25/09/2011
PETITS PLAISIRS COUPABLES
16:27 | Lien permanent | Commentaires (5)
23/09/2011
SEPARER LA RACE ET L'ETAT
Par Keith Preston, trouduction par Capitaine Ma Pomme. L'original en anglais, paru chez Alternative Right, n'est plus en ligne.
L'une de nos particularités, à nous autres, membres ou sympathisants de la Droite Alternative, est notre capacité de penser et débattre des questions de race et d'immigration d'une manière rationnelle et ouverte. Ce trait particulier nous distingue tant de nos rivaux de gauche que de la droite présentable. Ainsi, la plupart d'entre nous est favorable au retrait des lois anti-discrimination passées depuis une cinquantaine d'années. Une telle position nous vaut un statut de paria au sein de la bonne société. Pourtant, elle nous place aussi à l'avant-garde de la défense de la liberté d'association, censée être tenue en haute estime par ceux-là même qui se battent pour la liberté d'expression et de religion, pour le droit à un procès équitable, et ainsi de suite.
A chaque fois que j'ai défendu la liberté de discriminer, que ce soit face à des gauchistes, des néoconservateurs, des libertaires ou de supposés réacs, on ne m'a pas traité très différemment d'un militant du viol collectif ou de la pédophilie. Mais que ces questions soient taboues ne devrait nous faire craindre la confrontation. Sorti de la propagande gauchiste, l'histoire des sociétés multiraciales n'a rien de plaisant. La norme quasi-universelle en la matière est que les élites dirigeantes ne maintiennent leur contrôle politique qu'en lançant les populations les unes contre les autres. En conséquence, certaines sont reléguées à un statut inférieur (voire pire), ou alors la paix civile devient impossible et l'horreur finit par surgir (rappelez-vous du Pakistan en 1947, du Rwanda en 1994 ou de l'ex-Yougoslavie en 1992). (...)
L'une des plus brillantes réussites des civilisations occidentales est d'avoir éliminé les persécutions religieuses massives qui duraient depuis des siècles. Mais aussi incroyable que ça puisse sembler, des procès en sorcellerie, basés sur des lois archaïques, ont commencé à se faire jour en Occident. La Finlande et l'Allemagne, censées faire partie des nations les plus progressistes et les plus ouvertes, ont donné le spectacle de poursuites pour blasphème à l'encontre de l'islam. La seule explication possible est qu'une nouvelle théocratie est en train de se développer à l'Ouest.
Il ne s'agit pas d'une théocratie islamiste, bien entendu, mais une théocratie séculière basée sur le multiculturalsme. Elle enseigne que le plus grand des péchés est de faire une différence entre les races, les nationalités, les genres ou les orientations sexuelles. Le racisme y joue le même rôle que Satan auprès des chrétiens fondamentalistes. Il en découle que les fondamentalistes multicultis sont perpétuellement à la recherche de démons à exorciser.
Le blasphème à l'encontre de l'islam est clairement perçu comme un crime, non pas pour des raisons théologiques, du fait de la laïcité prédominante des élites occidentales, mais parce que l'islam est associé par ces élites aux races et groupes ethniques extra-européens. Ironiquement, des prêtres aussi bien chrétiens que musulmans ont été poursuivis pour leurs critiques de l'homosexualité. On peut sans doute l'expliquer par le fait que le seul principe sacré des multiculturalistes, en-dehors de l'antiracisme, est la défense jusqu'à la mort de la révolution sexuelle.
C'est essentiellement la séparation de l'église et de l'Etat qui a permis de mettre un terme aux guerres de religion. De même, il serait possible de dépasser le racisme à l'ancienne et de prévenir abominations que nous promet le multiculturalisme, en séparant la race et l'Etat : en lui retirant intégralement le droit de se mêler des questions raciales et en permettant une complète liberté d'association en la matière. Ainsi, les individus, les familles, les entreprises, les chapelles, toutes les associations et les communautés seraient libres de choisir de pratiquer ou non la discrimination. (...)
19:28 | Lien permanent | Commentaires (5)
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21/09/2011
CURIOSITES POUR GROUPIES
08:15 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (1)
19/09/2011
EX-FRANCE
This is not the France of Napoleon Bonaparte or Charles Martel. Rather, this is a meek and sickly France that still feels guilty for colonizing Africa and Asia, that remains humiliated for rolling over like a submissive poodle and allowing Hitler all of three minutes to conquer it. The recent burqa ban seemed like a sign of hope until one realizes it was done in the service of feminism rather than national cohesion. This new France hauls drunken fashion fags before tribunals for making anti-Jewish statements and drags blonde sexpots into the Star Chamber for making unkind remarks about Muslims. Though France wasn’t liberated by Muslims or Jews in World War II, it’s apparently still legal to bash Americans until les vaches come home. En général, this is a France that has ceased being French in any admirable way.
11:08 | Lien permanent | Commentaires (8)
17/09/2011
CA PARAÎT LOGIQUE
A Lausanne, une partie de la rue de Genève n'a pas bonne presse. Celle qui, dès la nuit tombée, devient le haut lieu de la prostitution de la capitale vaudoise. En moyenne, quelque 400 véhicules et leurs occupants y transitent chaque soir, attirés par les travailleuses du sexe et les salons de massage. Un phénomène récurrent qui irrite les habitants du quartier, dont la plupart sont à bout de nerfs. (...) Mais la Municipalité semble avoir toutefois pris la mesure du problème. Une réflexion globale va être menée quant à sa résolution définitive et la mise à l'enquête pour l'érection d'une borne a enfin été lancée.
Lausanne Cités, 15 septembre, page 1
10:54 | Lien permanent | Commentaires (5)
16/09/2011
MOBILITE DOUCE
15:29 | Lien permanent | Commentaires (1)
BABY-SITTER
Téléphone au milieu de la journée. L'ami Vlad.
Tu peux venir garder la petite ce soir ? On sort. C'est un peu imprévu je sais.
Ben oui qu'on peut, Vlad. Je ne suis pas sûr de comprendre l'urgence mais on peut. Pas trop poser de questions.
Sur place, on nous briffe rapidosse : Anatole, fils de Guilliermine, a son annif' ce soir même. Guilliermine pensait l'emmener au resto, soirée mère-fils, lâchez une larme. Or Anatole a sonné en douce son géniteur, Ülrich, très désireux de le convier à la mangeaille. Ülrich a quitté le domicile conjugal depuis quelques lustres, s'autorisant ça et là à y revenir dormir, et pas sur le canapé-lit, on ignore ce qu'en a pensé Fantine, nouvelle feniaule d'Ülrich, on lui souhaite de ne pas avoir été mise au jus. Les relations entre Guilliermine et et Ülrich, depuis ce temps? *Compliquées* [insérer sourire jaune ici].
A la même table de la belle famille unie autour du bonheur de leur lardon, qui voilà ? Björn, le nouveau sextoy bipède de Guilliermine, bien sûr. Enfin ex-nouvel-ex, quelque chose comme ça ; l'avait envie de vaquer à d'autres cuisses, aux dernières nouvelles. Je suis foutrement mal informé.
Guilliermine est une femme moderne, libérée des carcans du patriarcat fâschÿste, qui fait ce qu'elle veut de son corps et gère sa famille sans besoin de l'aide de personne. Si elle a lu la presse féministe des années 90, elle n'a sûrement pas oublié que les familles recomposées, c'est du velours enrobé de sucre, qui fait baver de jalousie cancérigène tous les couples 0.1, même qu'ils s'en sortent bien mieux parce qu'au moins, avec eux, y a pas tous ces sales tabous au sujet des infidélités de Donneur-de-Sperme ou de la naïveté de Donneuse-d'Ovule.
Ce qu'on vous explique pas, dans Féminaze, c'est que le progrès, la décomplexion joyeuse, la décolonisation de l'imaginaire, ça paraît marrant de l'extérieur mais une fois qu'on y a plongé, c'est plutôt saumâtre comme eau. Un peu comme un plug anal : une fois que c'est mis, le gadget érotique vachement caliente se transforme vite en un truc qui fait mal au cul d'une conne qui s'est rarement senti si... eh bien conne.
Souffler les petites bougies entre les représentants de l'Ancien régime - avec qui aucun traité de paix n'a été signé - et du Nouveau, goguenard et je-m'en-foutiste, Guilliermine, au moment de rejoindre la cantine, ça lui donne comme des reflux.
Alors elle fait ce que fait quiconque chute par mégarde dans la fosse à purin : elle sonne des potes pour leur faire généreusement profiter des miasmes. Quand on pue à plusieurs, c'est un peu comme si on poquait moins soi-même. Bonnes pâtes, Monsieur et Madame Vlad accourent à la sauterie, puisqu'on accepte de garder Vladounette pendant qu'ils vont se payer du bon temps en chouette compagnie.
J'ai l'air, comme ça, de sarcasmer, de condamner, de moraliser la famille Made in Pétain comme panacée et la lapidation des traîtresses qui refusent de se dessécher en silence dans un mariage raté, pour ne pas déranger le bel ordre du Lebensborn. C'est pas ça.
Je l'explique longuement à Vlad quand il revient de sa soirée en apnée. Je lui dis qu'il n'y a pas de mariages "réussi", que la famille est un étouffoir, que nous sommes virtuellement tous condamnés à l'échec vu les circonstances, etc.
J'ai eu mon compte, merci beaucoup, de relations bancales, d'arrangements piteux qu'on s'autorise par tristesse, par épuisement, par désir inconscient de descendre encore plus bas dans la boue pour s'y enivrer à s'en évanouir.
Je JUGE PAS, comme on dit avec angoisse chez les Amis-du-Peuple.
Je m'étonne juste qu'on puisse à la fois se comporter comme le dernier des égoïstes, avec son seul plaisir malsain en vue, et dans le même temps se respecter si peu qu'on puisse ainsi perdre toute dignité, pour maintenir une fiction d'unité à laquelle le gosse ne croyait déjà plus avant de savoir articuler son mal-être.
Tout pourraît être foutrement plus simple, moins glauque, moins ridicule.
La brûlure persistance du ridicule, voilà la clé de tout le bousin. Le programme ultime de protection contre les mauvais choix à répétition.
Ne s'occuper que de son propre cul, quitte à fourrer celui de tous les autres, potes et familles confondus, ça veut logiquement dire qu'on n'aime vraiment que soi. Je crois encore, naïveté cro-magnonne je présume, qu'on protège naturellement, spontanément ce qu'on aime. Que si l'on n'aime que soi, on ne s'explose pas volontairement à la honte, à la gêne, à cette conviction muette mais impérative que tout est complètement de traviole alors qu'on pensait se la jouer décontracté, pas-prise-de-tête. L'épiphanie du ridicule devrait fonctionner à tout jamais comme une infranchissable barrière d'anticorps. Devrait.
On ne peut même pas compter sur le ridicule, faut croire.
09:12 | Lien permanent | Commentaires (7)
09/09/2011
S'AMUSER A EN CREVER
03:20 | Lien permanent | Commentaires (9)
06/09/2011
RIEZ, VOUS Y VIENDREZ
Déjà deux ans que le ouacisme se prenait un coup mortel dans la gueule - pour renaître de ses purulentes cendres une nuit plus tard, la vie est dure quand même. Et à peine le temps d'approfondir ma connaissance du vignoble vaudois, de trouver enfin un boulot stable, de parcourir moult miles canadiens, que déjà revoilà une nouvelle mise à mort publique et hilarde la Mête Ibbonde. Enfin, il paraît, c'est Atlantico qui le dit et je n'ai jamais ni bu ni couché avec ces gens, donc la fiabilité de leurs renseignements, hein, enfin, bref. Pourquoi iraient-ils inventer cela, en même temps ?
J'ai beau faire un gros effort pour fouiller dans mes souvenirs d'antifa à deux balles, je ne me rappelle pas avoir pris la lutte contre l'adolfisme comme quelque chose de marrant ou de léger. C'était tragique, tétanisant, enrageant. A la limite, un festival de gros punk pour "fustiger-l'intolérance" ? Pourquoi pas ? J'y suis allé, c'était une manière de joindre 5% d'utilité fantasmée à 95% d'agrément bien concret à base de bibine et de décibels. Mais une grosse marrade où l'on reste assis entre deux applaudissements ? Concrètement "Rire ensemble contre le ouacisme" ? Inepte, même pour l'ardent gribouilleur de tracts que j'étais alors. Le retour de la Bête, c'est pas des conneries qui prêtent à la gaudriole.
Alors à quoi donc pensent les organisateurs d'un tel événement ? Est-ce qu'ils vous sortent un discours sur l'air du rire, "Meilleure arme pour combattre l'exclusion" ? Est-ce qu'il s'agit de tourner le ouacisme en dérision, d'exposer sa fragilité dogmatique, ce genre de choses ? Jamais eu l'impression que c'était à l'ordre du jour. Il y a des choses, voyez-vous, avec lesquelles on ne peut pas *transiger*, des *limites* à ne pas franchir, des plaisanteries qui sont *douteuses* voire *nauséabondes*. Causer d'humour avec ces crispés volontaires peut être aussi éreintant que de prendre des cours de cuisine chez une anorexique.
Oui, il y a aussi beaucoup de gens sinistres, monomaniaques et coincés du cul chez les xénophobes. Mais ce n'est pas le propos.
La dérision peut être une arme efficace, mais tout dépend de la cible qu'on lui assigne. Elle peut faire des ravages pour saloper un consensus, des règles de bienséance bien établies, auxquelles personne ne peut se permettre de toucher sans risquer son job ou sa réputation.
Ce fut longtemps le cas de la virginité de la maman à Jésus, pour ne prendre qu'un exemple idiot. Un libertin véritable se devait alors de clamer qu'il avait vérifié par lui-même et que Marie était une salope. Scandale assuré chez les puritains, acclamations des prétendus libertaires quelques siècles plus tard.
Mais railler une idéologie illégale et unanimement condamnée par tout ce qui ouvre son claque-merde en prime time ? Vous m'expliquez à quoi ça sert ? Et la différence profonde avec les déclarations d'amour du prolétariat au président Mao ?
Sur dernier point, pas besoin d'explication, en fait. La différence, c'est que les rigolistes antiracistes n'ont pas besoin d'être terrorisés par une police politique pour surjouer leur engagement Citoyen. Ils sont leurs propres flics. Ils font eux-même attention à expurger leur lexique de mots pouvant heurter la sensibilité d'une minorité. Leur existence est un joyeux panoptique dont leurs potes sont les gardiens. Et il y en a encore qui osent parler de médias aux ordres. Aux ordres de qui, tas de moules ? Ils n'en ont même plus besoin.
Pas besoin non plus de s'étendre sur le fait que ces mêmes libertaires s'étranglent d'indignation quand on rigole d'Ochouitze ou de l'esclavage. Ca ne se fait pas. Puritanisme. Consensus moral menacé. Bien entendu, vous ne leur ferez pas admettre une si mastoque évidence. Ca n'est pas la même chose. Il y a des limites. Je ne veux pas entendre ça. Und so weiter. Cessez de rire, charmante Elvire, la flashmob est terminée et il y a du loup fasciste à chasser de Paris.
Visiblement, cette angoisse inquisitrice n'empêche pas de se poiler pendant 45 secondes chrono. On verra bien ce que ça dure. Je serais curieux d'assister à une rencontre entre des zygomatologues de cette classe et une manif Mort-pour-rien en mémoire d'un énième faucheur de scooter, crevé comme une merde parce qu'il n'a pas tout à fait compris la fine différence entre route et trottoir. Le dialogue interculturel risque d'être assez savoureux.
Une modeste consolation, face à tout cela, c'est de se dire que rigoler ne sera bientôt même plus possible.
J'en entends souvent se payer un petit vertige sécurisé en évoquant Desproges, et imaginer les bennes d'excrément qu'il se prendrait sur le grain de beauté en sortant de nos jours les belles horreurs qui ont fait sa gloire il y a une génération. Il est très heureux que Desproges n'ait pas vu nos temps châtrés et oestrogénisés de force. Il est même bon, souhaitable, nécessaire, que la moindre plaisanterie sur le Vivre-Ensemble-sans-les-Blancs soit sanctionnée d'un séjour en cabanon, que tout les Guano-Tanamo du monde libèrent les fétichistes de Mou-à-Merde et remplissent leurs cages de bons cons lourdeaux se permettant une boutade à vague caractère ethnique.
Tant qu'il sera possible de dédramatiser, Monsieur Moyen pourra se convaincre qu'il est dirigé et sermonné par des gens "un peu extrêmes" mais quand même raisonnables. Vous voulez faire d'un corniaud un vrai clebs de combat ? Oubliez les gratouilles et les friandises : c'est fenêtres opaques, bastonnade quotidienne et écuelles de sang frais. Pour l'instant, le Médor occidental ne se prend que brimades, crachat, humiliations et contre-ordes imbéciles. Vous n'en pouvez déjà plus ? Demandez-en encore plus, beaucoup plus, et beaucoup plus vache si vous espérez trouver en vous de quoi ridiculiser le score de l'ami Breivik.
19:52 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (14)