28/02/2010
CHICHE ENCORE ET TOUJOURS
08:47 | Lien permanent | Commentaires (1)
27/02/2010
REALECONOMIK
Alors d’accord. Je ne pleurniche plus derrière mon clavier. Je prends mon destin en main. J’arrête de crachouiller lâchement sur les efforts de ceux qui prennent des risques sur le terrain. Je sors du bois, je vais me faire assermenter à la prochaine séance du Conseil local.
Une fois que c’est fait :
-Quelle décision je peux prendre pour empêcher que des marchands de sandouiches chauds remplacent du bacon par de la dinde ?
-Quelle sera ma marge de manœuvre pour désintoxiquer la jeunesse de son addiction au porno, au shit disponible à chaque coin de bistrot, aux bénefs basés sur du vent, aux référents culturels afro-yanquis ?
-Avec quels outils légaux je vais barrer la route aux hypermarchés qui importent des fraises de Thaïlande en février ?
-Quelle loi d’exception me permettra de réduire au silence la presse des collabos, des mixolâtres, des pédécrates, des autogénocidaires ?
-Comment je contrains à obéir les multinationales qui, pour m’asphyxier, n’auront qu’à menacer de délocaliser massivement et de retirer leurs avoirs du pays ?
Pour faire court : avec quelles armes légales et légitimes je vais combattre la Machine économique planétaire, qui se fout éperdument de ce que pense le monde politique, parce qu’il le tient par les roubignoles ?
Un dévouement militant aveugle et suicidaire ne suffira JAMAIS. Il peut suffire à monter ça et là quelques squats sur le modèle de ce que les altermélangeurs ont obtenu ces dernières décennies. Et qui sont tolérés parce qu’il est plus pratique d’avoir tout les crasseux au même endroit, le jour où l’on veut raser leurs ruines pour y construire une supérette-EMS-tabac-multiplex. Pour peu que l’on se fasse discrets, que l’on se cantonne à notre version du cirque de rue, la Machine n’aura jamais d’objection sérieuse à ce que l’on s’enferme dans notre propre secte. Tout mouvement spontané qui se fédère en organisation devient rapidement une microbureaucratie où règne la discipline de pensée, l’uniformité de la subversion javelisée, la rage d’accroître puis de conserver de minuscules prérogatives, le combat permanent des sous-chefs de rayon doctrinaires.
Le « Milieu » qui échappe à cette sclérose castratrice n’a pas d’autre choix que de devenir un parti. De ce moment, toutes ses énergies seront consacrées à entrer au conseil local, puis régional, avant de viser le parlement national. Arrivé à ce stade, il pourra tenter de constituer une gêne pour les projets gouvernementaux les plus haïssables, voire rêver de le renverser par les urnes. Mais qu’il reste au stade d’opposant-croupion ou qu’il prenne le pouvoir, il restera assujetti à la seule vraie loi : celle du Marché. De toute manière, plus il gagne en puissance, plus il se lisse, renie sa colère originelle, se fourvoie dans des alliances contre-nature qui l’empêchent de nuire à tout jamais. Selon qu’il incline à gauche ou à droite, il finira par courtiser les puissances de l’argent, ou par envoyer sa valetaille jouer du tam-tam contre les barbelés de leurs raouts annuels.
Le seul engagement susceptible de lui faire gagner le moindre pouvoir concret n’est pas au sein du monde politique, même clandestin. On en revient, encore, toujours, inexorablement, à Céline : « Pas d’or, pas de révolution. » Il lui faut jouer à l’Euromillion en équipes de vingt, boursicoter avec des pros, monter des arnaques sophistiquées, racketter des marabouts (idée soufflée par Kapo et qui me trotte toujours en tête des lustres plus tard…), braquer des banques, va savoir quoi mais FAIRE FORTUNE.
L’idéal de monsieur Fifty Cent, parfaitement.
Il n’y a qu’une masse de pognon délirante qui nous permettrait d’être au-dessus des lois, de détruire économiquement les entreprises participant à l’ethnocide, de neutraliser discrètement les membres des conseils d’administration les plus influents, par l’action directe, le chantage, l’enlèvement, que sais-je encore.
Pas d’or, pas de révolution. Voilà très exactement où nous en sommes, si l’on veut causer Realpolitik.
05:27 Publié dans Autopsie de la Dissidence | Lien permanent | Commentaires (8)
23/02/2010
404 NOT FOUND
Je présente mes excuses aux malheureux qui ont débarqué ici en tapant :
scato sordides=photos
soldates black encules
C'est sûr qu'il y a ici tout plein de trucs nauséabonds, cradoques et de nature à révulser un Citoyen, mais ce n'est sans doute pas ce que vous cherchiez.
11:26 Publié dans De quoi j'me merde ?, De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (5)
A PROPOS DU RECHAUFFISME
... et de son rejet unilatéral qui fait le jeu de la machine à concasser les cultures. Pompé sur Corrupt.org et traduit à la truelle :
Tout d’abord, nous avons vu la théorie du réchauffement climatique devenir une religion dogmatique, avec l’Europe à l’avant-garde de la lutte contre la pollution. Le capitalisme industriel était le Mal, les taxes écolos et les tampons recyclables étaient sexy. Mais maintenant, la foule commence à changer d’avis. Il devient de plus en plus banal d’afficher son scepticisme. Il n’est pas surprenant que l’Amérique soit la première à remettre le dogme en question :
Selon un récent sondage, seule la base Démocrate (35%) estime que le changement climatique est d’origine humaine, plutôt qu’un phénomène naturel cyclique. En tout, on compterait presque une moitié de sceptiques parmi l'électorat (47%).
Ce retour de manivelle s’explique en partie par les récentes falsifications de preuves et des méthodes scientifiques contestables. Les gens se rendent peu à peu à l’évidence que la science n’est pas pure : elle est toujours mêlée à la politique. Et voilà ce qu'on obtient quand des chercheurs estiment plus important d’accroître leur influence politique et leurs sources de financements que de découvrir la vérité : de la science bidon pour des abrutis qui veulent avant tout se plaindre de la façon dont la planète va crever. Rangez vos mouchoirs : ça n’est pas prêt d’arriver.
Mais la stupidité dogmatique (*) ne s’arrête pas là. La montée du scepticisme climatique doit nous inciter à poser toujours la même question : est-ce là toute la vérité, ou est-ce encore de la propagande pure et simple ? On peut affirmer sans risque que les deux camps se plantent.
On trouve dans ce documentaire les principaux arguments des opposants à la théorie officielle. Or, ils ont déjà été discrédités et l’agenda politique qui les sous-tend a été clairement dévoilé : il s’agit de promouvoir l’industrialisation du Tiers-monde, la croissance économique sans frein, l’impuissance intrinsèque du gouvernement sur toute question environnementale.(…)
Il est légitime de remettre en question la religion verdâtre du réchauffement climatique, mais les Républicains n’ont qu’à moitié raison. C’est pour cela que nous sommes des conservateurs qui insistons tant sur l’idée même de conservation, afin de prendre en compte tous les éléments du problème. Il est clair que la communauté scientifique ne sait pas dans quelle mesure notre civilisation influence le climat ; mais il est inacceptable d’en conclure que nous ne devrions rien faire pour protéger notre environnement. Toutes les données sont formelles : nous sommes en train de saccager la planète, et ce, que l’on croie ou non à la théorie réchauffiste. C’est un génocide appliqué à l’ensemble du monde vivant.
Les sceptiques ne le comprennent pas, parce qu’ils cherchent surtout à se distancier de la plèbe et n’étudient que les facteurs économiques de la question. Leurs opposants se trompent tout autant, parce qu’ils sont obnubilés par leur image moraliste, et par les effets des problèmes environnementaux au lieu d’en observer les causes. De ce point de vue, les théories du complot sont aussi inutiles qu’une planification politique à l’échelle mondiale.
Les choses sont simples. En premier lieu, nous devons identifier les problèmes que nous avons créés, puis leur origine, à savoir la surpopulation urbaine et un style de vie insoutenable sur le long terme. Les autres facteurs n’ont aucune importance. Le réchauffement climatique peut être réel, ou n’être qu’un gigantesque mensonge inventé par les gauchistes pour nous écraser d’impôts. Dans les deux cas, nous sommes déconnectés du cycle écologique. Quand les gauchistes réaliseront que leurs taxes n’ont aucun effet sur l’expansion urbaine, et que les droitards penseront l’économie en termes d’impact sur l’environnement, l’écologie ne sera plus une question divisant la gauche et la droite. (…)
(*) Dans le texte original : « crowdism », qu’on pourrait vaguement traduire par « conformisme de masse » ou quelque chose de moins heureux encore. J’en ai retenu la signification essentielle, mais si un rosbiphone a une meilleure idée, je prends.
09:20 Publié dans Autopsie de la Dissidence | Lien permanent | Commentaires (4)
21/02/2010
FUKPIG
14:56 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (1)
20/02/2010
DANSER AU SON DES BRUITS DE BOUCHE
Le monde politique et médiatique a adopté le langage de l’hypermarché. On peut parler de droits ou de la liberté comme on parle – exemple parmi des centaines d’autres – d’ œufs frais :
« Les œufs sont dits «extra-frais» pendant 9 jours à partir de la date de ponte. »
Un : ce simple suffixe devrait déjà sonner comme une alarme aux oreilles un peu saines. Extra-frais ? Et pourquoi pas extra-comestible ? Un cadavre passé au hachoir, il devient extra-mort ? Le fait d’être leucoderme et ouaciste, ça me rend extra-Blanc ?
Deux : Je ne sais pas pour vous, mais ma conception de la fraîcheur s’arrête à 24 heures. Après plus d’une semaine, plus rien de ce qui se boit ou mange ne me paraît « frais. » Ce n’est pas que ça me pose un problème : des pâtes qui se conservent longtemps ou un fromage qui a explosé sa date limite de conso officielle, ça passe tout seul. C’est juste que je n’aime pas qu’on me raconte des conneries pour faciliter-l’acte-d’achat. Oui, je suis assez mal barré par les temps qui courent.
Tel produit trafiqué ? On aura le droit de le présenter comme « pur » jusqu’à 10% d’impuretés ajoutées. Une toquante dont toutes les pièces sortent de camps de travail chinetoque ? Tu peux coller « Swiss made » dessus si un frontalier a passé une journée à l’assembler en territoire helvète. Und so weiter. Même plus besoin de jouer sur les mots, il a suffi de faire passer des lois et des règlements qui autorisent les épiciers à leur donner chaque jour un sens nouveau.
Pourquoi foutre s’échinerait-on à utiliser des mots qui ne décrivent pas la réalité ? Parce que l’on sait que Monsieur Moyen, lui, s’attend à ce que la forme reflète le fond, plus ou moins fidèlement. Il veut que, quand on lui propose de la bière, on ne lui fourgue pas une panachée. Il veut que le contrat qu’il passe avec le marché ou l’Etat soit respecté par l’autre partie. Et c’est ainsi qu’il se fait baiser de toute éternité, et encore plus profondément de nos jours que jamais auparavant dans l’histoire connue. Symbole par excellence de cette arnaque planétaire : le label « bio ». Monsieur Moyen veut y voir la marque d’un produit naturel, sans produits chimiques, de chez un artisan respectueux du cycle des saisons ; ce qu’il achète, c’est juste du haut-de-gamme industriel, dont le fabricant na gagné le droit au prestigieux label qu’en respectant un cahier des charges adapté au rythme inhumain de la production de masse.
Avec ces banalités en tête, on voit un peu plus clairement le chemin qu’a pris la civilisation pour en arriver à notre situation : un monde où domine la paperasse, et donc l’écrit, mais où les mots n’ont plus de sens et ne sont plus reliés à aucune réalité fixe et tangible. Nos voisins d’ex-France ont eu un nouvel exemple de distorsion assumée des mots et de leur sens avec la dernière loi proposée par leur gouvernement : on cause plus de vidéosurveillance, mais de vidéoprotection.
Vous ne voulez pas avoir un microscope dans le cul ? C’est bien naturel ! Mais vous n’allez pas refuser qu’on vous mette à l’abri des singes à capuche, quand même ? Tous les balancer à la mer ? Vous n’y pensez pas ! Regarde bien leur code-barre : c’est bien écrit Made In France ! Vous avez une dent contre vos compatriotes et vos semblables ? Si, Monsieur, c’est du ouacisme, vous n’avez pas lu l’addendum de la dernière circulaire du sous-secrétariat à la gestion du bétail citoyen ? Et vous en êtes fier en plus ?!
Tout dire et son contraire, tout promettre sans jamais rien tenir ni payer pour haute trahison flagrante , en récidivant jusqu'à plus soif, voilà la liberté absolue, la marge de manœuvre sans fin du pouvoir parce que la langue qu’il parle n’a aucun sens. Les sons qu’il couine copient ceux qu’émettent les humains pour communiquer ou interagir, mais ils visent à polluer toute conversation et prévenir toute action collective qui n’a pas son visa ministériel. Derrière le brouillage, les débats truqués, les bisbilles soigneusement mises en scène entre faux ennemis qui fréquentent les mêmes partouzes, c'est la même armée de bureaucrates et de clônes, dont l'unique mission est de garantir que le gavage des masses se poursuive dans la bonne humeur.
Notre Policeman préféré a expliqué très bien tout ça en une seule image.
10:41 Publié dans La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (2)
ANGRY WHITE MALE
Tu lis ce genre de considérations, et tu te dis que c'est de l'archifouterie, que jamais les toubabs ne retrouveront la moindre colère et la moindre dignité, même pour descendre pacifiquement dans la rue et exiger qu'on cesse de leur marcher sur la gueule. Et puis tu tombes sur l'histoire de Joe Stack (signalée par Max) et tu te surprends à un élan d'espoir furibard.
J'entends déjà gueuler les putes et les collabos à la récupération abusive. Calmosse : le gaillard n'était clairement pas la réincarnation de Tim McVeigh, et son geste n'a pas la portée idéologique de l'action de Kaczynski. N'empêche. Il est revigorant de voir que des individus se décident à rendre coup pour coup à la Machine.
10:35 Publié dans La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (0)
LE VOTE ANTIMINARETS, DU OUACISME ?
Meuh non ! Simple question de sécurité des croyants.
Signalé par Fifi, pas sous son meilleur profil08:30 | Lien permanent | Commentaires (1)
17/02/2010
C'EST PAS L'HOMME QUI PREND LE POUVOIR...
... c'est le pouvoir qui prend l'homme.
Tous les révolutionnaires croient qu’il leur suffit de prendre le contrôle du Système pour que cessent ses nuisances. Ils envisagent la société comme un train qui déraille parce qu’il va trop vite, ou dans le mauvais sens, ou sous la direction d’un conducteur ivre-mort ; ils se croient capables de faire mieux, de changer l’abomination « de l’intérieur » - et à chaque fois qu’ils y mettent les pattes, ils en deviennent un rouage, avec mille excellentes raisons de trahir une intégrité originelle présentée alors comme une pureté de maniaque post-ado. A chaque fois, la même putain de rengaine : MOI, à la place de X au gouvernement, JE ne ferais pas les mêmes erreurs, JE serais intransigeant, JE ne me compromettrais avec aucune puissance occulte, JE n’aurais en tête que les intérêts du Vrai Peuple, et il suffirait qu’on ME laisse faire pour que tout commence à aller un peu mieux.
Vous pensez être réalistes et courageux en faisant le deuil de vos pulsions bestiales de vengeance sanglante ? En vous lançant dans une pénible, socialement dangereuse, économiquement précaire carrière de représentant du peuple ? FOUTAISES. Allez, va pour le courage, il en faut !
Comme il faut une remarquable souplesse, une puissance musculaire remarquable et une maîtrise de son corps au-dessus de la moyenne pour exécuter les acrobaties hip-hop les plus spectaculaires – sauf que ça reste du hip-hop, à savoir le degré moins douze du raffinement culturel.
Comme il faut une détermination incroyable et une résistance physique de demi-dieu pour survivre à l’enculade d’un cheval.
Comme la capacité d’ingurgiter sans vomir le caca de douze inconnus suppose une volonté d’acier dont pas un individu sur mille n’est capable.
Tout ça pour quoi ? Tant d’efforts, de rage de vaincre, de calculs infinitésimaux, pour quel résultat, à part peut-être un amendement mineur à un règlement communal ignoré du plus grand nombre ?
Que tu bandes dur ou mou, que tu aies pris trois ou huitante-huit doses de Viagra, que tu places ta foi en Jésus ou en Krishna, quand tu mets ta bite dans un mixer, ce qu’il te restera après coup ne te servira même plus à pisser.
Couillons idéalistes après couillons arrivistes, la machine bureaucratique déchiquète tous les prétendants qui s’imaginent pouvoir survivre au concassage pour leur minuscule conception du bien commun.
Chacun d’entre nous rêve au moins une fois par semaine de prendre le pouvoir pour s’attaquer enfin à ce qu’il estime être les « vrais » problèmes urgents. Alors que tout ce dont nous devrions rêver, c’est précisément que ce putain de pouvoir n’existe plus :
L’opinion, dans la mesure, très faible, où elle en prend conscience, se scandalise de l’arbitraire des bureaux. Mais parce qu’elle se scandalise, elle se contente de l’attribuer à la volonté de puissance de quelques individus ou d’une classe. Et ainsi lui échappe ce qu’il y a de profondément normal dans la tyrannie bureaucratique. Dans une civilisation de plus en plus complexe, la connaissance des faits devient le privilège d’une minorité de techniciens. Obéissant à des raisons qui ne peuvent qu’échapper à l’ignorance du vulgaire : celle du public et parfois du ministre, ils sont habitués à décider seuls. Il ne saurait être question pour deux de discuter ; car dans le monde où ils évoluent la sanction des faits est automatique, - du moins ils aiment à le croire. En eux s’incarne la nécessité des sociétés modernes ignorée par les idéologues du XVIIIe et du XIXe siècles. Ceux-ci avaient identifié la Science et le Progrès à la Démocratie, résolvant ainsi a priori le problème de leurs rapports. Alors, la Démocratie et le Progrès ont évolué chacun de leur côté : à l’une les belles formules des discours politiques, à l’autre l’action. Les constitutions libérales n’ont été qu’une façade de plus en plus artificiellement plaquée sur une tyrannie technocratique.
Charbonneau, L’Etat, p.101
16:57 | Lien permanent | Commentaires (3)
15/02/2010
JURISPRUDENCE YEYE
- Quand même, les séries policières françaises... Ils ont essayé de copier Les Experts mais ça ne fonctionne pas très bien... Je sais pas pourquoi... (dixit un parfait inconnu entendu aujourd'hui.)
Une réponse allégorique en deux images simples :
22:11 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (2)