant bien et longtemps. Les déglingués du cul, les indécis mâle-femelle et les relativistes toxicos y sont assez mal vus ; les laisser tranquillement sombrer ne posera pas trop de problèmes aux futurs théoriciens degosh. Ils n'auront qu'à exhumer le puritanisme stalinien pour mettre fin à leur contrat avec les bas-fonds de la société puisque ceux-ci ne leur seront plus utiles à la déstabiliser.

Suivez la logique : le porno omniprésent est une métaphore de l'exploitation de la femme par l'homme, une apologie de la violence, un business générant des millions – il offusque les mozlems, pour qui un tailleur strict est déjà cochon si celle qui le porte ne planque pas ses cheveux. Hop ! Un accommodement raisonnable ! La viande de porc ? Z'aiment pas non plus – ça tombe bien, c'est mauvais pour la planète ! Re-hop ! La Palestine ? Selon le cas, opprimée par l'ennemi sioniste ou le valet colonialiste de l'impérialisme yankee, y a matière à s'entendre, rere-hop ! Et puis, pas plus égalitaire de l'islam, après tout : pas de clergé, tout le monde égal ! Pour les feniaules il y a encore du chemin à faire, mais ce ne sont pas les misogynes discrets ni les machos frustrés qui manquent, chez les gauchiasses carpettisés par des décennies de féminisme obligatoire...

 

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Que chaque micro-minorité se mette à batailler contre ses voisines n'a aucune importance : enfin de compte, c'est blanchette qui passera à la caisse, c'est le cul de ses filles qu'on exigera en repentance, ce sont ses gamins qui paieront le prix des crimes de leurs ancêtres.

De ce point de vue, le sort de la gauche institutionnelle n'a absolument aucune importance. On peut, tels les gros punks, se réjouir de la voir claquer avec si peu de panache, pataugeant dans sa diarrhée comme une centenaire folle et bavotante. Nos lointains descendants auront peut-être la satisfaction de profaner sa tombe et d'y construire des vespasiennes en platine. Mais que personne ne s'y trompe: ça reste un plaisir plein de ressentiment et d'impuissance.

Commentaires

"ressentiment et impuissance"

Les deux mamelles de la fâchistie :)

Écrit par : GAG | 28/04/2011

Dialectiquement le soi-disant "progressisme" ne mène qu'à la "sous-barbarie" et à l"obscurantisme mahométan". En URSS, le projet n'a donné naissance qu'à un monstre étatique et représsif jamais égalé dans l'Histoire ; le gauchisme allié au capitalisme (notre période) donne la mutation "mondialiste" en cours : la marchandise totale et le festif généralisé sur fond d'exaltation de l'Autre - l'Autre étant les hordes de trisos crevards haineux du chiasse monde, qui n'en ont rien à carrer des "valeurs progressistes" et ne vivent qu'au niveau d'un sous-tribalisme décadent assaisonné de représentation culturelle sous-américaine. Les bons blancs dégénérent à vue d'oeil, les nouveaux arrivants sont le fond de chiotte de la planète, et le degauche ontologique (monsieur tout le monde) se plaint à la fois du ouacisme anti-arabe et des voiles anti-laïques.
Il semble raisonnable de clamer haut et fort : qu'ils crèvent tous !

Écrit par : Neo-fion | 28/04/2011

"qu'ils crèvent tous !"

Relax man : sirote un Dry Martini sur la plage avec ta cop's puis ce soir va miser 200 euros au pok' avec des amis qui lisent le dernier Stéphane Faisselle ;)
Signé : Wiwon

Écrit par : GAG | 28/04/2011

Et pi on vit plus longtemps, on a des belles machines qui lavent le linge et la vaisselle, les gogues à la maison, des ordis et des portables pour sms-er et la mondialisation finira bien par inventer le bonheur pour tous, en tous cas par éradiquer le chômage, réinventer une société stable.Faut avoir confiance en l'avenir, à quoi sert ce pessimisme constant? hein?
Pi mec, on va pas contre l'histoire, t'es comme un prêtre de la fédé PIx X qui kiffe pas le string. Soit Cooool !"
(signé : le frère jumeau de Wiwon)

(pauvre Wiwon, ce n'est pourtant pas le pire^^)

Écrit par : Restif | 01/05/2011

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