04/02/2012
TENIR
La plupart des Blancs ne se protègent pas parce qu'ils ne se sentent pas MENACES. L'exinction de leur lignée leur paraît soit une chimère ridicule (ils s'imaginent donc que le substrat ethnique perdurera aussi longtemps qu'ils pourront se payer des Ipad à crédit) soit un phénomène qui ne les concerne pas (ils ne se sentent donc Blancs qu'une fois qu'un exotique le leur permet, de préférence pour endosser une culpabilité qui lui est profitable), soit l'aboutissement d'un processus à la fois naturel (il n'y a rien à faire contre) et légitime (nous avons pillé l'Afrique, au tour des Africains de piller l'Europe).
Avec la plupart des individus qui acceptent sans broncher l'un de ces trois schémas de pensée, la discussion est vaine. Tous ou presque ont accepté la certitude de leur extinction en tant que peuple, et ne peuvent être inquiétés que par leur disparition individuelle. La dhimmitude ? Volontiers ! Toutes les bassesses collectives pour faire durer ma pauvre vie un jour de plus... Rien de plus normal. Tant que vous êtes valide, vous pouvez vous gonfler les plumes et prétendre que vous vous neufmillimétrez la cafetière dans la minute où vous ne pourrez plus bander ou chier sans l'aide d'une infirmière des tropiques. Et blam ! Vous voilà dans une cholie chaise à roulette, et votre amour de de la vie se prend une dose cosmique d'amour dans le gueule, pour rien au monde vous n'en zapperiez la moindre seconde...
La démonstration scientifique de l'inégalité des races n'aura pas d'impact sur un tel public. Comment voulez-vous participer à une course d'endurance quand vous devez vous déplacer en chaise roulante ? Telle est la situation de l'identité blanche: quand bien même elle accepterait la notion hautement fasciste de compétition entre les peuples pour la prévalence de leur identité respective, elle n'aurait pas les moyens moraux de participer à la course. L'Occident est un géant aux pieds d'acier et au coeur d'argile, un Gulliver qui enseigne l'art des noeuds marins à des Liliputiens trop stupides pour tresser eux-mêmes leur propres cordes.
L'extrême judéomanie des Culs-Blancs elle-même ne leur est d'aucune utilité pour s'échapper des sables mouvants de leur propre relativisme suicidaire. Ils écouteront religieusement un juif leur enseigner la repentance éternelle pour les crimes supposés de certains de leurs arrière-grand-pères, mais classeront parmi les timbrés mystiques celui qui leur dit Blancs défendez-vous. Monsieur Toubab est un puritain dont le Troisième Testament lui commande de tout faire pour crever et faire la place aux métèques, de subordonner le moindre aspect de son existence à ce but sacré.
Le nouveau christianisme laïc et citoyen a fait d'un péché mortel l'absolu sine qua non de la Rédemption moderne. Il est plus facile à un ouaciste de passer le chas d'une aiguille que d'accéder au royaume des cieux. Livre tes filles aux simiens et va claquer loin du carnaval funèbre donné en l'honneur de ta propre disparition. Chrétiens, oubliez vos pauvres écritures et tatouez-vous cette courte épitre à l'envers sur le front, pour vous en rappeler chaque matin et chaque soir.
Quelle issue pour nous autres que ce seppuku continental emplit de bile et de fureur épileptique ? De rares et misérables expédients, dont un ivrogne assumé se passe aisément, parce que lui au moins n'a pas besoin de justifier son autodestruction délibérée.
Et pourtant il nous faut tenir. Je ne dis pas « témoigner », vous noterez, parce que personne ne nous écoutera et que nos gesticulations de naufragés ne marqueront pas plus l'Histoire que celles des victimes du Titanic.
Juste TENIR.
Tenir pour que dalle. Tenir pour l'absurde et douteuse beauté du geste. Tenir pour emballer de sparadraps poisseux les débris suintants de notre dignité brisée. Tenir parce qu'un tétanos complet est la seule forme de droiture dont nous soyons encore capables. Tenir pour la misérable consolation d'avoir haï nos corrupteurs jusqu'à notre dernier souffle asthmatique. Tenir pour bercer nos effondrements internes avec le vertige du désir de vengeance à jamais inassouvi. Tenir contre les sarcasmes, le relativisme, le chantage des gens qui nous veulent du bien, la prétention de maturité, le réalisme vaseliné, et la colossale dérision de nos propres prétentions. Tenir au-delà de l'absurde et du ridicule.
17:23 | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Les blancs qui ne vivent pas au milieu de la diversité ne se sentent certainement pas menacés, ceux qui ont suffisamment de fric pour penser que tout ça ne leur retombera pas à eux aussi sur la gueule ne se sentent pas menacés.
Mais les blancs qui ont grandi au milieu des noirs dans les "quartiers", eux, sans fdesouche, sans "réinformation", réacosphère et compagnie, ils savent très bien à quoi s'en tenir.
Quand un blanc de ces quartiers, qui en marre d'être toujours celui qui doit baisser la tête, qui doit relativiser, temporiser pendant qu'on l'insulte, qu'on le bouscule, vire facho, son ami ne lui dit pas "padamalgame, y son pa tous pareil", il lui dit "fait pas de conneries, continue tes études, bientôt on se casse d'ici".
Ils se rendent bien compte qu'à force de reculer ils se retrouveront un jour au pied du mur. Mais en attendant, ils essayent de se démerder pour essayer de se créer le cadre le vie le plus agréable dans lequel leurs futurs gosses n'auront pas à vivre ce qu'ils ont vécu.
Aller en groupe tabasser les noirs et les arabes qui foutent la merde? Dehors, il y a aussi des noirs et des arabes qu'on connait depuis qu'on est tout petits, certains qu'on apprécie assez pour faire passer tout sentiment identitaire après eux. On leur dira quoi à eux?
Ok, nos potes noirs et arabes qui crient au crime raciste à chaque fois qu'un dealer de crack se fait bousculer par un policier nous disent que c'est la faute à pas de chance si on se fait marave par des noirs qui nous insultent de sales blancs, mais c'est nos potes quand même, on a grandi avec eux.
Je suis tombé sur un article d'un afro-suprémaciste chouineur lambda sur Franz Fanon, je me suis amusé à remplacer dans ma tête dans les citations du bonhomme les mots "blanc" par "noir" et inversement et je me suis rendu compte que ça fait sens :
« L’on nous dira, oubliant en cela notre but, que nous aurions pu porter notre attention ailleurs, qu’il existe des Noirs n’entrant pas dans notre description. Nous répondrons à ces objecteurs que nous faisons ici le procès des mystifiés et des mystificateurs, des aliénés, et que, s’il existe des Noirs à se comporter sainement en face d’un Blanc, c'est justement le cas que nous n’avons pas à retenir. Ce n’est pas parce que le foie de mon malade fonctionne bien que je dirai : les reins sont sains. Le foie étant reconnu normal, je l’abandonne à sa normalité, qui est normale, et je me tourne vers les reins ; en l’occurrence, les reins sont malades. Ce qui veut qu’à côté de gens normaux qui se comportent sainement selon une psychologie humaine, il en est à se comporter pathologiquement selon une psychologie inhumaine. Et il se trouve que l’existence de ce genre d’hommes a déterminé un certain nombre de réalité à la liquidation desquelles nous voulons contribuer ici »
Ça finira dans le sang, le sang des amis, des voisins, des frères et on pourra se rendre compte que dès le début tout cette histoire, l'immigration de masse, l'antiracisme et tout le bazar n'ont été qu'un gigantesque malentendu, un rêve de collégien qui vient de découvrir le marxisme en lisant la fiche wikipédia proposé à des gens qui n'ont jamais compris de quoi on parlait.
Écrit par : Brz | 04/02/2012
C'est bien d'éructer ( fort bien je l'avoue), mais tu as fait combien de gosses, Stag? La résistance commence par là.
Et refuser toute visite at home de potes métèques à ces derniers.
Et faire comprendre à tes filles que l'on ne s'accouple pas avec des singes.
Écrit par : ? | 04/02/2012
Bon texte!
Écrit par : la crevette | 05/02/2012
Le souci d'une telle question, Monsieur Personne, c'est qu'elle est du même niveau que les grands classiques antifa du genre : "C'est quoi ton problème, t'est frustré de la bite ?"
Ceci dit, si je répondais que c'est en cours, qu'on en saura plus avant la fin de l'année, et que je ne suis pas toujours sûr que c'était ma meilleure idée, ça changera quoi ? Quelle preuve que ce n'est pas du pipeau - bien pathétique en plus, vu la nature du dialogue entre un " ? " et un pseudonyme idiot ? Et quid si, en fin de compte, la brillante nouvelle recrue part creuser des puits en Afrique d'ici quelques années ? Une balle perdue ou un "tir ami" sont-ils de hauts faits d'armes dont on peu se vanter ?
Puisque nous sommes cantonnés aux idées et aux principes :
http://lesenfantsdelazonegrise.hautetfort.com/archive/2010/06/07/pas-de-reconquete-sans-beaute.html
http://lesenfantsdelazonegrise.hautetfort.com/archive/2009/10/21/faire-naitre-une-generation-d-egorgeurs.html
Écrit par : Stag | 05/02/2012
Merci Stag. Mille fois merci.
Écrit par : Mors | 05/02/2012
"nos potes noirs et arabes"
?
Écrit par : GAG | 06/02/2012
Je suis content je suis beaucoup plus musculeux que le mec sur la photo,le jour ou j'avoinerais ça rotera saignant mais par contre sais pas trop comment se bagarrer dans la cage alors je composerais avec cela :)
Que la force soit avec nous!nous l'elite!
Écrit par : Dom | 06/02/2012
Y a-t-il d'autres exemples dans l'histoire de disparition d'un peuple par refus de se reproduire ?
Un historien, un ethnologue ou un anthropologue pourrait nous apporter une réponse.
Écrit par : Jean-Pierre | 07/02/2012
"Y a-t-il d'autres exemples dans l'histoire de disparition d'un peuple par refus de se reproduire ?"
Mais il y a pire que cela, j'en ai déjà parlé car c'est un point fondamental : il y a le cas d'un peuple qui se reproduit mais qui est devenu *autre*, et pour toujours.
Et ça, l'histoire est farcie de tels exemples.
On crée ainsi une population nouvelle, et point n'est besoin que l'envahisseur soit majoritaire.
Deux exemples rapides, un avec le mélange de peuples : les Mexicains (qui ne sont donc ni espagnols ni aztèques mais les deux en même temps) et un avec l'acculturation totale d'une majorité par une infime minorité : les Turcs de Turquie (qui sont à 90% issus de populations indo-européennes ou caucasiques, islamisées et turquisées).
L'argument du nombre n'est pas pertinent, car quelques milliers de personnes peuvent changer définitivement la vie de quelques millions d'autres ; en ce qui nous concerne, l'envahisseur étant de plus en passe de nous submerger démographiquement à moyen terme, c'est plutôt mal barré.
On pourrait contrer ce constat par mon propre argument même en pointant que quelques milliers d'Européens pourraient renverser la vapeur : sur le papier cela reste exact, maintenant il faut prendre en considération la puissance attractive des modèles et en substance le modèle de double colonisation par le bas (islamo-africanisation) et par le haut (américano-mondialisation) est autrement plus "bandant" pour la planète (en tous cas pour la partie qui nous concerne : les terres blanches) que le nazionalisme face de craie.
Dans l'histoire en général, les peuples sont comme les femmes : ils sont du côté du vainqueur. S'il faut tourner casaque, changer de langue, de religion, de coutumes, de culture, de mode de vie, alors c'est parti. Les résistants, les intransigeants, les irrédentistes existent bien sûr mais deviennent portion congrue, souvent confinés géographiquement d'ailleurs (montagnes, déserts de sable ou de glace, forêts tropicales ou polaires, etc).
Le nombre et la durée n'ont aucune valeur pérenne dans l'histoire : des empires de mille ans s'écroulent à jamais, des religions pluri-millénaires ne laissent pas la moindre trace, des pays entiers abandonnent une culture très ancienne... le contraire existe : en quelques années seulement une forte personnalité peut changer pour des siècles le destin de territoires gigantesques (cf. Alexandre, César, Napoléon).
Le critère déterminant ici est l'attractivité générée par le nouveau modèle : s'il correspond à l'époque qui s'amorce alors il a toutes les chances de fonctionner durablement.
Écrit par : GAG | 07/02/2012
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