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27/03/2013

INSTINCTS PERVERS CONTRE GRANDS PRINCIPES

Alexandre Marie se demande ce qui rend Merdachon "intouchable", au vu de l'archipantouflard silence entourant l'empilement de ses déclarations ouacisses. La question n'est peut-être que rhétorique et la naïveté du questionneur feinte. Je prends le risque de l'hypothèse contraire.

Il y a la surface propre et brillante du lexique sursocialisé, et il y a la crasse grouillante de vermine qu'elle recouvre. De jure, le ouacisme est honni, interdit, immoral, contrahumanitatocriminel, aucune circonstance atténuante n'étant jamais admise. De facto, traiter les Blancs comme des ordures congénitales n'est pas que permis : c'est encouragé, parce que d'une impeccable moralité.

On se condamne à ne rien comprendre à ces questions si on zappe la notion de Honte Blanche, ce sentiment diffus de culpabilité qui pourrit la vie des civilisés. Chargé du poids des péchés originels que sont l'esclavage, la guerre moderne et les nettoyages ethniques perpétrés avec des moyens chouïa plus évolués qu'une machette et une mâchoire, le toubab est prié de faire acte de contrition, de demander pardon à toute l'humanité.

Au centre de cette secte masochiste, se trouve Ochouitze, dont la salissure morale souille tous les Européens, et pas seulement les Allemands comme le laisserait supposer un certain folklore olivoudien. Après les camps-de-la-mort-qui-tue, il n'est plus possible pour un bipède hétéro pâle de vivre autrement qu'à genoux et les yeux baissés. On sait où ça mène de relever le front (insérer ici un jeu de mot minable sur sa version "nationale", ovation garantie sur n'importe quel plateau en praïme-taïme) et d'exiger que le respect soit mutuel.

Les intellos, les artistes, tous les saltimbanques d'Occident, en première ligne desquels se trouvent nos parlementeurs et dé-putés, constituent l'élite de cet excécrable clergé. Plus que tout autre Face-de-Craie, ils sont affligés d'un dédoublement de la personnalité : seuls face au miroir, ils refusent "de se prendre pour des Blancs", mais se sentent pourtant investis d'une mission de rééducation de "leur peuple".

Dans leur vision classiste de la planète, tout Blanc est un Koulak, un contre-révolutionnaire, un provocateur bourgeois réactionnaire, un saboteur de lendemains chantants, une saloperie qui exploite le Tiers-Monde, ce Tiers-Etat mondial, cette Classe Ouvrière rédemptrice. Le Blanc est ouaciste et haineux, or la ouacisme et la haine sont haïssables et doivent être haïs, de toute son âme, de tout son coeur. Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance, vous connaissez la mélodie.

Il n'est pas question ici d'incohérences doctrinales. La cohérence est au contraire toute prussienne : tacitement, d'un commun accord, Les loups blancs sont plus sauvages et plus méchants.Tout ethnocentrisme grossier, toute manipulation vulgaire de symboles nationalistes, tout identitarisme brutal n'est pas traité avec les mêmes reniflements dégoûtés par nos curetons laïcs. Mamadou arborant un t-shirt aux couleurs d'une chimérique afro-mafia n'est pas l'homologue de Kévin paradant avec la tronche de Charles Martel sur sa bedaine : l'un exprime un amour bien légitime de ses origines dans un contexte social où "la parole ouaciste se libère chaque jour un peu plus", l'autre est l'illustration vivante et insupportable de ladite libération. Le premier est une esclave a brisé ses chaînes et les agite comme un trophée narquois, le second est son ancien maître en qui il faut exterminer toute tentation de nuire à nouveau, toute nostalgie pour sa domination passée.

Contradiction ? Oui si l'on croit que l'antiouacisme est un activisme politique sincère basé sur des principes. Or il n'est qu'une saloperie mobilisant les instincts pervertis et suicidaires de pourritures qui auront de l'eczéma purulent sur les couilles aussi longtemps que tous les Européens ne seront pas enchaînés dans des champs de coton.

C'est cette vigilance muette, cette parano doucereuse et souterraine, qui explique la réactivité orgasmique de la presse dès que, miracle et anomalie statistique ! un criminel pâle fait une victime bronzée, alors que des milliers de cas inverses sont passés sous silence, ou provoquent stupeur et étranglements lorsqu'une proportion dérisoire en est compilée dans un bouquin.

Comme l'explique Werner dans le billet précédent, le régime n'applique ses propres lois les plus sacrées que lorsqu'il y a intérêt. Mais il y a, là encore, les lois officielles et les lois officieuses. Pour tout ce qui concerne les relations entre peuples, l'officieuse contredit violemment l'officielle, parce qu'il n'est pas possible de parler cash, cyniquement, pragmatiquement. Mais tels sont les faits : si Merdachon peut ouacister tant et plus, c'est parce qu'un toubab ne peut pas être victime, c'est parce que la race blanche n'a le droit à l'existence qu'en tant que ramassis de fils et filles de putes.

On peut faire preuve de ouacisme contre les Blancs, parce que c'est un juste retour de manivelle, parce que les Blancs sont ouacistes, parce qu'ils ont inventé et pratiqué le ouacisme le plus virulent et dévastateur de l'Histoire Officielle, et que l'idéal de Justice est de rabattre le caquet de cette engeance génocidaire, capitaliste, polluante, colonialiste, chauvine, cul-bénie, machiste, tout ce que vous voudrez dans le genre.

Le discours est cohérent, le programme homogène, la méthode rigoureuse. Simplement, on n'y entend que dalle si on est du genre à s'interdire d'avoir mal quand on se prend un genou dans les parties, alors qu'on pensait se faire offrir un free hug.

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