27/07/2012
JOUER AU GAUCHISTE
La plupart du temps, quand un réac se pique de battre un progressiste à son propre jeu, il offre un spectacle assez pénible, un peu comme Madonna qui cherche à nous faire croire qu'elle a toujours le physique de 1982 et qu'on est très intéressé en mâter des morceaux.
On peut ne pas être d'accord avec tout, et surtout ne pas avoir grand-chose à foutre de certaines des "évidences" qu'il assène, mais Gavin McInnes se sort plutôt bien de son numéro de transformiste :
Liberals have their hearts in the right place, but their brains are up their asses. Sure, being mean is bad and being nice is good. But when the data contradicts their feelings, they have a meltdown. Guns prevent crime. Logging helps forests. Affirmative action is racist. Illegal immigration doesn’t work and neither does welfare. Public unions are too expensive and the more money we spend on education, the less effect it has.
21:25 | Lien permanent | Commentaires (1)
26/07/2012
PROBLEMES DE ROBINET
L'assassinat de toute une famille en Afrique du Sud, assorti d'un viol, d'une éviscération canine et diverses autres délicatesses, pose à nouveau le douloureux problème du passé fâschïyste du Portugal et de la sécurité dans les salles de bain. En effet, aucun témoin n'a pu affirmer que les victimes, d'ascendance portugaise, aient pris le temps de se repentir publiquement pour les crimes contre la Diversitude commis par Antonio Salazar, coupable silence qui rouvre les plaies d'un passé qui "ne passe pas".
En outre, il semble avéré que le fils ait trouvé la mort suite à une trop longue immersion dans de l'eau bouillante. Le porte-parole de l'Association Internationale des Plombiers et Installateurs Sanitaires, pressé de s'exprimer sur le sujet, a interrompu ses génuflexions dans le purin pour affirmer que ce tragique événement "n'aurait jamais dû se produire". Le gouvernement sud-africain pourrait avoir évoqué la possibilité d'une loi contre l'eau chaude - douloureux symbole de l'époque coloniale - mais la chair humaine encombrant la bouche du porte-parole laisse plâner quelques doutes sur les intentions réelles des autorités.
Il va de soi que la couleur de peau des accusés soulève de pénibles questions sur le racisme ordinaire, l'exclusion, la pauvreté, la discrimination, la méchanceté, l'esclavagisme et l'Holocauste.
23:16 | Lien permanent | Commentaires (2)
LA DEFENSEUSE ET LES FINS CONNAISSEURS
Un vrai régal dans la gazette de BécHameL:
Sollicitée par Le Point.fr, Nora Présozi, l'adjointe au maire de Marseille, fervente défenseuse de la laïcité et des droits des femmes, refuse d'entrer dans cette polémique. "Effectivement, ce quartier regorge de femmes voilées, mais peu importe. Si on veut éviter une situation explosive, les policiers doivent impérativement appliquer la loi. Chaque citoyen a l'obligation de se soumettre au contrôle d'identité quand la situation l'exige, comme c'est le cas dans cette déplorable affaire."
Mais l'élue assume une certaine franchise. "Beaucoup de femmes vêtues de burqa cherchent l'affrontement avec les forces de l'ordre", assure-t-elle. "De ce fait, elles donnent une piètre image de l'islam, poursuit-elle. Or, pour les fins connaisseurs, la religion musulmane prône la paix et la tolérance."
22:35 | Lien permanent | Commentaires (4)
21/07/2012
"TU VERRAS, CA CHANGE TOUT"
Avertissement de l'entourage mâle, quelque part entre cruauté, ressentiment et désabusion - rapport au débarquement d'un moutard, l'aurez compris. On écoute, on hoche la tête, et on se dit qu'on verra bien.
Verdict au bout de trois mois : ça ne change pas grand-chose. Par contre, oui, ça complique tout.
Les apéros (apéri ?) improvisés qui dégénèrent en grandes mangeailles, les crapuleries spontanées, les sorties à l'arrache, on n'a pas à renoncer à grand-chose, mais là où il fallait avoir un coup d'avance pour que tout soit parfait, il en faut deux pour que tout ne se déroule pas trop mal.
On se fatigue beaucoup plus vite, surtout moralement, la faute au manque de sommeil, au moindre "temps libre" monopolisé par des impératifs de pouponnage divers et variés, les pleurs de digestion qui succèdent aux pleurs de faim, avant les pleurs de fatigue...
Gros changement : un temps de lecture comparable à la moyenne du Tiers-Monde, et on ne parle pas de l'écriture. Ce bleaugue s'en ressent.
A force de fréquenter des enfants, c'est fatal, on finit par repenser à sa propre jeunesse- Prochains bavardages : quelques observations sur l'époque préhistorique où yours truly n'était pas ouaciste, mais alors pas du tout, et sur la façon dont certains enculés bien intentionnés lui ont inoculé le joyeux virus de la Haine.
PS : nous sommes le 21 juillet, John Lord est toujours mort, BécHameL toujours pas.
21:03 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (2)
15/07/2012
FOUTREBALL
Football has played a key role in the great emasculation of the White working class. Not only did it provide a perfect conduit for channelling working class energy and interest into a politically sterile realm. It also helped condition the White working class to their ethnic replacement by encouraging them to root for multi-ethnic teams. Instead of seeing non-Whites as "The Other," as invaders and colonizers of their land, the White working class was conditioned to see the increasingly multiethnic teams they supported as part of their extended tribal family. Instead "The Other" became rival teams and their supporters, in other words, other Whites.
10:48 | Lien permanent | Commentaires (4)
13/07/2012
Black People Are Not Oppressed
04:18 | Lien permanent | Commentaires (13)
10/07/2012
ANNEKE
23:20 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (1)
08/07/2012
CARNET DE VOYAGE AU BOUT DE QUE DALLE
Grandiloquence lettreuse en guise de décoration outrancière de quelques notes qui traînent.
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Lausanne devient quelque peu cradoque et épisodiquement, quelques-uns s'en émeuvent. Moi, depuis quinze ans, à chaque fois que je suis forcé d'y passer une journée, je trouve que ça ressemble de plus en plus à Genève, toujours plus crade, déprimant, les rues connaissant un spectaculaire accroissement de leur taux de dégaines improbables, de cinglés manifestes parlant seuls sans téléphone camouflé, d'espèces exotiques improbables.... Dans un quartier particulier, c'est le riant univers de la came qui donne des démangeaisons pas citoyennes à quelques-uns. Seringues, capotes, cuillères cramées, le tout à proximité d'une usine à chtits nenfants, point qui scandalise tout particulièrement. Moins peut-être que la mention des origines ethniques des vendeurs... Le socialiste Tosato, en charge justement desdites usines, déclare :
Moi-même, j’en ai marre de voir les dealers sur la place Chauderon. Je n’ai rien contre eux, mais lorsqu’ils me regardent en souriant pour tenter de me vendre quelque chose, cela m’énerve.
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Dans la série "Vous êtes vraiment trop bon" : lu dans une offre d'emploi à Genève :
English is a must, spoken French is a big plus.
Une autre :
Answer will be given only to corresponding profiles and to applications in English
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Un moment d'égarement... on se dit que les gens pour qui l'école publique est une entité démoniaque à abattre, n'employant que des tordus, exagèrent quand même la moindre... Et heureusement, la presse nous rappelle aux évidences.
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Croisé lors d'une beuverie mondaine, un parfait inconnu avec qui je cause picrate me demande les trois albums que j'embarquerais dans une île déserte. Fastoche.
20:59 Publié dans De quoi j'me merde ?, Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (2)
02/07/2012
IRON VIEILLE PEAU
20:30 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (6)