11/04/2011
LA SAGESSE DES RASTAQUOUERES
Collecter des fonds pour éponger les dettes des porteuses de niqab.
Parfaitement raison. L'exacte bonne attitude. Se défendre en communauté face à la menace de l'Etat, s'organiser rationnellement contre le racket légal, défier ouvertement l'autorité des lopes de la droite liquéfiée. Gagner son autonomie de facto, sans chercher (pour l'instant) à prendre le pouvoir, ou du moins ne prendre que le pouvoir utile, territorial et culturel. La grande classe.
Monsieur Blanchouille serait fort avisé de s'en inspirer. Ca ne lui demanderait pas tellement d'efforts ni de temps si les enculés qui font du cash sur la Honte Blanche avaient raison, si le Grand Capital et l'Internationale Brune marchaient bras tendu dessus-bras tendu dessous. Les milliardaires nazis avec une âme de mécène semblent hélas bien rares.
Nous reste le deal, le proxénétisme, l'extorsion. Et là encore, nos amis métèques ont bien des choses à nous apprendre. Plus tu retournes l'affaire dans tous les sens, plus tu reviens à cette irréfutable, humiliante et pragmatique conclusion.
08:43 | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
En ce qui nous concerne il ne suffira pas de "défier ouvertement l'autorité des lopes de la droite liquéfiée", il nous faudra la culbuter puis éradiquer prioritairement cette bourgeoisie cosmopolite, républicaine, de droite comme de gauche, parasitaire et pratiquant à outrance le racket... alors, oui, nous serons dans notre rôle.
C'est par un 1789 à l'envers que notre peuple retrouvera sa fierté, sa virilité et sa dignité. Tout le reste relève du mensonge le plus éhonté.
Tuer ce qui reste de la France pour retrouver la Gaule, comme dirait Laurent James de PAROUSIA avec qui je suis d'accord, une fois n'est pas coutume.
Écrit par : Danny | 11/04/2011
@Danny et à Stag
Nous ne serons jamais de la même essence que nos racailles. Il faut s'y résoudre. Nous n'avons ni les structures familiales adéquates, ni le même vécu, ni les mêmes inclinaisons qui pourraient nous pousser à agir comme une minorité soudée.
Nous sommes une "majorité anonyme" de blancs civilisés, des proies faciles pour la racaille en col blanc comme pour celle en survêtement. Un cheptel d'ilotes, tout juste bons à être rançonnés, tabassés, tout en bossant comme des nègres, et en silence. En échange de ce larbinat, il faut le concéder, nous avons le loisir de vivre bien au-dessous de la moyenne de nos CPFS. Mais c'est au prix du sacrifice de notre propre liberté.
Il est déjà difficile pour nous de faire péréniser nos amitiés et nos couples dans la durée, les blancs étant ce qu'ils sont:
-geignards
-exigeants
-nombrilistes
-gâtés pourris,
De ce fait, les blancs sont naturellement infects avec leurs proches. Et plus encore s'il s'agit de gens qui se sont sacrifié pour eux d'un amour désintéressé. Nous n'avons donc plus la patience pour tisser des liens: l'occidental gavé reniera une amitié à la première des anicroches !
Comment peut-on croire une seule seconde qu'un grand chambardement identitaire, à base de retribalisation des blancos et de sursaut anti-étatique, survienne un beau jour dans ces conditions ?
Rejetter la croyance illusoire en l'état (croyance vulgaire de l'immense majorité de veaux frontistes), c'est déjà se sauver d'une immense merdier de désillusions atroces.
Mais penser qu'on peut se sauver de l'emprise de nos contemporains, vivre en dehors de la pression des autorités républicaines, là comme ça, en claquant des doigts, mais c'est juste du gros délire voyons !
Tous les jours, je me prend en pleine gueule l'individualisme par défaut des blancs. Tous les jours, je constaste l'impossibilité de faire émerger un début de solidarité entre "gaulois". Merde à la fin ! Il faut que ça soit des métèques qui me viennent en aide quand la racaille se fait pressante à mon égard, un comble !
Il faut s'y résoudre. Nous ne deviendrons jamais comme nos rastaquouères.
S'il y a réaction, en admettant qu'il y ait une réaction. Elle ne viendra pas du Peuple, car le Peuple n'est pas armé. Il n'a pas la culture de violence nécessaire pour "se dresser" contre un opresseur. Le Peuple est une proie, un cheptel de travailleurs. C'est tout. Lire cet excellent texte:
http://www.forumlorgane.com/viewtopic.php?f=3&t=271
"Quand on a un petit peu d'expérience du contact rapproché avec la racaille, on pije très vite où est le point faible du bon français: il a des trucs à foutre. Ceux qui sont le mieux disposés à lutter contre la racaille, c'est les français racaillisés, qui n'ont rien branlé à l'école, savent à peine écrire, ne vivent que d'allocs ou de petits boulots qui ne demandent aucune qualification. Mais le vrai bon français fier de son savoir-faire, il a pas le temps de faire la guéguerre. Même quand il est chômeur le bon français a toujours plein de trucs à foutre, quand c'est pas suer comme un fou pour chercher du taf, c'est faire le bénévole, militer, faire de l'art... le français il fait la guerre une fois qu'il a plus ça à perdre, seulement une fois qu'on lui a crâmé son lopin de terre, son usine, son atelier, sa machine à écrire, ou ses doigts. Or le racaille lui, il a rien d'autre à foutre que d'emmerder le monde, stocker des armes, s'entrainer au combat et à la tactique, étudier les failles de la loi, c'est là son grand point fort, alors on rivalise pas avec ces mecs."
S'il y a une réaction, elle viendra encore et toujours du pouvoir régalien. Si le Léviathan continue à s'en foutre, alors les blancs disparaîtront lentement et la brésiliano-yougoslavisation se fera plus violente, à mesure que les prétentations de l'état-providence cadreront de moins en moins avec ses moyens effectifs.
Souvenez-vous des émeutes de Saint Aignan. C'était ahurissant quand même !
Des gitans qui dévastaient un village, des pauvres commerçants violentés au hasard en guise de vendetta, des gendarmes claquemurrés comme des rats dans leur caserne.
C'est probablement la chose la plus surréaliste qui se soit passé et personne ne semble avoir remarqué qu'il n'y a qu'en France que se passe ce genre de trucs.
http://www.youtube.com/watch?v=K_GjUyF5p_s
Saint Aignan, c'est la démonstration exacte que nous ne pouvons plus rien faire.
Si déclic il doit y avoir, malheureusement, il viendra de l'exaspération latente des rouages du Léviathan.
Aujourd'hui, les Guy Carlier, les Ménard, les laïcards n'en peuvent plus. Les fonctionnaires des CAF en ont ras le cul. Une partie de flicaille voudrait ce déclic juridico-médiatique pour faire changer la peur de camp.
Sauf que rien ne se passe. Ils ont tous la trouille de DIRE et de FAIRE ce qui s'impose. Parce que c'est LEUR et NOTRE nature de larbins qui empêchent la libération de cette colère libératrice.
Écrit par : Racisme Positif | 13/04/2011
http://lesenfantsdelazonegrise.hautetfort.com/archive/2008/01/23/crise-revolution-et-autres-questions-sans-importance.html
Désolé Stag, je viens de me rendre compte que vous avez une désillusion d'avance sur moi.
Écrit par : Racisme Positif | 13/04/2011
A Racisme Positif
" S'il y a une réaction, elle viendra encore et toujours du pouvoir régalien. "
C'est fort possible, je ne suis pas loin de partager ton point de vue à ce sujet. Ta réflexion ramène à ce que disait Venner dans la NRH n°52 consacrée aux hommes et à la guerre.
Aussi affaiblies soient-elles, les armées européennes d'aujourd'hui constituent des exceptions d'ordre dans un environnement délabré où des fictions d'Etats favorisent le chaos. Même diminuée, une armée reste une institution fondée sur une forte discipline participant à la discipline civique. C'est pourquoi cette institution porte en elle un germe génétique de restauration, non en prenant le pouvoir ni en militarisant la société, mais en redonnant la primauté à l'ordre sur le désordre. C'est ce que firent les compagnonnages de l'épée après la désagrégation de l'Empire romain et tant d'autres par la suite.
D.Venner, L'homme de guerre et la cité, 2011.
A condition naturellement que ces armées européennes ne soient pas minées par la diversité, et ça en prend le chemin.
En attendant graisse ton flingue, nuis autant que possible à nos ennemis, achète quelques espèces sonnantes et trébuchantes à base d'or ou d'argent et contribue autant que tu peux à " préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants blancs ", comme dirait SS. Cela dit en toute amitié, virtuelle, et sans illusions, à l'échelle de notre existence terrestre.
Je reste en effet un ennemi farouche et de longue date de l'Etat - question d'itinéraire -, aussi, l'autodéfense, l'autonomie et l'autarcie gardent ma préférence. Je respecte scrupuleusement cette devise - inutile d'en préciser les détails - au milieu des ploucs et des rustauds, que j'aime, d'un village de l'Ouest de l'ex-France, où je réside... Une chouette communauté villageoise consciente des menaces, et encore très blanche.
Salut à toi.
Écrit par : Danny | 13/04/2011
Je vous remercie Danny, je vais essayer de rester vivant et de ne pas perdre la boule (le plus difficile) au milieu de toute cette merde.
Sinon très bel article de Dominique Venner.
L'ennui, c'est que les instances militaires (de l'aveu même de proches ayant fait leur carrière chez la Grande Muette) sont tout aussi pourries sinon encore plus que le reste de la société. Les bureaucrates et les haut-gradés vivent en ghetto, coupé du reste de la société dans leurs casernes à la con où ils ne ripaillent et ne baisent qu'entre eux, prenant le soin de faire grossir la bourse et la panse, c'est devenue une planque pire que la Poste. Il n'y a aucune reflexion chez ces gus, on pompe le discours dominant, on s'offusque d'avantage d'une pique raciste ou antisémite qu'un camarade crevardé au combat. Il doit même pas y avoir 5% de gens qui savent se battre dans tout ce merdier.
En ce qui concerne le gros des nouvelles recrues, à ce que me raconte un cousin fusiller-marin, c'est encore pire. De plus en plus de racailles chez les bidasses et même quand il sont blancs, ils en ont rien à battre. La plupart sont des attardés ou des cas sociaux qui ne trouvaient pas de boulots dans le civil. Le Drapeau, l'Honneur et la Nation, c'est de la science-fiction pour ces estomacs sur pattes. Faut dire qu'on sait plus donner l'exemple nulle part alors pourquoi se plaindre ? Pas de modèle à respecter, pas de valeurs pour lesquelles le sacrifice pourrait recouvrir un sens.
L'homoparentalité, la démocratie UMPS, qui aurait envie de mourir pour ça, franchement ?
Le pire c'est que parfois, je comprend ces veaux.
Écrit par : Racisme Positif | 15/04/2011
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