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29/03/2013

LE DENI DE SODOMIE NE PREVIENT PAS LE MAL DE CUL

 

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Bien qu'ils affirment publiquement que les différences raciales n'existent pas, les gens agissent dans leur vie privée autant que publique d'une manière qui montre qu'ils comprennent que la race est bien plus qu'une construction sociale. Ce qui en est vraiment une, c'est bien entendu le concept d'égalité. D'où lle fait que le dialogue,  dans la BRA (Black-Run America), est à sens unique: il faut constamment rappeler aux Blancs leur ouacisme passé et présent, les forcer à expier leurs privilèges, pour qu'à l'avenir leurs enfants soient à jamais des citoyens de seconde classe.

Le début, la suite et les exemples qui vont avec chez SBPDL.

27/03/2013

INSTINCTS PERVERS CONTRE GRANDS PRINCIPES

Alexandre Marie se demande ce qui rend Merdachon "intouchable", au vu de l'archipantouflard silence entourant l'empilement de ses déclarations ouacisses. La question n'est peut-être que rhétorique et la naïveté du questionneur feinte. Je prends le risque de l'hypothèse contraire.

Il y a la surface propre et brillante du lexique sursocialisé, et il y a la crasse grouillante de vermine qu'elle recouvre. De jure, le ouacisme est honni, interdit, immoral, contrahumanitatocriminel, aucune circonstance atténuante n'étant jamais admise. De facto, traiter les Blancs comme des ordures congénitales n'est pas que permis : c'est encouragé, parce que d'une impeccable moralité.

On se condamne à ne rien comprendre à ces questions si on zappe la notion de Honte Blanche, ce sentiment diffus de culpabilité qui pourrit la vie des civilisés. Chargé du poids des péchés originels que sont l'esclavage, la guerre moderne et les nettoyages ethniques perpétrés avec des moyens chouïa plus évolués qu'une machette et une mâchoire, le toubab est prié de faire acte de contrition, de demander pardon à toute l'humanité.

Au centre de cette secte masochiste, se trouve Ochouitze, dont la salissure morale souille tous les Européens, et pas seulement les Allemands comme le laisserait supposer un certain folklore olivoudien. Après les camps-de-la-mort-qui-tue, il n'est plus possible pour un bipède hétéro pâle de vivre autrement qu'à genoux et les yeux baissés. On sait où ça mène de relever le front (insérer ici un jeu de mot minable sur sa version "nationale", ovation garantie sur n'importe quel plateau en praïme-taïme) et d'exiger que le respect soit mutuel.

Les intellos, les artistes, tous les saltimbanques d'Occident, en première ligne desquels se trouvent nos parlementeurs et dé-putés, constituent l'élite de cet excécrable clergé. Plus que tout autre Face-de-Craie, ils sont affligés d'un dédoublement de la personnalité : seuls face au miroir, ils refusent "de se prendre pour des Blancs", mais se sentent pourtant investis d'une mission de rééducation de "leur peuple".

Dans leur vision classiste de la planète, tout Blanc est un Koulak, un contre-révolutionnaire, un provocateur bourgeois réactionnaire, un saboteur de lendemains chantants, une saloperie qui exploite le Tiers-Monde, ce Tiers-Etat mondial, cette Classe Ouvrière rédemptrice. Le Blanc est ouaciste et haineux, or la ouacisme et la haine sont haïssables et doivent être haïs, de toute son âme, de tout son coeur. Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance, vous connaissez la mélodie.

Il n'est pas question ici d'incohérences doctrinales. La cohérence est au contraire toute prussienne : tacitement, d'un commun accord, Les loups blancs sont plus sauvages et plus méchants.Tout ethnocentrisme grossier, toute manipulation vulgaire de symboles nationalistes, tout identitarisme brutal n'est pas traité avec les mêmes reniflements dégoûtés par nos curetons laïcs. Mamadou arborant un t-shirt aux couleurs d'une chimérique afro-mafia n'est pas l'homologue de Kévin paradant avec la tronche de Charles Martel sur sa bedaine : l'un exprime un amour bien légitime de ses origines dans un contexte social où "la parole ouaciste se libère chaque jour un peu plus", l'autre est l'illustration vivante et insupportable de ladite libération. Le premier est une esclave a brisé ses chaînes et les agite comme un trophée narquois, le second est son ancien maître en qui il faut exterminer toute tentation de nuire à nouveau, toute nostalgie pour sa domination passée.

Contradiction ? Oui si l'on croit que l'antiouacisme est un activisme politique sincère basé sur des principes. Or il n'est qu'une saloperie mobilisant les instincts pervertis et suicidaires de pourritures qui auront de l'eczéma purulent sur les couilles aussi longtemps que tous les Européens ne seront pas enchaînés dans des champs de coton.

C'est cette vigilance muette, cette parano doucereuse et souterraine, qui explique la réactivité orgasmique de la presse dès que, miracle et anomalie statistique ! un criminel pâle fait une victime bronzée, alors que des milliers de cas inverses sont passés sous silence, ou provoquent stupeur et étranglements lorsqu'une proportion dérisoire en est compilée dans un bouquin.

Comme l'explique Werner dans le billet précédent, le régime n'applique ses propres lois les plus sacrées que lorsqu'il y a intérêt. Mais il y a, là encore, les lois officielles et les lois officieuses. Pour tout ce qui concerne les relations entre peuples, l'officieuse contredit violemment l'officielle, parce qu'il n'est pas possible de parler cash, cyniquement, pragmatiquement. Mais tels sont les faits : si Merdachon peut ouacister tant et plus, c'est parce qu'un toubab ne peut pas être victime, c'est parce que la race blanche n'a le droit à l'existence qu'en tant que ramassis de fils et filles de putes.

On peut faire preuve de ouacisme contre les Blancs, parce que c'est un juste retour de manivelle, parce que les Blancs sont ouacistes, parce qu'ils ont inventé et pratiqué le ouacisme le plus virulent et dévastateur de l'Histoire Officielle, et que l'idéal de Justice est de rabattre le caquet de cette engeance génocidaire, capitaliste, polluante, colonialiste, chauvine, cul-bénie, machiste, tout ce que vous voudrez dans le genre.

Le discours est cohérent, le programme homogène, la méthode rigoureuse. Simplement, on n'y entend que dalle si on est du genre à s'interdire d'avoir mal quand on se prend un genou dans les parties, alors qu'on pensait se faire offrir un free hug.

WERNER

Eric de son prénom, entrevué dans la dernière NRH. Parfaitement d'accord (il doit être content, l'heureux homme) avec ce qu'il explique brièvement sur le bordel ambiant de la zone grise continentale, qui n'en est qu'à ses débuts :

Ce que l'on appelle l'Etat de droit en prend volontiers à son aise avec le droit, y compris avec les principes généraux du droit : en sorte qu'on est conduit à se demander s'il mérite réellement son nom. Schématiquement, l'Etat de droit ne respecte ses propres lois que quand il a intérêt à les respecter : autrement, non. (...) On pourrait aussi dire que le régime occidental est une oligarchie, mais une oligarchie mâtinée d'éléments ochlocratiques, comme en témoigne le scandale récent des subprimes, sans parler de la crise grecque. Je prends l'adjectif ochlocratique au sens large. L'ochlos ne désigne pas seulement pour moi la "racaille, les éléments troubles de la population (ce qui est le sens étymologique), mais par extension aussi ceux des éléments de l'oligarchie se livrant eux-mêmes à des activités criminelles. Je pense en particulier à certaines banques ou complexes financiers et aux techniques leur ayant permis de ramasser un maximum d'argent lors des deux épisodes qui viennent d'être évoqués: sommes, paraît-il, dont les montants dépassent tout ce qu'on peut imaginer. Or il ne s'agit pas là de phénomènes isolés. La criminalisation affecte aujourd'hui toutes les parties du système. Aucune n'y échappe, pas même la partie centrale. Sous l'angle socioculturel, cela s'apparente à un processus de décomposition, de retour au chaos. Mais un tel processus peut aussi prendre beaucoup de temps. C'est pourquoi je ne dis pas que c'est la fin, mais seulement le début de la fin.

L'animal a aussi son propre blog, mais je confesse ne pas comprendre grand-chose à ses fines allusions et obscurs sobriquets... Il répondait en 2005 aux questions d'Eléments, traitant de la boulimie étatique en matière de surveillance, c'est à télécharger ici, grâce aux bons soins de M. Criticus.

 

26/03/2013

LE GENOCIDE EUROPEEN EXPLIQUE SIMPLEMENT PAR UNE BELLE PARABOLE D'IVROGNE

 

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Posons que je vous invite à casser la croûte à la maison.

Oui, l'hypothèse est tirée par les cheveux, que je n'ai pas très longs. Cela supposerait au strict minimum que vous ayez écouté - et compris - l'intégralité de ceci, que vous ressembliez au moins vaguement à cela, un compromis entre les deux options étant bien entendu préférable aux yeux d'un modéré comme moi.

Vous ayant installés avec un apéro à base de taillé aux greubons et chasselas bien frais, je m'éclipse, prétextant le dépucelage d'une excellente bouteille pour l'occasion. Alléchés par les fumets sortant de la cuisine, vous y pénétrez sans autorisation et me surprenez non pas en train de touiller la sauce blanche avec mon troisième bras, mais de remplir une prestigieuse topette d'un grand millésime avec un rince-cochon rosâtre sortant d'un cubi graisseux. Je considère comme très probable que vous convaincre d'en boire et vous le faire apprécier sera un poil sportif.

Pourtant, si vous êtes un grand progressiste, la triste vinasse devrait vous faire l'effet d'un étourdissant nectar, du simple fait de son passage dans une boutanche portant une belle étiquette.

Ah mais oui ! Qui a dit que c'était à la portée du premier connard venu ? C'est difficile, je vous l'accorde. Mais d'une logique !

Si le récipient ne se brise pas, vous pourrez considérer ce pinard comme parfaitement intégré, et considérer tout individu sceptique face à ce raisonnement comme un hitlériste à lobotomiser sans anesthésie car nuisible au Vivransambles.

Si l'on poursuit le long de cette scabreuse métaphore oenologique, l'homme de droite s'intéresse au contenu de la bouteille, tandis que le sursocialisé n'est qu'un méprisable buveur d'étiquette. Pour ce dernier, l'inné n'est rien, l'acquis est tout, et il n'est pas de phénomène humain qui ne s'explique exclusivement par des facteurs environnementaux. Du chasselas transvasé dans une bouteille de pinot se transforme miraculeusement en vin rouge. L'homme ne compte pas, c'est sa place et sa fonction au sein de la société qui importe. Il s'y comporte comme la dernière des merdes ? La société est coupable et doit s'amender en se montrant infiniment plus patiente, compréhensive et maternelle qu'envers, disons ? un joueur de foot qui met son bras à un angle non-validé par la Licra.

Depuis quelques décennies, les propriétaires du monde semblent très intéressés à remplacer le contenu démographique des pays occidentaux, tout leur conservant l'apparence de leur état originel. La devanture du restau gastronomique reste, l'arrière-boutique est devenue un kebab-pizza-sushi bar où les normes d'hygiène sont gang-banguées jour et nuit. S'en formaliser ? Fasciste. Les chiens font très officiellement des chats, parce que reconnaître le contraire serait apporter de l'électricité à la dynamo d'Adolf.

La traçabilité du vomitif hachis de fausses lasagnes surgelées pour le lumpen à crédit-conso ? Plus que nécessaire. Un marigot quelconque où des espèces exotiques, importées par pure obsession du pognon, ont éliminé la faune autochtone ? Un désastre écologique. N'y pensez même pas en matière de groupes et d'individus constituant une nation.

De ce point de vue, les écolos les moins inconsistants, et les plus « respectables », sont encore ceux qui ont assez mûri pour faire leur deuil de l'antique folklore subversif du Komintern et se sont mis au service du libéralisme à visage humain greffé: eux au moins tentent de vous la mettre sans vous faire croire que c'est pour vérifier l'élasticité de votre prostate.

21/03/2013

ENCORE UN CRIME OUACISTE PASSE SOUS SILENCE !

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Nous sommes tous coupables.

Est-on jamais assez vigilant face à Babeth Ymonde ? Pourquoi si peu de cierges pour illuminer nos Heures Sombres ? Comment expliquer la coupable indulgence de la presse occidentale envers les ouacistes qui viennent jusque dans nos bras égorger nos Divers© et nos Chances© ? Sans doute cette dégueulasse tendance s'explique-t-elle par le fait que la grande majorité des pisse-copies sont Blancs... 

Indignez-vous ! Indignez-vous ! Une nouvelle agression du kukuklan s'est produite au Yankiland, pays de la ségrégation et de l'exclavagixme, il y a déjà quatre mois, et pas un mot dans les feuilles de chou ! Halte à l'impunité des encagoulés brûleurs de croix !

Dénonçons vigilons plusjamaiçons !

20/03/2013

LA PETITE CINEMATHEQUE MYTHO DU MERCREDI

 

17/03/2013

VOUS AVEZ TOUT FAUX - CONTINUEZ COMME CA

Si je retrouve rapidement une aiguille à me planter dans la fesse, j'arriverai peut-être à verser une larme sur les déboires d'un footeux. Mais outre le légitime mépris que l'on peut réserver à cette répugnante sous-classe sociale, et en faisant brièvement abstraction de tout adolfisme, posons quand même rapidement les faits de manière brute et simple :

Je fais un geste avec le bras et dans les minutes qui suivent, je peux changer de métier. Ni mort, ni blessé, ni détournements de fonds, ni tricherie, ni insulte, ni viol d'aucun règlement. Une articulation qui se déplie, un membre placé à un certain angle, et paf - viré, honni, sali.

On peut faire une belle carrière de déPUTé européen en ayant admis s'être fait masturber par des enfants. On peut revenir aux affaires d'un pays en traînant au cul mille affaires de prostitution de mineures. On peut faire magiquement disparaître des milliards de milliards de francs et toujours être considéré par les chefs d'Etat et les journalopes comme un grand spécialiste de la phynance mondiale. On peut torturer, violer, tuer, et toujours trouver un avocat pour vous défendre, une pouffiasse pour vous marier en prison, une ordure post-catho pour organiser un cercle de silence en votre faveur. Mais il y a un angle de bras par rapport au corps qui, si vous l'adoptez pendant plus qu'une seconde d'inattention, vous dégage de la société des honnêtes gens.

Dans un monde un peu normal, des hordes de supporters auraient déjà parcouru les artères des plus grandes bourgades alentours, offrant des séances d'acupuncture gratuite à toute personne passant à proximité d'une batte cloutée. Mais souvenez-vous, bande de distraits canaillous : ce monde n'est pas normal.

Mais oublions ces remarques de vieux con avant l'âge.

Correcteurs professionnels, castrateurs démocrassouillons, Politkomissars à peluche rose, je vous conjure,

NE CHANGEZ RIEN

Continuez exactement comme ça.

Nous savons, de toute manière, que c'est une question de survie pour vous : dans une ville sans rats, personne n'a besoin d'un dératiseur. Or la seule chose qui vous sépare du suicide collectif face à la grisaille sans espoir de vos minables existences, c'est l'argent de poche que vous vous faites à pourchasser les rats de vos propres élevages.

Le ventre de la Bête Immonde, c'est vous. La Gestation Pour Autrui, ça fait depuis 1945 que vous la pratiquez à vous en fendre le bassin en deux. L'adolfisme mort, carbonisé et dispersé aux six cent soixante-six coins du cosmos, vous en avez conservé des hectolitres de foutre, vous en tartinant le cul à chaque fin de menstrues, pour pouvoir bouffer vos propres bâtards jusqu'à l'extinction des rares spécimens d'humains vaguement intelligents.

C'est dans vos serres putrides qu'ont germé les graines des futurs massacres interethniques. Je suis l'un de vos bâtards. C'est vous, votre saloperie, votre obsession, votre trouble obsessionnel compulsif déguisé en Demoire de Mévoire qui m'a inoculé cette Haine que vous passez votre vie à renifler, comme des eunuques qui se feraient embaucher dans une commission de censure, histoire d'être payé à mâter du porno sans bander. Vous faites pire encore que ces tribus grotesques des égouts de la planète, qui tannent la gueule de leurs gosses quand ils se chient dessus à l'âge où le contrôle du sphincter est physiquement impossible.

Merah et Breivik, c'est vous. Tous les Merah et tous les Breivik de notre gerbatoire avenir, c'est vous qui les avez conçu, élevés, nourris, nazifiés, holocaustocratifiés.

La sagesse populaire prétend qu'à quelques centimètres d'une plante toxique, pousse son antidote, à disposition de qui sait le voir. Nous autres, archétypes de tout ce que vous considérez comme ce qu'il se fait de pire à la surface du globe, nous sommes précisément cela : votre contre-poison.

15/03/2013

LES ENFANTS D'UN SOLEIL

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Nous parlions, en des lieux peu fréquentables, avec des gens ne l'étant guère plus, de l'impact de l'optimisme sur la santé. Toujours vivant, pas très vaillant mais sur deux pattes néanmoins, je répondais ceci à Unetelle, me prédisant un long avenir pour cause de pessimisme :

Voltaire, qui ne s'est pas trompé sur tout, affirmait l'exact contraire. J'aurais tendance à lui faire confiance sur ce point.

De fait, les gens qui nous impressionnent le plus, dont on veut être le pote, dont la simple présence physique vous réchauffe et vous motive, sont ces êtres presque irréels sur qui la noirceur et la bêtise du monde semble n'avoir aucune prise. Ils ont toujours la banane, la patate, le mot pour rire, la tournée spontanée. Je hais cette mélancolie qui me colle au cul depuis ma naissance, et j'envie plus que tout ces hommes et ces femmes comme nés d'un soleil, irradiant autour d'eux.

Deux de ces créatures hors-normes - surtout l'un d'entre elles, Lui, l'Indispensable, l'Incontournable, mon Pote, mon Frangin depuis vingt ans - seront là ce soir. La boustifaille en leur honneur frémit déjà dans les casseroles. Ils auront droit au meilleur picrate, aux gnôles les plus soigneusement sélectionnées, et j'irai même leur chercher à pied des croissants après une dévastatrice nuit blanche s'ils daignent rester toute la nuit ici-même, ce dont je doute.

Lui est un cas particulier. Des pépins de santé indescriptibles auraient pu le soustraire à notre affection - que dis-je ? notre quasi-idolâtrie - depuis des lustres déjà. Et il s'acharne encore, le putain de bestiau ! Toujours parmi nous, toujours le Premier, toujours en avance sur tout le monde de plusieurs coudées, l'air, en plus ! de ne pas y toucher, de faire dans le modeste et le discret, le salopard !

Souvenirs des immondes années 99-2000, si froides, si laides, si solitaires. Passons les détails : ayant fait fuir par stupidité et égoïsme une feniaule de compétition, je pataugeais jour et nuit dans l'ineptie, ne respirant pleinement à nouveau qu'en la présence de ce grand taborniau, dévasté à chaque fois qu'il me ramenait chez moi, au petit matin. Treize ans plus tard, est toujours là, inchangé, inchangeable, irradiant plus fort que dix Tchernobyls, si radicalement aimable qu'il vous ferait presque prendre l'hétérosexualité à la légère.

14/03/2013

LE PUTANISME EST UN FEMINISME

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On peut poser que la dangerosité d'une propagande est fonction de son caractère plus ou moins insidieux, subtile, indétectable. Qu'elle est à l'inverse moins offensive à mesure qu'elle gagne en épaisseur, en lourdeur, en grossièreté. Se barbouiller de rouge à lèvres quand on ne s'appelle pas Robert Smith, ou porter des talons quand on n'est pas Lux Interior, ça n'est plus de la tarlouzerie d'enterrement de vie de garçon, c'est une manière de manifester son soutien à la Cause des Femmes.

Oui, on trouve vraiment des mecs hétéros a priori normaux pour participer volontairement à ces guignolades. Et c'est une bonne chose. C'est un excellent de dépister les infectés du sida d'la tête avant que la maladie ne se déclare complètement. A l'inverse, ça peut contribuer à faire sortir de ses gonds des individus non-politisés, calmes et discrets, qui trouveront quand même que se laisser pousser le caca jusqu'au niveau de l'oesophage au nom de l'Ouverture et de la Tolérance, ça n'est quand même pas négociable, en fin de compte.

C'est en ce sens qu'on peut franchement se réjouir de la tournure Mowat-Wilson prise récemment par le féminisme un peu partout en Occident. Les grognasses aboyantes des Femen, dégaine de putes de luxe tombées dans le crack ? Excellente nouvelle ! Des poilus qui se baladent en fuck-me-shoes ? Admirable ! On se réjouit de la prochaine initiative, encore plus conne, encore plus insultante, de nature à s'aliéner encore plus de bonnes volontés, et à ne recueillir que les suffrages des plus irrécupérablement atteints. Tout ce qui peut, par excès de grotesque, saper la légitimité usurpée de la misandrie à prétention intello, est à plébisciter par avance.

13/03/2013

LE RECYCLAGE, C'EST BIEN

Sauf quand on fait ce genre de choses, et alors là le recyclage, c'est MAL.