Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

22/02/2011

GARDIENS DU CULTE

Pour rebondir sur des choses dites plus tôt ici.

Comme d'hab, ça commence bien et ça finit en jus de cervelas. Dans ce qui apparaît comme un flashétourdissant de lucidité, Jean-Michel Frodon s'attaque au Joker Nazi, carte dont surabusent tous les tricheurs et les ratés qui ont un film, un bouquin, un tableau ou n'importe quelle merde bâclée à fourguer.


Avec le temps, il semble que cette propension à  utiliser la période nazie comme cadre de fictions qui, pour la grande majorité, n’inventent rien de nouveau, se transforme en un double piège, assez dégoutant. Piège dramatique qui permet à peu de frais de rendre plus  intense les ressorts d’une intrigue banale, formatée, dès lors qu’elle se déroule dans ce cadre là, et qu’au lieu d’opposer classiquement des « bons » et des « méchants » elle les remplace par des « Juifs », ou des « résistants », et des SS. Ça met du piment, c’est sûr.


Gouteux, hein ? Rangez vos érections, la morale citoyenne est hélas sauve :


 (...) cette manière de jouer avec les événements, les accessoires et les signes de l’ère hitlérienne comme s’il s’agissait de costumes de carnaval est une pernicieuse et très déplaisante manière de fabriquer une autre forme d’innocuité à propos de cette période. C’est transformer en clichés vidés de tout enjeu ce que signifièrent la croix gammée et l’étoile jaune.

Ce n'est donc pas l'escroquerie porno-mémorielle qui est dénoncée, mais les escrocs les plus maladroits, deux dont l'opportunisme est le plus flagrant. Le culte insane n'est pas démoli, on appelle au contraire à sa réforme, à l' expurger de ses rites les plus grotesques pour en consolider les bases et péréniser les rentes (politiques, morales, économiques) de son putain de clergé.

On a donc encore un LOOOOOOOOOOONG chemin de croix gammée à faire. Mais c'est pas comme si on s'attendait à autre chose, mmh ?

20/02/2011

EN TOUTES LETTRES ET SANS CRYPTAGE

L'aspect le plus enrageant des théories conspirationnistes, quel que soit le sujet qu'elles prétendent élucider, est qu'elles font fantasmer sur ce que cache l'éléphant dans le couloir. Elles font office d'antidouleur pour nos yeux crevés.

Qui a vraiment abattu Kennedy ou démoli le Vorlde Tréde Sainteure, que font les Maçons une fois rangés leur tabliers de tarlouzes, quelles forces occultes sont à l'oeuvre sous la surface des choses, a-t-on ou non foutu le pied sur la lune, quels secrets glauques réservent aux initiés la Joconde, le billet d'un dollar ou les paquets de Marlboro, autant de marottes imbéciles qui détournent l'attention, sapent les énergies, isolent ceux qu'elles séduisent et rendent fous bon nombre d'entre eux.

A inclure dans cette liste interminable les obsessions maison de l'extrême-droite depuis des lustres : que s'est-il vraiment passé derrière les barbelés d'Ouchouitze, qui orchestre en coulisse la substitution ethnique et l'effondrement culturel en Europe, la sunna et les hadiths contiennent-ils un plan de subversion que l'alcoran ne fait qu'évoquer discrètement, und so weiter.

L'humain, hélas, ADORE se sentir dépositaire d'un secret dont « la masse des naïfs » ignore tout. Fut un temps où il fallait sortir de chez soi et rencontrer d'autres tarés pour obtenir les brochures mal foutues qui vous révélaient les arcanes du monde et de l'histoire. Il fallait aussi, pour du porno, hanter les sex-shops glauques et puant le renfermé. Avec le haut-débit, on a tout ça à domicile pour pas un rond.

La « théorie du complot », puisqu'il faut reprendre les expressions yanquies mal traduites, est devenu un hobby accessible à tous facilement. Il faudrait abattre l'éléphant dans le couloir avant qu'il ne nous écrabouille, mais des clous : ceux qui l'ont entr'aperçu et qui n'ont pas aimé ce qu'ils ont vu concentrent toutes leurs forces à lire ou rédiger des pavés sur ce que dissimule son gigantesque cul.

La question « Qui a amené ce putain de bestiau ici ? » éclipse les seules discussions un peu valables, qui porteraient sur les moyens concrets de lui exploser la tronche. Il n'y a besoin d'aucune explication cabalistique pour voir plus clair dans notre situation actuelle. Qui, quand, pourquoi, comment, rien à foutre, absolument et cosmiquement rien à branler.

Les FAITS sont là, flagrants, constatables chaque jour par n'importe qui, sans besoin de manuel de décryptage rédigé par des autistes à slogans. Ce qui peut bien se tramer derrière la scène n'a aucune foutue putain d'importance. Les vraies valeurs de notre temps sont prônées avec une abominable clarté par tous les médias, martelées franchement par nos élites politiques et culturelles, sans rien de subliminal ou de codé :

 

Blanchouilles, vous êtes des ouacistes par nature, des privilégiés qui devez partager vos richesses avec le Tiers-monde auquel vous les avez volées. Ouvrez-vous à la Différence, vos pays sont en train de changer et vous devez vous y adapter. Feniaules d'Europe, le mâle blanc est votre ennemi, choisissez plutôt les bites bronzées. Apprenez à vos enfants métisses, beaux parce que bâtards, que toutes les sexualités se valent et que les frontières entre elles sont aussi floues et poreuses que celles idolâtrées par les fâschÿstes. Faites confiance aux profs gauchistes pour leur éducation, aux journaleux bolchos pour leur information, aux profs de tam-tam pour leur culture, aux pleureuses cashères pour leur morale. Soyez tolérants et la transformation radicale de votre monde se passera en douceur. Inspirez-vous de la sagesse des peuples colonisés par vos ancêtres nazis avant l'heure, et vous aurez une chande de ne pas mourir sous les montagnes de déchets produits par votre égoïsme et votre boulimie, amen.

 

deer.jpgEst-ce le caractère flagrant de notre extinction programmée qui nous rend si passifs ? Parce que nous savons très bien qu'il y a des groupes et des individus qu'il faut non pas dénoncer mais neutraliser, et parce que nous savons encore mieux ne pas avoir le cran de nous sacrifier pour le faire ? Est-ce que nous ressemblons, en fin de compte, à ces animaux paralysés par les phares du camion qui va les bousiller ?

Tout ça est affiché en toutes lettres dans la rue, dans les baveux, dans les programmes de la téloche, dans les scénarios d'Olivoude, et vous n'avez pas besoin de lunettes à Carpenter pour le lire. Vos voisins, vos amis, votre famille connaissent ces commandements sacrés. Ils voient comme vous s'étaler partout cette propagande soviétique, aussi grossière, malhabile et dans-ta-gueule que ce que subissent les ressortissants de la glorieuse République démocratique populaire de Corée. La haine de ce que vous êtes est enseignée sans faux semblants dans les films qu'on passe à vos gamins et dans ceux que vous payez pour vous distraire. Les artistes subventionnés la pratiquent et la prônent dans leurs oeuvres merdiques. Les penseurs les plus en vue la théorisent dans leurs éditoriaux et en remplissent les librairies.

Leurs supplétifs vous sautent au visage dès que vous allumez le poste, arrogants, sûrs d'eux, alternant le crachat victorieux et la jérémiade victimaire pour bien vous faire comprendre que votre temps est passé, que leur règne arrive, qu'ils ont déjà gagné la bataille des idées et du comportement, que vous n'avez plus le choix. Kévin écoute des hymnes à la négritude et dégueule sa propre race d'exploiteurs colonialistes, Marjolaine vous répète depuis ses premières règles que ses gamins seront café-au-lait, la quinqua du dessus va chaque été se faire ramoner la cheminée par de vigoureuses putes mâles mélaninées et finira bien par en ramener un à la maison, en plus d'une chouette mst.

Vous êtes cerné, toute résistance est futile, et si vous arrivez à l'oublier parfois, il y aura toujours un salopard, un lâche ou un traître pour vous servir d'aide-mémoire.

17/02/2011

QUI NE POGOTE PAS N'EST PAS SOLIDAIRE ! OUAIRE !

Monsieur la lime est très désagréable avec la pauvre Mlle Cassez. Imaginez un peu ! la traiter de "connasse" juste parce qu'elle vit une belle histoire transraciale avec un chicano à sombrero ! Se moquer d'une pauvresse coincée dans un pays de merde en pleine guerre avec le crimorganisé, c'est très mal élevé, même de sa part. Honte à lui, que nous ne lirons plus dorénavant qu'avec des lunettes noires comme les heures de notre histoire que sa prose nous évoque.

Montrons que nous n'oublions pas Florence et pogotons comme des malades, mais des malades solidaires.

14/02/2011

BITRU REVIENT POUR VOUS MANGER LES YEUX

On le pensait perdu, enfermé dans une cuve de Passetoutgrain de mes couilles vinasse à clodo, alimenté par des tubes, loin de la lumière du jour et du bruit des foules obsolètes... Et on avait raison ! Après ce séjour en compagnie de lui-même, il revient, la hargne concentrée, l'insulte s'envolant à chaque respiration, comme un Mika Luttinen qui aurait lâché son micro pour un clavier, et foutre que c'est bon.

http://sainthaineux.blogspot.com/

bitru.jpg

 

* * *

Adendoume du 15 février - tant qu'on est à faire de la retape...

Jusqu'à ce matin, j'étais plus ou moins convaincu que le ouaibe helvète se répartissait en deux catégories : moi et des lopes. C'est comme ça, chuis un modeste. Va falloir que je le sois encore plus que d'ordinaire puisque, grâce à DJ Egoûts, je découvre http://fouthese.com/, et je me sens tellement moins seul que je vais immédiatement me désinscrire de tous les sites de rencontres qui remplissent mes favoris.  

papa2.png


10/02/2011

AVEC DU PAIN COMPLET ET UN BON COUP DE ROUGE !

stinky-cheese.jpg

 

Monsieur Fromage n'appelle pas au laminage des Saintes Minorités et à l'empalement de leurs promoteurs doctrinaires ou pragmatiques. Monsieur Fromage n'a pas l'air de goûter outre mesure les délicates mélodies de mes indispensables copains suédois de Disfear. Monsieur Fromage ne s'est pas signalé par une misanthropie galopante, ni par des accès de haine archiconcentrée depuis le début de ses activités.

Et alors ?

Sur ce coup-là, putain de merde, il a tout juste.

08/02/2011

LE HURLEMENT DU MONDE

 

silent-scream.jpg

 

Plaque tes mains sur mes oreilles. Je ferai la même chose pour toi. Le hurlement du monde est insupportable et nous seuls savons ce qu'il signifie.

James Ellroy, La Malédiction Hilliker

A CES BOURGUIGNONS QUI ONT TUE LEUR VIGNOBLE

Messieurs,

Que ceux parmi vous, petits producteurs sérieux et amoureux de leur noble métier, veuillent bien me pardonner l'outrage qui va suivre. Pessimiste de nature, je veux croire malgré tout que vous êtes encore quelques-uns pour qui faire pisser la vigne constitue un crime et non un business.

Bacchus reconnaîtra les siens, et Lui qui m'a si souvent protégé lors de mes retours avinés sur deux roues, il se souviendra que j'ai écrit ceci après une HUITIEME boutanche de Bourgogne vidée dans les cagoinces. Santenay, Corton, Aloxe-Corton ou 1ères Cotes de Beaune, millésimes 99 à 2006, format classique ou magnum, rien n'y a fait. J'en ai rigoureusement plein la fente de déboucher saloperie sur saloperie en provenance de chez vous, offertes par des amis bien intentionnés qui auront en plus payé dix fois ce qu'elles valaient vraiment.

Quand j'affirme que vous fourguez de la piquette en abusant de la confiance idiote des ignorants et des snobs, je ne profère pas une insulte, je formule un constat. Il serait banal et dispensable si vos lavasses ignobles étaient proposées en cubi, près du rayon des pistaches et des olives turques « à la Provençale. » Mais votre impudence sans limite vous fait glisser vos pieds crasseux dans les traces d'ancêtres qui vous auraient refusé jusqu'au privilège de nettoyer leurs cuves.

Un amateur vous rend visite, à qui vous faites goûter un atroce brouet sans relief, anorexique à force de maigreur et dont ne demeure en bouche qu'une acidité révoltante, évoquant un vinaigre de framboise souillé d'une larme de grenadine. Face à sa mine déconfite, vous osez affirmer qu'il est encore «trop jeune » et qu'il lui faut le repos d'une bonne cave pour se révéler pleinement. Mais si derrière l'agression citronnée ne se révèle ni velouté, ni profondeur, ni parfums riches et âcres, votre soupe translucide, oubliée au milieu des patates et des sacs de voyage, ne sera plus bonne que pour l'évier. Le novice pourra la boire sans douleur, parce que l'acidité aura certes disparu. Mais avec elle, c'est tout le caractère de votre triste vinasse qui se sera évaporé. Une tranche de cervelas, une cuillerée de fromage blanc, un bol de bouillon clair seront des mets encore trop puissants pour l'intolérable fragilité de ses arômes évanescents, et vous avez le culot de recommander une viande saignante pour l'accompagner.

Cheap wine.jpg


Ce n'est là qu'un mensonge parmi trop d'autres. Lorsque vous vantez une « belle robe rubis », vous parlez de cette teinte rosâtre qui ferait hésiter un aveugle à prononcer le simple nom de vin « rouge. »Quand vous chantez sa « souplesse » et son « fruité », vous jetez un linceul sur ses tanins chétifs, si « fondus » qu'ils en ont complètement disparu. Vos fichus arômes de « petits fruits rouges » ? La trace de freinage déposée par vos raisins cueillis trop verts. Cette ridicule « finesse », derrière laquelle vous vous planquez pour culpabiliser l'amateur un peu trop franc ? Une défroque minable pour un manque de charpente et d'épaisseur que rien n'excuse, et qui ne s'explique que par un assemblage variable de malhonnêteté, d'incompétence et de pur foutage de gueule.

Chez les dégustateurs de la génération de mes parents, la stupéfaction fait mal à voir. On les sent décontenancés, cherchant en vain dans leur verre un souvenir de ces grands crus qui ont marqué leur jeunesse. Ils y reviennent, ils s'acharnent, comme des gourmands qui ne veulent pas comprendre que leur merveilleuse auberge du coin, où ils mangeaient si bien naguère, a été rachetée par un kebabiste qui n'en a conservé que la facade.

Et les pauvres revendeurs chargés de fourguer votre sous-came de luxe aux conneauds aveuglés par la brillance de vos étiquettes! Leur gêne devient palpable et leurs silences pesants. Beaucoup ne savent trop quoi vous dire quand vous revenez aboyer contre le coût obscène d'une topette à gros pédigrée, et qu'on aurait fourgué sans scrupule, une fois ouverte, au clodo du quartier. Ils ouvrent des yeux ronds et dépités quand on leur fait vérifier eux-mêmes la platitude scandaleuse des faux nectars dont ils étaient si fiers.

Certains parlent à mi-mots de domaines cédés des fortunes à des salopes plus à l'aise en phynance qu'en orfèvrerie viticole. D'autres accusent lâchement de richissimes métèques de pays en-voie-de-pourrissement : leurs récentes fortunes leur ont filé des vertiges de grandeur, et ils veulent s'enivrer de ce que la Vieille Europe prétend avoir de meilleur et de plus cher.  Ils n'y connaissent que dalle et sont prêts à raquer sans négocier, pourquoi faire correctement votre boulot ? Il faut un nom connu, un prix absurde et de la flotte teintée facile à déglutir.

Éternel dilemme du tox et du dealer, dont on ne sait encore lequel il faut occire pour voir l'autre clamser – mais c'est une autre histoire.

J'imagine assez bien la pauvre ligne de défense que ces lignes vengeresses susciteront. Un Helvète ivrogne qui se pique de faire la leçon aux artisans hexagonaux, l'ironie est sans doute savoureuse, vu la médiocrité des jus qu'on sort si souvent de sa terre.

Patriote jusqu'au délire, j'entends bien qu'on ne m'accuse pas de chauvinisme oenologique. C'est parce que j'aime mon pays que j'entretiens une rancoeur inoxydable envers ceux qui ternissent son nom. En font partie les légions de vignerons vaudois toujours infoutus de proposer autre chose que des pinots délavés et des gamays aigrelets, dont je ne salirais pas mes sangrias. La différence capitale ? Ils sont vendus pour ce qu'ils sont, à des prix dignes de leur qualité, et sans réclamer d'autre prestige que d'étancher les gosiers locaux.

Aussi je le répète : NON, je ne vous vole pas vos lauriers pour décorer leurs têtes des touilleurs de bibine de chez moi – encore que le plus rustique de nos gamarets rétame sans efforts tant de vos milieux-de-gamme aussi inabordables que manifestement bâclés. J'affirme en revanche que, ces lauriers, vous avez perdu le droit de les porter, et que des couronnes d'étrons vous siéraient bien mieux.

Au lecteur bourguignon qui sait n'avoir pas le temps de venir m'égorger, j'adresse un message implorant : je mourrai bien assez vite tout seul et quelle revanche plus éclatante de me forcer à me renier ? Filez-moi des adresses où l'on peut trouver chez vous des pinots dignes de magnifier une côte de boeuf ou un civet de chevreuil. Je ne suis jamais plus ravi d'avoir tort quand ça me permet de boire un Vin méritant sa majuscule.

05/02/2011

TU M'ETONNES, ELTON

Délicieux portrait-robot de l'apprenti journalope-à-crayon-gris dans l'édito de XXI, numéro de décembre dernier (leur blog ici). Quiconque sera surpris ou choqué par cette accumulation de clichés dérisoires, et par cette rage apparente de correspondre aux pires caricatures qu'on se fait du métier, sera publiquement fessé.

Elles arrivent par e-mail, par téléphone ou par courrier, dans de grosses enveloppes : les propositions de reportages pour XXI. Ils débarquent dans nos bureaux, toujours tendus par la volonté de convaincre et de défendre leurs idées : les candidats à la publication. Depuis trois ans, elles et ils se comptent par milliers. (...) Premier constat : rien ou presque sur la politique, la finance ou les grandes entreprises, comme si le reportage avait définitivement renoncé à explorer les fiesf du pouvoir. (...) En revanche, les propositions affluent sur le bureau du rédacteur en chef de XXI dès qu'il est question de social, avec une obsession pour l'exclusion, les marges et les minorités, voire les minorités des minorités, et une focalisation sur les discriminations et la banlieue. Souvent le regard gagnerait à se décaler là où le reportage n'est pas écrit d'autorité, là où la vie ne se résume pas à un statut ou à un malheur assigné d'avance.


Au-delà de nos frontières, la curiosité se porte naturellement sur l'Afrique francophone, source inépuisable de sujets. L'intérêt est continu pour les Etats-Unis, l'Europe de l'Est, le Moyen-Orient et l'Amérique latine. En revanche, c'est le néant ou presque sur l'Allemagne, le premier allié de la France ou le Royaume-Uni, qui est pourtant à portée de train ou de ferry. L'Europe du Nord est aussi largement une terra incognita. Les propositions sont rares sur l'Inde ou la Chine. ous les autres pays émergents sont "en-dessous du radar".

01/02/2011

IF I DRINK THIS WINE

 

If I drink this wine I can stand this place
If I drink this wine I can stand your face!
If I drink this shit maybe I can bear...
Bear to be a part of this human race
Bear to be stuck in this messed up place
Bear to be lost without a trace