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31/03/2015

SOUS NOS MONTS, Y A PAS D'SOLEIL

Le citoyen chuiche est consulté quant aux paroles "modernes" d'un "nouvel" hymne "national" (plus de guillemets avant le prochain billet). Voyez si les essais vous amusent vaguement, moi je n'ai même pas essayé, c'est au-delà de mon endurance.

Je signale juste que l'original, qu'on se propose d'ainsi mettre au non-goût du jour, était à la base un chant d'église - d'où le terme de Cantique, hein. Ainsi que la pompeuse lenteur et la sucrosité insoutenable de la mélodie, bien faite pour que le plus pogol des membres de l'assemblée du dimanche arrive à suivre.

Si les paroles de la Marseillaise heurtent le Charlitoyen par leurs appels à la violence xaineaupheaubes, celles dudit Cantique ne causent pratiquement QUE de Dieu. Ô surprise. La Nation, c'est le truc évoqué ça et là, qui tremble dans la nuit et qu'est trop content de savoir que Jehovah se préoccupe d'elle.

Alors qu'une poignée d'allumés aux tripes confites dans du sirop se pique de ravaler cette abjecte façade avec un texte encore plus niais, plaqué sur la même indigeste musiquette... Comment vous résumer ça ? Disons que c'est vraiment très intéressant

De toute façon, rien ne dépasse l'hymne camerounais :


 

Sauf peut-être celui du Qatar:


22/03/2015

GO FISK YOURSELF

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Il n'y a pas que leur Correction systématique qui rend les journalopes haïssables. Ca, à la limite, on comprend, on pardonne, on voit bien le côté "cahier des charges", l'obligation professionnelle de participer au ronron putride général, même si on n'en pense pas moins... C'est le style journalistique lui-même est à gerber. De l'aridité factuelle dans le meilleur des cas, des clichés à la pelle à neige, un jeu de mots à la con dans le titre, un coup de timbreuse et retour à la maison. A vous dégoûter de la lecture sous prétexte d'une objectivité à laquelle ils se soumettent rarement, et dont les moins malhonnêtes confient discrètement douter de la simple possibilité.

Quand j'écume les bouquinistes que je connais ou que j'en découvre un nouveau, je zappe volontiers tout ouvrage dont la notice biographique signale que l'auteur a bossé pour un baveux. Pourquoi ce filtre n'a pas fonctionné avec Robert Fisk ? Abîmes et arcanes. Je me farcis son éléphantesque Grande Guerre pour la Civilisation depuis quelques semaines, en retrouvant presque le souffle impérial de Benoist-Méchin. Ils s'y sont mis à plusieurs et on comprend pourquoi: plaisir supplémentaire, c'est traduit aux petits oignons. 

21/03/2015

POUR FAIRE COURT

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19/03/2015

OUI, ET APRÈS ?

La survie réelle, c’est-à-dire la continuité de notre substance biologique est la condition réelle de notre indépendance. Si l’Hexagone du XXe s. doit être un campement multiracial, son indépendance ne nous fait ni chaud, ni froid. Même si un rectangle d’étoffe bleu-blanc-rouge y flotte le 14 juillet sur des grouillements colorés, un caravansérail n’est pas une patrie

Salutaire rappel chez Zentropa.

Qui pose quelques problèmes, aussi colossaux qu'élémentaires:

Même si ta mère est une traînée et que tu réprouves profondément le putanat, qu'elle gagne ou non sa croûte avec son cul ne fait pas de toi un orphelin. Elle reste ta mère. Fais-moi croire que tu vas sans bouger la laisser se faire démonter la gueule dans la rue par le premier tordu qui passe.

Si le moindre bout d'Occident devient un souk obscène et polychrome, que proposent les successeurs idéologiques de Gilles Fournier ? Un aller simple pour Orania ? Un poste d'infirmier bénévole au bataillon Azov ?

Si tout est foutu, quelle autre option que le suicide, même dans l'optique de ramasser au passage le plus grand nombre de salopards possibles ? Comment continue-t-on, puisqu'il faut bien survivre, pour transmettre ce qui peut l'être ?

Cette admirable radicalité d'il y a un demi-siècle, comment tu fais pour l'appliquer concrètement, ici, maintenant, avec les moyens du bord ?

Je ne fais pas mon malin, je pose sincèrement la question.

Entre le renoncement barbouillé d'anesthésique (trahir en tout sauf en parlottes) et une sociopathie à slogans qui vous fait ressembler à n'importe quel punk à chien même sans dreads, le chemin est foutrement étroit. Je m'en suis foutu allègre pendant des lustres, de ça et de pratiquement tout en fait, mais maintenant que l'Héritier du Trône commence à m'engourdir la comprenette avec ses rafales de "pourquoi?", les déluges de pinard ne suffisent plus à endormir mon "comment?", ce seul et horrible "comment?" qui revient comme un mouvement perpétuel entre les oreilles.

Plus le droit moral de se foutre en l'air aussi vite que possible, sans que se préserver tout bêtement ne soit admissible, puisque ça suppose la corruption, la soumission, l'acceptation pleine et entière de la crasse, de la bassesse, de la vomissure institutionnalisée sur tout ce qui demeure d'un peu sacré et non-négociable.

Seul, c'est étonnant comme, de facto, on en vient gentiment à pourrir sur pattes, à alterner entre les crampes qui se pétrifient et la liquéfaction de ce qu'on pensait éternel. Dans toute sa joyeuse brutalité, la marmaille vous renvoie dans la gueule vos décennies d'échecs, de demi-mesures, de mauvaises décisions et leurs conséquences interminables - l'héritage qu'il faudra présenter un jour en faisant bonne figure, la seule option pour sauver la face étant peut-être de jouer au gros con qui n'a rien compris au film.

C'est peut-être par là qu'il faut commencer pour tout régler, en fait : ne rien savoir, ne rien comprendre. Si je me rappelle bien, c'est plus ou moins ce que Nietzsche recommande pour atteindre un but visé: "la volonté d'être stupide".

16/03/2015

PAS EXACTEMENT LE TORCHE-MICHES DU MÊME NOM

12/03/2015

DE L'UTILITÉ TRÈS RELATIVE DE LA PROPAGANDE

Précision sémantique importante: n'oublions pas que la propagande est toujours ce que raconte l'ennemi. Notre propre propagande n'en est pas, la contre-information, la ré-information. Si je ne m'abuse, "Pravda", en français, veut dire "vérité". Je crois que ça clôt le débat.

A ma gauche, la version SimpleMindesque d'une compo de l'inégal Peter Gabriel, en hommage à une icône afrobolcho de la Correction Politique. Musicalement, c'est ample, un vrai hymne qui, si vous êtes un tant soit peu honnête avec vous-même, a de la gueule, tout particulièrement quand on boit de la bière avec de vrais potes.

Voilà pour la forme. Pour le fond ? Qui, mais qui putain ! a encore quelque chose à secouer de l'ami Steven, qui sait seulement qui il a été et ce dont ses martyrologues le créditent ? Que pouic. J'ai découvert la chose peu avant la vingtaine, immédiatement amoureux de la combinaison entre percus martiales et mélodie des cornemuses, et ça n'a pas spécialement bloqué le germination des graines d'adolfisme dans ma pauvre caboche. Quant à ceux, non adolfisés, qui l'écoutent encore avec un vrai plaisir, je doute fortement qu'ils lèvent un poing ganté de noir en pensant aux cachots de Pretoria. Si ça a pu mobiliser quelques toubabs déjà très bien disposés à la trahison ethnoculturelle à l'époque, la charge militante du truc s'est volatilisée depuis. N'en reste qu'une chanson qu'on aime ou n'aime pas, pour peu seulement qu'on l'ait jamais entendue à la radio ou a bistrot ces vingt dernières années.

A ma droite, la seule chanson de Lynyrd Skynyrd que connaissent tous les topios aussi antiouacistes que leurs grands-parents étaient respectueux des préfets et des curés, groupe sudiste dans tous les sens du terme, et qui a composé ce Sweet Home Alabama en réponse à un autre groupe qui chiait sur le pays et dont les connaisseurs les plus pointus ont oublié jusqu'au nom. (MAJ: on me dit dans les commentaires qu'il s'agit en fait du marmonneur folkeux Neil Young)

Ce classique des soirées vaguement rock, succès immédiat auprès d'une foule qui ne danse sur du ipeaupe que parce qu'il n'y a vraiment rien d'autre, ne provoque pas l'apparition subite de cagoules en taies d'oreiller, ni la mise à feu de crucifix à taille humaine, ni d'incontrôlables pulsions de lynchages chez le Charlitoyen ordinaire - tout juste un dandinement du cul aussi maladroit que sincère, et la gueulante au refrain d'absolument tout le monde pour au moins les trois premiers mots, parce que c'est facile et que ça sonne bien.

Quand elle passe dans les baffles, même la pauvre conne qui tique ou quitte la pièce quand elle vous entend dire "nègre" rejoint l'idiote cohorte des danseurs comateux et lève son mojito au ciel aux moments opportuns, avec une la meilleure conscience possible.

Ce que ça change ? J'hésite entre "mouairf" et "groumph". Passons donc à autre chose, comme par exemple un groupe assez clairement chrétien, dont une majorité d'amateurs n'a jamais bouffé d'hostie de sa vie.

RETOUR DE MANIVELLE

It’s uncomfortable for liberal Jews to admit that the massive immigration they’ve backed so viscerally is destabilizing the America in which they’ve attained such a central role. They’d rather continue to portray themselves as unprivileged outsiders, a strategy that has worked well with American gentiles. But with about one-third of American billionaires and about one-sixth of global billionaires being Jewish, it’s not a marketing tactic that’s very convincing, perhaps especially to recent immigrants, who typically come from much less pro-Semitic cultures than America. (The ADL recently announced that over a billion foreigners were anti-Semites; but the organization still supports heavy immigration to America from anti-Semitic cultures for reasons of nostalgia, and perhaps to make work for itself in the future.)

Le début et la suite chez Taki

11/03/2015

INSECTES NÉCROPHAGES

Histoire et tradition des Européens , 30000 ans d'identité

Dominique Venner (Auteur) - Etude (broché). Paru en 02/2002

 

 

 
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Occasion En Stock Vendu par LibrairieRennes

 
 
Tristes putes.

08/03/2015

COMMENT TU CAUSES

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Si la notion de "vivre ensemble" vous écorche la bouche autant qu'elle vous viole l'esprit, ARRÊTEZ de parler "du politiquement correct" pour évoquer la correction politique.

Bordel de dieu.

Après, si la diversité, la mixité, l'ouverture et le progrès représentent pour vous autre chose que des abstractions académiques qu'une inclusion dans la conversation quotidienne transforme en escroqueries intellectuelles, continuez "sans autre".

07/03/2015

UN PROBLÈME INTERNE

Le métissage est un problème. La trahison raciale en est un autre, distinct. Le premier peut représenter une conséquence directe du premier, sans l'être systématiquement. Quant au second, il peut se produire dans un parfait contexte d'homogénéité ethnique.

Les toubabs qui choisissent la voie de la bâtardises méprisent ou oublient leurs propres racines. Ceux qui s'en félicitent glorifient la trahison en tant que telle, déguisant le crime en une grande avancée, un phénomène s'inscrivant dans le sens qu'ils ont prescrit à l'Histoire. Mais ils se foutent que l'Afrique devienne plus blanche ou l'Asie plus brune: tout ce qui leur importe est de noircir l'Europe. Ils ne croient même pas aux abstractions de leur propre discours: ils veulent un monde moins blanc, point final. Le reste ? Branlette.

Dans les deux cas, l'apport métèque n'est que secondaire. Il ne joue le rôle dominant qu'à la surface des choses, leur apparence spectaculaire. Comme dans le SM, c'est la victime qui mène vraiment le bal.

Il en découle que la crise identitaire européenne est - faut-il s'excuser d'énoncer les évidences quand on les lit si rarement, où qu'on regarde ? - un problème de Blancs, qui ne concerne qu'eux. Et si nous voulons le régler, c'est sur les Blancs qu'il faut agir, et pas uniquement en pensant "réveiller" ceux d'entre eux qu'on croit "endormi", mais en hâtant le long, très long sommeil de ceux qui, par leurs actes ou leurs paroles, ont choisi le camp ennemi.

Comme quoi le nettoyage ethnique, bien loin d'être la persécution généralisée des Pauvres Différents, c'est plutôt un truc à usage interne.