28/02/2012
DOG FROM HELL
19:07 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (1)
TABOUCHE TAGUEULE
17:24 | Lien permanent | Commentaires (10)
24/02/2012
PARLEYE-VOÛ FRONSAYE ?
Toi rosbif ? Ou toi crouille-de-luxe-des-Emirats ? Ou toi constipé-des-rizières ?
Boucou problim maîtriser frenche langouadge romantîque ?
Toi clique sur la belle image de circonstance Diverse pour avoir tout le vocabulaire nécessaire à baston/baise/biture, triptique sans lequel il n'est pas d'Ouverture-sur-l'Autre digne de ses majuscules.
(Troisième ligne particulièrement utile pour découvrir en toute sérénité les charmes de l'Ex-France)
21:38 | Lien permanent | Commentaires (1)
23/02/2012
STEREOTYPONS DANS LA JOIE
... en allant nous fournir en globish chez la mauvaise personne alimentant Unamusement Park
(Si je suis moins flemme et que je trouve le me rappelle du moyen de faire des pédés-heffe, je vous la fais en french une prochaine)
16:29 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (5)
17/02/2012
NO MAN'S LAND
If you were a science fiction writer freelancing for a men’s magazine in the 1940s, you might have dreamed up a lurid dystopian future where women rule. You might have described a “New Girl Order,” or titled your tale “The End of Men.” For your bizarro tomorrow, you may well have envisioned a world where boys were punished, drugged or expelled from school for the kinds of things you remembered doing as a kid. Males would be referred to as “the second sex,” regarded as “louts” and relegated to low paid, low status jobs. Women would be sexually promiscuous, even marching together as “proud sluts,” while men would be legally required to ask for explicit verbal permission for every kiss. When it came time to reproduce, females would often raise children (hopefully female children) on their own. Fathers would be considered quaint but ultimately disposable.
Your readers, back then, would have had quite a chuckle.
However, if writers for America’s major newspapers and magazines are to be believed, that future is not far off. While their phrasing could be a touch fantastic and things may not yet be quite as bad as they say, there seems to be a growing consensus that unless major changes occur, the future is no man’s land.
19:40 | Lien permanent | Commentaires (21)
14/02/2012
" UNE RELIGION QUI N'EST PAS LA NÔTRE"
L’Art Contemporain s’applique à remplacer l’esthétique par la morale. Il veut désincarner l’art parce que la chair est mauvaise. Il craint la séduction et entend éradiquer toute idée de beauté qu’il perçoit comme une perversion. L’AC est un rêve de pureté absolue fondée sur une haine du corps et de la matière. Les thèmes et pratiques omniprésents de l’AC sont la maltraitance, la trivialité, la dégradation. La chair est si méprisable qu’elle peut être souillée sans conséquence. Le corps glorieux n’existe pas. (...)
Le dogme de l’AC dit qu’à partir d’Auschwitz la pratique de la peinture est une insulte à la mémoire des victimes. Il n’y a pas de comparaison possible entre le mal qui se manifeste sur le Golgotha et celui qui déferle sur Auschwitz. Le premier était représentable parce qu’il s’ouvrait sur l’espoir d’une rédemption. L’autre est un mal absolu, sans remède, irrémissible, donc irreprésentable. (...)
Le premier pas pour liquider un peuple est toujours d’effacer sa mémoire. Détruire ses livres, ses arts, sa culture, son histoire, pour écrire de nouveaux livres, créer une autre culture, inventer une autre histoire. Avant longtemps la nation aura oublié ce qui est et ce qui fut. Le combat de l’homme qui refuse d’entrer dans le moule n’est que le combat de la mémoire contre l’oubli.
La suite, avec des bouts de Céline dedans pour le même prix, chez Polémia
Et ça n'a rien à voir mais allez aussi lire Goad, qui cause de l'étrange insistance des suprémacistes paydays sur la génétique comme facteur de préférences en matière de trous :
Sure, some people are gay because they’re not attracted to the opposite sex. But maybe some become that way because they’re not attractive to the opposite sex. Denying choice and insisting on genetics is part of a larger cultural pattern that abdicates all personal responsibility for one’s actions. Genes have also been “found” for obesity, schizophrenia, violence, and alcoholism. What if it turns out there’s a gene for “homophobia”? Will that lead to universal acceptance of homophobes? Will they be able to sue for civil-rights violations if some hateful homophobe-o-phobe hurts their feelings? The “gay community” may not want to thrust so hard with this “genetic” angle, because if a “gay gene” is discovered and a prenatal test for it is devised, couples who wish to have grandchildren may choose to abort gay-gene fetuses and thereby gradually blot the gene out of existence.
08:20 | Lien permanent | Commentaires (8)
10/02/2012
THE GREY ZONE
Si l'on pense réellement que l'avortement est un meurtre, et qu'il y a vraiment une usine à meurtres au coin de la rue, il n'y a qu'une manière d'agir pour un honnête homme. Si l'on est absolument certain qu'un groupe armé s'apprête à envahir notre domicile avec la complicité du gouvernement, pourquoi ne pas suivre l'exemple des hommes de Daniel Shays ? Si une justice tyrannique s'oppose au peuple par la force, pourquoi ce peuple ne sort-il pas le goudron et les plumes ?
De tels actes ne sauraient être encouragés ni soutenus, mais on peut se demander pourquoi ils sont si rares. Si des millions de gens sont aussi engagés qu'ils le disent en faveur de leurs idéaux sacrés, pourquoi sont-ils presque tous incapables d'agir ?
La triste réalité est que, même si les Américains sont en train de se séparer en deux nations philosophiques distinctes, ils se coagulent en une seule masse. Les divergences politiques font peut-être plus de bruit, mais le passage à l'acte significatif devient toujours plus improbable. (...)
De nos jours, la volonté populaire est presque toujours outrepassée par des ordonnances anonymes. Nos dirigeants rient au nez des citoyens tout en travaillant jour et nuit à leur ruine. Les Américains sont supposés être mieux armés que jamais, au moment où ils font entendre leur opposition avec le plus de force. Et pourtant, rien ne va se produire. Pas de nouvelle guerre civile. Pas de débâcle nationale. Rien du tout.
Nous n'en avons tout simplement pas la force de caractère. L'autocratie en est consciente, et nous pouvons nous attendre à bien pire de sa part. Alors recouchez-vous et savourez vos donuts.
10:11 | Lien permanent | Commentaires (8)
08/02/2012
DREAM SONG
17:57 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (1)
04/02/2012
TENIR
La plupart des Blancs ne se protègent pas parce qu'ils ne se sentent pas MENACES. L'exinction de leur lignée leur paraît soit une chimère ridicule (ils s'imaginent donc que le substrat ethnique perdurera aussi longtemps qu'ils pourront se payer des Ipad à crédit) soit un phénomène qui ne les concerne pas (ils ne se sentent donc Blancs qu'une fois qu'un exotique le leur permet, de préférence pour endosser une culpabilité qui lui est profitable), soit l'aboutissement d'un processus à la fois naturel (il n'y a rien à faire contre) et légitime (nous avons pillé l'Afrique, au tour des Africains de piller l'Europe).
Avec la plupart des individus qui acceptent sans broncher l'un de ces trois schémas de pensée, la discussion est vaine. Tous ou presque ont accepté la certitude de leur extinction en tant que peuple, et ne peuvent être inquiétés que par leur disparition individuelle. La dhimmitude ? Volontiers ! Toutes les bassesses collectives pour faire durer ma pauvre vie un jour de plus... Rien de plus normal. Tant que vous êtes valide, vous pouvez vous gonfler les plumes et prétendre que vous vous neufmillimétrez la cafetière dans la minute où vous ne pourrez plus bander ou chier sans l'aide d'une infirmière des tropiques. Et blam ! Vous voilà dans une cholie chaise à roulette, et votre amour de de la vie se prend une dose cosmique d'amour dans le gueule, pour rien au monde vous n'en zapperiez la moindre seconde...
La démonstration scientifique de l'inégalité des races n'aura pas d'impact sur un tel public. Comment voulez-vous participer à une course d'endurance quand vous devez vous déplacer en chaise roulante ? Telle est la situation de l'identité blanche: quand bien même elle accepterait la notion hautement fasciste de compétition entre les peuples pour la prévalence de leur identité respective, elle n'aurait pas les moyens moraux de participer à la course. L'Occident est un géant aux pieds d'acier et au coeur d'argile, un Gulliver qui enseigne l'art des noeuds marins à des Liliputiens trop stupides pour tresser eux-mêmes leur propres cordes.
L'extrême judéomanie des Culs-Blancs elle-même ne leur est d'aucune utilité pour s'échapper des sables mouvants de leur propre relativisme suicidaire. Ils écouteront religieusement un juif leur enseigner la repentance éternelle pour les crimes supposés de certains de leurs arrière-grand-pères, mais classeront parmi les timbrés mystiques celui qui leur dit Blancs défendez-vous. Monsieur Toubab est un puritain dont le Troisième Testament lui commande de tout faire pour crever et faire la place aux métèques, de subordonner le moindre aspect de son existence à ce but sacré.
Le nouveau christianisme laïc et citoyen a fait d'un péché mortel l'absolu sine qua non de la Rédemption moderne. Il est plus facile à un ouaciste de passer le chas d'une aiguille que d'accéder au royaume des cieux. Livre tes filles aux simiens et va claquer loin du carnaval funèbre donné en l'honneur de ta propre disparition. Chrétiens, oubliez vos pauvres écritures et tatouez-vous cette courte épitre à l'envers sur le front, pour vous en rappeler chaque matin et chaque soir.
Quelle issue pour nous autres que ce seppuku continental emplit de bile et de fureur épileptique ? De rares et misérables expédients, dont un ivrogne assumé se passe aisément, parce que lui au moins n'a pas besoin de justifier son autodestruction délibérée.
Et pourtant il nous faut tenir. Je ne dis pas « témoigner », vous noterez, parce que personne ne nous écoutera et que nos gesticulations de naufragés ne marqueront pas plus l'Histoire que celles des victimes du Titanic.
Juste TENIR.
Tenir pour que dalle. Tenir pour l'absurde et douteuse beauté du geste. Tenir pour emballer de sparadraps poisseux les débris suintants de notre dignité brisée. Tenir parce qu'un tétanos complet est la seule forme de droiture dont nous soyons encore capables. Tenir pour la misérable consolation d'avoir haï nos corrupteurs jusqu'à notre dernier souffle asthmatique. Tenir pour bercer nos effondrements internes avec le vertige du désir de vengeance à jamais inassouvi. Tenir contre les sarcasmes, le relativisme, le chantage des gens qui nous veulent du bien, la prétention de maturité, le réalisme vaseliné, et la colossale dérision de nos propres prétentions. Tenir au-delà de l'absurde et du ridicule.
17:23 | Lien permanent | Commentaires (9)
02/02/2012
COMMENT PENSER AVEC SON CUL
09:54 | Lien permanent | Commentaires (5)