10/09/2012
SWEET LITTLE LIES
Whenever 'Black History Month' rolls around, Afros themselves (with the fervent support of Euro progressives) repeatedly assert their own inferiority. As we have seen, Blacks have the curious habit of pouncing on any individual with even a sprinkling of African DNA as 'their own,' thus appropriating his accomplishments as somehow 'belonging' to their race. To wit:
One is left to puzzle over an African race with so little faith in their own intelligence that they proudly proclaim as 'theirs' the feats of individuals of over 75% European blood.
Le reste de l'abominablement méchante et peu charitable démonstration chez Those Who Can See.
22:08 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Et oui : le métissage hurlé tous les jours que Dieu fait est un problème ancien.
Un mulâtre a effectivement du mal à se positionner : il est systématiquement considéré par les "purs" noirs soit comme un frère soit comme un traître en puissance ("Bounty", "nèg_re de maison").
A contrario il est rare que les blancs le forcent à un quelconque positionnement ; pour moi un mulâtre est d'abord un noir, mais peu de gens souscrivent à cette vision.
Concernant ce billet, en France nous avons la même tarte à la crème avec le quarteron Alexandre Dumas.
Cette problématique durera tant que "les noirs" n'assumeront pas leur légitime complexe d'infériorité historique ; le cas échéant ils en sortiraient grandis car c'est un geste adulte que de reconnaître ses limites.
Et comme en France l'origine largement majoritaire des immigrés correspond soit à des territoires historiquement atones ou régulièrement soumis (Algérie, Tunisie, Afrique noire) soit à des pays traditionnellement souverains et agressifs envers l'Europe ou la chrétienté (c'est souvent la même chose : Maroc, Turquie), les prémices à une quelconque paix sociale ne sont pas gagnées.
Écrit par : GAG | 11/09/2012
mais qui te parle de paix sociale ?
peut pas y avoir de paix sociale car il n'y a pas de guerre sociale , du moins ouvertement déclarée
Écrit par : kobus van cleef | 25/09/2012
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