31/08/2010
MAIS VOUS ÊTES FOUS
Post-it laissé par Scott Locklin
Dr. Henrich and co-authors Steven Heine and Ara Norenzayan argue that life-long members of societies that are Western, educated, industrialized, rich, democratic — people who are WEIRD — see the world in ways that are alien from the rest of the human family. The UBC trio have come to the controversial conclusion that, say, the Machiguenga are not psychological outliers among humanity. We are.
"If you're a Westerner, your intuitions about human psychology are probably wrong or at least there's good reason to believe they're wrong," Dr. Henrich says.
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30/08/2010
THE BONES OF BABY DOLLS
Puisqu'un malotru l'a supprimée et qu'elle reste belle comme la mort, je la reposte.
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29/08/2010
THERE'S NO WAY OUT OF HERE
Il ne faudrait jamais, absolument jamais, sous-estimer la stupidité ni la vacherie des gens qui nous entourent. Platitude navrante. Pourquoi, alors, se fait-on si facilement décevoir, manipuler, trahir, vendre ? Parce que tenir une telle ligne suppose une discipline dont nous ne sommes, la plupart du temps, pas capables. Cette sagesse minable devient alors une prière: on implore des dieux auxquels on ne croit pas, de nous mettre à l'abri de la saloperie humaine, parce qu'on se sait incapable de s'en protéger soi-même. Parce qu'on aime trop la simplicité et la chaleur des relations simples avec des gens qui paraissent fonctionner selon le même mode que nous. Parce que, quoiqu'il nous en coûte de l'admettre, nous n'avons pas la guerre dans le sang.
Faut-il y tenir, putain ! à cette fichue candeur, pour s'exposer si souvent aux désillusions, tout en se persuadant qu'on est chaque jour un petit peu moins naïf que la veille. Si ça se trouve, on peut tout ramener à des questions toutes bêtes de vocabulaire. On peut être déniaisé, mais comment se dénaïvise-t-on ? Le terme n'existe pas.
C'est parce qu'une nature fondamentalement candide, prompte à faire confiance aux autres, ne se corrige pas. Tentez de le faire malgré tout : vous n'arriverez qu'à développer une paranoïa ridicule et inefficace, qui s'évaporera dès qu'un habile fils de chienne saura sur quelle corde jouer pour vous mettre en confiance. Vous deviendrez un bunker vivant, qui range chaque soir la clé de sa propre porte sous le paillasson. Il n'y a pas de moyen de s'en sortir.
There's no way out - Monster Magnet
20:47 | Lien permanent | Commentaires (3)
27/08/2010
LE BOUT DU TUNNEL, ET PAS DE LUMIERE
19:07 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (6)
BLANCS DE VENUS, NOIRS DE MARS
En langage de toubab, "Beat Whitey Night" se traduit par "Emeute de jeunes contre d'autres jeunes et dont le caractère hypothétiquement <<racial>> (insistez bien sur les guillemets) doit encore être examiné afin de prévenir tout amalgame."
Comment voulez-vous qu'on rapproche les peuples avec des malentendus pareils ?
Si je n'étais pas un démocrate convaincu que nous sommes tousségos, j'en viendrais presque à croire que nous ne venons pas de la même planète (lolle). Mais on ne rit pas avec ces choses-là, s'pas ? Ca fait le jeu de l'estremdrouate.
Post-blogum
State Rep. Ako Abdul-Samad, D-Des Moines, who has worked to fight gang-related violence, said he doesn't have enough information to decide if the fights were racially motivated. He said police comments that race was involved could miss other factors, such as nonracial taunting.
15:04 | Lien permanent | Commentaires (6)
26/08/2010
JE SUIS CHEZ MOI, BORDEL DE MERDE
Le Conseil fédéral décide de ne rien décider quant aux nouveaux avions de combat que lui réclament ses galonnés. Romain Clivaz, correspondant parlementaire pour 24 Heures, s’en désole dans son édito du jour : « les calculs d’épiciers l’ont emporté », notre armée de milice est « décrédibilisée », et on va avoir du mal à « faire croire aux simples citoyens soldats que leurs journées sous les drapeaux ont un sens. » Ca fait bien longtemps qu’ils sont persuadés du contraire, mais qu’importe. Au passage, notre homme raille les nostalgiques malsains adeptes du « C’était mieux avant, quand les jeunes aimaient encore se sacrifier pour leur pays. »
Je ne suis pas sûr d’avoir tout compris, mais le raisonnement semble être le suivant : achetez des coucous et vous réconcilierez la jeunesse avec l’engagement patriotique. Question d’image, de cohérence, ce genre de trucs, hein. C’est ça, le meilleur des moins mauvais régimes du monde : toutes les saloperies que vous voulez en coulisses, mais faire bonne impression sur scène.
Qu’il s’agisse de « se sacrifier pour son pays » ou d’être « prêts à servir », c’est parfaitement pareil. Encore faudrait-il que le pays ait quelque chose à offrir en échange ! Mais pour nos gouvernants, les valeurs se résument à ne fâcher personne, et les actions consistent à dépenser le moins d’argent possible. L’église ? Elle a choisi de noircir son Christ, de faire d’Haïti sa nouvelle Jérusalem, comptez pas sur son appui si vous êtes autochtone. Quant au marché de l’emploi et de l’immobilier, son optique est simple, cash, quasi-officielle : Toubab à revenus modestes ? Vous dégagez. A deux salaires minimums, il est presque impossible de vivre en Romandie sans finir le mois en négatif, et ne comptez pas avoir votre propre logement sans vous endetter à vie.
Aucun parti, aucun syndicat, aucune paroisse, aucun groupuscule un tant soit peu influent de la scène politique ou médiatique helvète n’a quoique ce soit à foutre de ces questions. Elles n’ont pas d’existence. Cette campagne massive d’expropriation de toute une génération ne semble poser de problèmes à personne. La Suisse a choisi son avenir : maison de retraite pour richissimes cosmopolites, pouvant consacrer le tiers, voire la moitié de leurs revenus à leur loyer, et à qui la boîte paie assurances et bagnole de fonction.
Aux autochtones qui ne peuvent régater avec les plus hauts salaires en provenance de Dubaï ou Manhattan, s’ouvrent les portes ldu arbinat moderne. On aura besoin de toujours plus de concierges privés, d’agents de sécurité patrouillant dans les quartiers ultrasécurisés, de coaches pour femmes au foyer, d'auxiliaires de santé pour incontinents séniles claquemurés dans leurs villas désertes, de putes mâles ou femelles. Un autre talent ? Prière de dégager. On me l’a expliqué en toute amitié durant l’une de mes périodes de chômage : avais-je pensé à m’expatrier, en France par exemple ? Et pourquoi pas le Québec, les Etats-Unis, le Pétaouchland ? Go west, young man. La Nouvelle Frontière a besoin de balayeurs et de contrôleurs. Va jusqu'au bout de tes rêves à durée déterminée.
Maintenant, si tu veux rester, libre à toi. En plus des positions subalternes, il te faudra aussi penser à vous météquifier la moindre. Avoir pleins d’amis Divers. Expurger ton vocabulaire des méchants mots qui choquent les minorités et les fils de chienne qui font commerce de leur ressentiment. Abandonner toute espèce de dignité. Etre très discret et très à l’écoute des ingénieurs de l’ethnocide si, pour ton malheur, tu cumules pâleur et sexualité normale. Pour te déstresser, l'atelier slam et jus de fruits est ouvert tous les vendredis.
Il faut une forme de stupidité assumée pour rester patriote quand vos semblables vous traitent comme un cinglé doctrinaire et une ressource humaine dispensable.
Seulement voilà : je ne veux PAS partir. Je suis chez moi, putain.
14:22 | Lien permanent | Commentaires (5)
25/08/2010
AU MILIEU DES RUINES ETC.
23:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/08/2010
HOLLYVOUDE ET LES BIENFAITS DE L'IMMIGRATION
A quoi pensent donc les Africains qui se plaignent de l'influence des Chinois chez eux (enfin "chez eux"... la Terre est à tout l'monde, blabla) ? Ils ne vont pas au cinoche ? Ils ne savent pas que, grâce à la richesse de cette diversité, tout le monde au sud du Sahara sera bientôt ceinture noire de kawaté ?
Ah putain ! heureusement qu'il y a l'industrie hollivoudienne pour nous rappeler régulièrement les bienfaits de l'immigration.
Doit bien avoir un bouquin de Cheikh Anta Diop ou de Martin Bernal pour nous expliquer que, de toute manière, les chinetoques ont pompé tous leurs zarmatiaux aux kémites, non ? Une référence, quelqu'un ?
Et non, tas de pessimistes à la con, le résultat ne sera pas forcément ça en majorité.
Ca suffit, avec les allusions vaseuses et le mauvais esprit contre-productif, à la fin.
15:43 | Lien permanent | Commentaires (2)
21/08/2010
CA VA MIEUX EN LE DISANT
Le ouacisme est un mal dont se sentent coupables ceux qu’il n’afflige pas. Comme des Christs de poche cherchant à expier les péchés de leurs semblables. Des femmes de ménages récurant les cagoinces d’autrui, volontaires pour des travaux de nettoyage sans fin. Dans de brefs accès d’honnêteté et de clairvoyance, il s’en trouve pour admettre que le rejet instinctif de l’Autre est inscrit dans les hormones humaines, qu’il faut se faire violence pour ne pas y succomber, et que tant qu’il y aura de la diversité, il y aura de la crispation identitaire. Mais ce destin à la Sisyphe ne les effraie pas du tout : exaltés ou résignés, ils s’attaquent chaque jour à leur dégueulasse entreprise d’épuration éthique et de pollution ethnique.
Coupés délibérément de leurs racines quand ils les connaissent, volontiers en froid avec leur propre famille déglinguée ou trop réac, ils n’éprouvent que rarement, et comme par accident, cet étrange sentiment patriotique qui mêle reconnaissance aux anciens et fierté d’appartenance à une certaine lignée. Reflets négatifs de l’idée grotesque qu’ils se font du xénophobe, ils sont aimantés par l’exotisme, se rêvent gitans, s’inventent nomades post-modernes, et se montrent d’autant plus tendres envers les beaufs et les imbéciles à mesure qu’ils viennent de plus loin. Dans l'oeil du voisin planétaire, la poutre devient une paille. La stupidité, quand elle prend les traits d’un métèque, n’est pas répugnante et à combattre : elle est touchante parce que pure, à l’abri des souillures de l’Occident esclavagiste.
En retour, pour expier son passé, il devra lui aussi être souillé, rabaissé, humilié. Tout est bon pour lui faire ravaler sa fierté. Un Blanc sûr de lui et fier de l’histoire de son peuple est une menace pour la paix de toute la planète, il faut donc le briser, lui apprendre à n’être qu’un individu isolé, à ne se définir que par des doctrines certifiées conformes, des hobbies inoffensifs, un soin pathologique de son apparence, l’accumulation de biens inutiles.
Surtout, il faut lui inculquer la terreur sacrée du « dérapage » : en tout Blanc sommeille un porc nazi, qu’il faut passer tous les jours à tabac pour qu’il ne se réveille jamais. Quand la propagande d'Etat ne s'en charge pas, la presse, le cinéma et la télévision sont là pour prendre le relais. C'est occidental ? C'est pas glop. Si malgré tout, c'est manifestement glop et indubitablement occidental, alors c'est que ça a été volé aux Enfants Du Soleil, un jour ou l'autre.
Le sens critique des épurateurs se calque sur la One Drop Rule : une goutte de sang non-blanc t’en met à l’abri et te permet d’agir et penser quatre fois plus connement qu’une Face-de-craie. Les hooligans ? Des ordures violentes, ethnocentristes, que la police honnie devrait écrabouiller. Les violences et les destructions des hyènes à capuche ? Des manifestes politiques d’une avant-garde révolutionnaire. Les bondieuseries du Vatican ? Obscènes et ridicules à leurs yeux. Les interdits alimentaires archaïques de l’islam ? Pas touche !
Telle est la réalité de l’anti-ouacisme, quand bien même des gauchistes intelligents prétendraient le pratiquer avec lucidité et prise de recul. Il n’a jamais été et ne sera jamais qu’un instrument d’entretien de la Culpabilité Blanche, cette White Guilt dont les anglo-saxons commencent à parler ouvertement, tandis que l’Europe s’arrache les yeux pour ne pas la voir.
Il ne s'agit pas de lutter contre les persécutions de minorités sans défense, de se battre pour que les individus et les groupes soient traités avec justice ; il s'agit de briser psychologiquement les toubabs, de leur inculquer la haine de soi, de les dresser à applaudir la disparition de leur lignée, la souillure de leurs femmes par des conquérants pleinement conscients de leurs actes et de leur portée symbolique.
Un antiraciste est un ennemi de l'homme Blanc. Un gouvernement qui finance l'antiracisme est un gouvernement d'occupation. Une entreprise privée, un média, une personnalité en vue qui s'engage en faveur de la soumission culturelle des Blancs doit être boycottée, sabotée, ruinée. Quiconque nie cette réalité est un malade, un traître, une salope, un vendu, et devrait être traité comme tel.
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PS : It is white cowardice that gave us those facets of that 1964 Civil Rights Act, that went over the top by stifling the movement for self-sufficiency and taking the wind out of the economic sails of blacks, while forcing whites to pick up the slack. It is white cowardice that made possible that outrageously unconstitutional Brown vs. Board of Education Supreme Court decision. And how can we even keep count of the endless Affirmative Action and Quota laws around the land, that have undone any pretense at instilling fairness in society? All gifts of white cowardice. (...) It is whites who fell to their knees in the 1960s, and have never gotten up. What fear of rioting and mayhem can do! And, even when a group declares, WE can do this, but YOU cannot, the whites' response isn't "That's what you think!" but, "Yes, Master, whatever you say." Dr. Laura confirms the three- to four-decade slide into docile obedience.
20:56 | Lien permanent | Commentaires (5)
20/08/2010
XENO ?
"I'm not xenophobic, because I've never met a xeno. Foreigners are the ones I can't stand."
18:15 | Lien permanent | Commentaires (2)