Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/04/2010

DE LA SOCIOLOGIE A COUPS DE MARTEAU

<< Le désir de vengeance de la majorité silencieuse est tel que si le Pouvoir donne l’autorisation, il y aura des lynchages, des bavures, des meurtres.  Quand un môme de 12 ans insulte sa prof, on a tous envie de le corriger. Quand un autre la poignarde, c’est pire. Désormais, tout le monde se fout du contexte (famille monoparentale, chômage, banlieue, cité, exclusion, etc.), toute la bouillasse socialisante cucul la praline qui excuse tout.

Le temps de la sociologie est passé. >>

 

 

white-backlash.jpg

Toi veux lire beau texte ? Toi cliquer belle image.

27/04/2010

BUVEURS DE THE

Le bonheur d'un Beige à la Maison Blanche n'aurait pas été complet pour nos Boniches si elles n'avaient pu lui opposer quelques grincement de dents Rednecks. Le mouvement des Tea Parties attire donc sporadiquement leur attention, sur l'air du ouacisme qui revient en force au pays de l'Oncle Tom Sam. Et les ouacistes yanquis, ils en pensent quoi ? On peut demander à Jared Taylor :


The racial significance of attending a Tea Party is not much different from going to the opera or a Renaissance festival: Virtually everyone there is white, and most like it that way but would never admit it -- not even to themselves. Tea parties, just like opera companies, fret over their whiteness and claim to want to cure it.

Other more promising movements have come and gone without giving rise to ethno-nationalism. The militias and the Minuteman border patrols were far more likely than Tea Parties to attract racial free thinkers, but they never talked about race. Their leaders threw out anyone who did.


The Left detects “racism” whenever whites gather and for whatever reason: Tea Partiers, Daughters of the American Revolution, Republicans, suburbanites, country clubbers, NASCAR fans, etc. Some people even complain that Star Trek conventions are too white. What the Left is detecting is only its own propaganda; there is no racial consciousness in these groups. They are not a sign of ethnonationalism, nor will they be until their organizers and participants are prepared to say, “Yes, we’re white, and we like it that way.”

Le début et la suite

De l'autre côté de la barrière des espèces, on a visiblement une autre conception des loisirs urbains de masse...

26/04/2010

PROFANATEURS

Les pédalocrates, les post-bolchos, les promoteurs de tous les ouacismes sauf le blanc, tous les dégénérés de la gauche autogénocidaire ne renoncent toujours pas à l'ivresse usurpée de leur provocations éculées. Casser les codes, déprogrammer les comportements, échanger les rôles entre mâles et femelles, se faire plus nègre qu'un Senghor à capuche et verlan, voilà leur gloire, et ils s'enivrent de ces pauvres attaques contre ce qu'ils croient encore être la morale bourgeoise et l'ordre établi.

N'essayez pas de leur expliquer que le patriarcat sourcilleux et coincé du cul est mort depuis longtemps. Les plus cons ne vous entendront pas, les plus cyniques le savent pertinemment. Leur véritable nature est celle de charognards, de pillards de tombe. Ils sont des profanateurs et s'en félicitent depuis longtemps, depuis la guerre civile espagnole où les républicains raffinés déterraient des cadavres de bonnes soeurs pour les exposer contre les ruines des églises incendiées.

Bientôt un siècle plus tard, ils n'ont pas changé de mentalité. Ils ne défient pas un Goliath néolibéral tout-puissant, qui chercherait à les normaliser pour le bien du Marché : ils sont l'équivalent activiste des têtes de bite qui vont renverser des stèles et taguer des slogans analphabètes sur des sépultures. C'est en cela qu'ils ne sont pas même des ennemis, mais de la vermine. Nous ne sommes que trop généreux de leur vouer une haine franche et sanguinaire, parce qu'ils n'en sont pas dignes. Le fou d'Allah crasseux et halluciné qui appelle à nous égorger au nom du Coran est plus noble et plus respectable qu'eux tous réunis.

 

invasionprofanaff.jpg

22/04/2010

SWISS JOURNALOPES AWARDS: AND THE WINNER IS...

 

hookers.jpg

 

Journaleux parigots ! Vous pensiez encore que la Chuiche était une vague province où l'on cause un français approximatif et où l'on s'épuise à en vain vous suivre dans vos courbettes à l'envahisseur ? Vous l'avez dans le cul ! L'honneur du journaliste romand est définitivement lavé avec ceci.


Yes we can ! Oui, nous pouvons être encore plus obséquieux que vous, encore plus bouffis de mauvaise foi et d'aveuglement volontaire, encore plus rapides dans le baissage de froc et l'onction à la salive des génitoires arabanlieusardes ! Tout y est ! C'est un festival ! Un grand chelem ! Céline ou Bloy n'auraient pas pu pousser plus loin l'outrance dans la complaisance bouffonne !  Lisez cet article, savourez-en la moindre ligne, imprimez-le, encadrez-le, montrez-le à vos enfants en exemple de ce que peuvent permettre d'accomplir la Correction Politique, l'ethnomasochisme, la volonté de se laisser enfiler jusqu'aux  eux pour ne pas déplaire à des gens qui veulent vous égorger.

 

Post-Zonum : Si toi aussi tu veux comprendre pourquoi on ne peut rien tirer de nos amis les Criquets à part du compost, n'oublie pas de lire, relire et faire lire la seule étude sociologique sérieuse et définitive sur le sujet en cliquant ici.

21/04/2010

"KOUILLES KRUES"

Gougoule, notre ami, ne fait pas que nous proposer tout plein de chouettes liens vers des sites de fesse ou de la musique gratosse. Il réfléchit aussi à notre place, devance nos pensées, nous permet de ne pas user nos gros doigts boudinés sur le clavier. Vous étiez horripilés par le "correcteur automatique" du téléphone portable ? Gougoule vous fait le même coup pour vos recherches sur son moteur du même nom. C'est rageant dans un premier temps, et puis ça devient rigolo quand on voit ce qu'on nous propose.

Si, j'avais effectivement autre chose à foutre aujourd'hui, mais pas l'envie.

Kouilles crues est mon préféré pour l'instant, mais il y en a bien d'autres, comme broute minou à palm springs, ou la savoureuse crotte de chien incroyable talent. Si vous tapez « bite », on vous en propose de toute nature : bites de footballeur, des animaux, en actions, extras larges, ou encore senior. Avec « pine », vous en obtiendrez d'huitre, d'ours, de pin (?), de lenoir (?), de barbezieux, de serin.

Avec le verbe « faire », c'est aussi très varié. Des gens se sont donc renseignés sur la meilleure manière de faire l'amour, faire caca, aussi connu dans sa version gore faire caca du sang, voire sous la forme plus ludique de caca jeux. D'ailleurs, si vous avez des questions, même très bizarres, il ne faut pas vous gêner, tout est prévu. On vous enseignera donc :

comment embrasser, devenir riche, draguer, tomber enceinte, se maquiller, faire un noeud de cravate, créer un groupe sur facebook, faire l'amour à un homme ou à une femme, faire pousser les cheveux plus vite, faire un cv, un bébé, une lettre de motivation, un site internet, une bibliographie, des crepes, des scoubidous, des abdos, des dreads, des coeurs sur facebook (le romantisme n'est pas mort), du shite, de la beuh, de la levitation, de la barbe a papa sans machine.

 

at_geek.jpg

 

 

Si vous avez des ambitions mais des doutes sur les moyens, demandez donc comment devenir anorexique, un vampire, un vampire en vrai (parce qu'il ne faut pas se foutre de ma gueule), mannequin, emo, indépendant en suisse, maman de jour, dj, musclé, gothique, gros, gérant d'un camping, gigolo, guerisseur, skinhead, lesbienne, lieutenant de police. Si vous vous trouvez à chier, pas d'inquiétude :on vous apprendra à devenir belle, voire carrément la plus belle, belle quand on est moche (car la science peut tout), ou plus modestement quelqu'un de bien, quelqu'un d'intéressant, et puis finalement quelqu'un d'autre si votre cas est désespéré.

Envie de faire de l'argent facilement ? Apprenez comment devenir riche rapidement, riche sans argent, riche en partant de rien, en peu de temps, sans travailler, sans rien faire (autant être franc), sans gagner à la loterie ("Moïse, achète d'abord un billet!"), gratuitement dans les sims 2, sur internet, sur habbo, sur wow, sur flyff, sur ma bimbo (c'est c'là, voui).

Pas foutu d'argumenter ? Des experts vous expliqueront l'art et la manière de convaincre ma copine de faire l'amour, ma copine d'avaler, de se marier, mes parents d'avoir un chien, mes parents d'avoir un cheval, ses parents d'avoir un piercing, le voleur de partir dans heavy rain, et n'importe qui de se convertir (ne pas oublier de traduire les pages  proposées en arabe). Plus simplement, on peut aussi convaincre les autres, y a même des moyens de convaincre la timidité, le stress, la peur !

 

On vous montrera ensuite où et comment trouver le point g, le centre de rotation, le sommeil, le bonheur, l'amour, toutes les plumes dans assassin's creed 2 (la vie est une question de priorités), du travail à domicile, des morilles, des truffes sans chien (et non pas l'inverse, tas de pervers), des bénévoles, des clients, de la motivation, de la drogue, de la beuh, et après tout ça, parce que vous en aurez bien besoin, de la vitamine d.

Et puis si vous êtes philosophe de zinc, vous pourrez gamberger avec vos semblables et multiplier les pourquois : pourquoi les schtroumpfs sont bleus et les simpsons sont jaunes, pourquoi les saisons existent, pourquoi les hommes adorent les chieuses, pourquoi les musulmans ne mangent pas de porc, pourquoi le ciel est bleu, pourquoi les femmes aiment les noirs, pourquoi les femmes ne peuvent se mettre du mascara la bouche fermée, pourquoi les femmes aiment les bad boys, ont toujours froid, sont chiantes, ne savent pas lire les cartes routières, sont compliquées, se prennent la tête.

Et les hommes, hein? Pourquoi les hommes sont infidèles, sont laches, se grattent les testicules, sifflent mieux que les femmes, sont distants, sont compliqués, pourquoi les hommes blancs aiment les femmes noires, bandent mou ?

19/04/2010

CELIBATTANT URBAIN

Le triste individu qui signe ce texte n'ayant pas expressément signalé son opposition à sa publication ici, je vous le colle.

MAJ : ceci n'est pas une exclu, on peut en trouver une version avec quelques fautes de frappe supplémentaire au milieu des engueulades faisant suite à un article desouchesque.

 

 

dance1.jpeg

 

Sortir le soir, seul , dans une grande ville française, et même, de plus en plus dans les autres, est devenu une entreprise risquée et inutile. Les restaurants sont pour la plupart aussi mauvais que chers, les bars ennuyeux et parfois sordides, quant aux boites elles travaillent pour les orthophonistes et les hépatologues.

De plus, pour y parvenir il faut faire un parcours digne d'Ulysse en partant soit d'un parking souterrain, théâtre régulier d'assassinats non élucidés, ou d'un métro dont le plus récent progrès technique est que l'on y graisse les rails en y précipitant des usagers.


Une fois à l'air libre, il vous faudra croiser habilement entre les agressions olfactives de graille issues de kebabs pris d'assaut par une foule huileuse et les évacuations acides des fumées d' eaux grasses du KFC voisin.


Naviguant entre les poubelles éventrées d'où filent des rats géants et les corps à demi-décomposés de SDF convulsant entre deux comas éthyliques, vous aurez alors à mettre en application tout votre savoir-faire pour éviter l'embrouille.


Toute une faune variée de prédateurs et de saprophytes va se précipiter sur vous pour exiger ou solliciter, selon les cas, diverses taxations en cigarettes ou en numéraire la plupart du temps, mais parfois en livres de chair humaine, la vôtre.


Pour échapper au fauteuil à roulettes ou à la greffe de poumon comme issue d'une simple ballade d' un soir de printemps, il faut apprendre jeune un ensemble de codes.


Ainsi la modification subtile de trajectoire qui vous permet, en anticipant l'hostilité d'un groupe, de survivre en trouvant d'un coup le trottoir d'en-face bien plus attractif que celui occupé à vingt mètres par une meute de quinze racailles chétives au faciès de loups, tous en survètement immaculé surmonté d'une capuche cachant un crane minuscule.


Encore faut-il savoir pratiquer ce genre de manoeuvres avec l'attitude qu'il faut: trop de désinvolture ou un air anxieux peut vous valoir d'entrer dans le champ radar des assassins potentiels et réveiller dans leur cerveau reptilien le neurone clignotant du meurtre, du vol ou du lynchage.


Une certaine expertise ethnologique est utile, on sera avisé de différencier le risque comparé entre les deux Bambaras mineurs mais costauds, accompagnés d'un whigger la goutte au nez devant le cinéma, de celui, moindre, des cinq Ouled-Nails qui dealent tranquillement en face de la crèperie.


Une connaissance, même superficielle de la littérature relative aux moeurs, coutumes et psychologies des populations des ex-colonies françaises, peut être vitale. On ne saurait trop recommander la lecture de nos grands explorateurs.


Si vous parvenez vivant jusqu'à la terrasse glacée et en plein vent d'une brasserie bondée, vous aurez peut-être la chance de fumer votre dernière cigarette et de déguster une bière aigre après cinq tentatives de commande auprès d'un serveur rescapé d'une bande de zombies libérés par un tremblement de terre et qui n'a pas que l'air de s'en foutre.


Cette opération se passera sur une table en plastique bancale spécialement étudiée pour renverser votre demi, lequel vous coutera plusieurs heures de salaire d'un cadre supérieur.


Lors des dix minutes qui vous seront imparties avant que le mort-vivant ne revienne vous imposer de réitérer, vous aurez probablement assisté au spectacle de la rue, c'est-à-dire à deux vols de portables à l'arraché, une tentative de viol collectif sur étudiante, une dizaine de jets de mollards sur la voie publique et un nombre incalculable de provocations verbales en langage NTM.


Vos pas vous guideront ensuite vers un établissement nocturne réputé pour son ambiance musicale. Vous aurez alors à franchir l'expertise de la Garde Noire composée de deux montagnes de viande spécialisées en arts martiaux campées devant la porte. Un conseil : si vous êtes refoulés, n'entamez pas une discussion technique avec Booba et Killer, ex-enfants soldats recyclés en videurs du Macumba. Les Hôpitaux de nuit sont remplis de petits Blancs qui ont voulu comprendre sur quels critères ils ont été discriminés.


Sachez que ces gens s'appellent des videurs parce qu'ils sont abilités à vous vider comme un poulet en toute impunité après vous avoir plumé.


Si vous passez l'épreuve, c'est-à-dire si vous ne correspondez pas au portrait du Blanc à embrouilles, hybride de Charles Bukowski et de Shane Mac Gowan, tel qu'il est distribué dans la tribu d'origine de ces Messieurs lors de leur formation à la profession de presse-purée d'importation, alors vous aurez le plaisir de vous faire exploser les tympans par une demi-douzaine de réacteurs d'avions dissimulés dans des baffles.


Même si vous étiez Pavarotti, il n'y a aucune chance pour que votre joile voisine ne retienne des trois mots que vous essayez de lui glisser à l'oreille autre chose que le souvenir de vos postillons. Il est en effet absolument impossible de couvrir le cyclone de décibels engendré par l'oeuvre intégrale de Claude François remixée au canon anti-chars, qui vous interdit même de passer commande autrement que par le langage des gestes.


Après avoir laissé un demi-mois de salaire dans deux cocktails fluorescents où l'on chercherait vainement des traces significatives de la vodka supposée s'y trouver, il ne vous restera plus qu'à faire en solitaire le parcours inverse, bien plus risqué à cette heure tardive, pour buter sur une station de métro fermée ou à récupérer votre voiture au huitiième sous-sol du bunker hanté, si vous vous souvenez de l'étage.


Estimez-vous heureux d'etre tombé sur une maison honnète qui vous laisse repartir avec une alcoolémie raisonnable, il en est où l 'on n'hésite pas à vous terminer aux barbituriques avant de vous faire les poches et de vous confier à Booba et Killer pour qu'ils vous raccompagnent dans un terrain vague.


En conduisant sur le chemin du retour, vous croiserez les forces de l'ordre - en France, on appelle ainsi des gens déguisés en bleu dont le métier est de vous faire souffler dans un petit sac en plastique avant de vous confisquer votre véhicule et de vous faire toutes sortes d'ennuis. On les rencontre uniquement aux carrefours qui ménent aux endroits dangereux.

18/04/2010

DANSER POUR FAIRE VENIR LA GUERRE

17/04/2010

1962 - 2010

Steele.jpg

I can't believe I died last night.

Oh god I'm dead again.

I can't believe I died last night.

I'm fuckin' dead again.

PRINCIPE DE SUBSIDIARITE

Pour faire suite à ceci.

Le sentiment viscéral de vacuité qui ne lâche jamais le post-faf un peu honnête s'explique aisément. C'est que nous sentons ou savons tous que la question a été retournée dans tous les sens et que la réponse est cristalline. Il y a un boulot que nous devons faire et dont nous repoussons chaque jour l'échéance à un « plus tard » chimérique. Quand tout ira VRAIMENT plus mal. Quand nous n'en pourrons VRAIMENT plus. Quand les provocations, les humiliations, les crachats symboliques dans la gueule ne seront VRAIMENT plus tolérable. Un jour. Bientôt. Peut-être.

 

Comme si tous ces concepts vaseux avaient le moindre sens.

 

Il y a un boulot à faire, que nos gouvernants ne feront pas à notre place, un boulot que nous nous refusons à faire. Au lieu de nous y coller enfin, nous rejouons en boucle le cheminement intellectuel qui nous a mené à cette constatation, comme pour nous en enivrer.  Nous en remplissons nos pages perso, les fora que l'on fréquente encore par lassitude,  nos conversations de petits matins avinés, comme des dépressifs ressassant leurs envies de suicide sans jamais se mettre sérieusement en danger. C'est sans doute parce que la question est fort simple, et sa solution tout autant. Elle ne serait qu'une application du principe de subsidiarité.

 

Il y a un couple de rats dans mon appartement, que j'ai plus ou moins réussi à isoler dans la penderie. Mais le dératiseur refuse de venir s'en occuper, la police n'en a rien à foutre, les services d'hygiènes ne répondent pas, et aucun voisin ne répond à mes appels à l'aide. Si je ne peux pas me résoudre à m'enrichir de leur différence ou à leur sacrifier une chambre en attendant qu'elles meurent de faim, je vais devoir neutraliser les bestioles tout seul. C'est salissant et dangereux, c'est contraire à ma nature et à mes valeurs, mais quoi ? Personne ne le fera à ma place.

 

Et me voilà, assis par terre à contempler cette porte, à écouter les bruits qui s'en échappent, la batte en alu appuyée contre le mur. Et j'attends. Et je gamberge. Et le temps passe. Et rien ne bouge. La nuit tombe. Il faut bien aller dormir. Puis se réveiller le lendemain. Partir bosser et entendre, en sortant, toujours les mêmes bruits dans la penderie. Y penser toute la journée. Rentrer chez soi en sachant que le problème n'est toujours pas réglé. Manger n'importe quoi. Essayer d'oublier. Se rasseoir devant la porte et observer la batte en écoutant les bruits. Et attendre. Et gamberger. Et recommencer pendant des semaines, des mois, des lustres. Prendre du bide. Perdre des tifs, s'en faire des gris, s'avachir, s'épuiser. La porte est toujours fermée. Il en sort toujours les mêmes bruits. La même solution simple. Ne pas l'appliquer. Ne pas lâcher prise. Ne pas admettre l'inéluctable.

 

Attendre comme une sorte de miracle.

 

15/04/2010

SURVIVRE AVEC LES CROCOS

Une gamine autiste survit quatre jours dans les marais au milieu des crocodiles.survivre-loups-4736785114.jpg

Guy Bedos est pressenti pour une adaptation de l'histoire selon les canons du cinéma Citoyen ex-Français. Dans la nouvelle version, la gamine n'est pas autiste, mais juive, arrêtez avec vos sous-entendus de merde et super-intelligente et super-jolie, tout quoi. Echappant à une tentative de viol par une escouade de Klansmen pochtronnés à la Bud Light, elle se réfugie dans le bayou et apprend à communiquer avec les crocos. Elle les apprivoise et les dresse à bouffer du ouaciste à cagoule blanche.

NOTA BENE : Cette fois, penser à bien brieffer la gamine dont s'inspire le film, histoire qu'elle ne raconte pas de conneries aux journalistes.