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06/09/2012

TOTEM

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Méchante chose - qui n'existe pas, en plus ! Elle le sait, pourtant, la garce ! - que la race. Pas moyen ! On a beau la nihiliser, l'excommunier du cercle des Bons Mots et Jolis Concepts, sceller la bouche de ses blasphémateurs attitrés avec du guano certifié Droits de l'Homme, rien à faire. Elle revient toujours, comme un affreux eczéma atopique qu'aucune pommade ne parvient à faire rentrer sous la surface du cuir visible. Et le plus déprimant, c'est qu'elle ne permet à personne de l'ignorer, même à ces Meilleurs-d'Entre-Nous qui, par leur hauteur d'âme, la solidité de leur esprit, la profondeur de leurs connaissances, seraient pourtant à même d'échapper à ses sordides séductions (d'où l'acronyme SS de sinistre souvenir disons triste mémoire).

Qu'on en juge encore ici.

Frétillez tant que vous voudrez, sophistes de mes deux : plus vous chasserez le naturel qu'est le sang, plus il vous reviendra dans la gueule au galop. Ca fait partie des choses très inconvenantes et qui font croire aux gros niais que le monde n'est pas "parfait". Une de ces injustices esthétiques qui heurtent les sens délicats, à la manière dont la merde blesse les narines tout en faisant pousser les fleurs.

Prononcer son nom, mentionner son existence, ce n'est pas évoquer le proverbial éléphant dans le couloir, c'est lâcher une caisse dans l'ascenceur bondé. On peut le faire sciemment pour dégoûter son monde, ou malgré soi parce la colique est insoutenable. C'est malpoli, désagréable, absolument naturel. Retenez-vous à en lâcher une larme, flagellez-vous le fion pour expier l'abominable faute, bétonnez-vous l'anus pour ne plus commettre l'horrible bévue, vous finirez par en crever - ou par péter, comme tout le monde.

En ces temps glauques et ridicules, ouacistes présumés et antiouacistes revendiqués n'ont peut-être jamais été si proches, si fraternellement unis. Pour les uns, les Gentils, elle est un tabou à conserver avec la dernière énergie, pour conjurer une guerre sauvage. Pour les autres, les Méchants, elle est un tabou à briser, qu'on s'explique une fois pour toutes. Une Troisième Voie ? Des gens qui sérieusement et spontanément sont insensibles à l'hérédité et l'ethnie ? Je crois que le mot "comateux" a été forgé à leur attention. Dans un sens ou dans l'autre, à reculon ou à cloche-pied, toute la tribu désunie des derniers Toubab tourne autour du même odieux totem.

Niez, reniez, déniez, crevez-vous les yeux, arrachez les oreilles de l'humanité entière, c'est plié. Vous n'arriverez qu'à camoufler le contenant. Le contenu, le ravin sans fond qui sépare le EUX du NOUS, existera à jamais. L'irruption pénible et hirsute de la race dans les conversations feutrées est à rajouter à la petite liste des certitudes que sont la mort et les impôts.

Commentaires

J'ai bien évidemment regardé le procès en règle de Richard Millet.
Bon, qu'attendre de Benbasculante et de Morin ?
C'est amusant car ce qui est censé être un débat de haute tenue sous la houlette d'esprits que l'on attend au-dessus de la mêlée (je parle bien évidemment toujours des deux mêmes) s'avère moins consistant que les sempiternelles parodies de discussion sur ce sujet que je peux avoir avec le tout-venant en allant descendre des pintes au zinc.
Il y a plusieurs méthodes pour détecter à coup sûr et rapidement un bon gros con :
1) "vous exagérez" : tu l'as d'ailleurs dit toi-même Monsieur Zone Grise dans ton billet d'hier ;
2) "avant l'immigration des années 1850/1860, la France était déjà multiculturelle : des Basques, des Flamands, des Bretons, etc" : quand on entend ça, il ne va pas être possible d'aller bien loin alors autant se concentrer sur son verre et/ou le cul de la voisine.
La dernière fois j'ai eu droit à une démonstration rigolote : le con me montre un b... divers d'origine nord-africaine et me demande, suffisamment fort pour que l'intéressé l'entende afin de faire monter la mayonnaise : "donc si j'ai bien compris, pour toi lui là il est différent ?!". Je réponds "oui ; d'ailleurs il l'est tellement que tu l'as choisi de toi-même". Le con est parti boire un coup avec son b... 20 mètres plus loin.
Ces choses tellement évidentes qu'elles hurlent leur présence, au-delà du phénotype : je rappelle éternellement ces découvertes scientifiques récentes qui permettent via les haplogroupes (part de l'ADN transmis par les pères) de savoir parfois très précisément d'où l'on vient, et ce "sans mettre sa photo sur son CV"... là le blind test donnera 80% de résultats sûrs.
Il y a également certaines maladies ou certains maux pour lesquels on est génétiquement disposés ou exemptés, largement déterminés par son origine raciale.
A contrario certains d'entre nous semblent briller dans certaines disciplines sportives : on retrouve souvent les mêmes en course (sprint et fond), en boxe, en basket, en foot... et idem on en retrouve d'autres en natation, handball, haltérophilie...
Un détail amusant et tenace : dans la majorité des cas on reconnaît un noir au téléphone, même s'il est né en France et si sa langue maternelle et unique est le français... c'est quand même curieux.
Si tout cela n'existe pas, c'est à dire la peau, le sang et l'histoire longue inscrite dans sa chair même, la suite logique est d'ôter les yeux, les oreilles et la cervelle des gens, qu'on n'en parle plus. Au moins les squelettes sont égaux, eux (et encore, je suis presque sûr qu'on peut déterminer là encore l'origine raciale via étude du crâne !).

Écrit par : GAG | 06/09/2012

humblement j'attire votre attention sur le fait qu'en reprennant ici le pseudonyme d'un sociologue marrane, vous participez vous aussi à la dissimulation

Écrit par : Dia | 06/09/2012

Je suis beaucoup moins affirmatif que toi Stag... Je ne suis pas sût que ce soit la race le problème. Si les gens réagissent c'est parce que nos hôtes pissent sur la pelouse mais les Français, ce peuple le moins raciste de la terre, acceptent de mieux en mieux que leurs rejetons convolent en d'exotiques noces... Le temps fait son oeuvre et il n'est que d'ouvrir les yeux : combien ont déjà sauté le pas? Combien, même parmi les prétendus nationaux?

"La vraie révolution c'est le facteur nègre qui saute la bonne"

Céline
Céline

Écrit par : Ivane | 07/09/2012

Ivane
Vous avez raison : ce n'est pas la race le problème, étant donné que le problème réunit un faisceau (n'est-ce pas) de critères dont la race n'est qu'un élément.
C'est pourquoi, en ce qui me concerne, je ne me reconnais jamais dans aucune école de droite natio machinchose car ils oublient toujours un de ces éléments ou accentuent plus qu'il ne le faut un aspect particulier.
Le racialiste fera fi de la culture qui sans changer du tout au tout un individu en infléchit bien évidemment les dispositions, le tenant des "valeurs" détournera la tête avec dégoût devant des considérations scientifiques (cf. mon intervention précédente) et surtout considère que la mémoire longue n'existe pas, le nationaliste par sa vision jacobine ou monarchique (le résultat étant le même) arase les différences régionales, l'identitaire tendra vers le séparatisme là où il faut l'union nationale, etc.
C'est parfois paradoxal mais il faut tout embrasser pour avoir la meilleure vision possible.
Vous parlez de "sauter le pas" : encore ce matin dans le bus, une femme blonde aux yeux bleus voilée, avec ses deux enfants aussi blancs qu'elle-même... les convertis sont certes peu nombreux par rapport aux musulmans et encore moins par rapport à l'ensemble de la population, mais pour moi ils incarnent la partie émergée de l'iceberg : les autres voient, acceptent, ont dépassé le stade de subir pour celui de hausser les épaules, "puisque c'est comme ça maintenant".
Il n'y a pas de raison unique à cette chute comme il n'y aura pas de solution unique ; le facteur racial est très important car il représente la qualité de la terre, mais à lui seul il ne sera pas déterminant dans la mesure où sur une excellente terre arable le chiendent peut se développer et a contrario on peut faire pousser de belles plantes sur de la caillasse ou dans le désert, par le truchement de l'irrigation ou de serres.
Le problème étant que là où le second cas de figure reste rare, le premier est déconcertant par sa fréquence.

Écrit par : GAG | 07/09/2012

Ciment a prise rapide alors pour obturer l'ampoule rectale...:-))
Sinon notre regretté Fredéric Dard je me souviens qu'avec San Antonio il colmatait l'orifice climatisé(de colombe!) avec de la cire..

Écrit par : Dom | 07/09/2012

votre totem, avec sa succession annulaire de petites pieuvres noires ( bientôt on pourra plus bouffer des sèches à l'encre au restau , car les mioches, pas cons, repousseront l'assiette en disant "y a du noir , j'en veux pas " c'est du moins ce que disait ma gamine, vers les 12 ans) ressemble à un gode, sans vouloir être Hobsédé......

Écrit par : kobus van cleef | 09/09/2012

kobus
des pieuvres ?
marrant moi je voyais les fantômes (nazis) qui poursuivent pacman (juif, originellement une étoile jaune dans le jeu)

Écrit par : GAG | 10/09/2012

@ gag

ben oui , des pieuvres

la tête en haut , les tentacules en bas

désolé, mais j'ai jamais joué à des vidéogames quand j'étais môme

restes de l'éducation huguenotte , je pense....

Écrit par : kobus van cleef | 10/09/2012

si c'est pas des pieuvres, alors c'est des sex-toys
suivez mon raisonnement , je vous prie
une extrémité ronde et lisse pour l'insérer dans l'orifice
une autre extrémité un peu cannelée pour la faire tourner et exciter les terminaisons nerveuses

Écrit par : kobus van cleef | 16/09/2012

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