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31/01/2015

L'IGNORANCE C'EST LA FORCE (et en plus, c'est monstre Citoyen et Charlie et tout)

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Refuser d'admettre que "nous", dont la peau pâle n'est jamais qu'un hasard génétique, constituons un peuple et une culture spécifique...

* MAIS *

... s'abstenir d'imposer quoique ce soit de "nos" moeurs et de "notre" histoire aux nouveaux arrivants, qui ont droit à leur propre identité, différente de la nôtre, qui ne doit pas être méprisée ou tentée d'être adaptée à nos moeurs et valeurs.


Nier toute différence véritable entre les peuples et les cultures...

* MAIS *

... se féliciter de l'accroissement de la Diversité, parce que c'est une bonne chose en soi, parce que les nazis pensaient le contraire et que le nazisme a mené à Ochouitze.


Trouver inacceptable que certains Blancs préfèrent ne fréquenter que des semblables et préserver certaines coutumes, et ne vouloir être représentés que par des gens leur ressemblant...

* MAIS *

... estimer tout naturel qu'un Afro-Américain ait voté pour Obama parce qu'il est Noir, ou qu'un public  non-blanc soit désireux de voir plus d'acteurs non-blancs au cinéma ou à la télévision.


Considérer que la religion est une affaire strictement privée, que les curés ont intérêt à se faire discrets dans la vie publique, que les bondieuseries sont un "opium du peuple" ne méritant que le mépris des esprits cultivés et émancipés...

* MAIS *

... respecter les croyances, superstitions, mythes, et bondieuseries de tout individu exotique qui exige ledit respect, parce que ne pas le faire serait du ouacisme, et le ouacisme mène à Ochouitze.

 

MAIS MAIS MAIS MAIS MAIS et re MAIS

Il y a plus d'exceptions à la règle Républicaine qu'à la langue française.

 

Ah putain, c'est pas facile tous les jours.

 Aucun sursocialisé ne peut conserver un semblant d'estime de soi, d'équilibre mental et de joie de vivre en étant conscient de contradictions aussi effarantes. Une dissonance cognitive si flagrante doit être résolue d'une manière ou d'une autre. Sans quoi, autant hurler qu'on est végétalien tout en se goinfrant de hambourgeois au macdo.

Comment rétablit-on un semblant d'équilibre ?

D'abord, comme expliqué dans la note précédente, en mettant discrètement son sens critique en veilleuse. Je dis bien: discrètement. Aucun semi-intello ne peut le faire franchement, en assumant. Mais on peut parvenir à une certaine "décontraction mentale", à une délicate mise en veille de la réflexion - de facto et absolument pas de jure - grâce à des mots-tasers, des grands concepts qui paralysent, qui engourdissent la comprenette.

"Ochouitze" par exemple, provoque une hypothermie du cerveau qui le fait fonctionner au ralenti. Il est admis par toute personne éduquée et bien élevée que ce mot désigne une réalité historique littéralement "incompréhensible". Les plus hautes autorités morales d'Occident l'affirment: c'est un épisode de notre passé qu'on ne peut pas comprendre.

Réfléchir à Ochouitze, c'est ouvrir un abîme sous ses propres pieds. C'est atteindre un point-limite de la  connaissance de l'homme par lui-même. Quelque chose d'à la fois si colossal, si affreux, si méthodique et si inhumain que notre conscience fait un ctrl+alt+del immédiat.

Pol-Pot, Mao, Staline, Tamerlan, broutilles humiliées par la toute-puissance de l'Horreur Absolue, inédite, sans équivalent avant ni après.

Tout ce qu'on peut faire est étudier le chemin qui y a mené, le parcours des individus et des groupes qui ont rendu possible cette Horreur. Leur mémoire doit être à jamais conchiée, leurs faits et gestes maudits et inversés, et tout ce qui pourrait y ressembler même de très loin les yeux fermés, honni, banni, mis  en perpétuelle quarantaine.

Ainsi, si manger quelque chose peut me sauver de la mort par inanition, mais qu'il est prouvé qu'Oncle Adolf lui aussi se nourrissait au moins une fois par jour, alors je n'ai pas le choix: il me faut accepter de crever de faim. L'instinct de survie est fasciste. D'ailleurs, les fascistes parlent beaucoup d'instincts et beaucoup de survie, est-ce un hasard ? Alors voilà.

De même, si je tiens au niveau de vie atteint par la civilisation occidentale, et que ce niveau est menacé par des exotiques belliqueux vomissant tout ce qui y a trait, alors il me faut non seulement les laisser lui nuire mais faire l'impossible pour les aider. Oncle Adolf lui aussi croyait en la supériorité de l'Occident, ça a mené à Ochouitze.

Ca, c'est la méthode passive, par l'anesthétie volontaire. Il y a la méthode active, celle qui tétanise la conscience non par l'horreur mais la jouissance. Font cet effet d'assommoir orgasmique des mots comme "Démocratie", "Ouverture", "Diversité", "Métissage".

Si c'est pour parvenir à leur incarnation sur Terre qu'on nous propose un chemin épuisant, une méthode ultraviolente, des exercices absurdes, la mise en danger de tout ce qui nous est cher voire de notre  propre sécurité physique, alors le problème s'évanouit. On s'encourage face à la raideur de la pente, on s'endurcit face à la violence, on trouve du sens à l'exercice, on accepte le risque encourru, parce que le but est beau, bon et désirable.

Durant un bon siècle, des millions d'individus, cons comme des balais ou d'une intelligence supérieure, ont trouvé d'inépuisables réserves de courage dans un mot comme "communisme". Cent millions de  morts plus tard, il ne fait plus d'effet qu'à une poignée de cas sociaux, qui maintiennent un semblant de dignité et de cohérence par la grâce du Grand Déni.

Tout ce qu'on a appelé "communisme" à ce jour ? Pure menterie: il n'a jamais existé nulle part, des centaines de milliers d'imposteurs en ont trahi l'idée et usurpé le titre.

Le principe reste bon, c'est simplement qu'il a été mal, très partiellement ou pas du tout appliqué, sur
tous les continents, en temps de paix ou de guerre, et puis voilà.

C'est sûr, c'est réservé à une certaine élite, qui dispose d'une bonne couche de couenne entre le coeur et l'esprit.

Mais l'absence d'une telle couenne n'afflige que les coeurs secs et les esprits malades, du genre à ricaner quand on leur parle de "VIvre Ensemble", à faire leurs malins en disant qu'ils n'ont jamais vu un "Droit de l'Homme", à demander perfidement "La liberté, pour quoi faire?"

Ces gens-là sont les cantonniers du chemin creux qui mène à Ochouitze. Ils doivent être combattus, ce qui suppose de les surveiller en permanence pour éviter qu'ils fassent des petits, et confinés dans leur propre insignifiance, ce qui implique de les ignorer radicalement, jusqu'à ce que leur espèce s'éteigne d'elle-même, condamnée qu'elle est par l'Histoire et le Progrès.

Ca vous semble contradictoire ? C'est que vous manquez de couenne dans la tête.

Ca commence à rentrer ? Cette idée d'être chacun un plus con pour que le monde soit un peu plus intelligent ?

La stupidité volontaire vaincra l'obscurantisme subi !

Commentaires

Tel Juvénal, blanco, redeviens romain, ta survie en dépend. Contrevenir à la prétendue morale républicaine sera ta règle. L'hygiène de ton esprit rebelle confédéré.

Confronté aux égarements du beau sexe, toujours prompt à trahir, Juvénal préconise le juste remède :
« Félicite-t'en, infortuné, et quel que soit le breuvage (drogues pour rendre les femmes infécondes), tends-le toi-même à ta femme: si elle décidait de laisser d'espiègles bambins chahuter sa matrice gonflée, tu pourrais bien te retrouver papa d'un négrillon et obligé de tout léguer à un Éthiopien basané, porte-poisse à ne jamais croiser le matin ! Et je ne dis rien des enfants supposés, des usurpateurs de grands noms, Scauri en toc ramassés la plupart du temps dans une fosse à vidange, que le mari dupé accueille à grands transports de joie, prêt à en faire des pontifes ou des prêtres saliens. »
Satire VI.

Du juif, il décrit sans détours la nature véritable :
« Quelques-uns, ayant reçu du sort un père dont la superstition observe le sabbat, n'adorent rien que la puissance des nuages et du ciel: et la chair humaine n'est pour eux plus sacrée que celle du porc, dont leur père s'est abstenu; bientôt même, ils retranchent le prépuce; et accoutumés à dédaigner les lois de Rome, ils n'étudient, ils n'observent, ils ne craignent que tout ce droit judaïque transmis par Moïse dans un livre mystérieux, se gardant d'en montrer les voies, à moins qu'on ait le même culte, ne guidant dans la recherche d'une source que les seuls circoncis. »
Satire XIV.

« Les Juifs te débitent à la demande n'importe quel songe creux pour une pincée de petite monnaie. »
Satire VI.

Alors Danny, toi aussi, avec ton cher Juvénal comme livre de chevet tu creuses le chemin qui mène à Auschwitz, dira celui qui a le pied sur la gorge. Sans être contraint à l'autodafé et pour dormir en paix – croit-il stupidement, il est déjà prêt à se débarrasser sans regret et sans combat de tout ce qui faisait la richesse de l'Occident, richesse que souvent il ignore.

Heureusement, tout le monde ne mange pas de ce pain-là.

Écrit par : Danny | 02/02/2015

Etaler la merde ne la rend pas moins malodorante mais juste plus difficile à éviter. Attention : peinture fraîche !

Écrit par : snake | 06/02/2015

Les commentaires sont fermés.