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29/04/2013

POUR UN JOUR DE PLUIE

28/04/2013

TIME IS NOT MONEY

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Incarnation du rêve, du bonheur et de la classe, Occident, années 1400 de l'hégire

Le processus de gentrification de l'axe lémanique se poursuit dans la bonne humeur. Du bout du lac à Lausanne, comptez minimum un million pour un appart, le double pour une maison de 150 m2 (Habiter, printemps 2003) Mais de quoi se plaint-on ? En priant ces porcs d'autochtones fauchés d'aller crêcher en France voisine, l'Etat s'enrichit en attirant les grosses fortunes, et l'Etat, en démoucrassie, c'est nous, hein? Je m'enrichis, c'est süpaire. Et puis ça crée de l'emploi, la preuve :

Le Temps nous apprend ainsi la création à Calvingrad d'un club de rencontres pour gros friqués. Cotise de base: dix mille balles. Tristesse fabuleuse du truc expliquée par la fondatrice de la chose, blonde quadra sans enfants :

«Nos membres n’ont pas un profil type. Il y a des médecins, des hommes d’affaires, des avocats, des chefs d’entreprise, des photographes, des actrices, c’est très varié. Mais leur dénominateur commun est souvent d’être «cash rich, time poor» [riches en argent, pauvres en temps]

C'est presque systématique: quand un fauché vous parle de ses glauques rêveries de fortune, un laid et gras cliché monte à la surface de son fangeux discours : Je veux plus devoir réfléchir à l'argent. L'essentiel à retenir étant bien entendu : Je veux plus réfléchir. Ce qui suppose, prétention chuptzesque, que c'est quelque chose qu'il fait souvent, en y mettant du coeur. Leaullons en choeur.

Belle performance de la part de MTV, M6 et de tout le réseau d'égouts cathodiques : avoir promu l'image d'une richesse insouciante, le mental de Donald pour la piscine à fric de Picsou (Oncle Jérémie, à l'origine, la bédé c'est nazi), pouvoir se permettre tous les caprices, les coups de tête les plus déraisonnables, ne jamais calculer que dalle. Il est bien connu, en effet ! que les gens de la haute dépensent sans compter, sont d'une générosité folle, toujours prêts à filer mille balles aux potes en délicatesse. Voyez le pognon monstrueux dont Monsieur Ikéa, vieux faf, arrose les mouvements natios de Suisse ! Je vous dis pas la qualité de la soie dans laquelle on pète grâce à lui, un régal.

Si on résume, nous avons donc des working poors cons à manger des cailloux, et des working riches à qui des montagnes de biftons ne permettent pas de se dégager assez de temps pour tenter l'aventure semi-suicidaire d'une famille à peu près stable. Si le luxe c'est l'espace, alors la fortune c'est précisément du TEMPS. La possibilité de choisir quel jour on bosse et quel jour on n'en fout pas une. Le privilège de pouvoir lever le pied quant au boulot, histoire de trouver de quoi mettre quelques héritiers en route.

L'apparition de ce service démontre que bien des gros bourges sont, finalement, aussi seuls, largués et débordés que nous autres, petites mains et valetaille. Ca vaut bien la peine, et c'est vrai que ça file une envie irrépressible de gratter un ticket d'euromyhon.

27/04/2013

ACH GROSS HUMOUR

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Chez Herr Schöndrikourt

LOUNES

Si chaque grande ville de France comptait seulement un petit millier « d’enragées volontaires » de l’espèce de Emma West et de Jacqueline Woodhouse alors nos ennuis seraient résolus très rapidement. Personne, aucun cargo d’immigré, aucune pelletée de crépu d’ou qu’ils sortent, aucun décret-loi, aucun serpent racailleux cannabique, aucune loi aucune industrie aucun principe frauduleux, aucun lobby même le plus immonde ramassis la plus concentrée fourmilière de cafards richissimes déchaînés de racisme à mort anti-blanc ne peut tenir une seconde la distance contre une femme qui a décidé d’avoir ce qu’elle veut. (...)

Les faits concrets les voici. Surreprésentation extraordinaire des gens de ce sérail dans les domaines suivants: production et diffusion de la pornographie, origine des armateurs de bateaux d’esclave, trafic de drogue, plagiats de livres et d’idées, incitations à la haine de la France, incitations à la haine de la race blanche, incitations à la haine de l’Eglise, conceptualisation et diffusion du gender, mariage gay, dead white males, suppression/modification du nom de famille, élévation des taxes sur héritage, diffusions d’image pour grand public qui représente le métissage systématique d’un Noir et d’une Caucasienne, entretien de mensonges et d’exagérations sur un martyrologe passé pour culpabiliser d’avance les gens qu’ils persécutent, appauvrissement des Français qui les accueillent par intrigues fiscales à l’intérieur de l’Etat, truquage des informations participatives dans Wikipédia, financement colossal des campagnes d’Obama et écrasante majorité de vote communautaire en sa faveur aux deux élections, triche et cooptation communautaire pour squatter les jobs importants et valorisants, origine de la législation sur le divorce et surreprésentation dans les avocats spécialisés dans les divorces, lobbyisme pour les manipulations génétiques type GPA, mise en place de structures pour favoriser l’immigration et l’impunité de la délinquance. (...)

Le reste ici

23/04/2013

NE PAS LOUPER LA SIGNATURE

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Peu avant que ce grand progrès nécessaire inévitable et réjouissant du mariage pède ne soit légalisé au Bougnoulistan du Nord, un quelconque connard publie chez Atlantico un argumentaire en faveur de la chose.

Dette envers les homos à cause des souffrances passées.

Parallèles bouffons d'anachronisme et de portnawak avec l'antiquité romaine.

Les opposants traités comme des hydrocéphales qui demain ne sauront plus ce qu'ils ont voté la veille.

Le bon vieux parallèle pourri qui postule que mieux vaut deux papas qui vous font des mamours que deux parents qui vous scalpent les couilles.

Un sommet de foutage de gueule, de malhonnêteté intellectuelle, de bassesse et d'imbécilité volontaire qui retourne le crâne et l'estomac.

Et puis d'un coup, on se détend, on sourit, on respire et on range (provisoirement) le fusil à pompe parce qu'on a vu la signature de l'auteur.

Il est vrai qu'en Eretz, c'est chose faite depuis si longtemps...

LA HAINE OU LE MEPRIS

Une belle friandise, grasse, douce et croustillante à souhait, signalée par de la Souche chez Libé.

Trop facile, trop évident, un péché de gourmandise, je craque !

Et l'indigestion me donne des visions : demain, tous les paydays qui voudront survivre seront au minimum de droite dite "décomplexée", celle que leurs prétendus porte-parole vomissent encore actuellement. Façon femme battue qui insulte le voisin qui appelle les flics, écoeuré de l'entendre gueuler de l'autre côté du mur.

Pas que je croye qu'il n'y a pas, à droite et très très à droite, le contingent plus que nécessaire de bougres. Mais à part un Gripari ça et là, ils (j'ai pas dit "elles", félicitez la maîtrise de soi) auraient comme tendance à se faire discrets. Ou du moins, ce qui est le minimum qu'on en attend, ne pas faire de leur cul un étendard.

Sodomilitants, qui ne me lisez pas et vous avez bien raison, il faudrait vraiment que quelqu'un vous explique ceci, quelqu'un qui a votre confiance, qui a prouvé qu'il ne vous veut pas du mal MAIS qui ne vous passe pas toutes vos putains de lubies. Moi, ça ne sert à rien. Mais j'ai une demi-heure à tuer avant la prochaine corvée, je vous la consacre. C'est pas gué-freine-de-lit, ça, Madame ? La vérité !

Vous semblez nombreux (j'ai pas dit "nombreuses", ovationnez) à croire sincèrement que la droite, toute la droite, vous en veut par nature et que la gauche est votre famille politique naturelle, la seule où on vous foute la paix. Pour faire plus faux et ridicule, il faut s'imaginer qu'Ariel Sharon va sortir de son coma pour se faire salafiste.

La gauche est métécocrate depuis trop longtemps pour espérer jamais changer. Sa nouvelle classe ouvrière, c'est le lumpen des bas-fonds de la planète. Tout son programme, au-delà des contorsions idéologiques et des plans quinquénaux, a été résumé par Sartre quand il parlait, chez Fanon, d'abattre un Blanc pour libérer un bronzé. La gauche, c'est l'expiation du péché colonial, l'obsession d'inverser la tendance historique, dégager le toubab fatigué d'un podium qu'il ne veut plus occuper, et faire rois ses anciens esclaves. Le reste est fioritures.

Or, est-il besoin de vous faire un topo sur la popularité de vos moeurs auprès du Sparkatus afro-arabe ?

Là encore, pas de foutaises: on y agrandit le cercle de ses amis ni plus ni moins qu'ailleurs. Mais on le fait avec des risques plus considérables que de choper des maladies pas propres. On peut finir accroché à une grue, ce qui est un peu plus désagréable que de se faire regarder de travers.

Ces moeurs indélicates sont importées par canadairs entiers en Europe. La responsable logistique de ce transfert massif, c'est cette gauche que vous imaginez encore de votre côté, parce qu'elle prétend vous permettre de jouer au papa et à la maman. Pour complaire aux plus déséquilibrés d'entre vous, c'est toute votre communauté qu'elle met en danger, un danger très réel, clair et immédiat. Vous savez parfaitement ce qui est plus dangereux pour vous : une soirée avec des supporters hétéros avinés et bourrins, ou une promenade nocture dans un quartier populaire, jeune et vibrant de Diversité.

Les réacs ne vous aiment pas et vous donnent de vilains noms. Les Divers ne crachent pas forcément sur vos services, mais leur phobie prend une tournure autrement plus radicale.

Faf incurable, je vous l'affirme : personne de raisonnable partageant mes quelques convictions ne souhaite vous scalper, vous rééduquer, vous coudre à vif une étoile rose sur la couenne. Vos moeurs nous heurtent, ne nous mentons pas, mais de là à vous forcer d'en changer, ou à vous en guérir à coups de parpaings ? Nous ne sommes - hélas, peut-être - pas si cinglés que ça. Nous ne demandons qu'un peu de décence et de discrétion. De votre part comme de celle d'un couple bien hétéro, encore puceaux à la trentaine et qui, avec un coup dans le nez, se tripote obscènement sur le canapé en se foutant du reste des invités. Pour le reste, nous sommes très disposés à vous foutre la paix. Parce que, de nos jours, c'est cela un nazi: un type normal, tranquille, qui veut bien foutre la paix à tout le monde, et qui se retrouve à accumuler des armes parce que, à lui, on ne fout pas la paix justement, parce qu'on exige de lui repentance héréditaire, acceptation de l'inacceptable, tolérance du dégueulasse, recul et respect de ce qui lui fout la gerbe.

Cette nausée existera toujours. Le plus acharné des progressistes, la ceinture noire de relativisme, le contorsionniste de la tolérance, crachera toujours un brutal et sonnant "pédé" au malotru qui lui grille une priorité, s'offusquera qu'on doute de sa virilité en le traitant de tarlouze. Aucune rééducation, aucun procès, aucune surveillance 24/7 n'y changera quoique ce soit. Différents de la norme, par nature ou par choix, le mépris vous suivra éternellement. Certains s'en sont faits une gloire. D'autres s'en tapent. Il arrivent que d'autres encore craquent et finissent par se défenestrer. Il ne s'agit pas de minimiser ces souffrances, mais d'affirmer qu'elles seront infiniment pires dans le monde dont rêvent les bolchos qui prétendent lutter pour vos droits. Vos représentants officiels, qu'on ne saurait trop vous recommander de museler pour votre propre sécurité, ne veulent pas du respect et de l'égalité. Ils veulent de l'amour inconditionnel. Ils veulent qu'on leur passe ce qu'on ne passerait à personne. Ils veulent les bénéfices de la déviance, une déviance revendiquée, sans passer à la caisse.

Seul nazebroque de tout mon entourage ou peu s'en faut, croyez bien que ce que je vis peut m'aider à piger votre quotidien. Entre la réputation du ouaciste et celle du payday, la plus enviable n'est pas celle que vous pensez. J'essaie de vous tirer des larmes ? Nenni. J'illustre : sans renoncer à rien de ce que je suis et crois, je dois, pour conserver un salaire et éviter des poursuites, mettre quelque peu ma foi en sourdine. Personne ne se fait la moindre illusion à son sujet, mais aussi longtemps que je ne fourre pas des tracts sous le nez des gens, on ne m'en fait pas grief. C'est un statut de pestiféré mondain, de lépreux emballé sous vide. Ai-je besoin de vous dire qu'on s'y fait ? Vous connaissez ça par coeur.

La décomplexion de l'homophobie, la banalisation de l'asticotage voire pire, est non seulement le fait majoritaire de métèques d'importation récente, mais aussi et surtout une conséquence de l'homocratie gauchiste. Socialopes et maoïstes du Rotary ont cru bon de vous draguer en faisant des plus tordus d'entre vous les symboles, les représentants, la moyenne de toute la communauté. Dans leur discours, par leurs actes, dans les échos que leurs larbins médiatiques, la folle est devenue la norme. Nous voilà sommés d'applaudir la plume dans le cul et les froufrous dont, si ça se trouve, vous ne voulez pas plus que nous, bourrins hétéros.Mais ne pas applaudir aux extravagances les plus glaireuses, c'est vouloir vous Ochouitzer par paquets de mille. Dixit la Correction.

Dans un Occident toujours plus Divers, vous allez tenir une forme éclatante ! A force de devoir courrir pour échapper aux mamours Citoyens des Divers, vous allez perdre tous ces kilos en trop et vous faire des fesses d'acier. Profitez-en à fond et dites-vous bien que c'est tout ce que vous avez à y gagner.

 

21/04/2013

AGENCES DE NOTATION MORALES

On ne veut plus qu’on nous prenne pour des imbéciles. On veut qu’on appelle un chat un chat. On veut qu’on pense d’abord à la France et aux Français. Qu’on se soucie de nous, qu’on s’inquiète de nous. Qu’on nous écoute. Qu’on arrête de nous étiqueter «réacs», «fachos», «racistes» dès que nous osons dire ce que nous voyons, ce que nous vivons.

Robert Ménard

 

Ne rejetant pas l’homosexualité, cela fait parti de la vie, certains préfèrent les hommes aux femmes de la même façon que je préfère les pomme de terre aux choux de Bruxelles, c’est une question de goût et cela ne se discute pas. Je n’ai pas la moindre hostilité envers les homos, sauf peut être envers ceux qui font passer leurs désirs consuméristes avant la morale et l’éthique et ceux qui utilisent des arguments fallacieux pour justifier l’injustifiable. Alors dites moi, suis-je homophobe ?

Skandal


Si les notions de "droite" et de "gauche" n'ont plus aucune validité, si comme Ménard l'affirme une nouvelle génération de traditionnalistes semble avoir compris qu'il n'y a pas d'antinomie fondamentale entre libéralisme et libertarisme, il reste encore aux radicaux à poubelliser un archaïsme de leur pensée : la croyance qu'il est possible de choisir son appartenance officielle, son label, sa réputation médiatique, en fonction de ce que l'on dit et fait, et pas selon le bon vouloir des agences de notation morales.

J'estime avoir suffisemment traîné mes savates chez les droitards bon teint et les nazebroques à l'ouest pour parler avec quelques légitimité de ces deux milieux. Si les premiers craignent de passer pour de mauvaises personnes, les seconds ne s'inquiètent que de noircir leur image autant que possible. Dans les deux cas, les ennemis de l'Europe mènent la danse: c'est de leurs humeurs que tout dépend, que l'on s'échine à ne pas leur déplaire ou à les faire bisquer.

J'évoquais Dieudonné l'autre jour. Il y a, entre ses shoananasseries et l'adoption sarkotique d'un chtit nenfant juif zykloné, une filiation directe, un cousinage évident: blasphème ou génuflexion, on est en pleine mystique, c'est la nouvelle religion ochouitzienne qui est au centre de l'attention. Certes, il est horriblement tentant de pisser contre les idoles de croyants que l'on hait, surtout quand ils vous les enfoncent dans la gorge soir et matin depuis deux générations. Mais on ne peut pas retourner efficacement la Correction contre ses adeptes, et exiger qu'ils nous respectent comme on serait prêt à les respecter, entre adultes, à la loyale, est idiot.

Je ne vis pas à Paris et ce n'est pas moi qui me prends lacrymos et boucliers dans la gueule. Je n'ai donc pas à donner de leçons à ceux qui se les mangent pour leurs convictions. Je prends néanmoins le droit de leur dire ceci:

Blancs, tradis, hétéros, et pas trop honteux de l'être ? Vous serez toujours perdants au jeu de cons du Spectacle. Toujours. La fiction de votre culpabilité héréditaire et irrémissible sera la dernière en place de cette civilisation crevarde. Vous n'avez besoin d'avoir commis aucun crime : vous êtes le crime, vous incarnez le cauchemar d'un continent Blanc qui tarde à se noircir, qui le fait dans la douleur, à la grande rage de ses corrupteurs.

L'Ennemi n'est pas loyal, il ne se comporte pas en adulte, il méprise les lois de la guerre, il incarne l'arrivisme et la volonté de domination absolue, et surtout c'est lui qui contrôle la Machine à distribuer les Bons Points. C'est cette machine qui va chercher des circonstances atténuantes aux deux métèques explosifs de Boston, conchiant la gueule de leurs victimes et leurs familles, et cherche des "têtes de nazis" chez les manifestants anti-mariage homo, dont la bonne tenue générale ne protège pas des gazeuses, matraques, GAV et insultes impunies.

Chez Causeur, une activiste qui a passé quelques temps en cellule s'offusque d'encouragements à la radicalité - clair, venant de flics qui vous coffrent pour moins que rien, ça fait une couleuvre un peu large à déglutir. Est-ce faux pour autant ?

Monsieur Lime l'explique fort bien: Normal et sa clique, les noces des paydays, ça ne les obsède pas plus que cela. C'est de l'enfumage, de la distraction massive. Mais derrière l'instrumentalisation politicienne d'un projet absurde, il y a la même saloperie Rotary-Mao que d'habitude: une simple étape de plus dans la destruction de la civilisation européenne et de ses fondements. La chose fait partie d'un pack d'éléments qui n'ont rien à voir entre eux, mais dont la convergence vise le même but ultime. Régularisation des illégaux, assistance aux roms, promotion de tout ce que les mili-Tantes pourraient avoir la fantaisie d'exiger, glorification paradoxale de la négritude et du métissage, tout concorde à ratiboiser, saloper, exterminer l'Europe historique.

Les alliances les plus contre-nature deviennent possible avec cet objectif en tête. Tel est le Plan général, et on n'a vraiment, mais alors foutrement pas besoin d'imaginer un quelconque Complot : une conspiration, c'est un truc clandestin, caché, maquillé. Mais la brasilification des nations occidentales se fait au grand jour, en alternant paluchages collectifs lors de ses avancées, dénégation de ses conséquences néfastes, criminalisation de ses opposants, chantage affectif contre les sceptiques et les tièdes.

Les dirigeants et partisans du Printemps Français en sont-ils conscients ? Comprennent-ils que faire reculer le gouvernement Hollande sur ce point ne peut être, là aussi, qu'une étape, une minuscule bataille à mener pour la survie de la France et de l'Europe telles qu'elles méritent d'être aimées et défendues ? Que c'est tout un "projet de société", de la moindre de ses instances officielles jusqu'au lexique définissant ses valeurs, qu'il faut foutre en l'air ? Que ce sont des coups de massue et non de balai qui s'imposent ? La tolérance et l'acceptation de l'Ennemi n'importent pas et il ne faut pas les quémander. A leurs provocations, injures et crachats doit répondre une Colère sans bornes, et une défiance envers tout saltimbanque professionnel, qu'il parade sur scène pour un parti ou pour un quotidien. 

PS : Ceci et ceci illustre des plus clairement que le combat à mener n'est pas que politique, au sens où il ne s'agit pas que de renouveller le personnel parlementaire. Le Marché est tout autant l'ennemi que l'Etat, et il n'a que foutre des lois, des remaniements ministériels, des déclarations officielles. Des gens pour qui vous n'avez pas l'illusion de pouvoir voter travaillent à l'extermination de votre ethnie, au salopage de vos traditions, à la marchandisation des choses les plus intouchables et sacrées de notre histoire. Des motions, des pétitions, des manifs pacifiques et bonenfant ne les effraient pas. Des mesurettes gouvernementales n'entravent pas leur action. Ce sont eux qui ont le pouvoir de créer des précédents que l'Etat se dira forcé d'entériner, des "évolutions" dont il faut "prendre acte courageusement". Ces pourritures étaient là sous Sarko comme sous Hollande, sous Bush comme sous Obama, et n'ont été inquiétés par aucun slogan, aucun jonglage de rue, aucun calicot de leurs contempteurs respectifs. 

16/04/2013

PREDISONS L'AVENIR AVEC DESABUSION

Un post sponsorisé malgré lui par Ali Razeghi, Euphrate de la pensée scientifique iranienne, pompé chez AmRen, et qui concerne le final pyrotechnique du marathon de Boston:

* If the doer is a white right winger, the media will run with it for weeks, and the SPLC will raise money.

* If the doer was Muslim/AQ, the media will slowly stuff it under the rug, and our Federal government will react in a way that's at best 1% right 99% wrong, and you can bet that not granting student visas to young Muslim men from questionable countries will not be part of what we do. And they'll refuse to define this act as "terrorism," or if they'll do, it will be painful for Official America to say that word.

* If the doer was black, we'll be told that he had to do it because he was a victim of white racism.

* If the doer was Hispanic, we'll be told that it's our fault for not passing "comprehensive immigration reform" by now, and that he was upset that Mitt Romney once used the phrase "self-deportation"

* No matter what happened, because the media and Official America has totally borked its credibility, half of us won't believe the truth even if they happen to be telling us the truth.

15/04/2013

I'M WITH STUPID

Le temps que je publie ceci, je présume que l'étronicule à casquette de faux nègre aura déjà rampé dans du verre pilé et des cendres certifiées Ochouitze AOC pour sa sortie délirante. J'ai la flemme de chercher une confirmation factuelle de cette intuition, mais je ne vois tout simplement pas comme l'animal pourrait se passer d'une telle contrition pour son blasphème.

Je ne pense pas être lu par le dépressif chronique d'Amoyquechaut, mais je prends le risque de lui inspirer un billet sur "Bieber, nouvelle Jeanne d'Arc de la fachosphère dégénérée."

Les guignolades quenellesques d'un Dieudo' ou les nichonneries des Femen, c'est pareil, à se confondre. On a affaire à des incroyants qui semblent penser sincèrement que le blasphème est une arme efficace contre des bigots, qui pratiquent le déconno-militantisme en visant moins à convaincre quiconque qu'à choquer ceux qui ne se laisseront jamais polluer par le doute.

Rien d'une telle démarche dans la bieberade en question. Le morveux pensait certainement faire un compliment en comptant la petite Sainte du Placard dans ses fans post-mortem. C'est la naïveté de l'énormité qui fait sa saveur, là où celles que profèrent un Dieudo (et Votre Serviteur à ses heures, soyons lucides) ne relèvent que de l'intention de nuire et salir.

Les dégueuleurs de haine dans mon style et les saltimbanques rutilants à la Bieber sont tous les produits d'une certaine éducation. La nôtre a mal tourné, donnant les résultats inverses qu'espérés, la sienne a donné les fruits attendus. Il fait partie de cette génération intégralement élevée selon les méthodes du Spectacle, pour reprendre le verbiage situ. En clair : c'est une andouille irrécupérable, d'une inculture phénoménale, offerte en fétiche semi-sexuel à des hordes de feniaules ayant à peine leurs règles.

A force d'abrutir les masses, le système est en train de produire une génération Hitler connaît pas, une vraie de vraie cette fois, invraisemblablement plus bête que la première. Une génération Hitler allô quoi, qui dérapera sans même s'en rendre compte, qu'il faudra toujours ramener dans le troupeau à coups de pique électrique, là où mes contemporains avaient eu l'échine si bien brisée qu'il leur fallait une overdose de colère folle pour retrouver un erzatz de dignité punk. Les Correcteurs se préparent un avenir fatiguant. Ca ne change rien au schmilblick, mais c'est toujours ça de pris pour la bonne humeur.

12/04/2013

CHEZ LES AUTRES

Chez les autres parce que je n'ai pas grand-chose à vous raconter ces temps-ci. Quelques gros projets qui pourraient aboutir, si un miracle fait un détour par ma rue. L'actu m'inspire à peu près les mêmes réactions que la météo, à savoir une certaine envie de coma artificiel.

 

*

Je ne sais pas trop si l'immense majorité de mes centaines de milliers de lecteurs, vivant pour son malheur en ex-France, pourra accéder à ceci : si oui, et si ce n'est pas déjà fait (je m'excuse, je débarque), elle pourra oublier l'immonde début de printemps pendant nonante minutes en mâtant L'antisémite de Dieudonné. Etrange object cinématographique où Soral et Faurisson viennent faire les imbéciles, où chaque personnage est une caricature façon manga porno, où l'on oscille entre fiction et faux documentaire et où tout le monde dit et fait à peu près portnawak. La chose vire souvent à la potacherie sectaire pour initiés plus ou moins seuls à rire de leurs private jokes, c'est vous qui voyez si vous digérez ou pas. 

*

La croyance absurde «l'épargne c'est mal, la consommation c'est bien» devrait entrainer la condamnation immédiate au supplice de l'entonnoir, estime Monsieur Lime, et il sait de quoi il cause puisque c'est exactement mon avis. Souvenirs flous de mon grand-père, qui s'était presque fâché pour de bon avec mon paternel, qui voulait le sortir d'une embarras passager en lui avançant une modeste somme : pas question d'avoir des dettes, question de dignité. Deux générations plus tard, vendre son cul à un usurier pour conduire une bagnole de luxe entre son appart minable et un job pire encore où tu te dessèches d'ennui, c'est parfaitement envisageable. 

*

Quelques milliers de pages de littérature racialiste essentiellement en angliche. Je ne sais plus si j'ai déjà publié ce lien. 

*

Juste parce que je crois avoir aperçu des trouducs de Grinepisse l'autre jour, je rappelle l'existence des travaux de Bjorn Lomborg.