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28/06/2010

TOXI-COLA

MOURIR PLUS CON GRÂCE À YAHOO

D'ordinaire, ce sont plutôt les Faces-de-Craie dont l'existence collective est ainsi niée. Est-ce parce qu'ils s'en sont pris à des Noirs et des Arabes (qui, eux, existent, doivent être reconnus comme tels et choyés pour leurs souffrances passées, présentes et à venir) que les citrons se voient infliger le même négationnisme que les toubabs ?

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1) Comment le policier ouaciste à képi a-t-il pu déterminer le degré de laideur de la moukère, puisqu'elle était emballée de manière à la protéger du regard des mâles ?

2) Est-ce donc vrai que c'est parce qu'elles sont moches à crever qu'elles se déguisent pareillement ?
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A part ça, Jésus n'est pas mort sur la croix. Il serait question d'un poteau tout bête, ce qui est moins esthétique et donnera matière à plaisanteries graveleuses de la part des invertis comme de leurs promoteurs gauchistes (ceux qui rotent en passant devant les églises et se font discrets devant synagogues et mosquées).
Ceci dit, c'est fascinant l'histoire, et l'on peut déjà souhaiter bon courage aux chercheurs du futur. Vu la vitesse du remplacement de population, le déclin supersonique de l'intelligence moyenne et la fragilité des supports informatiques, ils devront bosser sur notre époque avec aussi peu de données que nous en disposons sur l'âge de pierre. Et il leur faudra un effort épuisant pour imaginer que, à l'origine, les peuplades autochtones d'Europe ne ressemblaient pas, mais alors absolument pas, à ça :
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C'est sûr, ça va leur sembler bizarre.

24/06/2010

LE OUACISME, MALADIE BLANCHE NON-CONTAGIEUSE

Longtemps fauché et de nature économe, je n'ai pas pu lire l'intégralité du dernier billet de Liz Causeuse parce qu'il faut raquer pour y avoir accès. Un survol de l'intro fait se féliciter d'une telle ladrerie : il y est question d'un quelconque Divers-en-chef d'ex-France, qui rêverait "d’un monde où l’origine ne sera ni un handicap ni un atout mais une affaire privée – si tant est que l’histoire puisse être purement privée. Nous aussi, on aimerait bien. "

 

Voilà voilà. La routine.

 

Reste qu'il y a le titre, et le titre est bon : Des mesures antiracistes mais raciales

 

S'il est représentatif du contenu de l'article, on peut s'attendre à un réquisitoire contre une "incohérence" des ingénieurs du génocide tranquille. Dans les grandes lignes, il s'agirait alors de les enjoindre à pratiquer jusqu'au bout ce qu'ils prêchent, à savoir de renoncer à l'ethnocentrisme qu'ils reprochent si abusivement à la majorité toubabe. Encore un effort si vous voulez être post-raciaux, en somme. Si vous l'avez lu, tiendez-moi au courant, j'aimerais savoir si mon don de voyance mérite que je lance des paris idiots dans mon entourage.

 

D'un point de vue droite-légaliste, ça se tient. Du mien (je m'abstiens de dire "du nôtre", puisqu'après tout je ne sais pas qui me lit sans grimacer ni ricaner), c'est un peu ridicule. Les metekoi n'ont pas nos a priori moraux, nos pudibonderies de chrétiens déchristianisés. Quand Monsieur Blanchouille fustige le ouacisme, il le fait au nom de valeurs qu'il croit encore mériter une majuscule : l'ouverture, la tolérance, le partage, le dialogue, autant de saloperies masturbatoires et suicidaires sur lesquelles nous ne nous attarderons pas. Monsieur Mélanine, par contre, n'a rien à foutre de ces abstractions, et c'est tout à son honneur : s'il dénonce le ouacisme, c'est  parce qu'il s'en estime victime - quand il le pratique, ça ne lui provoque pas vraiment d'insomnies. A-t-on jamais vu un Divers subir les convulsions électriques comparables à celles d'un Fromage, quand il sent qu'on le soupçonne de xénophobie ? Que pouic !

 

Et c'est bien normal : il est convaincu d'être IMMUNISE. Le ouacisme, le colonialisme, le mépris de l'autre pour sa nature supposée, c'est à classer dans la même catégorie que les disques de Véronique Samson, les colifichets indiens, les t-shirts avec des panthères, les santiags ou la passion des pâtes molles fétides : c'est un truc de Blanc. Point final et non négociable. Beaucoup ne semblent pas même savoir de quoi il s'agit :

 

Depuis plusieurs mois, selon le collectif, les agressions et les vols violents visant les Asiatiques se multiplient dans l'est parisien. "Les agresseurs sont souvent des groupes de jeunes qui habitent ici", affirme Huong Tan, qui réfute l'existence de problèmes de racisme.

 

Cette  candeur et cette bonne foi inoxydable vont encore plus loin que cela, au grand dam des bonnes poires qui espèrent Réconcilier les Egaux. Maures et Sarrasins ne se branlent pas la glotte avec la "défense" de leur "identité", ne bassinnent personne avec leur "enracinement" ni leurs "traditions ancestrales". Abstractions de Culs-Blancs, une fois de plus, même s'il s'agit de Culs-Blancs un peu moins  atrophiés que la moyenne. Eux SONT, ils le SAVENT, et ils emmerdent tout bipède à qui cela pose un problème, renvoyant dos à dos le gauchiste qui nie et le droitard qui jalouse.

 

La bataille entre conservatisme culturel et cosmopolitisme les  survolent à des altitudes stratosphériques. Trucs de blanchettes que tout cela. Leur activisme est quotidien, pragmatique, animalement territorial. Quand tempes rases et dreads crasseux descendent dans la rue pour quelques heures de show encadré par la flicaille, eux tiennent le trottoir, les gares et les halls d'immeubles EN PERMANENCE. Pour ce faire, ils n'ont besoin ni d'étendard, ni de slogans, ni de programme, ni de scores humiliants à des élections locales. Leur non-blanchitude leur tient lieu d'uniforme, leur détestation de l'Europe-d'Avant les soude au-delà des haines particulières. Ils pensent et  agissent en bloc, n'imaginent pas la famille comme autre chose qu'une meute, dont la seule raison d'être est de protéger ses rejetons de façon INCONDITIONNELLE.

 

 

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Mort de François-Joseph (prénom modifié), multirécidiviste.
La famille manifeste son deuil avec dignité et retenue.
A terre, Charles, éducateur de rue, établit le dialogue pour prévenir tout amalgamme
de la part de la droite sécuritaire qui tente de diviser le peuple
pour le bien des spéculateurs et des marchands de Tazers.

Foufouna crève comme un con, éjecté de son scooter volé, chargé de THC jusqu'aux yeux, en tentant d'échapper aux flics après un braquage raté ? La horde enfile ses t-shirts blancs et hurle à la face du monde : MORT POUR RIEN ! Aucun crime commis contre les autorités, les institutions, les commerces ou la populace autochtone n'ont d'importance. Il n'y a pas de crime quand la victime est extérieure au clan. La souffrance d'autrui ? Rien à battre.

 

Cette absence radicale de toute capacité d'empathie pourrait répugner les esprits délicats. Elle est en effet le signe d'une civilisation sous-développée, bloquée peu après le stade de l'homo abilis. Mais c'est une attitude saine, noble et nécessaire lorsqu'il ne reste du Vivre-Ensemble que le nom, et plus aucun processus d'ASSIMILATION des communautés au sein d'une Nation au sens progressiste du terme. Un pays d'accueil qui traite ses immigrés avec plus de tact qu'un instructeur de la Légion est un cadavre en sursis. Sans une discipline d'acier et un effacement complet des anciennes loyautés claniques, le "creuset républicain" se transforme en cuvette bouchée - avec, car les choses sont bien faites, des couleurs représentatives de ce qu'on trouve d'habitude dans les cagoinces.

22/06/2010

CREVER ET LAISSER CREVER

A new study from the Masculine Pathology Department of the University of British Columbia has found, as hoped, that traditional “stoic warrior” ideals associated with masculinity contribute to a male suicide rate that is often as much as three times higher than the female suicide rate. Men who are “suffering from depression” appear to be less likely to ask for help than their female counterparts. However, John Ogrodniczuk, who is seeking publicity for the study, offered that men who “had a strong commitment to their families” and who envisioned themselves as protectors and providers were less likely to commit suicide. The positive spin seems to be that those who are trying to steer a depressed man away from suicide should focus on the “protector and provider” ideal -- but it should be noted that this masculine role is hateful to feminists and, according to Hanna Rosin’s recent report, fewer and fewer men will be their family’s “provider.” So that could prove a thorny route. (...)

 

Why prohibit a man from taking responsibility for his own actions? In many cases, suicide may be the best form of atonement, the best way for a man to try to right his own wrongs. It seems insane to prevent suicidal murderers and child molesters from killing themselves when they want to, but that’s exactly what we do. Instead we pay to keep them alive for decades. I wonder how much we could save if we simply allowed suicidal convicts to kill themselves. I’ve heard morbid justifications for keeping them alive -- that forcing a man to live with his own regrets and the knowledge of his crimes is the real punishment. I remain unconvinced, and at any rate that’s some really expensive psychological torture.

21/06/2010

SPLEEN

20/06/2010

QUI GLADIO FERIT

 

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Why is it that Israeli Jews are allowed to define their homeland on ethnic and religious grounds -- to the point of forbidding non-Jews to own land! -- but then American and European Jews promote racial integration and multiculturalism?

It’s a legitimate question, with the assumed answer being that in both cases, it’s good for the Jews, who are well equipped to flourish in an America that lacks a strong Anglo-Saxon identity and in an Israel that possesses a strong Jewish one. (With respect to this asymmetry, some in the racialist Right have suggested that America stop trying to mimic Israel’s foreign policies and adopt its domestic ones.)

An important addendum to all this is that Jews often swallow the liberal poison themselves and suffer from the law of unintended consequences (to borrow one of the neocons’ favored phrases.) “Jewish plots” to, say, get the Goyim inured to birth control, abortions, and non-traditional lifestyles have devastated Jewish communities, too. Moreover, many liberal Jews who fear white anti-Semitism might soon learn that Jews fare much better in a WASP culture than in a Latino, black, or multicultural one.

 

19/06/2010

LE PICRATE POUR LES BOURRINS

Si vous vous obstinez à revenir lire mes merdes, (pour certains depuis mars 2007, mine de rien), c'est que lire toujours les mêmes histoires à base de métèques et de mixocrates ne vous gave pas plus que ça. Moi non plus, notez. Mais étoffer un peu l'offre ne serait pas un luxe. Il n'y a pas que l'ethnocide dans la vie, bordel. Vu que les Néo-Occidentaux se contentent d'exiger des quartiers sans pinard mais n'ont pas encore eu l'idée de tester la Ceinture Palestinienne au milieu du vignoble, on peut espérer avoir de quoi se pochetronner en ordre en contemplant la décomposition de notre civilisation.

A ceux qui le voudront bien, je causerai donc du pinard, à raison d'au moins un billet toutes les fois où j'aurai de l'inspiration, ce qui risque fort d'être aléatoire. J'ambitionne quand même, sans jamais atteindre ses sommets lyriques, de durer un peu plus longtemps que cette grosse lopette de http://pcbpf.wordpress.com/, qui nous a méchamment alléché sur le thème, avant de baver sur son école puis de disparaître à jamais du ouaibe Infréquentable.

Puisqu'on parle lyrisme et littérature haut-de-gamme, précisons d'emblée une chose. A l'inverse de Ferdinand, je ne suis pas un raffiné. Je ne m'adresse donc pas aux raffinés non plus, mais à mes frères d'ivresse, la grande famille des bourrins jouisseurs et curieux. Pour des cours d'ampélographie, des conseils lumineux en matière d'accord mets-vins, adressez-vous à votre caviste habituel, ou consultez les blogs sérieux qui pullulent alentours. Sur la Zone, on dégoise sur ce qu'on hait pareil que sur ce qu'on aime : sans se poser de colles.

Si d'aventure vous apprenez quelque chose, dites-vous bien que je ne cherche pas à jouer au prof. Le pinard est pour moi un monde très nouveau, étourdissant de beauté et de richesse. Ce que je consignerai relèvera donc du récit de voyage gustatif, car il y a encore trois ans, j'ignorais parfaitement avec quoi l'on faisait le blanc local, pour ne pas dire que je n'en avais rien à foutre. La révélation s'est faite sur le tard, et il m'aura fallu du temps pour faire preuve d'un minimum de méthode. Je publierai donc ce qui me passe derrière le front quand certains breuvages me passent derrière la cravate.

 

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En apéro, un truc tout con.

Gros punk, mon ami, tu sais sans doute déjà comment il en va des relations entre ivresse et flacon. Pour la picole comme pour la bagatelle, l'on fait bien souvent avec ce que l'on a sous la main, et ce qu'on a les moyens de s'offrir. Cela ne veut pas dire qu'il faille s'enfiler n'importe quelle saloperie, en talons ou en bouteille, et encore moins se dévaloriser en se cantonnant à l'artillerie lourde. Pas raffiné, soit – mais de grâce, un peu de self-respect.

Bien des mâles diminués affirment ne rien comprendre aux gonzesses. Outre que c'est avant tout parce qu'ils sont trop cons ou insuffisamment observateurs, cette ignorance bien pratique ne les empêche pas de faire une différence claire entre une bête de concours et un thon. Si l'on peut hésiter à aborder une créature à la séduction irradiante, c'est plus par peur du râteau humiliant que par crainte de ne pas piger ce qu'elle raconte. Voyez la nuance ? Pour le vin, ce n'est pas plus compliqué.

Ce que je ne veux plus entendre dans mon entourage, quand je débouche quelque topette que ce soit, c'est : « Oh ! Moi je n'y connais rien! » Pour qui ne vise pas une carrière d'oenologue ou d'acheteur, un bagage culturel n'a aucune importance. Tout ce qui compte est de réussir à classer ce que l'on boit en deux catégories : J'AIME et J'AIME PAS. Pour le débutant, tout le reste, je dis bien tout, est d'une futilité confondante.

Pas foutu de décrire correctement la robe ? N'a foutre ! Tout ce qui te viens comme idée en reniflant, c'est que « ça sent le vin »? Pas de fausse pudeur ! Aucune idée de comment font les autres pour déceler un arôme de fruit noir, voire de caillou ou de pétrole ? Détends-toi et savoure ! L'incapacité à décrire un vin avec le vocabulaire ad hoc n'est pas un signe manifeste de stupidité, mais la conséquence d'un manque d'informations qui ne viennent qu'avec le temps et l'entraînement. Parallèlement, ce n'est pas parce qu'on se pique de déceler tel ou tel arôme que l'on augmente le plaisir de la dégustation.

Prendre en bouche – laisser les saveurs prendre leur place – glou – faire confiance à ses papilles – décider si on trouve plutôt bon, plutôt quelconque, plutôt décevant. Fin de l'histoire.

Ou tout au contraire : c'est son début, son introduction, l'ouverture d'un opéra qui ne demande qu'à se prolonger indéfiniment, la découverte d'un muscle insoupçonné qui aspire à se développer sans arrêt, sans limite supérieure, sans crampes ni déchirures. Tout ne sera alors question que de répétition, de multiplication des découvertes, avec toujours ce même outil préhistorique et irremplaçable de la subjectivité personnelle : j'aime ? J'y reviendrai. J'aime pas ? J'oublie et je vais voir plus loin.

La crainte du nouveau venu peut être de ne pas percevoir toutes les subtilités de ce qu'on lui offre à goûter. Ne pas connaître, c'est être séduit facilement, même par des produits bas-de-gamme. C'est le problème notamment avec les vins du Nouveau Monde, faits pour être bus facilement. N'oublions pas que l'Amérique est cette partie de l'Occident dont la bière la plus connue se vante sur l'étiquette de sa drinkability ...

On a donc peur de se faire avoir parce que ça descend tout seul et de tomber dans un piège vulgaire. Mais qu'on se dise bien qu'au début, il n'y a pas vraiment d'alternative. Ce qu'il faut, c'est accumuler les expériences, ne pas se cantonner à quelque chose qui nous a plu, toujours être curieux de tester quelque chose d'inconnu. Un pinard particulier vous botte ? Notez-le (je reviendrai sur l'importance capitale de consigner scrupuleusement les impressions de chaque dégustation), constituez-en un stock si vous avez la place, faites-vous plaisir à l'occasion entre potes – et passez à autre chose, que ce soit dans la même région, avec le même cépage, ou sur une appellation qui n'a rien à voir.

En résumé, pas d'excuses : foncez, goûtez tout, posez des questions connes, ce sont toujours les meilleures, et si on vous rit au nez ou qu'on vous la joue snob, vomissez sur la table et notez l'adresse pour ne pas oublier de n'y jamais revenir.

A suivre.

15/06/2010

BRING THE NOISE

Si vous n'aimez pas le bourdonnement immonde de la vuvu, z'êtes ouacistes.

La corne omniprésente dans les stades de football sud-africains agace suprêmement. Et le Net s’emballe. Mais la fragilité des oreilles occidentales ne réveillerait-elle pas un vieux réflexe colonisateur ?


Enfin, peut-être pas : c'est si vous aimez la vuvuzela et que vous la défendez en tant que partie intégrante de la culture afouiquaine que z'êtes ouacistes :

Autant le dire d'emblée : elle nous les brise ! (...) Si la vuvuzela défraie à nouevau la chronique, c'est tout simplement parce qu'elle n'a rien à voir avec l'atmosphère qu'on peut aimer dans un stade. (...) Lancinante, assourdissante, désespérément monotone, la vuvuzela ne représente sûrement pas l'Afrique du Sud. Le croire un seul instant serait lui faire injure. (François Ruffieux, 24h, 15 juin)


Pour résoudre cette contradiction apparente, une règle simple, que vous pourrez utiliser dans TOUTES LES CIRCONSTANCES impliquant un ou plusieurs Enfants du Soleil :


"Si c'est bien et que c'est Africain, c'est mérité.
Si c'est mal et que c'est Africain, c'est la faute aux Békés."


Répéter tous les soirs avant le Valium.

 

Et le confort colonialo-là-dis-doncialiste des occidentaux surgavés de mauvaise bières et de pizzas tièdes, hein, on y pense un peu ? Eh ben pas compliqué : il suffit d'aller encore plus loin dans le Faux.

Il suffirait pourtant de quelques enregistrements d'ambiance de stades et d'un bon ingé-son qui balancerait huées et applaudissements de temps en temps, et le tour serait joué.

PAS DE RECONQUETE SANS BEAUTE

Monsieur Moyen se croit volontiers plus séduisant qu'il ne l'est en réalité – toute célibataire qui tente de boire ou de danser seule en ville peut en prendre conscience dès ses premières sorties nocturnes. C'est sans doute le seul thème sur lequel le toubab s'abstient parfois de s'autoflageller. Pour tout le reste, excepté la mauvaise conscience de ses hypothétiques privilèges de race (pas de contrôle au faciès, pas de CV nominal classé d'office, et autres pleurnicheries métèques), la tendance majoritaire est claire : Monsieur Moyen ne s'aime pas en tant qu'Européen, et va jusqu'à nier toute spécificité héréditaire.

S'il est frotté de sous-culture progressiste, il vous expliquera, avec dans l'oeil une fausse étincelle de détachement, qu'il « ne se prend pas pour un Blanc. » Plus on escalade l'échelle socio-culturelle, plus cette carence d'identité collective des individus est prononcée, plus elle prend la forme d'une revendication par le vide. « Don't call me White », n'est-ce pas.

Dans ces conditions, il est compréhensible, mécaniquement logique voudrait-on dire, qu'il se contrefiche des attaques de facto ou de jure à l'encontre de sa culture. De culture, il n'a point, au sens collectif du terme. En tant que peuple, il n'existe pas. Il semble bien qu'il soit impossible de s'assumer simplement en tant que fils de leucodermes, sans en tirer une gloire usurpée ni en prendre prétexte pour s'autoriser des orgies de repentance évoquant la jouissance du coït anal passif – en clair, d'accord pour être reconnu par tous en tant que Blanchouille, mais à condition de se faire mettre.

Se faire mettre, en l'occurrence, peut prendre bien des formes, mais elles naissent toutes d'un relativisme doctrinaire, déguisé en émancipation individuelle. « Nique la France », par exemple, ne me concerne pas si je suis citoyen français à peau pâle : en bon toubab soumis et humble, je choisis de ne pas m'associer à l'entité « France », et plus précisément à ses côtés nauséabonds que dénoncent les Indigènes de la République. Que je sois explicitement visé de par ma langue maternelle et mon taux de mélanine ne m'effleure pas l'esprit : les seuls Français « de souche » sont ceux qui se prennent pour tels, pour de mauvaises autant que ridicules raisons. Il me suffira de clamer mon dégoût pour cette secte et l'on me fichera une paix proportionnelle à celle que je veux bien ficher aux métèques. Jeter son arme en premier pour montrer sa bonne volonté.

Le pouvoir blanc, non – le drapeau blanc, oui.

Monsieur Allogène n'éprouve pas de telles fausses pudeurs traumatiques à s'assumer en tant que tel. Il peut, selon les communautés, être affligé d'une estime de soi plutôt basse. Pour les uns, la honte de l'esclavage; pour d'autres, celle de la colonisation, du confinement aux sous-sols d'une Europe dominatrice et décomplexée. Mais pour autant son identité collective ne lui donne pas l'impression d'étouffer sous le nombre. Il sait, au contraire, canaliser l'énergie négative des souffrances passées pour en faire le carburant de sa colère.

Aussi, quand un politicard, un saltimbanque ou un pisse-copie dit quelque chose de déplaisant sur UN extra-européen, il se sent personnellement visé. Là où Jean-François se fout bien de voir des Blancs hostiles et idiots se faire hacher menu dans Machete, Désiré-Trésor enrage de pas voir Blanche-Neige incarnée par Whoopy Goldberg. Jean-François ne se prend ni pour un Blanc, ni pour un idiot, il ne se sent donc pas concerné; Désiré-Trésor, lui, n'aime pas enculer les mouches et transférer le poids de la caricature sur les plus cons de ses semblables. Jean-François joue perso, Désiré-Trésor joue collectif. A ce jour, c'est Jean-François qui perd, mais on lui a appris que la vie est une grande Ecole des Fans, où tout le monde gagne à la fin. Il n'aime pas la compétition, soit qu'il craigne de révéler sa maigre valeur, soit qu'il ne supporte pas le spectacle de la défaite chez autrui. C'est le misérable résultat de plusieurs siècles de catholicisme et de 200 ans d'humanisme.

A sa décharge, on peine à voir ce qui pourrait le motiver à relever la tête et rendre coup pour coup. Son quotidien est une succession de micro-fissures de l'âme, ses semblables lui marchent volontiers sur la tête pour une meilleure place au classement de l'Employé du Mois, ses conteurs et ses poètes lui peignent une Histoire qui sent le charnier, la cruauté bestiale et la trique pour le pognon. Ses élites sont des salopes cosmopolites toutes prêtes à vendre son cul, qui aux timbrés du Talmud, qui aux hydrocéphales du Coran, pour la plus grande gloire du Crédit-Conso. D'un bout à l'autre du continent, on ne rêve plus à rien hormis à une carrière de coach en remariage, d'organisatrice d'apéros entre internautes, de macaque hurlant à micro et bagouses. Pour être de gauche ou de droite, il faut militer pour plus d'esclaves sans-papiers ou plus de drones au-dessus des villes qu'ils transforment en postes avancés du Tiers-Monde.

Défendre l'Europe dans l'état abjecte où elle se trouve ? L'aimer en « la haïssant pour ce qu'elle est » et en se battant pour ce qu'elle pourrait être ? Abstractions insanes. Le discours des patriotes lui passe loin au-dessus de la casquette et c'est, là encore, d'une atroce logique : leurs actions hors du ouaibe sont épisodiques, leur pensée est toute entière virtuelle. L'Occident est une idée qui n'a plus aucune incarnation. Ce que les hordes de primates illuminés menacent, c'est avant tout le calme relatif des échanges commerciaux d'une morgue à ciel ouvert. S'il ne devait pas en plus s'inquiéter de se faire scalper par des cannibales, le Petit Blanc ordinaire vivrait tout simplement dans un monde laid, merdique, désespérant, déshumanisé.

La transformation de villes entières en zones de guerre civile larvée pourrit la vie des individus trop fauchés pour en déménager ; mais d'un point de vue culturel, l'insécurité qui obsède les droitards est un détail, peut-être moins préoccupant que l'omniprésence de la non-culture du ghetto afro-yanqui. Pour une gamine qui se prend un pain par un quadrumane, on en compte des centaines de milliers qui tortillent du cul sur du hip-hop. Les optimistes assènent que le métissage est avant tout une idéologie de baisé-de-la-tête, qui prennent pour des faits avérés leurs dégobillables fantasmes de génocide à coups de bites. Ils ont peut-être raison sur le plan biologique - mais culturellement, l'Europe a déjà perdu la partie. ILS écoutent LEUR musique et nous envoient LEUR identité en pleine gueule. Nos enfants, nos soeurs et nos femmes écoutent aussi LEUR musique, adoptent et reconnaissent LEURS codes et LEURS valeurs. Pour un Bounty qui reste attaché au moins à une partie de ses racines, cent Whiggers sont là pour inonder les leurs de désherbant. 

C'est ce qui peut expliquer le bide complet du discours sur la haine anti-blanche, et la peine insurmontable qu'éprouve Monsieur Moyen à en voir les manifestations quotidiennes. Son jemenfoutisme égoïste engourdit son orgueil de mâle autochtone, et une vision creuse de son appartenance ethnique lui arrache des ricanements quand on tente de l'éclairer sur son apathie. Il a perdu sa colonne vertébrale, mais vous ne lui en ferez pas démordre : il n'est pas amorphe, il est dé-con-trac-té. Si vous ne pigez pas la nuance, vous êtes un beauf xénophobe à ignorer, rééduquer ou encabaner.

L'Europe ne sera pas défendue par ses enfants avant qu'elle ne leur redonne des raisons concrètes de se battre pour elle.

La seule condition objective de Révolution conservatrice, c'est la possibilité d'assumer son identité de Caucasian sans politisation ni slogans, de la vivre avec bonheur et simplicité, sans éprouver de honte masturbatoire, ni usurper un héritage dont aucun de nos actes quotidiens ne nous rendent dignes. Cela passe donc par des choses peu gratifiantes, sans rien de clinquant, dont on ne peut pas se vanter au zinc du bar à skins semi-clandestin.

C'est être en couple de manière stable et ne pas changer de suceuse à chaque nouvelle lune. C'est fonder une famille qu'on n'abandonnera pas à la mère dès que les gosses seront en âge de vous tenir tête. C'est trouver le job le moins dégradant possible et le conserver même au prix de grosses couleuvres à avaler. C'est prouver par des gestes simples, années après années, que votre entourage peut compter sur votre parole, que ce soit pour un coup de main financier, l'organisation d'un bastringue, un déménagement, une présence solide en cas de tuile sérieuse.

C'est réapprendre à être un homme sur qui on ne s'essuie pas les pieds, et qui n'utilise pas non plus la gueule des gens comme paillasson. C'est avoir vis-à-vis du fric, du travail, de la famille, de la consommation, de la culture, une même ligne dont on ne dévie que contraint et forcé, pas simplement parce qu'on a la flemme. C'est parvenir à être un exemple sans suinter la morale ni se prendre trois tailles de chapeau supplémentaires. C'est mener une guerre totale contre soi-même pour se relever à chaque fois que l'on se fout la gueule par terre. C'est créer autour de soi, à chaque occasion possible, de la beauté et de la chaleur pour ceux qui les méritent vraiment. C'est devenir le portrait fidèle, et non pas la caricature de son propre idéal.

 

13/06/2010

APRES "INVICTUS"

 

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Depuis 2004, date de publication de ces hallucinations paranoïaques (quoi d'autre?), on attend toujours l'explosion. S'il-vous-plaît, Monsieur Mandela, essayez de claquer d'ici début juillet, sinon les journalopes d'Occident se trouveront d'excellentes excuses de regarder ailleurs quand la fête commencera:

While former South African President Nelson Mandela, 85, scoffs at rumors of ill health, plans are being made by the nation's Communist Party to slaughter all whites in the country upon his death, G2B sources say.

One of the operations planned entails 70,000 armed black men "being transported to the Johannesburg city center within an hour" in taxicabs to attack whites.

The plans are variously dubbed "Operation Vula," "Night of the Long Knives," "Operation White Clean-up," "Operation Iron Eagle" and "Red October campaign."

Operation "Our Rainy Day" was to be carried out after the death of Nelson Mandela and would have entailed blacks being transported to the largest cities in taxis.

The assailants were expected to "take over" fuel points and massacre whites. The attacks would lead to a coup.

Sources say most blacks in the country are aware of the plans. When racial disputes occur, blacks often tell whites, "Wait until Mandela dies.”

"White people in South Africa can deny it to the end of the earth, but we are in real danger," one resident said. "This is no joke and any person with half a brain can see that this rumor has spiraled out of control."

Many whites are now convinced a vicious campaign of ethnic cleansing will follow Mandela's death whenever it comes. Some are making preparations for retreats.

"I have prepared myself and we have a gathering place where we can fortify for four weeks after Mandela’s death," said one white South African. "If nothing happens it will be a miracle."

 

http://www.wnd.com/news/article.asp?ARTICLE_ID=37010