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30/05/2014

"IL FAUDRAIT M'EXPLIQUER LÁ ??"

Pour la délicieuse capture d'écran de la fabuleuse Margot, qui découvre qu'on peut mouiller pour les minorités tout en se faisant traiter comme de la merde par icelles.

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26/05/2014

CONFESSIONS D'UN SCHADENFREUDISTE REPENTI

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La vraie Schadenfreude - au sens de vraie Joie  - est peut-être un des privilèges de la jeunesse, comme la capacité physique d'enchaîner cuite mémorable et performance sportive.

Yenaki prétendent que les récentes élections européennes seraient "pires que le 21 avril 2002", rapport au séisme/tsunami/choc/Auschw de la progression frontiste.

Je n'arrive tout simplement pas à me réjouir de cette Grande chiasse des bien-pensants. Il y a l'âge qui joue dans le truc, j'imagine. 2002 avait été un réel moment de rigolade, que des potes avaient carrément été fêter à Paris. Je me rappelle fort bien de la banane provoquée par le spectacle des socialopes, leurs gueules de castration à vif, les bruits de sirènes saluant la fausse démission politique de Lionel J'ose-Pas.

En ce printemps dégueulasse, rien de comparable. Pas même un sourire de satisfaction.

Entre écrabouiller un ennemi ou se réjouir de ses malheur, il y a le cosmos qui sépare culbuter de la feniaule rigolote et perverse ou se contenter de voler dans son bac à linge sale pour se parfumer la paluchade.

Assez de voir des salopards contrariés. Nous voulons les voir crucifiés à des panneaux publicitaires, ou ne rien voir du tout.

Je note que cet écoeurement ne concerne pas que les partisans d'une révolution racialiste sanguinaire. En vadrouille chez de la vague parenté d'ex-France ce vouiquaine, j'ai pu constater qu'absolument personne, sur une trentaine d'individus, n'a évoqué le sujet ni semblé s'y intéresser la moindre. Narine ou pas Narine, indifférence: la charcutaille et son arrosage primaient.

S'il faut à toute force trouver des "signes" encourageants n'importe où et n'importe comment, ce foutisme hédoniste fera bien mon affaire.

22/05/2014

NON-FAIT DIVERS

En Chuiche, si vous êtes une mauvaise personne, il ne vous est pas encore très formellement interdit d'être poli et de dire bonjour aux copaings. Ca tire des larmes de reconnaissance et des gouttes d'espoir au bout du zboub.

Si on résume, des gens dont l'expression publique des convictions tombe sous le coup de la loi, dont la propagande même minime et discrète a un effet émétique immédiat sur tout ce qui se prétend vaguement intellectuel, dont les groupuscules n'ont pas d'existence officielle, qui doivent (comme les tarlouzes) se donner des rendez-vous sur des aires d'autoroutes...

... ont reçu du TF une certaine latitude pour positionner l'un de leurs bras à un certain angle par rapport au corps.

Démocratie directe, exemple pour l'Europe, toussa.

Le seul à exprimer un avis un peu décent sur ce pet foireux du Spectacle est l'archidouteux Brûlechaise, qui déclare n'en avoir rien à foutre. Les loques morales pour qui cette dhimmitude anatomique constitue une "banalisation" confondent les pastèques et les grains de raisin, et devraient s'en faire indifféremment placer dans le fondement par paquets de quinze.

Après tout, faire une différence entre ce qui est manifestement différent, ils n'aiment pas ça.

19/05/2014

BOMBE HUMAINE CHERCHE MECHE

Nous ne sommes pas admis au débat ; quand certains de nos vagues alliés le sont, ils doivent châtrer leur vocabulaire, réduire leurs exigences, donner des gages à l'Ennemi. Tous nos objectifs sont hors-la-loi, de même que le discours qui les défend et permet de les planifier. Nous n'avons pas de relais sérieux dans le monde parlementaire, nous ne comptons que des ennemis dans le monde médiatique, le marché nous est hostile parce que nous refusons sa version ethnocidaire de la libre circulation des personnes, toutes les églises nous jugent immoraux et belliqueux. 

Face à ce barrage absolu, nous n'avons que des mots dont la diffusion est confidentielle, n'attirant que les gens à la base bien intentionnés à notre égard ou rôdant dans nos parages pour de mauvaises raisons.

Aux hérauts de l'Ennemi, dont la propagande est relayée en flots fécaux continus par les plus grands canaux d'information, ne répondent que des voix radicales très isolées. La guerre de ré/contre-information et de libre choix d'une autre optique que celle du Système est déjà perdue parce que notre légitime défense est considérée a priori comme une agression aveugle, obscurantiste, gratuite, pathologique. 

Pourquoi continuer à écrire et parler ? Il vaudrait mieux faire taire les grandes gueules d'en-face, leur inspirer enfin plus de terreur que de dégoût, leur gâcher les heures d'éveil plus que le sommeil.

Aucun argument moral ne tient contre l'idée de donner l'assaut aux chiennasses putrides qui nous salissent impunément depuis au moins un demi-siècle. C'est l'état misérable des troupes, logistique et psychologioque, qui s'y oppose.

Nous n'en avons actuellement pas les moyens physiques. Mais d'un point de vue philosophique, historique, culturel, politique au sens non-institutionnel du terme, la mesure est comble depuis longtemps, et les dieux du massacres sont affamés.

Ce n'est pas mytho de le reconnaître et l'affirmer. Mais ça ne transforme personne en un boucher efficace, ceux qui tiennent ce discours moins encore que quiconque. En m'y laissant aller, je me fais l'équivalent du tétraplégique qui rêve de course à pied. On ne me reprochera pas de le nier ou de m'aveugler sur ce point, bien aimable.

*

Nous savons, constatons tous les jours, que beaucoup de nos contemporains ne gobent la propagande autogénocidaire qu'avec une grimace de dégoût résignée. Nous savons qu'à l'abri des sanctions immédiates (pénales, médiatiques, professionnelles, voire familiales), Monsieur Moyen ne se prive pas de râler contre le puritanisme qui le vise expressément et le force au silence humilié. Son enthousiasme face au cirque funèbre ambiant vaut l'adhésion du zek de base au stalinisme. 

Nous voyons chaque jour l'arrogance extraordinaire, la gonflitude olympique de l'élite des corrupteurs, qui se prend pour la maîtresse d'école de toute la planète, et ne tremble jamais ni pour sa sécurité physique, ni pour son salaire, ni pour sa réputation, si longtemps qu'elle fellationne la bite du dieu noir de la Diversité avec assez de rapacité putassière. 

Nous savons que l'époque se berce de l'illusion d'avoir vaincu le ouacisme blanc, le seul qui lui importe, n'ayant plus qu'à lutter pour résorber ses ultimes poches de très futile résistance.

Elle croit avoir l'Histoire, la Morale et la Science de son côté, alors que c'est triplement faux : 

- l'Histoire n'a jamais nié la noblesse, l'importance et la valeur du sang, de la lignée, de l'appartenance clanique, de la loyauté tribale. Elle n'est même que cela, avec ça et là, émergeant comme des monstruosités choquantes, des mégalomanes convaincus de pouvoir faire disparaître cette donnée intemporelle et intangible du parcours de l'humanité.

- la Morale, la seule qui vaille, postule que l'homme est assez grand pour que personne ne vienne lui casser les couilles avec des abstractions théologiques qui pourrissent son quotidien en échange d'une hypothétique réincarnation dans un monde meilleur. Ce que nous vendent les métisseurs, c'est un enfer librement choisi dans l'espoir d'un paradis qui n'est avenu nulle part où on ne leur a pas opposé un barrage de feu. 

- la Science, mutilée, falsifiée, Corrigée, tronquée, prostituée, s'autodétruit du moment qu'on lui interdit de ranger les êtres et les choses en CATEGORIES DISTINCTES DOTEES DE CARACTERISTIQUES PROPRES. Son essence même est de diviser, de ranger par affnités, d'énoncer les incompatibilités et les attirances spontanées. Lorsqu'il sera ouaciste d'estimer inégaux un homme et une blatte, ce ne sera qu'une posture puritaine supplémentaire: la biologie ne variera pas d'un brin d'ADN et les chiens continueront de ne pas faire de  chats. 

 

*

 

Enoncer ces vérités redonne de la vigueur à notre dignité de patriotes sans patries, et réchauffe un peu le coeur de qui avait perdu tout espoir de les entendre en-dehors de sa propre tête. Mais pour des effets concrets, pour une quelconque évolution des mentalités, pour la moindre participation aux débats autorisés, b e r n i q u e.

Ce que nous savons est illégal et immoral. Sous l'empire du Spectacle et de la Correction, la vérité factuelle n'a ni valeur ni importance. Ce qui est doit s'incliner devant ce qui devrait être. Si la Réalité est laide, qu'elle s'efface devant le Rêve.

Nos exterminateurs ont la délicieuse candeur de ne pas même s'en cacher : depuis deux générations bientôt, ils justifient leurs abjectes entreprises au nom de "l'imagination au pouvoir", ils s'échinent à nous "demander l'impossible" parce que c'est "raisonnable", etc. 

*

Calmosse au fond de la salle : je SAIS que la rhétorique soixante-huitarde a été détournée par les publicitaires et que personne ne lui a jamais véritablement permis de prendre corps. Quelle différence? Notre taule est décorée des slogans de nos parents et grand-parents hippies. Que ses gardiens pratiquent ou non ce qu'ils prêchent ne change pas grand-chose à notre quotidien carcéral.

Le régime de la goinfrerie et de l'usure généralisée se gargarise de patchouli, de bus VW, de faux retour à l'Eden primitif. On ne nous y parle pas de rectitude, de loyauté, de mérite, d'abnégation: nous avons toujours été bercés avec de pieux et fort gauchistes mensonges à base d'unification du monde, d'ignorance de l'apparence physique, de compassion pour les perdants et de méfiance envers toute forme de succès.

Je suis d'une génération, et je prie bien de croire que je n'exagère que dalle sur ce point-là, à qui on a appris à suffoquer d'espoir et de reconnaissance au spectacle d'une blonde tripotée par un nègue. Cet infâme et très scandaleux romantisme de la dégénérescence planifiée tient toujours le même rôle central dans la liturgie moderne. 

La droite d'affaire fait mine de n'y toucher que du bout des lèvres, la gauche suicidaire traite de nazi quiconque ne perd pas sa voix à en hurler les versets. Ca n'y change rien: personne n'en remet en question le bien-fondé, la désirabilité, la beauté, la nécessité.

Nous n'assistons qu'à une querelle inepte entre végétariens modérés et végétaliens extrémistes. Bouffeurs de viande, prière d'aller se faire rééduquer avant de participer à la discussion sérieuse des adultes responsables. 

*

Encore une fois : énoncer ces platitudes révoltantes n'a pas d'effets plus remarquables que d'augmenter l'acidité gastrique d'un sursocialisé qui les entend sans avoir été prévenu.

Gâcher la digestion d'un bolchevik est un plaisir de dandy raffiné, délectable parce que stérile. Alors que c'est lui broyer les tripes à vif qui serait utile, nécessaire et urgent. 

Nos ennemis sont parvenus à faire passer tout discours autre que le leur pour une forme vicieuse et explosive de haine, pour l'archétype théorique de la violence pure, animale, insensée, d'autant plus dégueulasse qu'elle serait à la fois fratricide (diviser la classe ouvrière) et vénale (consolider le pouvoir de la Banque, nécessairement soutenu par le Sabre et le Goupillon).

Les réacs ont accepté cette définition du terrain et des règles du jeu, et ont passé le dernier demi-siècle à réfuter, point par point, dans le silence du plus grand mépris de leurs interlocuteurs, les accusations de bellicisme portés à leur encontre.

Paniquée à l'idée de correspondre à la caricature qu'ils font d'elle, la droite se vautre décennie à leurs pieds après décennie, se peinturlurant la gueule en rose, se collant de la peluche soyeuse sur la couenne, karaokant du Chantal Goya pour bien démontrer qu'elle a toute sa place au sein de la bonne société, qui a quand même besoin, morbleu ! d'un peu d'ordre et d'organisation au sein de tout ce foutoir libertaire !

Elle croit, en parlant de devoirs d'une voix douce, remplir son rôle de contrepied aux meuglées grotesques de la secte des Droits universels. Elle accepte avec une pauvre dignité bafouée sa fonction de  Gendarme du théâtre Guignol démocratique. Face à des salopards décidés à briser toutes les lois nécessaires à imposer leur dictature, (tout en expliquant bien sûr que le ouacisme n'es pas une opinion mais "un délit")elle se pique de légalisme, de respect scrupuleux des règlements, s'invente une nouvelle virilité boostée à coups d'ordonnances et de décrets municipaux. Elle pense gagner du terrain en se "démythonisant", en se polissant, en expurgeant de ses gestes et son verbe toute trace d'emphase guerrière, toute tentation de méthodes expéditives. 

 

*

 

L'idée même de la violence en tant qu'outil politique est donc évacuée des causeries entre gens adultes et vaccinés. Il apparaît proprement impensable qu'il y a moins d'un siècle, des lecteurs d'un journal conservateur aient pu prendre d'assaut les bureaux d'un papier progressiste pour y exprimer leur mécontentement. De nos jours civilisés et pacifiques, c'est à peine si l'on espère qu'un commentaire agacé survive au censeur d'une page de site ouaibe. 

La trouille droitière de la violence n'a pourtant pas lieu d'être. Nos ennemis mortels, eux qui ne font pas mystère de leurs projets d'engoulaguement, de reprogrammation, de mise en quarantaine, de Kärscher Citoyen, ne se privent pas du langage le plus outrancier. Ils ne rechignent pas à côtoyer des désaxés qui prennent prétexte de leurs tracts pour commettre des déprédations ou des agressions. 

Personne de présentable ne s'est risqué à criminaliser l'essence même de la gauche mondialiste à partir des agissements du Black Block. Détruire la propriété privée d'une entreprise aux noms d'idéaux extrêmes est très présentable s'il s'agit de Faucheurs Volontaires, par exemple. Même silence radio général quand des zantifas saccagent un bar pour prévenir une soirée goth mollement mytho-friendly, ou quand RBN part en flammes.

De quoi avez-vous peur, messieurs les réactionnaires ? De plus d'aboiements que ce que vous récoltez avec votre prudence et votre silence habituels?

Aux yeux des sales gueules qui vous englairent la figure, vous serez toujours L'ENNEMI.

Cessez donc de traiter en simples ADVERSAIRES des gens qui rêvent ouvertement de vous cogner, de vous rééduquer, de ne rien respecter qui vous soit propre. Etre courtois et loyal envers qui vous fait des coups de pute, ce n'est pas être droit et noble, c'est agir comme un putain de couillon. 

La violence verbale, intellectuelle et physique devra tôt ou tard être repensée. Il faudra l'approcher avec le même intérêt, la même curiosité et la même prudence scientifique que n'importe quel autre sujet de société.

Nous ne sommes pas dans une situation calme où toutes les opinions peuvent librement s'exprimer et toutes les associations se contracter librement. Tout ce qui sape l'identité des Occidentaux de souche est soutenu, tout ce qui s'y oppose combattu, tout ce qui ne choisit pas clairement son camp soumis aux pires pressions.

Les rues ne sont pas à feu et à sang ? Notre quotidien ne ressemble ni à Weimar ni à Chicago ? C'est le style qui a changé, pas les effets à long terme.  

Crever pendu tout nu à un lampadaire en plein hiver, ou asphyxié dans sa bagnole chauffée en écoutant du Mozart, ça ne diffère que sur la forme - côté fond, tu crèves pareil, et se défendre comme un clebs enragé est la seule option imaginable. 

Plus facile à dire qu'à faire ? 

Ganz korrekt. Moi qui écris ceci, je n'ai pas de cicatrices du guerre à étaler pour prouver que je vis selon mes sanguinaires préceptes.

Je suis comme tout le monde, je suis comme toi, paumé qui a l'endurance de me lire encore: esclave, comateux, humilié, dépendant, sans défense, rongé par ce que je hais.

Moi aussi, j'ai fermé ma gueule en certaines occasions où j'aurais dû ne pas le faire. Je ne suis pas un modèle. Je ne suis pas un prophète. Je suis un connard anonyme sans importance qui hurle les choses qu'il voudrait entendre dire par des gens plus forts, plus nobles, plus intelligents, plus utiles que lui. Quand je vois ce qu'ils deviennent facilement, épaves solitaires ou rentiers de leur propre gloire minuscule, je m'en veux un peu moins de mon casier judiciaire tout blanc. 

La décence devrait m'imposer le silence, mais je ne crois pas que nous ayons encore vraiment les moyens de cette décence.

Je crois que nous avons été beaucoup trop gentils, trop patients, trop bien élevés, trop bien déstructurés, trop bien reprogrammés, trop bien accoutumés à recevoir sans broncher les gifles, les vexations et les privations incompréhensibles. 

Je crois que notre seul accès à la reconquête de notre propre droiture est de devenir pour nos fils les pères que nous n'avons pas eus, puis d'appliquer avec joie la méthode Kaczynski-Breivik.

16/05/2014

DU BLEU APRES LE POURPRE

05/05/2014

TECHNIQUE

Lorsque ces scientifiques, ces prix Nobel parlent (de façon combien vague!) du "bonheur" pour l'homme, cela s'entend bien évidemment de la situation où l'homme n'est plus en désaccord avec son milieu, où il n'y a plus de points de rupture, de confrontations, de conflits, puisque très communément le bonheur est encore aujourd'hui considéré comme justement cette heureuse concordance. Mais le milieu est uniquement le milieu technicien. Il s'agit de rendre l'homme heureux en diminuant sa difficulté à vivre dans ce système: lequel n'est évidemment pas remis en question, et je dis bien, par personne, ni par la contre-culture, ni par les hippies, ni par la brillante jeunesse contestataire et anti-consommation ! Parce que pour le remettre en question, il faut commencer par le concevoir en tant que système, ce n'est pas le remplacement du whisky capitaliste par du LSD, ni le refus du spectacle d'Hollywood par le cinéma underground qui changent quoi que ce soit ! Ce n'est pas l'explosion sensualiste, irrationnelle qui ébranle si peu le système en tant que tel !

Jacques Ellul, Le système technicien, 1977, p.266