28/02/2014
LA GRANDE QUESTION ENFIN RESOLUE
Si les chouifs se serrent les coudes, c'est tout bêtement parce que la planète toute entière veut les manger.
Parce qu'ils sont ce qu'ils sont (tenter de le définir avec précision est antisémite), pas à cause de leur comportement (l'insinuer est antisémite), ni pour de chimériques actes inamicaux envers les populations d'accueil (l'imaginer un seul instant est antisémite).
En gros, tout l'argumentaire parano, malhonnête, goyophobe et suprémaciste de l'ADL.
Ca a l'avantage d'être facile à retenir: il y a beau avoir des juifs riches, pauvres, idiots, intelligents, aimables ou détestables, il y a une catégorie qui n'a jamais existé et n'existera jamais: c'est un juif coupable de quoique ce soit. C'était vrai mille ans avant Dreyfus, déjà.
La culpabilité, la morale chrétienne l'atteste, se loge dans la bite. En s'en coupant le bout, Moshe & Co ont réglé le problème à la base : plus jamais coupables de rien. Nickels. La véritable Immaculée Conception collective. C'est tout simplement admirable (ne pas admirer est antisémite).
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24/02/2014
BEAUTÉ INCOMPARABLE DE L'ARTISANAT
22:15 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (0)
23/02/2014
SCANDALE MES BURNES
(...) le CRAN (Conseil représentatif des associations noires), de par son nom, exclut de facto une partie de la population par sa couleur de peau. Pourrait-on concevoir un instant l’existence d’un CRAB (Conseil représentatif des associations blanches) ? On imagine le scandale que cela susciterait !
Oui, on pourrait concevoir la chose, bien plus qu'un instant. (Demandez donc à Terre & Peuple ce qu'ils en pensent ou en pensaient). Non, on "n'imagine" pas le scandale que ça susciterait, parce que le vrai scandale est l'idée même que cela puisse en susciter un. Le vrai scandale, c'est que des gens qui prétendent échapper à la Correction et se piquent de critique radicale de la modernité, acceptent par avance d'être taxés de ouacisme et tombent avec un tel enthousiasme, une telle rage, dans le piège de l'édulcoration de leurs propres positions.
Cette manière d'attaquer la cohérence de l'ennemi n'est pas offensive : c'est une déclaration de forfait. L'ennemi EST cohérent - son discours ne l'est pas, son comportement si. Et c'est tout ce qui compte. Son objectif : utiliser à son profit cette bonne vieille white guilt, contre laquelle Monsieur Moyen ne songe jamais à se défendre.
Qu'importe la pureté et le clinquant des idéaux dont on se réclame : un coup bas reste un coup bas. Le chantage à la culpabilité blanche héréditaire en est un. Les blanchouilles qui continuent à la jouer chevaleresque quand on leur vise explicitement les burnes méritent d'être vaincus par cette traîtrise.
Oui, la population blanche existe, oui sa culture est engerbée quotidiennement par le Spectacle tout entier, et non, tenter de retourner le chantage ouaciste contre les ennemis de la race blanche ne fonctionne pas, ne fonctionnera jamais.
Ca ne fonctionne pas parce que personne n'est sincèrement antiouaciste. La négritude la plus hallucinée a toujours été soutenue par les mêmes pourritures pour qui un toubab n'est jamais assez humble, effacé, suicidaire et contrit.
L'Occident se divise en deux catégories, l'une massive, l'autre archiminoritaire. La première regroupe toutes les tendances des individus qui pratiquent et/ou prônent la Honte Blanche, de la modérée à la pragmatique en passant par la forcenée ou la suiviste. La seconde, les angry few qui s'en sont affranchis, qui ne s'excuseront plus jamais d'être ce qu'ils sont, qui n'endosseront plus jamais la responsabilité de la médiocrité, des échecs, de la connerie, ni du malheur d'autrui.
Quand on ne comprend pas ça, on peut bien prétendre défier le chantage affectif et rejeter la pornographie mémorielle : on reste un républicain, donc une partie du problème.
Il est relativement inconcevable que l'antique mirage gaulliste fasse encore illusion. Mais après tout, il y a bien des gauchistes convaincus pour s'enivrer encore des vapeurs de la mitterandie ?
Post-bloggum
Je précise, avant qu'on vienne me les briser, que je ne suis pas favorable à une quelconque organisation légaliste de défense des intérêts des Blancs, comprise comme un lobby qui chercherait à se faire sa place au sein de la société et reconnaîtrait l'Etat et le Marché comme des instances supérieures à qui faire allégeance. Dans le meilleur des cas, ça ne serait qu'un premier pas pragmatique visant à la suprématie desdites associations, les autres n'ayant pas leur place sur la péninsule eurasiatique.
18:51 Publié dans Autopsie de la Dissidence | Lien permanent | Commentaires (1)
16/02/2014
CE PETIT MATIN QUI NE VIENT PAS
Quel jeune faf fiévreux, rigolard et touché par la grâce de Sainte Colère n'a-t-il pas appris par coeur ces lignes délicieusement mythos ?
Sauf que ledit Grand Soir n'a pas exactement pris les formes auxquelles on pouvait s'attendre. Tous les révolutionnaires ont été vaincus par le Marché, mis en quarantaine perpétuelle ou réduits en un esclavage plus ou moins volontaire et décontracté.
Ne demeure de l'Eglise Rouge que son catéchisme culturel, qui s'est imposé aux masses d'Occident comme leur nouvelle culture générale. Il y a encore une petite génération, il fallait être bolcho pour trouver de l'inspiration dans le parcours d'un Mandela, pour ne prendre qu'un seul exemple. Bien avant la grand-messe morne et maladroite qui a suivi son décès, il était déjà devenu une figure révérée par toutes les tendances politiques présentables. Ce processus de normalisation était déjà bien entamé lorsque le délirant M. Clegg chantait asimbonanga, hymne négromane que ma génération a subi avec enthousiasme.
Tout le folklore communiste a été institutionnalisé. Intégré dans la machine capitaliste sans la faire ralentir. Un peu comme s'il y avait un département "sabotage" dans chaque usine, avec une petite statue de Ned Ludd bien en évidence sur le guichet.
Le magasin reste ouvert pendant les travaux du Grand Soir. Importante remise pour tout client qui se pointe avec une étoile rouge à la boutonnière. La chute du mur de Berlin, ce n'est pas le triomphe unilatéral de l'Ouest libéral et de sa seule logique. C'est la rupture d'un hymen, la consommation d'un mariage inattendu, la communion entre deux forces qu'on croyait antagonistes et qui ont fusionné pour exterminer la civilisation.
"Et nous qui ne sommes ni bourgeois ni conservateurs....", nous veillons dans cette nuit interminable, les yeux pourris d'épuisement, avec nos pétoires d'occase qui prennent la rouille et la poussière, en attendant un Petit Matin qui décidément ne vient pas, dans un Désert des Tartares à l'échelle continentale.
Est-ce à ce scénario ridicule que pensait Drieu ? Moyen.
Et Si le soleil ne revenait pas ? Pas parce que la Terre aurait cessé de tourner, mais parce qu'un smog gerbatoire en bloquait à jamais les rayons ? Une nuit perpétuelle en plein jour, indifférente au cycle des saisons.
Passant, va dire à Sparte que nous sommes morts de tristesse, usés avant l'âge et sans gloire, pour absolument que dalle.
Contre un mur, on peut toujours se battre, même à coups de tête: à défaut d'espoir d'y ouvrir une brèche, on se console avec la satisfaction d'avoir tout donné dans un ultime geste de haine pure. Quand on se bat contre le brouillard, on est surtout un couillon qui s'agite dans le vide, et la plus sincère des colères se résume à un spectacle un peu embarrassant.
12:37 Publié dans Marées Noires | Lien permanent | Commentaires (5)
11/02/2014
"UNE ADOLESCENCE RÉUSSIE"
Le glorificateur de la beauté septentrionale estime, dans un billet qui remonte à décembre passé, que l'appréciation de son travail est réservée à un lectorat qui a subi "une adolescence ratée."
Je comprends ce qu'il veut dire, mais ne suis pas sûr de pouvoir définir ce que pourrait être une adolescence réussie.
Pour mécole qui vous cause, cette période a surtout été abominablement chiante, et je pense que c'est le cas pour la grande majorité des jeunes hommes qui ne vit pas dans la plus porcine opulence ou n'est pas "connu des services de police" avant son premier poil de barbe. Le principal enseignement de l'enfance est la frustration, celle de l'adolescence est l'ennui. On n'en sort indemne que grâce aux livres, à la musique, aux voyages pour les plus chanceux.
Il me semble par ailleurs que le concept même d'adolescence est une invention relativement récente, tout aussi inutile que la période qu'il désigne, saluons cette rare cohérence. C'est quoi, un ado ? Un gamin affligé de pulsions d'adultes et privés des droits d'y céder comme des moyens d'y résister. Abjecte chrysalide sans la souplesse de la chenille ni les ailes du papillon. On s'y emmerde comme ces interminables journées qu'on passe au plumard, les jambes coupées par un virus.
"Rater" son adolescence - pléonasme.
C'est foutre en l'air ses vingt ans qui est une tache ineffaçable dans le cursus d'un individu.
J'ai rangé mon adolescence idiote dans un carton où elle se momifie à son rythme. Mais le zombi de mes vingt berges, prostitués pour des clopinettes, gâchés au nom de la flemme, de la lâcheté et de la neurasthénie pratiquée en hobby, celui-là ne veut pas rester dans son tiroir. J'ai sa gueule pourrie devant les yeux ce soir, et pas du tout envie de trinquer avec lui.
On est le sang qu'on a reçu, l'éducation qu'on a intégrée, l'époque où l'on vit, c'est certain. Ce stupéfiant gâchis, je n'en suis pas seul responsable. Les enfants de soixante-huitards sont véritablement cette première génération élevée d'un bout à l'autre selon les règles du Spectacle, comme l'écrivait Semprun, ou un autre post-situ dont je ne retrouve pas le passage. Nos souvenirs communs ? Des sitcoms.
Mais rien ne pardonne d'avoir trouvé trop tard l'énergie de se soustraire à un destin à la con. Il n'y a pas que le style qui fait l'homme, ou plutôt fait partie intégrante de ce style la manière dont il refuse de se plier à un destin tout tracé, la persévérance qu'il met à dérailler une fois qu'il a réalisé que la voie le mène dans un marigot de médiocrité, de bassesse et d'impuissance.
17:56 Publié dans Marées Noires | Lien permanent | Commentaires (4)
10/02/2014
HATE IS ENERGY
21:05 Publié dans Autopsie de la Dissidence, La Zone Grise, Marées Noires | Lien permanent | Commentaires (0)
09/02/2014
"SIGNAL FORT"
On aime bien cette expression idiote, chez les éditorialistes rampants (bénéfice du doute oblige, je rajoute pas: "pléonasme"). Elle désigne des symboles que l'on tente de faire passer pour des actes, ou riches de promesses d'actes ultérieurs, qu'on passe sa vie à attendre qu'ils se produisent. Elle est souvent utilisée dans un contexte enthousiaste: est un "signe fort" une loi, un discours, une gesticulation officielle qui va "dans le sens du progrès" et qui a le soutien du commentateur. Elle s'entend alors au sens du "coup de semonce" dirigé vers une cible agréée.
L'acceptation de l'initiative de l'UDC devrait logiquement rentrer dans cette catégorie, mais les éditorialistes sont en train de se fendre le crâne à remplir des baquets entiers de mouchoirs, histoire d'avoir assez de larmes et de morve pour leurs lamentations de demain matin (10 février). "Signal" certes, que ce refus in extremis des bruxelleries en matière de libre circulation des personnes, mais pas "fort" : il sera "mauvais", "inquiétant", symbole d'une Suisse "frileuse" qui "se referme sur elle-même", cédant aux "sirènes" malsaines de "populistes" qui font de "la peur de l'Etranger" [insérer génuflexion laïque ici] leur bien dégoûtant "fonds de commerce".
(Attention : rabâcher systématiquement la mémoire d'Ochouitze ou entretenir le ressentiment des métèquesenvers les Toubabs n'est pas un "fonds de commerce", quand bien même ça permet de gagner confortablement sa vie.)
Je présume qu'en image-miroir, le commentariat réac et affilié va exulter, comme pour l'histoire des mines-à-raies. Il est normal et sain qu'un système économique ne recoure à la main-d'oeuvre immigrée que dans la stricte mesure de ses besoins. Il est lamentable qu'il ait fallu une votation pour régler (provisoirement?) cette question, et qu'on en fasse une polémique d'ordre politique. Parce que si les bruxellocrates ont mangé une baffe, le scrutin ne consacre pas la victoire de l'identité enracinée. Le couplet de l'UDC a certes tenté de mobiliser ses troupes sous cet air-là, avec les compliments des Correcteurs, ravis de pouvoir compter sur un épouvantail commode - mais c'est de la grosse arnaque.
Dans une situation normale, le texte de l'initiative pourrait avoir des résultats intéressants, parce que relevant du simple bon sens. Mais nous ne vivons pas une situation normale. L'Etat, le Marché et les Mediats mènent une guerre ethnique de substitution à leurs propres citoyens, c'est déclaré, assumé, réitéré. En Suisse, les élites du commerce réfléchissent dans les mêmes termes que cette petite saleté, opportunément rappelée par l'Hoplite. Par conséquent, définir une politique d'immigration selon les besoins des gros patrons ne change pas le problème : le Grand Remplacement va se poursuivre, la machine à concasser les peuples n'a connu qu'un bref hoquet.
20:20 Publié dans Autopsie de la Dissidence, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (3)
06/02/2014
LA QUESTION QUI N'EXISTE PAS...
... est posée avec un peu plus de bonne volonté que d'ordinaire, ces temps-ci. Ca n'augure de rien, ni bon ni mauvais, mais ça soulage, faut avouer. Même le très Correct Hebdo n'en fait pas l'économie :
De l'autre côté de la Correction, le CGB s'y met aussi, et c'est souvent très poilant (ici et surtout là).
Deux exemples extrêmes d'une même volonté, plus ou moins contrite, de casser le morceau sur THE sujet inabordable, l'anti-marronnier par excellence, la seule maçonnerie dont "les nouveaux réseaux" ne peuvent alimenter un dossier pour période creuse. Ah c'est que s'intéresser à la copie ou à l'original, c'est se farcir une topette de tabasco par un bout ou l'autre du système digestif, pas à la portée de tout le monde...
J'ai lu le "dossier" en question, traduit de The Economist. Je vous spoile évidemment pas le film en vous disant que ça tourne autour du pot aux roses avec des épines pleins les yeux. On y parle beaucoup d'Israël, on mentionne vite fait la diaspora, on admet que la définition rabbinique de la chouifitude présente "un fond racial inconfortable", dont la tribu s'accommode "en disant que ça ne lèse personne".
Des prépuces entiers qui feraient pareil, vous pensez bien que c'est le toboggan direct à Ochouitze sans passer par le Start. Besoin qu'on vous le précise ? C'est que vous mangez trop d'ananas en regardant des humoristes peu Citoyens, une cure s'impose.
Apparaît néanmoins entre les lignes, voire au milieu ça et là, le concept fondamental de loyauté : on serait juif parce ce que c'est une tradition familiale qu'on accepte et revendique en faisant plus ou moins de manières. Ca suppose des interdits alimentaires étranges, d'étranges associations d'idées (entendre Wagner doit évoquer des images en noir-blanc d'un coin marécageux de Pologne) et une susceptibilité aussi proverbiale que cet endroit du coude si douloureux quand il rencontre un meuble, même à faible vitesse.
Cette idée de loyauté est fondamentale, parce qu'elle dépasse les questions de religion: en attestent le nombre de juifs-agnostiques-mais-juifs-quand-même, ce "fond racial" qui fait mal comme un string en paille de fer aux intellos philosémites et aux Correcteurs. Pourquoi ? Parce qu'on ne peut pas soutenir deux équipes : tu es pour les Verts ou les Bleus, punkt. Ca ne te force pas nécessairement à haïr les supporters d'en-face et à leur caresser les poux à coups de tactique, mais la frontière est nette: il y a NOUS et il y a EUX, comme pour n'importe quel groupuscule. A ce jour, la Correction est parvenue à maintenir le flou sur la question, en arguant que reprocher son exclusivité à la tribu de Moise, c'était jouer avec les thermostats de Birkenau.
Ca marche encore pour quelques paquets d'imbéciles, mais le boa est de plus en plus difficile à déglutir pour des gens qu'on ne croise pas dans des cabanes les nuits de solstice. Ca doit foutre des grands coups de froids à certains, et ça me fout plutôt de bonne.
21:02 Publié dans Autopsie de la Dissidence, Chez les boniches de la Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (2)
01/02/2014
LA FICTION SOUMET LA RÉALITÉ
Counter-Currents exhume un texte de 94 sur le personnage joué par Mickaël ("Martin Luther") King, qui tente d'enfoncer quelques coins dans ce vieux et pathétique mythe. Louable intention, méthode inefficace: vingt ans supplémentaires plus tard, la momie de ce cul-béni à la voix grotesquement chevrotante et aux intonations d'actrice pour séries AB1 fait toujours recette.
Idoles de la Bien-Pensance et recettes de fast-food, c'est pareil: à chier, bâclé et couronné de succès, parce que M. Moyen s'est laissé convaincre d'être un mange-merde.
Ce que Strom et consorts n'intègrent pas, c'est qu'à Politkorrektland, l'l'acte ne compte pas si l'intention est bonne. Faire du macramé contre le ouacisme n'est pas ridicule, servir de la soupe au cochon criminel. Tous les volets de la politique en Occident qui ne se résument pas à des magouilles et du népotisme relève de l'incantation.
Saint Mandela priez pour nous. Saint Wiesel guérissez nos écrouelles fascistes. Par le pouvoir de l'Etoile Jaune ancestrale, je détiens la force toute puissante.
A l'âge de la vidéo et de l'image, les faits n'importent pas - seuls ont de la portée les symboles. La nullité de leur contenu ? Broutilles pour philosophes de caveau des vignerons.
Aux yeux des adeptes du cultes de King, ce qu'était véritablement l'homme, ses réseaux glauques, ses moeurs obscènes, son statut de poupée vaudou vivante, on s'en fout. C'est ce qu'il REPRESENTE qui compte. Or il représente l'Homme-Noir-Digne-qui-brise-ses-chaînes, la figure christique moderne par excellence, le point G de la Honte Blanche. Elle-même est fermée au faits, à la révision, à toute mise à jour honnête.
L'élan d'expiation n'est pas scientifique ni rationnel. Se prosterner avant tout, qu'importe la fausseté et la bouffonnerie du dieu qui l'exige. Aucune importance non plus de ce qu'elle EST et veut véritablement quand on la croise. Mon illustration préférée ? La pute vertueuse et sa prière laïque "black power" qui lui revient dans la gueule, alors qu'elle pensait avoir accompli l'indispensable et Citoyenne génuflexion...
C'est aussi l'essence du combat perdu d'avance de tous les révisionnistes qui ne se cantonnent pas qu'à l'histoire, qui politisent leur sujet: Ochouitze vérité démontrée ou fichaise judéopathique, ça n'a aucune espèce d'importance d'un point de vue politique. Un nouveau Culte est né, un Pourim perpétuel avec Adolf dans le rôle du nouvel Aman. Aucune démonstration de l'insanité d'une telle croyance ne peut faire douter un convaincu. Si en plus cette foi donne accès à du pouvoir et de la considération !
L'Occident a vécu une guerre de religion en 1939, et elle n'est toujours pas terminée, l'Epuration continue.
21:40 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (1)
SERIEUX COMME DES PAPES, GROTESQUES COMME DES DRAG-QUEENS
Gustave, Maire, maître à penser de la Correction Politique du XXIème siècle
Nos Gardiens de la Morale Citoyenne n'ont pas, mais alors absolument pas conscience du grotesque de leurs positions, de l'outrance clownesque de leurs analyses.
Pour l'exemple retenu ici, on voudrait presque croire, dans un étrange élan de commisération, à du second degré. Un extrait d'un spectacle de Dieudo.
Mais faut se rendre à l'évidence : les donneurs de leçons répoubellicaine sont pénétrés des Vérités qu'ils assènent, dans tous les sens graveleux que le mot de pénétration peut contenir.
Il est peut-être à peine plus facile de prendre un Cri-cri d'Amour comme exemple qu'un BécHameL, mais comment résister à une telle tentation ?
L’hiver vient, les loups rôdent, et s’ils ne sont entrés dans Paris que par incursions, de leurs mufles déjà nous parvient le souffle glacé de la haine.
Sincèrement ? "Les loups" ? Par Issy, par Ivry, "ououh! ououououh!" ? Cette scie inécoutable du vieux Sergio ? Mufles, haine, République, gnagna ?
Et vous pensez qu'on peut encore vous prendre au sérieux après un tel monument de Champignaquerie ?!
Manque encore un Vade Retro, des baquets d'eau croupie bénite et un collier de gousses d'ail pour que soit complète la pantalonnade dans le sens premier du terme. Exposer le cadavre de Martin Loser Klong avec une étoile jaune brodée sur un tutu rose ferait complèterait à merveille de dérisoire tableau.
Pas l'impression d'être en retard de quelques centaines de mises à jour ?
D'être absolument largué face à des individus et des groupes qui ont clairement démontré que ces Saintes Babioles agitées sous leur groin nez ne fait que renforcer leur hilarité ?
Vous entendez quoi quand quelque Mauvaise Personne © entonne un graveleux Shoah nanas ? Moi, c'est le bruit de l'urine arrosant vos petites idoles. Vous, face au blasphème, vous en appelez...
... au simple et plat respect de vos croyances de mes deux, c'est tout. Avec tout ce qu'il faut de réserves en matière de procès, de lacrymos et de surveillance à la Stasi, certes. Mais c'est tout.
L'imitation de Jésus-Christ comme arsenal de guerre pour convertir les sanguinaires satanistes.
Le grand-prêtre outragé face au vioque qui se fout de sa gueule et répète Jehovah à qui mieux-mieux, c'est vous. Pile poil. Dans toute sa tragique impuissance et sa mongolienne rigidité :
Si ça vous fait pas trop chier, je me réserve le rôle du soldat romain à moitié endormi à 1'28''
20:25 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (5)