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21/08/2013

JAMAIS ASSEZ - bis ter ad mortem

Foutrement compliqué, ce culte des morts casher. Qu'on crache dessus (interdit!), qu'on s'en foute (impensable!) ou qu'on en fasse des tonnes (moindre des choses!), c'est un peu pareil : on n'en fait jamais assez.

La chefferesse de l'Allemagne-non-nazie va se rouler dans les cendres de Dachau pour prouver qu'elle est effectivement non-nazie ? "De mauvais goût" selon les verdâtres boches, surtout en période de parade amoureuse face aux groins du bétail démocratique. On aurait cru que, comme l'apéro, y avait pas d'heure pour ce genre de saloperies puritaines. Compliqué, putain, compliqué ! Heureusement qu'un Peuplélu a salué l'exercice de reptation, on aurait sans cela frôlé le dérapage.

La jurisprudence et la morale journalistique voudraient pourtant, au contraire, qu'un politicard teuton désireux de marquer des points électoraux se la joue semi-quart-crypto-nazi, voyez ? Flatterie des bas instincts génocidaires de la plèbe, tout particulièrement allemande, ça va tellement de soi que l'écrire met mal à l'aise.

A ce stade-là, on est bien au-delà de la marche sur des oeufs : c'est de la lévy lévitation sur du caviar.

Sociologues de mes burnes et théologiens de mes fesses, quand le wolof version hip-hop/SMS sera le sabir courant de l'ex-Europe, il sera trop tard pour analyser froidement la dimension RELIGIEUSE ET MYSTIQUE de l'Eau-Low-Cost en Occident au XXIème siècle, en êtes-vous seulement à moitié conscients ? Ou est-ce que vous appliquer avec tant d'ardeur à ne PAS faire votre boulot vous fait vous sentir tout rose et tendre à l'intérieur ? 

 

Commentaires

Dachau c'était pas censé être un camp de travail pour communistes et détenus de droit commun, et non un camp de concentration ? Bizarre cette visite.

Écrit par : Criticus | 21/08/2013

Tous les camps ont été de "concentration", la seule chose qu'ils aimeraient nous faire croire c'est que certains étaient "d'extermination" pour enfin nous refourguer leur histoire des "6 millions", canular bien plus vieux que les nazis ! : https://www.youtube.com/watch?v=Dda-0Q_XUhk

Écrit par : Ours brun | 21/08/2013

Ours, vous êtes une mauvaise personne.

Écrit par : stag | 21/08/2013

Très intéressant, le lien du collègue.
Habituellement, on ne voyait que de mauvaises copies de ces articles (avec l'idée que David Duke avait une vieille photocopie et de mauvais ciseaux) et, très visiblement, les articles originaux existent.

Écrit par : UnOurs | 21/08/2013

Plus les heures les plus sombres s'éloignent, plus les témoins disparaissent, plus la mystification autour de l'holocauste s'accentue, du jamais vu en matière de propagande.
Depuis 1945 l'histoire n'a plus de sens, nous vivons sa déchéance.
Les historiens, et non des moindres, deviennent pour la plupart des salariés soumis faisant l'apologie de leurs employeurs.

« L'intérêt qu'il y a à explorer les détails relatifs à Dachau, c'est qu'ils réduisent à néant la crédibilité des forces d'occupation américaines. La propagande américaine avait soutenu que des exterminations avaient eu lieu dans les camps situés sur le sol allemand et Dachau fut le principal camp capturé par les Américains (Buchenwald fut plus tard livré aux Russes). on s'efforça donc de déformer et de dénaturer ce qui s'était passé dans le camps de Dachau. Lorsque le lecteur aura saisi la nature grossière et maladroite des « preuves » avancées, il sera tout à fait prêt à nous suivre lorsque nous analyserons la partie centrale de la mystification, à savoir le mensonge d'Auschwitz. »

Arthur Robert Butz, La Mystification du XXe siècle, La Sfinge. P. 94.

Écrit par : Danny | 22/08/2013

Vous n'allez quand même pas mettre tout et tout le monde sur le même plan ?

Bernheim l'avait pourtant dit à la cérémonie des déportés :

"Si je devais dire un mot pour conclure, provisoirement, sur la mémoire du génocide nazi, je dirai que le message d’Auschwitz – et du ghetto de Varsovie –, c’est l’unicité du genre humain et l’unité indissoluble du peuple juif"

Écrit par : Cotuatos | 23/08/2013

Il me revient qu'il y a une bonne demi douzaine d'année, en voyage à Crakovie,avec femme et enfant (1 seul), nous fûmes abordés par une polaque de'tite taille, étant sur le point de partir visiter les mines de sel ( Ouiche, y en a plein, c'était la fortune du coin dans l'Antiquité puis au moyen âge)
On cherchait le bus et on voit cette semi naine, avec un bonnet rouge, qui disait''salt mines ? Bus number ouane...Auschwitz ? Bus number toux...)
L'épouse s'est alors tournée vers moi, avec son beau regard blessé. ''On va à Auschwitz ?''
Réponse cinglante ( un peu trop, va savoir) ''pas question, merde !''
Mais elle me l'a pas reproché ensuite, donc je pense avoir bien fait...

Écrit par : kobus van cleef | 26/08/2013

Mais le fait demeure
On n'en fait jamais assez
On n'en fera jamais assez
Pourquoi ?
Tout connement parce qu'on n'appartient pas à la caste des victimes héréditaires, celle du shoa-bizness
Et ça, cette appartenance, n'est QUE le ticket d'entrée, QUE la patte blanche qu'il faut montrer AVANT de monter sur le manège, avant d'être accepté, reconnu comme un non coupable potentiel par les écorchés vifs ou les monopolistiques qui tiennent les commandes du cirque, de son copyright et de sa rétribution
Pensez bien que le jour où, à la question''savez vous ce qu'est l'achoa?'' une majorité de néo-vronzais répondra'pas la moindre foutue idée'',le bizness s'effondrera
La nature humaine étant ce qu'elle est, on voit poindre un autre bizness mémoriel, celui des n'haigres, de l'esclavage et celui de la colo de l'AFN
Beaucoup plus pervers car on peut répliquer , ''si vous fûtes colonisés, c'est que vous fûtes colonisables''
Ce qui, soyons juste, s'applique aussi à nous, aujourd'hui
Secouons nous les puces, tirons nous les doigts, boutons le sarrasin hors d'Europe

Écrit par : kobus van cleef | 26/08/2013

Roman, la distinction se fait plutôt entre camps d'extermination et camps de concentration, Dachau appartenant à la seconde catégorie.
Mais Dachau ayant surtout accueilli des russkoffs et très peu de juifs, cette visite est en effet bizarre.

Écrit par : Gato | 10/09/2013

Les commentaires sont fermés.