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27/03/2016

SPARADRAP

Je puis me tromper, ne connaissant pas la vie du bonhomme jusque dans ses moindres détails de l'Hist . Mais je serais fort étonné que Robert Faurisson ait jamais consenti à s'humilier publiquement en se collant une croix de sparadrap sur la tronche, en signe d'indignation de la censure subie. C'est pourtant un spectacle auquel on a presque fini par s'habituer: une coutume qui rassemble scientologues, gauchistes universitaires, Où-est-Charlies, et toute espèce d'étron vertical qui monopolise le pavé dès qu'il ne se sent pas intégralement apprécié par n'importe qui.

L'ami Faurisson, qui s'est pris des procès, des torgnoles, des insultes et des emmerdes sans nom depuis avant ma naissance, n'a pas quémandé la pitié du passant face à son sort. Il n'a pas cherché, avec deux bouts de scotch et une gueule d'enterrement, à extorquer de la compassion au chaland.

C'est la différence entre prendre la parole et la demander.

C'est à elle que l'on reconnaît aussi ceux qui baisent et ceux qui se prennent des râteaux, ceux qui mangent et ceux qui se plaignent que le plateau-repas ne leur est pas livré à 12h01.

Commentaires

L'œuvre de Faurisson est aussi son code de vie.
Ce qui différencie Faurisson de ces guignols au sparadrap, c'est que même là où la loi devenait dure (loi dite Gayssot), pour lui et pour quelques autres, il a conclu qu'il ne devait pas transiger.
Respect.

Écrit par : Danny | 27/03/2016

En cherchant à remettre en cause une histoire qui est écrite très nettement dans le Journal de Goebbels, dans les déclarations de Himmler aux Gauleiters de Pologne et dans un nombre colossal de preuves et témoignages, ce prof de lettres sans le moindre goût qui dessoude un Lautreamont excessivement plus grand que lui et dont les théories sur Rimbaud ne valent plus rien a été l'une des plus grandes chances des antiracistes. Qui le bénissent en secret chaque jour. Il aura bien mérité de la démocratie moderne.Quant à sa gueule en sangs sparadratée jusqu'à la calvitie je l'ai vue au moins cinquante fois.
Un lien entre beaucoup mais l'un des plus intéressants :
http://www.projetaladin.org/holocaust/fr/lhistoire-en-documents/declarations-de-himmler.html

Écrit par : Restif | 31/03/2016

Et, tiens, histoire de rigoler
http://www.phdn.org/histgen/documents/volonte.html#goebbels

Écrit par : Restif | 31/03/2016

De l'escroc il faut dire que, comme le tricheur, il est fondamentalement conservateur. De ce fait il déteste la liberté en Histoire (ce révisionnisme permanent), comme dans toutes les sphères de l'activité humaine. Pour maintenir LE dogme, l'escroc a besoin de la LOI, comme le tricheur a besoin de la règle. Il nie la communication. C'est là sa plus grande erreur et sa plus grande sottise. Qu'un stalinien donne son nom à cette loi scélérate ne saurait surprendre que l'imbécile.

https://gayssoteries.wordpress.com/

https://guionnet.wordpress.com/2013/10/09/vidal-naquet-fonctionnaire/

Écrit par : Danny | 01/04/2016

Qui se dit ennemi de l'information dominante, qui cherche à se battre hors du terrain balisé par elle, place l'abrogation de l'illégitime loi Gayssot comme préalable.

« Démuni de tout moyen de vérifier les faits, il (l'homme de la rue) n'est même pas fermement convaincu de leur réalité et se voit asséner de divers côtés des interprétations totalement divergentes. Comment l'insurrection de Varsovie, en août 1944, s'est-elle déroulée exactement ? Quelle est la vérité sur les chambres à gaz allemandes en Pologne ? Qui faut-il réellement tenir pour responsable de la famine au Bengale ? Sans doute est-il possible d'établir la vérité, mais la plupart des journaux présentent les faits de façon si malhonnête qu'on peut pardonner au lecteur moyen de se laisser berner ou de ne pas parvenir à se former une opinion. »

George Orwell, Polemic n°1, octobre 1945. In George Orwell, Essais,articles, lettres. Volume III (1943 - 1945). p. 467. Éditions de l'encyclopédie des nuisances. Éditions Ivrea

Écrit par : Danny | 01/04/2016

Évidemment que l'abrogation de la loi Gayssot va de soi. Et je l'ai dit mille fois. Et puis, quand on poste ici rare qu'on soit un dévôt es lois anti liberté d'expression. Mais ce n'est pas parce qu'une loi stupide et immonde interdit à quelqu'un de dire des conneries que cela valide les dites conneries. La vérité est qu'il y a des gens qui sont, bizarrement, obsédés par les juifs. Pour aucun autres peuples on n’élèverait le moindre doute sur la schoa devant tant de faits. Si ce n'était les juifs, personne ne discuterait la véracité de la Schoah. .

Même retraités, même bouffé aux métastases jusqu’à l’os, vous n’avez vu aucun membre d’aucun institut d’histoire ou centre de recherche au monde se déclarer négationniste. Toujours des amateurs.
Au reste pour le types de la vieille taupe -éditeurs de Faurisson- qu’importent les déclarations d’Himmler aux Gauleiter ou le Journal de notre cher ministre du Reich et tant d’autres éléments d’établissements des événement et de leur incroyablement hautes probabilité ( à un certain degré de probabilité on arrive au réel, ou alors c’est toute l’histoire qu’il faut jeter), ce qui ne serait repoussé pour aucune réalité historique sera discutée juste parce qu’un certain peuple est visé. Et la plupart des gens refuseront de s’analyser là dessus. Les Tziganes, tout le monde s’en fout.

J’ai lu Fau-faux et une bonne partie de ses copains butziens et autres j’ai lu ceux qui leur répondent et quelques thèses, j’ai même lu des études chimiques sur les coefficients d’évaporation de gaz en milieu fermé et les problèmes de comportement des molécules (qu’est ce que c’est chiant!) ça me suffit. Saint Loup lui avait une position autrement plus franche. Même Léon Degrelle. si j’avais trouvé une vérité autre je l’assumerai (discrètement…entre les mots, becauze les lois). Mais de facto l’immense majorité des personnes honnêtes qui ne recherchent que le même nombre de preuves (et valeur de ces preuves) qui suffisent à n’importe quel événement historique normal, ceux à qui suffisent le même facteur de réalité et probabilité qu’on accorde à n’importe quel événement historiques non connoté comme l’est..un certain événement shoesque ne doutent pas. Ou plus.
Alors, sauf à haïr au point de refuser l'évidence...

Écrit par : Restif | 01/04/2016

Nous nous permettons de relever une seule chose (puisque nous exprimons tout ce que nous avons à dire sur notre site). Vous dites : « Mais de facto l’immense majorité des personnes honnêtes qui ne recherchent que le même nombre de preuves (et valeur de ces preuves) qui suffisent à n’importe quel événement historique normal, ceux à qui suffisent le même facteur de réalité et probabilité qu’on accorde à n’importe quel événement historiques non connoté comme l’est..un certain événement shoesque ne doutent pas. »

Nous nous permettons une seule remarque. La Shoah n’est plus, dès lors qu’elle a été portée devant les Tribunaux de Nuremberg à l’issue de la guerre par les vainqueurs jugeant les vaincus, un « événement historique normal ». En effet, là où il y a accusation pour « génocide » et jugement, les preuves attendues ne sont plus les mêmes que celles dont on pourrait se contenter pour un événement historique qui n’engage pas la vie des centaines d’homme par des condamnations d’emprisonnement et des pendaisons. Lorsqu’on accuse d’un crime pour lequel on va juger ceux qu’on estime être coupables, il faut des preuves : les preuves formelles du crime, les traces formelles du crime, l’arme du crime, la preuve que les auteurs sont bien les auteurs etc. Nul ne peut alors reprocher aux révisionnistes d’être tâtillons ni même de « chipoter » quand il s’agit de valider la thèse officielle, d’autant plus lorsque des hommes et des femmes continuent d’être jugés et emprisonnés aujourd’hui pour ce même « fait historique ». Des allemands ont été condamnés pour avoir gazé des prisonniers dans le camp de Dachau. Plus tard, il a été officiellement reconnu qu’aucun gazage n’avait eu lieu dans le camp de Dachau. Il s’agit donc de comprendre ici l’importance des preuves puisque tout ceci n’est pas seulement affaire de manuels d’histoire mais de justice, de ses méthodes et de ses conséquences irréversibles (qui pourra ramener à la vie ces hommes condamnés pour des gazages dont on sait à présent qu’ils n’ont jamais eu lieu dans le camp de Dachau ?). N’est-il pas censé de s’interroger sur les « preuves » dont disposait l’accusation et n’est-il pas censé de s’interroger sur la validité des preuves qu’elle a apportées sur l’ensemble du génocide si l'on considère la quantité d'informations erronnées qui avaient été établies lors des procès de Nuremberg et qui ont été révisées officiellement depuis?

Écrit par : Gayssoteries | 01/04/2016

Il est tout à fait légitime de vous interroger sur toutes les preuves, et légitime de faire sauter tous les verrous juridiques.Il n'empêche que pour n'importe quel honnête homme qui cherche à savoir si oui ou non il y a eu schoah la réponse est évidente . Par exemple (un entre 10 000s):
http://www.anti-rev.org/textes/Szombati88a/

Mais, bon, je suppose que les lois raciales sont une invention (googlez on trouve tout,dates, références etc ), que tous, mais alors là TOUS les livres de témoignages sont des mensonges, que les enregistrements mêmes de Himmler sont des trucages, qu' on a falsifié,je le suppute, jusqu'à la graphie de l'arya n°1 lorsque Hitler écrit "L’antisémitisme fondé sur des motifs purement sentimentaux, trouvera son expression ultime sous forme de pogroms. L’antisémitisme selon la raison doit, lui, conduire au combat législatif contre les privilèges des Juifs et à l’élimination de ces privilèges... Son but ultime doit, immuablement, être l’élimination des Juifs en général. »
( Adolf Hitler, Sämtliche Aufzeichnungen 1905-1924, édités par Eberhard Jäckel et Axel Kuhn, Stuttgart 1980, doc. 61, p. 88 et suiv., cité par G. Miedzianagora et G. Jofer, Objectif extermination, Frison Roche Édition, 1994, p. 13.)

Bref, avant la prise du pouvoir nous avons des gens qui clament leur désir d'éradiquer les juifs. Une fois au pouvoir ils passent des lois raciales interdisant quasiment tous les emplois aux juifs ainsi que le mariage avec des non-juives,(lois de Nuremberg, cf https://fr.wikipedia.org/wiki/Juifs_d'Allemagne_sous_le_Troisi%C3%A8me_Reich,) pendant la guerre on assiste à de vastes campagnes d arrestation de juifs dans tous les pays occupés (même l'Italie à partir de 43!). Après la guerre et au fil du temps les témoignages de meurtre de masses s'accumulent et nous avons de plus les aveux mêmes des bourreaux -dont Himmler et Goebbels en personnes - mais tout ça, voyez-vous, c'est un malheureux concours de circonstance, il n' y a RIEN EU ! La Schoah est un trucage. Et vive la bonne foi ! Je me contenterai de renvoyer chacun à son fort intérieur, à son sens intime du vrai. Que celui qui veut douter se demande sincèrement s'il discuterait de la réalité des meurtre de masse s'il ne s'agissait pas de juifs...

Je vous laisse rajouter ce que vous voudrez si vous le désirez, j'en ai fini.



PS Ah, oui,pas de gazé à Dachau. Mais au château de Hartheim?
Jean-Marie Winkler (préf. Yves Ternon), Gazage de concentrationnaires au château de Hartheim : l'action 14F13 1941-1945 en Autriche annexée : nouvelles recherches sur la comptabilité de la mort, Paris, Tirésias, coll. « Ces oubliés de l'histoire »,‎ 2010, 383 p. (ISBN 978-2-915293-61-6).

Écrit par : Restif | 01/04/2016

Faire sauter verrous juridiques : c’est là, et bien au-delà de toute appréciation des travaux de recherche historiques des uns et des autres, la chose qui nous importe. Nous sommes donc d’accord sur ce point.

Vous supposez ironiquement que « les lois raciales sont une invention ». Vous supposez mal car nous ne disons pas ni ne pensons pas une telle chose. D’ailleurs, les écrits révisionnistes de Monsieur Faurisson (ou d’autres comme Monsieur Reynouard) n’ont jamais nié l’antisémitisme acharné d’Hitler. Nous vous parlions du génocide au moyen de chambres à gaz homicides qui auraient servi à exterminé des millions d’individus (l’épicentre de la chose étant le camp d’Auschwitz-Birkeneau et l’opinion qu’il est interdit d’exprimer publiquement en France). C'est d'ailleurs bien ce fait qui reste nié par les révisionnistes et il est étonnant que vous puissiez penser qu'il est question, dans leurs travaux, de nier antisémitisme d'Hitler.

Notre but, lorsque nous partageons des éléments révisionnistes n’est pas de convaincre que les chambres à gaz homicides hitlériennes n’ont jamais existé mais d’exposer le grand nombre d’éléments qui montrent, dans l’histoire officielle, que le débat n’est pas et ne doit pas être verrouillé et clos comme il est censé l’être à la faveur de preuves qu’on a estimé suffisantes, irréfutables et imparables. Nous souhaitons que les gens s’autorisent le doute comme ils se l’autorisent sur tout autre sujet historique et ceci sans entraves. Nous diffusons le contre-point nécessaire à toute opinion, celui qui n’est pas autorisé par la loi tandis qu’il est impossible de se forger une opinion lorsqu’on censure les travaux qui prétendent invalider les thèses officielles.

En outre, permettez-nous de vous dire que le « for intérieur » n’a pas sa place dans l’exactitude inhérente à toute recherche historique et que, d’après ce vous écrivez, vous êtes bien plus certains du caractère irréfutable des preuves que les historiens accrédités ne le sont et dont les travaux sont considérés comme des références en la matière (historiens bien sûr convaincus pourtant de la réalité des chambres à gaz homicides hitlériennes en leur "for intérieur"). Nous nous interrogeons donc sur l’étendue de vos connaissances dans le simple domaine de l’histoire « officielle » puisque celle-ci n’affirme pas disposer de preuves matérielles irréfutables. Il y eût beaucoup de morts, beaucoup de corps. Qu’ils aient été gazés en masse n’est en aucun cas prouvé matériellement de leur point de vue (ils le déploraient d’ailleurs et nombre de chercheurs s’emploient encore aujourd’hui a enrichir la collection d’éléments qui pourraient prouver de façon irréfutable qu’il y eût bien des gazages homicides dans le camps d’Auschwitz Birkeneau. Car, comprenez bien que s’il n’y a pas eu de gazage homicide dans ce seul camp, les morts ne sont pas morts exterminés et il n’y a donc pas lieu de parler de génocide.

Enfin, nous ne nous intéressons pas aux juifs ni au fait que des auteurs soient juifs ou non. Si vous prenez le temps de lire notre page, vous constaterez que nous plaçons le débat sur les idées et en aucun cas sur la judéité des uns et des autres qui n'a pas valeur d'argument. Ceci, nous insistons, ne nous intéresse pas le moins du monde. Qui plus est, nous sommes peut-être juifs nous-mêmes ? Quelle importance ? En a-t-elle pour vous? S’il est question des juifs en particulier, c’est parce-que les juifs sont au centre de l’histoire du génocide car ils étaient les premiers visés par la politique répressive d’Hitler et qu’ils ont été les premiers opprimés, dépossédés et déportés. alors nous en parlons, par accident, parce-que l'histoire nous y oblige et que ce n'est ni indécent ni déplacé d'en parler.

Quant aux gazages du camp de Dachau, nous le citions en exemple afin d’illustrer ce que la Justice peut commettre sur la base de ce qu’elle tient pour « preuves » assorties de dizaines de « témoignages » (qu’en-est-il des témoignages relatifs aux gazages du camp de Dachau ? Ils étaient faux – et peu nous importent les raisons, c’est un fait). Les exemples de révisions officielles sont nombreux quant à ces « erreurs » judiciaires irréparables qui furent commises à l’occasion des procès de Nuremberg où les vainqueurs étaient les juges, nous vous le rappelons. Pour toute réponse et n’ayant pas compris ce que nous voulions exprimer, vous nous citez un autre exemple (exemple qui trouvera des contre-arguments chez les révisionnistes que nous ne sommes pas et que vous serez libre d’apprécier de votre côté en effectuant vos propres recherches).

Vous donnez de la valeur à des aveux qui vous semblent peut-être des pièces maîtresses tandis que l’on sait aujourd’hui comme il est facile d’obtenir des aveux, qui plus est dans les conditions de défaite qui étaient celles d’après guerre. La perspective et l’exigence sont de mises en matière de justice, sans quoi le lynchage prend la relève avec son assortiment de « preuves » en guise de justification.

Bien à vous,

G.

Écrit par : Gayssoteries | 01/04/2016

Les historiens de plus de plus dégradés en faire-valoir décrépits de l'Histoire de l'holocauste – non pas à cause des métastases – savent le rôle putride joué par « la police de la pensée » en matière de révisionnisme. Ils savent que passer sous ses fourches Caudines est le seul certificat qui permet d'être reconnu... et ainsi de produire la même marchandise fabriquée à la chaîne. L'ignorance des faits grandit avec le conformisme de l'appréciation comme nous avons pu l'observer. Le sentiment provoqué chez l'informé est devenu le but de l'Histoire de l'holocauste. La vérité attendra et les morts s'en foutent. L'importance quantitative du spectacle de cet événement en détermine l'importance émotionnelle mais aussi sa prochaine déchéance. Tant mieux.

Quelques pistes pour « amateurs » éclairés.

– Éric Delcroix, La police de la pensée contre le révisionnisme.
http://www.akribeia.fr/1103-la-police-de-la-pensee-contre-le-revisionnisme.html

– Jürgen Graf, L'holocauste, les arguments.
http://www.akribeia.fr/hisoire-critique/1505-l-holocauste-les-arguments.html

– Norman G. Finkelstein, L'industrie de l'holocauste.
http://www.akribeia.fr/histoire-critique/261-l-industrie-de-l-holocauste.html

Écrit par : Danny | 02/04/2016

Vous disiez historiens mon cousin, nous dirons plutôt carpettes.

Le quotidien Le Monde et la Colonne grotesque.
https://www.stormfront.org/forum/t1085408/

Écrit par : Danny | 02/04/2016

Vous disiez extermination mon cousin, nous dirons plutôt bannissement à l'Est, direction Orient, assortis de massacres – souvent commis par les alliés de l'Allemagne –, qui pourrait le nier ?

Jürgen Graf – Que sont devenus les juifs déportés à Auschwitz qui n'ont pas été immédiatement immatriculés là-bas ?
https://web.archive.org/web/20040406062744/http://russgranata.com/Orange-fre.html

Écrit par : Danny | 02/04/2016

Source juive, citée par Arthur Butz que Restif dit avoir lu :
L’estimation de l’American Jewish Committee pour 1933, publiée dans le World Almanac de 1940, était de 15 315 359. Le chiffre du World Almanac pour 1945 est de 15 192 089 (p. 367) ; aucune source n’est indiquée mais ce chiffre repose manifestement sur une sorte de recensement religieux. Le World Almanac de 1946 l’a porté à 15 753 638, chiffre qui a été conservé dans les éditions de 1947 (p. 478), de 1948 (p. 572) et de 1949 (p. 289). Le World Almanac de 1948 (p. 249) donne également l’estimation de l’American Jewish Committee pour 1938 (sic), soit 15 688 259.

Bien entendu, les éditions suivantes du World Almanac vont réparer la bévue.
Comme disaient les russes pendant la domination judéo-bolchévique "Le passé n'est jamais certain"...

Écrit par : Jazzman | 12/04/2016

pauvre vieux vrai-hérisson

un jour,tabassé par un triplet de la LDJ ou du batard , il fut secouru par un jeune anonyme qui fit fuir les agresseurs ( à un contre trois, c'était fastoche , à deux -dont un vieillard ensanglanté- contre trois , ça devenait plus sérieux)

le lendemain, mis au courant de l'identité de la victime, le chevalier Bayard qui l'avait sauvé déclara aux journaputes "ha si j'avais su que c'était lui....je regrette de l'avoir secouru...."

on voit qu'il reste de belles âmes en vronze , il aurait pu dire "je les aurait aidé à le finir" et il ne l'a pas fait.....

Écrit par : kobus van cleef | 15/04/2016

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