29/11/2011
FOU SANS AUCUN DOUTE
Une autre gueule de "gendre idéal",
quoique beaucoup moins beau,
et qui revendique le conditionnel...
A part ça, paraît qu'il y aurait 500 000 traîtres en Helvétie ? Va savoir comment il est arrivé à ce chiffre, si quelqu'un a les listes, faites tourner... Ca nous fait un peu plus du septième de la population à breivikiser, tu imagines le boulot... D'un autre côté, ça nous ferait de la place, c'est clair, bien plus que l'explosion de la bulle immobilière qu'on nous promet...
17:34 | Lien permanent | Commentaires (2)
27/11/2011
PEDAGOGIE A COUPS DE MARTEAU
Missisauga semble n'être qu'à peu de bornes de Toronto, ville la plus au "sud" de mon périple tabarnakien de cet été. Sans doute un bled pourrave, puisqu'on y trouve des torchons faciaux à aggriper. Bien content de point n'y être passé. Mais ça rappelle de bons souvenirs, et ça augure d'assez bonnes choses quant à l'évolution de la mentalité antiouaciste.
On aurait pu craindre que ce barnum funéraire qui accompagne notre génocide tranquille prenne, avec le temps, un tour plus subtil. Qu'on en vienne à pouvoir franchement rire de ces différences-qui-nous-enrichissent, de causer avec décontraction des frictions qui naissent de la rencontre de cultures étrangères les unes aux autres. C'est ce que je viserais en tant que MétissoFührer, si je me piquais d'embrasser une telle carrière : priver Betty Monde de son potentiel de rigolade, et la rendre plus désuette que scandaleuse. Transformer les références connues en les heures les plus ridicules de notre Histoire. Cesser de faire semblant que tout se passe toujours bien (ou que c'est la faute aux Culs Blancs quand ça dérape ©) et insister au contraire sur le fait que si ça se passe mal, ça n'a pas plus d'importance que ça.
Notez que les militants les plus actifs de l'abâtardissement général se donnent beaucoup de peine pour tourner en dérision les idoles supposées des arrière-petits-fils spirituels des nazis. Mais derrière tous leurs Tu m'fais marrer, aucun rire sain et spontané, que des ricanements aigres, comme des quintes de toux grasse. Derrière tous leurs Tu m'fais pitié, aucune pitié justement, mais un cocktail balaise de cruauté, de volonté d'extermination, d'obsession de brûler la terre pour que rien n'y repousse.
Il leur reste quelques nippes de fous du roi, qu'ils frottent de naphtaline avec une belle discipline, mais qui ne riment plus à rien. Qui pensent-ils choquer vraiment en conchiant le pape, l'armée ou la patrie ? Vieilles choses mortes et oubliées de tous. Pauvres profanations de tombes en ruine, que tout cela. Ca ne sent plus le souffre, ça renarde l'antique poussière, les miasmes d'un EMS en faillite.
A leur décharge, allez vous marrer franchement quand vous êtes si bouffis de rancoeur : c'est presque aussi facile que de bander quand on a la gerbe. Le démocrate ne peut rire ni de tout, ni avec tout le monde, et le ouacisme, l'eskluzion, la dicrismination, il a beau pousser à en choper des hernies, ça ne lui arrache pas même un sourire.
Pourquoi c'est une bonne nouvelle ? Parce que la pression sur les modérés se fait toujours plus colossale, et que des choses qui hier faisaient rire des gens irréprochables sont maintenant passées sous silence. Fini, le rire féroce et fondamentalement gauchiste d'un Hara-Kiri, exit les saillies d'un Desproges révéré en bloc mais cité par pauvres bribes. La contestation de l'Ordre Moral s'est foutrement embourgeoisée, prière de bousculer les habitudes en gants blancs et de chahuter les traditions sans qu'une tête ne dépasse.
Rajoutez à l'abject brouet cette idée über- archi- méga- over-CONNE que la xénophobie est une maladie de l'esprit que l'on soigne à coups de Diversité forcée, et vous aurez la recette pour fabriquer en série les Breiviks du futur. Pas que je croye qu'on va en rencontrer des tonnes, hein ! Mais il est bon, sain, souhaitable, que les braves conneauds qui ne demandent rien à personne réalisent qu'ils doivent demander la permission avant d'aller pisser. Puisqu'il est "extrême" d'être normal, vienne enfin le jour où il sera normal d'être "extrême".
L'ingénierie sociale des hallucinés à la Ian Cowan, ça mène à penser que le meilleur moyen de rééduquer un clébard agressif envers les enfants, c'est encore de le balancer en plein milieu d'une cour d'école maternelle à l'heure de la récré.
Arracher un clou ou le planter jusqu'à ce qu'il ne dépasse plus, c'est sûr que ça produit un résultat assez semblable point de vue sensoriel : on le voit plus, donc on n'y pense plus.
Quelque part, (à force de mâter les suggestions vidéos qui décorent les docus d'Alex Jones), on en viendrait presque à se laisser tenter par l'explication d'une recherche délibérée du bain de sang. Faute de vrais gros nazebroques, en fabriquer à base de péquenots ordinaires qui n'auraient jamais pété un câble dans un environnement à taux de métèques raisonnable (entre -10 et 0%). Faire augmenter artificiellement cette bonne vieille insécurité pour que la plèbe réclame d'elle-même la loi martiale, avec ça et là des barbus réellement frappadingue pour donner du crédit aux réacs, et quelques blanchouilles sanguinaires pour redonner un sens à la vie des traqueurs de Peste Brune... Rendre la matraque et le couvre-feu sexy avec la complicité involontaire des fafs et des macaques à capuche, unis dans une grande valse des pigeons bien couillonnés... Mais bon : ça relève sans doute possible du Thé au riz du con plot, affaire classée.
19:28 | Lien permanent | Commentaires (7)
22/11/2011
KNEEL BEFORE DIONYSOS
Signalé par Benway, dont nous lustrons l'égo à la brosse en plumes d'autruches pour la découverte.
22:10 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (14)
17/11/2011
VOS RECHERCHES
chier est degoutant 3.26%
infantiliser un soumis 2.17%
le vertige et la mort 2.17%
propagande socialiste contre capitalisme 19° 2.17%
black metisse cul tendu femme 1.09%
caricature anale 1.09%
histoire de poubelle pour enfants 1.09%
le cul des enfants 1.09%
mort cerebrale bras bouge 1.09%
régime hybride 1.09%
08:34 | Lien permanent | Commentaires (5)
15/11/2011
IMMUNITE AUTOCRITIQUE
Je dévore ce qui porte le label Jim Goad avec la même voracité que les productions de certaines boucheries de campagne dont je ne vous donnerai pas l'adresse. Mais son dernier casse-dalle mental tombe étonnamment à plat, comme un gros bout de nerf au milieu d'un juteux rosbif. Sa recette ? Réduire au silence les collectionneurs de points Godwin en comparant les scores de morts entre IIIe Reich et Internationale communiste.
L'excellence d'une telle suggestion me rappelle mon propre sens critique lors cette fin de soirée particulière où j'avais cru très avisé d'accepter deux shots de vodka-caramel.
D'abord, il ne faut pas parler aux communistes, jamais, sauf s'ils font bien malgré vous partie de la belle-famille. Ensuite, l'on a plus de chances de planter un clou à mains nues que de les culpabiliser sur leurs extravagances idéologiques.
Un trait de caractère commun fort peu remarqué entre lecteurs du Talmud et du Capital explique pourquoi on les rencontre si souvent fourrés les uns dans les autres ensemble depuis un siècle : une gonflitude inoxydable face à toute critique extérieure. Le bolcho n'a jamais tort, ses idées sont toujours pures, son engagement est une éternité immaculée et les cadavres de ses prédécesseurs répandent un ravissant parfum de framboise. Et ce pour d'excellentes raisons :
Un : le "vrai" communisme n'a jamais existé nulle part. Tous les régimes et groupuscules qui s'en sont réclamés ont menti, détourné et sali le bel idéal, corrompu l'admirable méthode. L'avènement du Socialisme majuscule, comme celui du Messie véritable, est une musique d'avenir (d'où l'expression des lendemains qui chantent). Jusqu'ici, une succession de faux prophètes, rien d'autre.
Deux : une idéologie n'est pas intrinsèquement mauvaise parce qu'elle tue des gens : elle tue des gens parce qu'elle est intrinsèquement mauvaise, et cela n'a rien à voir. Les communistes ont cassé 100 millions d'oeufs pour faire une belle omelette, les nazis six millions par pure cruauté ovophobe.
Trois : il est plus moral et excusable de fosse-communiser mille hommes au nom d'une grande utopie que d'en zigouiller un seul pour de vilaines convictions.
Quatre : égalitaires et démocrates, les cocos sont aussi fort bien éduqués et ne resquillent pas ; le rôle de la Plus Grande Saloperie de l'Univers est déjà attribué, et d'Indiana Jones à L'Exorciste Au Commencement en passant par Les X-Men et le Journal d'Anne Frank, personne ne peut avoir de doute sur la nature de la pire secte politique de l'histoire humaine, on est d'accord ?
Cinq : même le plus absurde des égalitaristes sait raison garder et mettre des limites de bon sens à son goût de couper les têtes qui dépassent. Certes, tous les hommes sont égaux, mais comme le rappelle Renaud, poète officiel tristement oublié de la grande émancipation prolétarienne, A Soweto dans le ghetto, les loups blancs sont plus sauvages et plus méchants. Et puis il existe une hiérarchie des morts : on reconnaît les gradés à leur port de l'étoile, rouge ou jaune, c'est selon la tendance du moment. Vous n'allez pas reprocher aux bolches de reconnaître pour une fois certaines inégalités, ou merde ? Il faut un début à tout et celui-là n'est pas plus mauvais qu'un autre.
Vous ne POUVEZ pas foutre la honte à un brasseur de peuples, il est immunisé. Essayez plutôt de devenir moine shaolin ou de convaincre Lily Cole de vous suivre dans une ferme fortifiée du Languedoc pour vous aider au jardin à la vigne et lui coller des triplés : c'est tout aussi méritoire, presque plus complexe et bien plus utile.
06:23 | Lien permanent | Commentaires (11)
14/11/2011
"UNE FOIS VAUTRE AU SOL..."
07:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/11/2011
OUZE BEQUI BEQUI BEQUI BEQUI STAN STAN
Droitards yanquis de mes deux, vous pensiez avoir touché le fin fond du socialisme avec Foutraque Husseine O'Banania ? Sortez vos pompes à vélo et faites-moi gonfler ces érections ! La vraie droite patriotique américaine vous a dégotté un candidat présidentiable à la fois nouare ET aussi imbécile que Bush Junior. C'est pas le panard ? On n'est pas contents ? C'est pas l'orgasme ? Merci qui ? Merci les chouifs d'Olivoude n'est PAS une réponse acceptable, merci.
L'Amérique post-raciale, c'est tellement bien que même les ouacistes réactionnaires capitalisses de drouate sont devenus aussi khons que les progouessisses métissés de goche.
21:21 | Lien permanent | Commentaires (8)
10/11/2011
DE LA NOBLESSE DU COUP DANS L'EAU
Est-ce Mézigue qui consacre trop peu de temps et d'attention au grouillement humain qui occupe l'espace entre le taf et ma caverne ? La déprime générale qui découle d'un automne qui déboule d'un coup avec brume et bagages après un interminable été indien ? Ou la lassitude qui s'installe face au bon dos du nazislamisme, qu'on peut dégobiller entre gens présentables ? Une conjonction de ces trois facteurs doit expliquer le peu de chambard consécutif aux déclarations de Maître Marc dans La Catin de ces derniers jours. On s'habitue à tout, faut dire.
Et puis, s'il ne détrônera jamais Saint Adolf (y a comme ça des classiques éternels, pareil que pour Motörhead ou Slayer, sans concurrents imaginables parmi la nouvelle génération de métalleux), il remplit quand même pas mal son rôle de remplaçant. Exotique, hirsute, guttural, hostile au filet mignon et à la syrah, antiféministe, franchement, vous trouvez quoi à y redire ?
En plus, certes ça n'ochvitze pas de Juifs, mais ça trouve qu'en ochvitzer est un plaisant projet, ou ça estime que personne n'en a jamais ochvitzé du tout. Ne faisons pas la fine bouche : les scénaristes du porno-cirque mondial ont correctement fait leur boulot. Les Indiana Jones du futur n'ont pas fini de casser de crouille à Olivoude.
Oubliez son couvercle capillaire et ses manières de duchesse : sous ses atours baroques, il a de la gueule, Maître, une putain de prestance, la précision lexicale et la puissance allégorique d'un missile sol-air. Quiconque goûte la beauté de la langue française doit s'incliner devant la maîtrise dont il en fait preuve. Ce n'est pas la première fois qu'il se fait remarquer d'ailleurs, et ce jusque chez les Hexagonaux. Léonidas et Martel, vous excuserez du peu, niveau références, ça pose quand même son lessiveur, entre nous. Et en remettre une couche sur le même thème dans le plus épais baveux de Romandie, en légitimant carrément la coranite aiguë, chapeau, casquette et casque à boulons.
Est-ce suffisant ? Est-ce très honnête ? Apporte-ce la moindre eau potable à notre méchant moulin de Blanchouilles affranchis de toute honte héréditaire ? NIET.
D'abord, des fantaisies théologiques de chameliers ne peuvent pas faire peur à un athée conséquent, elles peuvent au mieux lui inspirer du mépris, du dégoût, voire de la pitié s'il est dans de très bonnes dispositions. Leur popularité est regrettable mais comment vous dire ? C'est sûr que si vous vous mesurez à elle couché sur le ventre et la tête dans le purin, Mimi Mathy aura l'air plus grande que vous ; filez-lui un couteau à beurre et elle aura même l'air menaçante. Prenez la peine de vous relever, de chausser vos plus belles paraboutses et de lui viser le blair, puis refaites vos calculs. Côté angoisse, ça risque d'être beaucoup plus tolérable que prévu.
C'est assez clair comme ça ou il faut que j'insiste lourdement ? Précision au gros stabilo pour ceux qui n'ont pas suivi : la force de subversion de l'islam en Occident ne dépend que de la lâcheté des autochtones. A ce jour, on dirait bien que cette salope d'Europe s'éclate bien à servir de tapis de prière ; qu'elle retrouve un tout petit chouïa de dignité et vous la verrez voler par la fenêtre, la poussière de croyants de mes deux qui le recouvre, ce putain de tapis volant !
C'est assez pareil, somme toute, avec l'industrie lacrymale ochvitzoise, d'ailleurs. Mais c'est un autre coin de désert, ne nous égarons pas.
Ceci pour dire, puisque personne d'autre ne le dira, que certes Maître Marc a posé ses burnes sur le coin du zinc, avec son élégance foudroyante habituelle, et que ce geste de défi est à savourer sans modération. Mais qu'aucun patriote sincère ne s'y fourvoie : la gonflitude phénoménale des barbus (celle des enturbannés décalquant celle des empapillottés) ne constitue pas une menace sérieuse pour l'Occident - elle n'est qu'un symptôme de sa décrépitude.
Les barjots de l'alcoran ne sont pas une armée conquérante prête à envahir une civilisation saine mais distraite : ils sont les nécrophores qui s'engraissent sur la carcasse d'un monde blanc qui s'est suicidé. Que se produise une miraculeuse résurrection, et ils seront balayés comme de pauvres pellicules sur une épaule négligée.
Pour faire exploser un double phallus phynancier nouyorkais, il faut déjà pouvoir grimper dans un avion à destination du Yankiland, s'y établir, s'y fondre dans la masse amorphe, y créer ses réseaux. Si vous ne pouvez pas poser une pointe de babouche en-dehors du périmètre de votre gourbi, ce genre de plaisanteries aériennes devient matériellement impossible.
Il n'y à pas a légitimer la trouille d'aucune espèce de maladie. Il n'y a pas même besoin de mobiliser les larbins de la presse pour promouvoir des campagnes de vaccination : la quarantaine suffit amplement.
La dénonciation des outrances de l'islam, les arguties imbéciles sur sa nature "intrinsèquement" mauvaise (comme si les autres monothéismes puaient moins de l'entrefesse!), toutes les clowneries d'un Geert Wilders ou d'un Théo Van Gogh - RIEN de tout cela ne nous concerne. La renaissance de l'Europe ne passe pas par une sécularisation de l'islam, ni par l'écrabouillement des jihadistes. Les causes de notre effondrement culturel, spirituel et ethnique sont avant tout INTERNES. Les chacals qui en profitent sont méprisables et devront le payer un jour si le concept bizarre de "justice" visite un jour notre monde, mais ils ne sont pas des assassins, juste des parasites opportunistes.
19:27 | Lien permanent | Commentaires (7)
09/11/2011
BIEN SÛR QUE NON - ALLE RAUS !
Bien sûr que non qu'elle n'en veut plus.
17:32 | Lien permanent | Commentaires (5)
08/11/2011
ROLLBACK
Je n’ai jamais été dans une démarche de dénonciation globale des associations antiracistes (ben tiens !). Cependant, le sentiment de deux poids-deux mesures chez les victimes de racisme anti-blanc devrait amener ces associations à réfléchir sur une meilleure prise en compte de ce phénomène (oh oui, ça serait si gentil de leur part !). Je crois que ces associations ont parfois du mal à concevoir qu’une victime peut être un « Français de souche » ("avoir du mal" = xylolangage pour "n'en avoir rien à branler") et que malheureusement, le racisme est partagé par des individus de toutes origines. Il ne s’agit évidemment pas de nier les racines sociales de cette forme de racisme (que non ! Par Saint Drouadlom, ça serait tellement ouaciste !), mais ces racines ne doivent pas occulter la réalité.
Et bla et bla si ça vous amuse encore quelques mois après publication...
La droite dite dure et une flopée de réacs vont se contenter de ce genre d’emplâtres sur leurs amputations identitaires, c’est à craindre. Aux moins atteints d’entre eux l’on voudrait, si on s’imaginait un instant qu’ils nous lisent, leur rappeler quelques fondamentaux :
1) le ouacisme ne disparaîtra jamais. Dans un monde uniformément beige, les beiges d’1m50 continueront d’écouter quand les beiges d’1m80 leur parleront – et on ne parle pas de l’aristocratie beige pâle qui traitera en inférieure la plèbe beige foncée… Certains d’entre vous affecteront longtemps encore de croire que l’ethnocentrisme est un mal non-nécessaire. Faites-vous socio-démocrates au plus vite, vous y gagnerez en crédibilité auprès des Correcteurs de Peuple et des Minorités Non-Développables.
2) la lutte contre le ouacisme n’a jamais été et ne sera jamais un combat noble, universel, basé sur une philosophie éclairée. Son but exclusif est de briser la conscience collective des Occidentaux et de fouetter le ressentiment héréditaire des peuples qu’ils ont colonisés. Vous trouverez toujours une poignée d’allogènes assez droits dans leurs pompes pour ne pas jouer la carte de la race, et un nombre plus ou moins égal de toubabs qui échappent à la Honte Blanche. Ce que ça change ? Zob. Le schéma qu’on croisera encore des lustres, c’est une majorité de Blancs qui s’excusent de l’être, une majorité de Sahariens (Sub- et Non-Sub-) qui les haïront pour tels, et au milieu une certaine tribu qui joue l’arbitre à son propre profit, du côté de la matraque ou du cocktail Molotov selon la direction du vent.
3) nous n’avons pas besoin d’une réconciliation entre Persécutés Divers. Que les souffrances spécifiques à notre peuple aient été minimisées, niées, justifiées et glorifiées depuis un demi-siècle est un fait, mais qui ne regarde que nous. Les responsables de ce fait devront être transformés en compost ou en esclaves sexuels à disposition des condamnés à perpète ou des asiles de fous. Mais nous ne voulons pas, et n’avons aucun intérêt à participer à une antiouacisme.02, où les ouacistes colorés seraient punis au même titre que les pâles. Pour ne plus subir de ouacisme et pouvoir s’abstenir de l’infliger à autrui, il faut s’attaquer à sa seule véritable cause, la présence de plusieurs ethnies sur un même territoire.
Après le white flight, le black-and-brown rollback.
17:02 | Lien permanent | Commentaires (5)